Récits
La secrétaire médicale
il y a 3 ans

Fétichisme médical, soumission et perversions en tout genre

Mon prénom est Caroline. J'ai 24 ans, brune assez grande, mince, mignonne. Mes cheveux m'arrivent à la taille, j'ai de petits seins très fermes, un derrière bien rond. Depuis trois ans, je suis l'assistante d'un médecin, je devrais plutôt dire l'esclave... À l’époque, je cherchais du travail, avec mon diplôme en poche et très peu d'expérience, à part quelques stages et un peu d'intérim. D'un naturel assez timide, sur le plan sexuel, je ne savais pas grand-chose non plus. Je me présentai donc après avoir lu une annonce. L'homme qui me reçut dans son cabinet était grand, bel homme, la cinquantaine bien conservée et me fit d'emblée une forte impression, malgré son air très froid. Il était spécialiste en gynécologie. Il était en blouse blanche, me fit entrer dans son cabinet, me fit asseoir dans un fauteuil assez bas devant son bureau où il prit place. Il examina mes références, m'expliqua ce qu'il attendait de moi. Tout en me parlant, il m'examinait de la tête aux pieds de faç...
La secrétaire médicale 2
il y a 3 ans

Fétichisme médical, soumission et perversions en tout genre

Le travail "normal" reprit de plus belle. Vers cinq heures, nous eûmes une courte pause causée par une décommande. À ce moment, il était assis à son bureau et j'étais debout près de lui. Soudain, avant que j'aie pu réagir, il glissa vivement sa main sous ma jupe, remontant jusqu’à l’entrejambe trempé de ma petite culotte, que ses doigts eurent vite fait d'écarter pour pénétrer mon sexe ! - Mais dit donc, petite cochonne, ça t'a fait de l'effet de me voir pratiquer un fist fucking ? Je ne pouvais le nier, mais n'osais rien dire. Il me caressait merveilleusement et instinctivement, j'écartai les jambes pour lui faciliter l'accès à ma petite chatte. Il jeta un rapide coup d'oeil à sa montre et me dit : - Nous avons un quart d'heure devant nous. J'ai très envie de te baiser, tu sais ! Moi aussi, j'avais envie ! Sans protester, je le laissai me disposer comme il l'entendait : il me fit plaquer le buste sur le plateau de son bureau, passa derrière moi, troussa ma blouse...
La secrétaire médicale 3
il y a 3 ans

Fétichisme médical, soumission et perversions en tout genre

Le dimanche, je déjeune chez mes parents et passe l'après-midi au cinéma avec mes soeurs. La nuit précédente, j'ai dormi d'un sommeil agité, sans doute à cause de la cassette que j'avais regardée avant de m'endormir. Ce matin, je me suis livrée à une petite cochonnerie, que je peux confier à ce journal intime. J'étais debout, toute nue devant le lavabo de la salle de bains, en train de me brosser vigoureusement les dents quand la phrase du docteur m'est revenue en mémoire : "...Tu peux pisser en te lavant les dents..." et pourquoi pas ? Je resserrai mes jambes et me concentrai pour essayer d'uriner : cette fois ça vint très vite, mais j'essayais de contrôler ma miction, pour qu'elle dure le plus longtemps possible, m'efforçant d'interrompre le jet, puis me relâchant à nouveau ! Mon urine chaude coulait le long de mes cuisses et de mes jambes, et je continuais de ma brosser les dents, me mirant dans le miroir et me traitant de cochonne d'oser faire des choses pareilles......
Leela, soubrette mâle
il y a 3 ans

Féminisation d'un soumis

Je connaissais déjà Maîtresse A. avant qu'elle me convoque pour lui servir de soubrette. Je m'étais proposé à son service il y a quelques années, mais elle m'avait dit à l'époque, que je n'étais pas son type "d'homme". Peut-être était-ce mon email de confession qui lui fit changer d'avis plusieurs années plus tard et aussi le fait que j'eus une plus grande expérience. Toutefois, après une convocation et un entretien préliminaire, je me présentais chez elle, excité et un peu anxieux pour ma première journée. Sa secrétaire, une femme d'une bonne quarantaine, mince avec des lunettes lui donnant un air sec, en chemisier blanc, jupe droite longue et grise et talons plats, me mena avec une certaine habitude vers une petite antichambre avec des casiers de rangement. Je devais me déshabiller, mettre mes affaires dans un casier, le fermer en attendant que Maîtresse A. vienne me chercher. Je m'assieds nu par terre avec pour seul accessoire la chaîne avec la clef du casier autour de mon cou...
Un job d'été menant à la régression
il y a 3 ans

Un job d'été qui conduit à l'infantilisation du protagoniste... Récit écrit en 2013, que je pensai avoir supprimé et que je viens de retrouver... N'hésitez pas à signaler si vous voulez une suite...

