##### Je suis, depuis mes premiers émois érotiques, hanté par la fessée. À vrai dire, mon histoire personnelle a voulu que son goût particulier me soit imprimé dans la libido par la main ferme et souveraine d'un instituteur lorsque, à l'âge de dix ans, je fus déculotté sur l'estrade et fessé d'importance pour cause de dissipation chronique. J'aurais bien voulu, plus tard, avoir un, et même deux, souvenirs de fessées appliquées par une main féminine, comme ce bon Jean-Jacques Rousseau, mais ce fut un homme qui, sans malice, je veux le croire, initia mon postérieur aux délices de la mise à l'air en public et de la volée de claques sonores et brûlantes qui constitue maintenant pour moi le paradis perdu. Innombrables, les fois où je me suis exalté en lisant des récits de fessées reçues, en m'absorbant avec béatitude dans la contemplation des dessins de Malteste, Hegemann, Barbara O'Toole, Lee Warner, Flatt, Franco ou Waldo. Trop timoré, ou trop exigeant, ou trop inquiet, ou...

Il l'attendait, assis sur un fauteuil Louis XV, costume trois pièces impeccable, chaussures italiennes, cravate en soie et Wayfarer vissées sur les yeux, il regardait sa montre… Camille était en retard… Une fois par mois, Camille et Nicolas s'accordaient une après-midi "plaisir" au Georges V, une amie d'enfance de Camille travaillant à la direction, ils avaient trouvé un petit arrangement… Ce matin, Il avait disposé sur la vieille malle de la chambre, les vêtements qu'il avait choisis pour elle : une petite robe noire, son foulard Hermès à dominante rouge, ses Repetto rouges vernies à petit talon (des Camille) et de la lingerie noire en soie coordonnée. Il lui rapporta son petit déjeuner au lit, une douce nitescence éclairait son visage… - "Un ange au réveil, mais au réveil seulement !"dit-il en rigolant - "Maaiiiiis heeu ! Merci "dit-elle en récupérant son plateau. Elle jeta un coup d’œil vers la malle : - "Tu veux déconcentrer mes collègues ?" Tous deux...

Il est le matin vers 7 heures 30, ma femme se prépare dans la salle des bains devant la glace, penchée un peu en avant pour finir son maquillage. Elle porte un soutien-gorge noir en dentelle qui montre sa poitrine généreuse plus que il la cache. Je devine une culotte assortie sous les collants transparents. Aux pieds déjà les escarpins pointus noirs avec les talons hauts qui se fixent à l'aide d'un collier aux chevilles. Je la regarde. Elle prend aujourd'hui particulièrement soin à son maquillage et le rouge aux lèvres foncé en contraste avec les yeux rendus plus grandes par les miracles de la cosmétique la font irrésistible. Hier elle a été chez le coiffeur et elle m'a surpris avec une nouvelle coupe mi-longue, et une couleur châtaigne avec des jolis reflets rouges. Je sens un picotement en moi. Elle est excitante, belle. Elle me donne un sourire quand elle quitte la salle des bains et va à la chambre où elle ferme la porte. Je reste la avec son image et son parfum très féminin...

##### J'avais dragué ce mec sur le net. Il est venu chez moi et je ne m'attendais pas à être dominé en fait, mais au bout de quelques secondes le ton était donné. Il m'ordonna de m'enlever afin de voir ce que je portais en dessous, j'avais piqué un pyjama à ma femme, que j'avais mis avec des dim up noir, un caraco, et un string noir. Il m'ordonna de me mettre à genoux et engouffra sa bite ( grosse) dans le fond de ma gorge. Il me saisit par les cheveux et plaqua alors mon visage contre son ventre;" suce salope!!! " J'avais sa bite dans le fond de la gorge et j'avais du mal à le pomper correctement, j'étais à la limite de vomir. Il continua à se branler dans ma bouche tout en me traitant de connasse, et de petit pédé. Il me demanda ensuite de me déplacer a quatre pattes jusqu'au canapé; "tu ressembles vraiment à une pédale me dit il, "monte sur le canapé connasse," "Tu baises ta encore femme ou elle se fait enfiler par un vrai mec ?" Sa question me rabaissait encore plus,...

