Récits
Rencontres gynarchiques au gîte fétichiste
il y a 3 ans

Les aventures BDSM de deux pets soumis

Elles ont contacté le responsable du gîte fétichiste pour lui demander si elles pouvaient emmener leurs chiens et réserver pour 4 personnes. Il leur a gentiment été répondu que les chiens n’étaient pas admis pour cause d’hygiène, les clients aimant parfois jouer par terre n’importe où, puis des chats et poules y vivant à l’année. Dame Lia précisa que c’était des chiens humains, ce qui débloqua immédiatement la situation et fit sourire les responsables du gîte. Le week-end risquait d’être plaisant et distrayant. Leur arrivée au gîte fut aussi surprenante que la réservation puis les demandes de prêt de matériel et commandes des repas. A peine le véhicule arrêté, les passagers du grand monospace étaient déjà dans l’ambiance. Deux pets équipés de genouillères sortirent de la voiture pour ouvrir les portières des Dames avant de se dévêtir et se mettre à quatre pattes devant elles. Un autre homme descendit de la voiture pour leur mettre une laisse. TSM s’approcha d’eux pour les accuei...
Les sublimes élucubrations d’une soumise
il y a 3 ans

Moments suspendus

Un salon douillet, une ou deux lampes douces diffusant une lumière tamisée qui plongeait la pièce d'une douce intimité ...Sa voix, pourtant très sure, était très basse ...Elle,elle ne parlait pas ...Elle se laissait envelopper par cette ambiance feutrée ...elle y avait si souvent pensé ... L'Homme, appuyé dans le coin du canapé, vêtu légèrement, semblait serein ..Elle le souhaitait ainsi ...Elle se sentait pleine de tendresse en le regardant et pourtant, tout son s a n g bouillonnait ...De cet homme venait toutes ses envies, tous ses désirs ...Elle se sentait bien. Bien dans ce qu'elle portait, bien sans son rôle, bien face à cet Homme, pour qui elle voulait le meilleur. Approchant une table basse à portée de ses mains, elle y déposa ce qu'il aimait, et se mit à genoux pour lui servir sa boisson préférée ...Comme un voile, de sa main, elle frôla son sexe sous le tissu léger, au moment même où elle entre -ouvrit sa bouche, déjà humide d'envie, laissant courir sa langue sur ses...
La discipline du jupon associée à la régression
il y a 3 ans

L’éducation par l’humiliation et la féminisation

C'est avec un sourire amusé que Madame MacNab mit fin à longue conversation téléphonique. Elle ne pouvait attendre plus longtemps pour annoncer la nouvelle à son beau-fils. Elle jeta un regard vers lui, assis face à elle, les genoux serrés, le dos bien droit, les pieds l'un contre l'autre dans sa mignonne robe de fillette en organdi jaune qu'il avait obligation d'enfiler chaque après-midi à son retour de l'école. Avec ses cheveux longs presque aux épaules et coiffé façon "petite fille", son jupon garni de dentelle qui dépassait l'ourlet de la petite robe, Mme. MacNab s'étonna elle même de son apparence féminine alors qu'elle savait qu'il était un garçon solide et sportif. Personne n'aurait pu croire que ce lycéen de dix-huitans puisse aussi bien apparaître et agir comme une fillette de dix ans. Elle se rappelait, il y a quelques années, quand son mari est décédé et que son beau-fils avait pensé que sans homme à la maison pour le contrôler, il pourrait faire ce qu'il voulait....
La fessée pour une gothique
il y a 3 ans

La fessée ou les flics au choix

J’avais comme patiente fidèle une jeune fille, Lucie, que je connaissais depuis son e n f a n c e et qui, en cours d’a d o l e s c e n c e , avait tourné son esthétique vers le « gothique ». A vrai dire je n’en n’ai cure, chacun sa vie, ses goûts et ses choix. J’ai toujours supposé qu’elle avait fait ça pour choquer ses parents bourgeois bien-pensants qui devaient détester tout ce folklore vaguement satanique. Les us et coutumes avaient bien changé depuis l’époque où on déculottait les jeunes filles pour les corriger d’avoir flirté avec leur petit ami… Du haut de ses 18 ans, elle quitta la maison pour s’installer dans un petit appartement d’étudiante plus proche de sa faculté. Elle ne continua pas moins à fréquenter mon cabinet pour de menues affections bénignes. C’est à l’occasion de l’une de ces visites que s’est déroulée la scène à laquelle je vous convie. Mon cabinet est composé de deux pièces, celle où je discute avec les patients et rédige les documents et celle où j’exami...
Un adultère va la soumettre à vie
il y a 3 ans

