Récits
Gage de chasteté et colocation (2)
il y a 10 mois

Ugo et ses trois colocataires filles trouvent leurs marques

Et ce fut ma première nuit avec Ugo. Que j’ai entraîné dans ma chambre. Que j’ai fait s’étendre tout nu sur le lit dans sa cage à bite. Avec laquelle j’ai un peu joué. Que j’ai fait ballotter. Que j’ai soulevée. Que j’ai laissée retomber. - C’est trop marrant ! T’es trop marrant avec ça ! Et j’ai commencé à me déshabiller. Devant lui. Lentement. En prenant tout mon temps. Sans le quitter des yeux. Sa pomme d’Adam tressautait comme un cabri. Ses doigts se crispaient sur les draps qu’il entortillait fébrilement autour d’eux. Quand il ne m’est plus resté que ma petite culotte, une petite culotte blanche festonnée, je suis longuement allée et venue dans la chambre. J’ai ouvert et refermé des tiroirs. Redressé un tableau dont j’ai fait mine de croire qu’il penchait. Déplacé une chaise. Dans un sens. Dans l’autre. Tout en lui jetant de rapides coups d’œil. Comme elle était envoûtante, cette queue d’homme réduite à l’impuissance, contrainte de rester sagement recroquevillée dans sa pris...
L’auto bondage d’une jeune fille en extérieur
il y a 10 mois

J’ai commencé le selfbondage en extérieur avec les menottes de papa

Non pas que je savais ce qu'il était à l'époque, à l'époque il n'y avait pas Internet pour nous réunir, et la petite ville où j'ai grandi faisait partie du cœur de l'Amérique. Pourtant, la fascination d'être ligoté et contraint a été alimentée par l'accès facile avec ce que j’avais comme accessoire le plus commun des dispositifs de servitude, des menottes. Mon père était un flic, est toujours aussi une question de fait, et je habitude de se glisser son jeu de rechange de menottes loin et de les utiliser sur moi-même, imaginer toutes sortes d'aventures bondage. Un matin, au milieu des vacances d'été, je me suis réveillé avec une envie de faire plus que rester assis dans ma chambre avec mes menottes de papa sur moi, et ainsi a commencé ma première grande aventure de l'auto-esclavage. La ville où nous vivions dans était juste à côté d'un parc national, une région sauvage, et j’ai grandi en apprenant tous les sentiers et les routes à travers le parc tout autour, donc je décide de pre...
Regarder mon mari se faire sodomiser SUITE
il y a 11 mois

Va t'elle concrétiser sont envie de faire sodomiser son mari par un homme ?

Chapitre 2 Son idée était de passer par le bondage pour obliger nos hommes, et surtout mon mari, à avoir un contact physique. Nous sommes allés chez eux pour une petite soirée d’initiation au bondage. Après leur avoir demandé de se mettre en slip, elle a commencé par réaliser un bondage sur son mari qui était debout en lui faisant une sorte de harnais bloquant ses mains et bras dans le dos. En même temps, je devais faire de même sur mon chéri. C’était un véritable cours de shibari. Une fois qu’ils se sont retrouvés entravés, elle leur a demandé se s’asseoir puis de se coucher sur le sol. Et là, les choses ont changé très vite, elle les a lié l’un contre l’autre en « chien de fusil ». Mon mari avait le sexe d’un homme collé contre ses fesses. Je voyais bien son regard désespérés mais je n’ai pas réagi. Lydia s’est ensuite occupée de moi en attachant mes bras et mes mains dans mon dos. Elle a murmuré à mon oreille que nous allions les rendre fous et nous amuser toutes les deux. L...
Regarder mon mari se faire sodomiser
il y a 11 mois

Une femme phallique et dominatrice rêve de faire sodomiser son mari par un homme.

Nous sommes un couple très joueur pour les choses du sexe. Notre amour de jeunesse était grandiose, nous nous sommes mariés alors que nous n’avions pas 20 ans. Autant dire que nous étions encore novices sous la couette et pour tout ce qui porte sur les fétichismes. Passé le temps des intenses fusions charnelles dites « sages » nous avons commencé l’exploration d’autres horizons sur internet avec des vidéos pornographiques. L’idée étant de reproduire des choses que nous voyons à l’écran, cela mettait du piment dans nos relations sexuelles. Le BDSM ne nous attirait pas, du moins au début, car nos recherches portaient surtout sur les fétichismes, ce qui pourraient nous exciter et nous amuser. L’encasement, signifiant faire l’amour revêtus de collants de la tête aux pieds fut notre première expérience. Si mon mari était gêné d’enfiler des collants, avec sa verge affichant une solide érection, il ne pouvait nier que la matière lui déplaisait. Moi cela m’amusait, je n’avais aucune a...
Cage de chasteté et colocation
il y a 11 mois