#### Ce roman BDSM de grande qualité sera posté en plusieurs chapitres. [Le début de ce roman est ici](https://fessestivites.com/recit/177158) Je suis brusquement réveillée plus tard en étant tirée par la laisse vers le côté. Encore à moitié endormie et toujours sur le sol, je commence à sentir des mouvements au niveau de mon bâillon, plus précisément sur le gode qui le complète. Quelques minutes plus tard, des gémissements apparaissent pour accompagner les mouvements du gode et se termine par des cris de plaisir. Mon bâillon est ensuite rapidement retiré, tout comme la cagoule. J’y découvre ma maîtresse, déjà toute préparée et maquillée. Alors que j’essaie de me soulager la mâchoire, elle ajoute immédiatement : - Suis-moi, je vais te préparer pour le voyage. Je m’empresse de la suivre dans la salle de bain. Je pensais que c’était pour me permettre de me nettoyer, mais la seule chose à laquelle j’ai le droit est de me brosser les dents. Je suis loin d’être fraîche avec mon...

##### Nous nous étions donnés rendez-vous à la Chambre d'Amour près du phare de Biarritz. Déjà un nom prédestiné pour une première entrevue. J'avais répondu à une annonce "rencontres" dans un journal local , et ma lettre avait semblait-il plu à ma lectrice. En cela rien de spécialement S.M., si ce n'est le désir de deux personnes seules de se rencontrer pour quelques activités ludiques, et plus si affinités. Nous nous sommes promenés un long moment en échangeant des idées sur tout. Elle était jolie, brune avec de longs cheveux, assez grande et d'allure sportive. Je me rappelle avoir vu de jolies jambes se dévoiler lorsqu'elle est montée dans sa voiture en partant, et que sa robe longue fendue s'est ouverte. Le temps a passé. Après quelques promenades en montagne, quelques restaurants, et deux ou trois séances de cinéma, un soir nous avons partagé le même lit. Notre relation était celle d'un couple normal, avec une très bonne entente sexuelle. La chambre à coucher était to...

(14 mars 2001) Pour le week-end nous avions décidé de faire une sortie en montagne. Il faut dire que les Pyrénées basques sont très agréables en arrière saison, car moins fréquentées et offrent une palette de couleurs superbes. Le samedi matin, de bonne heure nous avons pris le chemin des palombières deSare. En haut, le panorama sur la Côte Basque est magnifique. Il faut dire qu'il n'y avait pas que lui d'intéressant. Elke avait mis un ensemble haut boléro et short en maille de coton bleu ciel plus que suggestif, puisque dessous elle ne portait aucun sous vêtement . A chaque pas, le short légèrement béant laissait voir les lèvres de son sexe, et sa superbe poitrine balançait sensuellement libre. J'avais ses fesses devant moi pendant la marche, cela valait tous les produits dopants de la terre. Après quelques heures de marche, nous avons décidé de nous arrêterpour manger à un endroit abrité du vent, derrière des jeunets. Une fois rassasiés, elle me demanda la suite. "...

#### Ce roman BDSM de grande qualité sera posté en plusieurs chapitres. [Le début de ce roman est ici](https://fessestivites.com/recit/177158) CHAPITRE SIX Je redescends chercher mes gamelles et la retrouve à la cuisine. Elle déverse dans la première une boite issue du réfrigérateur. Comme d’habitude, je reçois quelque chose d’équilibré, je suppose, mais façon esclave. J’y vois des pâtes, coupées en minuscules morceaux, un demi-centimètre au plus. Ces morceaux sont mélangés avec des morceaux de pain, de la salade et de la sauce. En fait elle garde tout ce qu’elle ne mange pas, découpe le tout en petit, mélange et me le sert le lendemain. C’est toujours servi en grande quantité, pour que cela me fasse tous les repas de la journée. Lorsque j’attache encore de l’importance au goût, ce n’est vraiment pas facile de ne pas le faire, et que celui ne me convient pas, il y a de quoi le regretter puisque ce sera la même chose pour plusieurs repas, jusqu’à ce que j’aie fini ce qui m’a...