**Introduction** Cela c’est passé l’été de mes 19 ans. Étudiant à la fac d’éco de Strasbourg, je suis prioritaire pour travailler cet été au sein du conseil général. C’est ainsi que je me retrouve à travailler dans un service qui fait du social, à ranger des documents, trier des dossiers… Dans ce genre de service, il y a bien plus de femmes que d’homme. Moi excepté, il y avait seulement un autre homme plus âgé qui avait pris ses vacances pour le mois d’Août. Lors de mon tout premier jour, j’ai visité les bureaux, et vis un cadre avec une jeune fille blonde, très mignonne. Je suppose que c’est sa mère qui travaille là, et je cherche à en savoir davantage…Mais on me dit que Sophie (le nom de la mère) n’est de retour que la dernière semaine de Juillet. Apparemment, elle vient tout juste de divorcer du père de sa fille à cause de son infidélité, et elle a ramassé un jolie pactole au passage dû à la situation de son mari (un avocat d’affaire gagne assez bien sa vie il parait…). Malgr...
Un job d'été menant à la régression 2
il y a 3 ans

Un job d'été qui conduit à l'infantilisation du protagoniste... Récit écrit en 2013, que je pensai avoir supprimé et que je viens de retrouver... N'hésitez pas à signaler si vous voulez une suite...

**Samedi** La fatigue due à la soirée me permit de dormir d’un sommeil de plomb malgré la présence du gode dans mes fesses. Au réveille, je me rendis compte malgré l’obscurité, que maman Sophie dormait toujours. L’érection du matin altérant mes pensées, je ne pensais qu’à me jeter sur celle qui c’était déclaré ma « maman », et lui montrer que j’étais davantage un adulte qu’un gamin. Cependant, la couche était toujours présente, notamment à cause du cadenas qui m’empêchait de m’en débarrasser. La clé était toujours au cou de maman Sophie, mais je redoutai sa réaction si je m’en emparai, et m’enlevai la couche… Je mis mes bras autour de sa taille. Caressant sa taille de guêpe avec mes doigts. Une de mes jambes s’installa entre ses cuisses, tandis que l’autre se mit en dehors. Je commençais alors à me caresser le sexe avec sa jambe. Doucement, pour ne pas la réveiller… Mais l’excitation l’emportant sur la raison, j’accélérai mes mouvements progressivement. Maman Sophie semblait tou...
Camille VII - La Sale gosse
il y a 3 ans

Camille traîne les pieds pour aller pour aller à une sortie organisée par le travail de Nicolas et en paye les conséquences

photo : Florian Weiler Ce samedi du mois de septembre, Camille et Nicolas avaient été invités par le CE de Nicolas à l'expo Degas au musée d'Orsay avec toute sa boîte. Camille aimait beaucoup Degas, ses danseuses lui rappelaient l'insouciance de son enfance et adolescence. Camille n'avait jamais réellement quitté cette insouciance et elle continuait encore à chausser les pointes une à deux fois par semaine dans le cours de danse de son amie Lola. Nicolas aimait beaucoup la voir danser, la danse exacerbant encore un peu plus la sensibilité de sa chérie. Si Camille aimait l'art, la danse, elle n'était en général pas très à l'aise avec la foule. Même si elle connaissait quelques collègues de son Nico, ce matin l'épreuve lui semblait insurmontable. 10h30, son chéri était déjà prêt, comme à son habitude Camille traînait encore au lit, assise en tailleur elle lisait le dernier numéro de Vogue avec attention! - "Je vais faire quelques courses, allez prépare-toi, on y va quand je re...
Le prix qu'il faut payer
il y a 3 ans

Voilà comment une " Professionnelle" a compris mon fantasme en devinant exactement mes désirs...

Cette fois je n'y tenais plus.... Mon cher " petit fantasme était devenu trop récurant, voir obsessionnel. Habitant la région parisienne, il me vint alors cette envie de me rendre rue du Faubourg Saint Denis, là où "pratiquent " des prostituées en général d'un âge très mature... C'est ainsi que j'enfilais une petite culotte de satin blanche avant de mettre par dessus une de mes culottes en plastique que je gardais sous mon jeans. J'avoue que durant le trajet en voiture, que terriblement excité, je me laissais aller à faire un peu "pipi" avant d'arriver bientôt au parking parisien. Longeant alors la rue en question, j'essayais de repérer une dame susceptible de répondre à mes attentes et correspondant au profil imaginé dans " mes délires". Enfin, après plusieurs propositions de ces dames, j'aperçu une femme d'une bonne cinquantaine d'années, vêtue d'une mini jupe et d'un débardeur serre , passant et repassant devant elle, gêné et maladroit, sans oser l'aborder. C'est alors elle...
Ma vie de nurse
il y a 3 ans