Quand on veut réussir ses études, il faut apprendre à être chaste

Il était embêté, Ugo, un copain de fac. - Il me reprend le studio, mon propriétaire. Pour sa fille. Et j’ai nulle part où aller. Oh, mais si c’était que ça! J’étais en colocation avec deux copines, moi, dans une grande maison. Et il restait une chambre de libre. - Je vais leur en parler. Ça ne devrait pas poser de problème… Ça en a posé. Ophélie a fait la moue. - Un mec? Ça va foutre le bordel. Pour peu qu’il y en ait une qui s’amourache de lui, que les autres soient jalouses, ça va être des prises de tête sans arrêt. Non, et puis même, sans parler de ça, Jeanne, elle, elle trouvait qu’on serait plus du tout à notre main. - On pourra plus se balader à poil partout dans la maison comme on fait. Et si c’est pour le voir rôder autour de la salle de bains quand on y sera… Un mec, ça reste un mec. - Ou alors, elle a suggéré, Ophélie, faudrait que ce soit un eunuque. Ou qu’on lui mette sa bite dans une cage de chasteté, comme il y en a qu’en ont maintenant des fois....
Capitaine capitonné
il y a 11 mois

L'histoire d'une rencontre de rêve, qui laissera un souvenir mémorablement frustrant au capitaine

C'est l'histoire d'un capitaine sur un bateau, simplement vêtu d'un short de bain bleu et blanc. Il navigue seul sur des eaux turquoises. Il repère une crique qui a l'air déserte et décide de jeter l'ancre et d'y aller à la nage pour l'explorer et profiter du soleil qui commence à redescendre en cette fin d'après-midi. Elle, a envie de se détendre et de se faire du bien après son dernier coup d'un soir qui ne l'a pas satisfaite. Elle choisit de rejoindre une plage accessible seulement après quelques efforts de marche. Elle espère s'y retrouver seule et profiter de la vue. Elle place un Œuf vibrant entre ses cuisses avant de partir. Elle espère s'Exciter Incognito sur cette plage. N'y voir personne en arrivant est un soulagement. Elle n'a qu'une hâte, c'est de mettre la vibration à l'intérieur. Durant sa marche, l'œuf ne lui a pas laissé de répit. Elle est excitée rien que de penser au moment qui l'attend. Elle s'allonge sur le sable chaud. Elle ressent les vibrations et bouge un pe...
Découverte au camping
il y a 11 mois

Quand une keyholdeuse fait des émules

Armance avait décidé que notre mois de vacances, le mois de juillet, nous irions le passer dans un camping en Bretagne. ‒ C’est super, le camping. On voit du monde. On fait des connaissances. J’ai esquissé une grimace. ‒ Qu’est-ce qu’il y a ? Ça te plaît pas ? Ben, c’est comme ça ! Que ça te convienne ou non. Trois jours de cage en plus pour la peine en attendant ! Ça t’apprendra. Ce qui fait dix-huit. Pour le moment. Je me suis tu. Pour ne pas aggraver mon cas, mais je savais très bien ce qu’elle avait derrière la tête : faire des rencontres qui lui permettraient de m’exhiber avec ma cage. Montrer qu’elle avait complètement pris le pas sur moi. Ce qui l’excitait au plus haut point. Je ne m’étais pas trompé. Dès notre arrivée, elle s’est mise à arpenter le terrain de camping en long, en large et en travers, en jouant ostensiblement avec la clef de ma cage qu’elle portait suspendue, au bout d’une chaîne, autour de son cou. Sans susciter la moindre réaction. Elle a reco...
Un self-bondage walking mémorable
il y a 11 mois

Un self-bondage walking qui ne se passe pas tout à fait comme prévu.

Un beau jour de printemps, je décide de m’organiser une « randonu » nocturne d’une heure façon self-bondage walking, comme je le fais de temps en temps quand ma femme est absente. Je choisis un parcours connu en forêt par une nuit claire. Je pratique assez souvent ce parcours lors de mes marches nordiques. Il m’arrive de le faire fesses à l’air lorsque je suis très tôt, les autres promeneurs n’apparaissant pas avant 8h30. Pour les promenades plus osées, je préfère les faire la nuit afin de limiter le risque. Je suis d’une nature prudente. Au programme, une heure de marche, nu en chaussures de randonnées, grandes chaussettes couvertes de jambières blanches à revers rouge, cage de chasteté, collier de soumis. Je ne me fixe pas les mains car ça peut être dangereux si je tombe. La tenue est complétée d’un plug anal annelé vibrant, long de 16cm et de 3,6cm de diamètre. Il est équipé de 2 vibreurs, un à la base pour exciter le sphincter et l’autre au bout pour exciter la prostate. Ce plug...
Mon premier Maître
il y a 11 mois

Il n’a jamais été clairement étiqueté entre nous l’idée d’éducation à proprement dit par le BDSM.