##### Marié à 18 ans pour cause de charançon dans l’armoire, Léa et Paul se sont finalement trouvés malgré le bébé non prévu. Un beau couple disent les parents et leurs amis lorsqu’ils parlent d’eux. Effectivement, aux yeux de tous, c’est un couple sans histoire mais lorsque la porte de la chambre est fermée et que le petit dort, la fête charnelle est au rendez-vous. Très déluré tous les deux, ils ont exploré le [kamasoutra](https://www.google.com/search?q=kamasoutra&oq=kamasoutra+&aqs=chrome..69i57.339j0j15&sourceid=chrome&ie=UTF-8) dans on intégralité puis pour varier les plaisirs dévalisé quelques sex-shops puis [ABCplaisir](https://abcplaisir.com/). Dix ans plus tard, ils ont exploré le libertinage. Léa appréciait de jouer le rôle de soumise sexuelle, de laisser son mari l’offrir dans les coins câlins d’un club libertin. Lorsqu’ils rentraient de ces soirées débridées, il lui est arrivé d’avoir des « fuites » sur le siège en tissu de la voiture ce qui les a obligé à acheter...

CHAPITRE DEUX Le vendredi suivant, après une semaine malgré tout, très sexe, il accepta à nouveau de se laisser attacher sur le lit. Se faire dévorer comme la semaine précédente ne lui déplaisait pas, mais alors, pas du tout ! Comme il avait une trique d’enfer, Léa décida d’aller prendre une douche et de le laisser attendre pour qu’il débande. La douche dura et le zizi se ratatina. Sautant sur l’occasion, (pas le zizi ratatiné, le moment !!!) Léa entreprit de lui poser une cage de chasteté CB6000 malgré les râles de son mari. Heureusement qu’elle s’était entraînée pour la poser rapidement, car malgré les refus, la zigounette reprenait rapidement de l’ampleur. - Tu es à moi pour tout le week-end ! - Quoi, tu es folle, tu vas pas me laisser ce truc tout le week-end ! - Si si mon amour, tu m’as dit la semaine dernière que tu acceptais qu’on change les rôles de temps en temps. - Grrrrrr ! Répondit Paul regrettant d’avoir accepté sans réfléchir. Après avoir bi...

C'était indéniable. L'état second dans lequel je me trouvais n'avait rien pour être agréable, mais alors rien du tout. Je me sentais lasse, sale et légèrement déconnectée de la réalité. Pourtant il allait bien falloir quitter cette chambre, quitter cette pièce immense aux murs blancs, témoin d'une nuit qui la transforma en champs de bataille. Tant pis pour les cheveux collés sur mon front par la chaleur du petit matin. Tant pis pour ce goût poisseux qui emplissait ma bouche. Tant pis pour les quelques boutons argentés qui avaient sauté de mon Jean au début du combat. Tant pis pour la large trace de Milk-shake au chocolat- vanille qui ornait mon débardeur blanc. Seul vestige de la frénésie épouvantablement érotique avec laquelle on m'avait saisi les mains alors que je mangeais tranquillement ma glace, les jambes croisées, les pieds posés sur le tableau de bord de l'Opel. Tant pis aussi pour ma démarche fatiguée, salie d'un reste de douleur, qui ne ferait qu'éveiller l'esprit a...

"Alors, où est-ce rapport que je vous avais demandé?" Madame Solange, jeune femme svelte et gracieuse, sursauta. Elle n'avait pas entendu arriver la Directrice. Le corridor grouillait d'élèves et de professeurs qui se pressaient vers leurs classes. Les cours de l'après-midi allaient bientôt commencer. "Je… euh… " Madame Solange semblait bien embarrassée. En une fraction de seconde elle devait trouver une réponse valable car la Directrice n'aimait pas demander deux fois la même chose. "Je les ai mis dans votre boîte aux lettres, peut-être que quelqu'un l'a pris?" C'était raté, c'était la mauvaise réponse, Madame Solange le sut le moment où elle disait ces mots… La Directrice regarda la jeune femme dans les yeux. Madame Solange était affreusement embarrassée. La Directrice n'allait pas laisser une chose pareille sans suites… Autour d'elles les élèves passaient mais elle ne les voyait pas: elle regardait la Directrice comme un lapin regarde un cobra… Celle-ci...