Une rencontre qui a bouleversé ma vie et qui m'a permis de découvrir une autre manière de vivre

Bonjour, Je prends le temps d'écrire ces lignes pour me présenter et, peut être en inspirer d'autres. Voilà un an que j'ai rencontré mon bébé. A cette époque, mon mode de vie était plus traditionnel dans mes relations et, je l'ai rencontré. Lui était un fervent pratiquant de l'ABDL depuis des années. Fort de son expérience et face à mon amateurisme en la matière cela ne pouvait qu'échouer et pourtant, nous voilà encore ici. Mon bébé a d'abord eu un rôle de formateur et d'initiateur car mes connaissances étaient inexistantes en la matière alors que son savoir était sans limite. Nous avons donc pris le temps, pour s'acclimater. Plus j'en apprenais sur le monde ABDL et plus je voulais en savoir. Me voilà lancée, lire des récits fictifs, des témoignages, m'intéresser aux tenues, harceler mon conjoint de questions, passer des heures au téléphone à en parler et en reparler. L'ABDL n'est pas uniquement une pratique mais un mode de vie. Nous voilà donc lancé parfois avec des diff...
Sieste Obligatoire
il y a 3 ans

Une fessée, une couche et au lit

Le motif importe peu. Une chose est sûre : elle s’était rendue coupable d’insolence. Par jeu. Par provocation. Il lui avait fait une remarque. Elle avait haussé les épaules. Il l’avait alors menacée d’une punition. Et elle lui avait tiré la langue. Par bravade. C’était pendant le déjeuner. Dernière semaine d’août. Chaleur accablante. Canicule. La table était dressée sur la terrasse au bord de la piscine. Il s’était alors levé d’un bon. Sans un mot. L’avait saisie par le poignet. Elle avait protesté. Pour la forme. Il l’avait ainsi mise debout. - Mais… heu… (prononcer « maieuuuuuu ») D’une poigne ferme, il l’avait attirée à lui et basculée en travers de ses cuisses. - Ça va pas non ! A-t-elle grondé en tirant sur sa robe d’été pour l’empêcher de la remonter sur ses reins. Mais il lui a tordu le bras dans le dos à la hauteur des omoplates. Elle a remué ses jambes en sentant la fine cotonnade remonter le long de ses cuisses bronzées, dévoilant sa culotte blanche, très...
Désir d’entraves sévères
il y a 3 ans

Envie de BDSM, de soumission forte.

##### Dans ses grands moments d’excitations virtuelles, Léa lui avait dit qu’elle aime les véritables contraintes, les bondages sévères. Lorsqu’il lui avait demandé si c’était pour mieux se libérer, sa réponse fut directe, sans ambages « oui » en précisant qu’elle ne jouit que mieux quand elle ne peut pas échapper au plaisir qu’on lui impose. Il avait également abordé son masochisme avéré, ses besoins de plaisirs dans la douleur. Taquine et rebelle, Léa l’avait prévenu que si elle aime jouer et faire des bêtises pour avoir de réelles fessées, sa recherche porte sur un Maître qui la domine aussi cérébralement. Expérimenté, le Maître, à qui elle livrait en toute franchise ses envies et fantasmes, sentait bien qu’il allait recevoir une « dure à cuire ». Une soumise qui aspire à vivre du BDSM sans concession, pas que du BDSM de jeu. Ce que Léa cherche, c’est du BDSM qui met face au mur, qui ne laisse aucun échappatoire entre le temps d’entrée et le temps de sortie. Il le savait...
Désir d’entraves sévères 2
il y a 3 ans

Découverte des carcans mais ....

Le Maître lui retire la cagoule afin de lui laisser découvrir les lieux. Tirée par la laisse comme une esclave, Léa ne peut que le suivre dans la maison qu’elle découvre. Les lieux sont aussi somptueux que perturbants. Au fond du salon, il y a une petite scène de théâtre avec des rideaux rouges ouverts et, chose surprenante, une chaîne et des bracelets pendent en son centre. Sur le côté, elle peut y voir un meuble particulier, ressemblant à un banc à fessée avec un pilori à son extrémité. Il offre de fait, de multiples possibilités de divertissements..... Il y a également sous un treuil une cage cubique faite avec de gros barreaux d’acier, elle ne ressemble en rien à une cage à oiseau et l’impressionne. La table gynécologique qu’elle aperçoit ne ressemble elle non plus en rien à celles que l’on peut trouver en milieu hospitalier. A la place de l’appui-tête, se trouve un cube de bois ressemblant à un instrument de t o r t u r e du moyen-âge. Tous ces instruments l’émeuvent tout...
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