Il n’a jamais été clairement étiqueté entre nous l’idée d’éducation à proprement dit. Néanmoins, je l’ai bien compris par moi-même : je ressens ses paroles comme des conseils, et j’écoute attentivement tout ce qui peux sortir de sa bouche. C’est comme ça, au départ comme n’importe qui j’étais septique, je découvrais mon futur Maître, mais ses mots ont toujours eu du sens, beaucoup de sens et c’est grâce à cela que je l’ai pris au sérieux dès les premiers instants, c’était fondamental. ....................... Avant de rencontrer l’homme qui devint mon Maître, je n’avais aucune notion sérieuse du BDSM. L’idée du sadomasochisme était pour moi un concept très brouillon et flou de ce vers quoi j’étais attirée depuis de nombreuses année. J'ai pas eu conscience de tout avant de comprendre se que je pouvais atteindre à l’intérieur. Commençait là un long et merveilleux chemin de pensée vers des principes de soumission, de philosophie de vie bien différents de ceux du monde extérieur da...
lecture du 8mai 2024
il y a 11 mois

Histoire erotique...

Tu étais dans le noir, les yeux bandés par un doux bandeau de coton. Tu sentais ces entraves nouvelles, des lanières de cuir attachant chacun de tes poignets et de tes chevilles sur une surface froide et lisse. Une table en bois probablement. Tu étais quasiment entièrement nue, allongée sur le dos, dans l'incapacité de bouger les bras ou les jambes. Tu avais les cuisses écartées laissant ton intimité à la merci de tous, seul rempart étant ta culotte trop petite pour cacher tes poils et tes grandes lèvres. Un léger brin de frais venait faire frissoner ta peau nue et pointer tes tétons. Tu entendis des pas venant vers toi, une main effleurer ton front, caressant ta joue et arrangeant tes cheveux. L'emprise sur ta crinière se fit plus forte et tu sentis quelque chose se presser contre ta bouche. Le liquide salé se trouvant au bout trahissait le gland qui voulait te pénétrer. Tu refusais l'entrée à ce membre insistant contre tes lèvres et tentais de résister mais tu ne pouvais bouger...
Chasteté
il y a 11 mois

Un couple en route vers des plaisirs ineffables.

‒ Elle te tourne autour, ta collègue ! Et pas qu’un peu ! J’ai mollement protesté. ‒ Mais non ! C’est un genre qu’elle se donne. ‒ Tu parles ! On sortait, Emma et moi, du pot de départ à la retraite de Legrand, le comptable, auquel tous les collaborateurs de l’entreprise avaient été conviés. Avec, le cas échéant, leurs compagnes ou compagnons. C’était vrai. Elle m’avait fait allègrement du rentre-dedans toute la soirée, Karine. Elle m’en faisait d’ailleurs, au bureau, à longueur de temps. Et je n’étais pas insensible à son charme. À plusieurs reprises, j’avais été sur le point de craquer. Ce qui m’avait jusque-là retenu, c’était l’idée que, vu son caractère, une fois tombé entre ses griffes, j’aurais toutes les peine du monde à m’en dépêtrer. Alors je résistais, avec, au fil des jours, de moins en moins de conviction. Je résistais, oui, mais pour combien de temps encore ? Emma a violemment claqué la portière. ‒ Tu finiras par la sauter… ‒ Mais non ! Qu’est-ce qu...
Conte immoral ardennais
il y a 11 mois

Un conte très immoral

Il y a dans le petit village de Porcheresse, commune de Daverdisse, province du Luxembourg, en Belgique, un château construit en 1704, qui a récemment été transformé en résidence de loisir que l’on peut louer pour un week-end, une semaine ou plus. 20 personnes peuvent y séjourner dans 12 chambres, c’est dire la taille de la demeure, nichée dans un domaine arboré de 4 ha. Ce sont Maxime et Juliette, maintenant âgés tous deux de 30 ans, e n f a n t s du baronet Jehan-Guy Moquest de Saillies qui en sont les propriétaires. Curieusement, Maxime et Juliette sont à la fois demi-frère et cousins. Jehan, en effet, n’a jamais pu se résoudre à se marier et il a vécu toute sa vie d’homme adulte dans cette magnifique demeure et dans la bigamie – c’était de notoriété publique – avec deux sœurs, Constance et Marianne, elles aussi issues d’une lignée de hobereaux originaire de Bande (Nassogne). A 28 ans, Constance mettait au monde Maxime, et quelques mois plus tard, dans la même année 1986, Marian...
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