Une nuit de folie aux conséquences sans limite

« Ah, putain, qu'est-ce qui ne va pas chez toi ? » grogna Clémentine, en plaçant son avant-bras devant ses yeux, pour les protéger des rayons du soleil. Sa sœur, debout à côté du lit, les poings sur les hanches, la dévisageait avec un sourire narquois sur les lèvres. « On dirait que ta soirée entre filles était bien arrosée » a rigolé Bérengère. « Je savais qu'on ne pouvait pas faire confiance à tes amies. Si proche du mariage, avec tant de choses à faire, si ton chéri voyait dans quel état tu t’es mise » « Merci pour ton aide » grogna Clémentine, en trébuchant jusqu’à la salle de bain. Elle se regarda dans le miroir, et fut effrayée par son image. Catastrophique. Mais une fulgurance illumina sa mémoire. Elle regarda vers ses jambes. Elle ne portait qu’un tee-shirt, tout le bas de son corps était nu. Et toutes ces traces de sperme séché qui avait coulé entre ses cuisses ... « Oh, m e r d e , qu'est-ce que j'ai fait ? » pensa-t-elle. Mais elle savait. Bribe par bribe, la mémoir...
Un adultère va la soumettre à vie 2
il y a 3 ans

Consommée à toutes les sauces de la dépravation

Arrivée sur les lieux, en pénétrant dans un appartement somptueux, elle reçut un premier choc. Aucun homme ne l’attendait. C’était une femme qui la recevait. Une matrone noire : « Bonjour » La voix était chaude, la silhouette haute et imposante. Les cheveux épais cascadaient sur les épaules : « Tu dois être Clémentine. Heureuse de te connaître. Je suis Victoria, la maîtresse des lieux » « Ravie de faire votre connaissance, Victoria » a minaudé Clémentine, les yeux observant tour à tour la tenancière et son environnement : « Désolée, je m'attendais à rencontrer des ...» « Des étalons ? Oui, j’ai eu connaissance de tes talents ! Tu as eu une journée chargée » Elle montra l’écran de son téléphone, en faisant défiler des photos de Clémentine en situation : « J'en ai regardé quelques-unes, tu es très sexy. Et merveilleuse en pleine action ! » « Merci, mais je pensais… Bon, je ne sais pas ce qui se passe aujourd'hui. J'ai passé des moments incroyables, je ne vais pas vous mentir,...
La vengeance extrême d’une femme cocue
il y a 3 ans

Chasteté, féminisation, bisexualité imposée et couche.

Mon couple a ressemblé longtemps à beaucoup d’autres, c'est-à-dire que sans faire partie de la catégorie des machos déclarés, je suis ou plutôt j’étais assez directif avec les femmes en général et la mienne en particulier, du moins jusqu’à ces derniers mois. Depuis plus de 13 ans, ma femme est moi menions la vie sage et standard d’un jeune couple aisé, Petite villa dans une grosse agglomération, Nantes, deux voitures, vie professionnelle calme, avec des réussites et des désirs non assouvis. Arielle est une très jolie femme, 1,68 pour 50 Kg, brune aux yeux Bleus. Fort bien faite, des hanches en amphore surmontant de jolies jambes bien galbées, des seins en pomme et un visage souriant et agréable. Cadre dans une banque, possédant un caractère bien affirmé même si avec moi, elle se comporte généralement en épouse aimante, elle a souvent des avances de clients ou de ses collègues et bien que je sois sûr de sa fidélité, je m’en étonne souvent ainsi que du fait qu’elle m’ait choisi....
La vengeance extrême d’une femme cocue 2
il y a 3 ans

Chasteté, féminisation, bisexualité imposée et couche. Nouvelle humiliation

Vers 15H00, Yves arrive et félicite Sophie pour son travail : - Parfait, avec ça, il ne pourra plus rien refuser à sa femme. Non ne le détaches pas, Arielle m’a permis de l’essayer en paiement de la course et comme punition pour son attitude d’hier soir! Paniqué, je crie - non pas question, je ne veux pas ! sans autre résultat qu’Yves me bâillonne à nouveau, puis il se redresse et retire son short, en dessous duquel il n’a rien, se positionner entre mes cuisses ouvertes et je sens le bout de son sexe se poser à au bord de mon petit trou et s’arrêter : Atterré, ne comprenant pas ce que j’avais pu faire à ma femme pour qu’elle me fasse subir cela, je sens le sexe d’ Yves peser sur mon anus, m’écarteler et s’enfoncer légèrement dans mon cul, me causant une forte douleur et une envie d’aller aux toilettes, puis après un moment, peser à nouveau plus fort. Enfoncé à moitié, Yves s’arrête pour me laisser sans doute m’habituer. Je me sens ouvert et rougis en gémissant devant le regard...
Couche et chasteté ce n’est pas que chrétien
il y a 3 ans

L’église et la religion ne sont pour rien dans cette histoire

Initialement DL, Paul a commencé à goûter au plaisir de la couche très jeune suite à un accident de cyclomoteur. Si c’était gênant au début, porter des protections c’est rapidement associé au plaisir solitaire du jeune homme. Si la médecine et la nature ont gommé les soucis d’incontinence, dans la tête du jeune homme, une certaine affection était né avec la douceur de la matière et la sensation de sécurité offertes par les protections. Il est donc devenu ABDL pour employer le mot le plus connu. Malgré tout gêné d’en porter, n’osant pas dévoiler son fétichisme, Paul n’en portait jamais lors des soirées étudiantes ni lors de ses rendez-vous galants. Un soir, il rencontre au club de sport, une étudiante en huitième année de médecine. En discutant avec elle, il apprend qu’elle désire devenir psychiatre, un domaine qui la passionne. Cette nana est ce que l’on appelle dans le jargon étudiant une bombe. Mignonne, brune aux yeux bleus avec un corps de rêve, elle ne fait pas tourner la...
Fessée à cause de ma cousine
il y a 3 ans

Voler fait mal aux fesses

Un défi de jeunes loupiots. Ma cousine me persuada de chiper des bonbons en échange de quoi je pourrais voir son jardin secret puisqu’elle avait vu le mien l’année précédente. Ma tante devant faire des coures et ne voulant surtout pas nous laisser seuls, nous emmena avec elle. Nous chahutions dans le magasin comme à l’accoutumée, tout en courant dans les rayons. Excédée par notre comportement, ma tante, nous tança sévèrement : « Si vous cessez pas tous les deux, vous allez recevoir une fessée à derrière nu ici même dans ce magasin ! Compris ? » Ce qui nous calma de si tôt. Au rayon des biscuits et friandises Maryann me désigna les proies de sa convoitise, un paquet de bonbons que je chipais, le cœur battant, pour les cacher aussitôt sous mon gilet. Je n’avais pas l’esprit tranquille, sachant à quelle mauvaise action je me livrais, mais je réussi toutefois à passer en caisse sans éveiller les soupçons de ma tante ni de la caissière. (Dans les années ‘70’, les systèmes antivol n’ex...
Selfbondage au crotchrope évolutif
il y a 3 ans

Un autobondage avec l’aide de la météo

Après avoir vu sur Fessestivites l’article sur le [crotchrope](/article/186251) cela m’a donné des idées de [selfbondage](https://selfbondage.fr/) évolutif pouvant être aléatoire et imprévisible. Cela ne m’a pas pris beaucoup de temps pour le préparer car il ne me fallait qu’un seau, une corde et un anneau à fixer à une poutre sous les tuiles. J’ai donc pris mon escabeau pour fixer l’anneau dans une poutre devant la porte de mon garage juste dessous l’extrémité des tuiles. Dans cet anneau, j’ai fait passer la corde fixée à mon seau pour voir si l’eau tomberait dans le seau au lieu du sol. Sans lâcher la corde, je suis redescendu, j’ai poussé l’escabeau et j’ai fait passer la corde entre mes jambes pour la fixer, provisoirement à ma ceinture. En reculant j’arrivais sans problème à faire remonter le seau sans l’usage de mes mains. Donc, si il se mettait à pleuvoir, l’eau tombant des tuiles remplirait le seau et tirerait sur la corde passant entre mes jambes et ..... Il me re...
Les humiliations autour de la fessée déculottée
il y a 3 ans

La fessée en public fait plus mal

Ma mère m’a élevé seule, mon père l’ayant quitté en apprenant sa grossesse. Elle clamait haut et fort que je n’étais pas un e n f a n t de l’amour ! De plus, je crois que d’appartenir au sexe masculin accentuait sa rancœur à mon égard et elle ne manquait pas de rappeler sans cesse que ma naissance avait gâché sa jeunesse et sa vie entière. Lorsqu’elle me fessait, plus que la douleur des claques, je garde le souvenir de la honte qu’elle m’infligeait. Cela avait commencé dès mon plus jeune âge lors de nos sorties au square du quartier. C’était des menaces variées lancées à haute voix que tout le monde pouvait entendre, par exemple : « Tu veux que je te déculotte devant tout le monde ? » ou « Fais attention, si je me lève je te baisse la culotte ! » Dans son esprit, le fait de déculotter et de montrer mes fesses nues pour la fessée semblait plus important que les claques elles-mêmes. Et en pratique, elle me fessait toujours à derrière nu où que l’on se trouve, particulièrement e...
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