Récits
Les tendres copines sévèrement punies
il y a 5 ans

Humiliation et fessée pour un bisou

Bien sûr qu'elle l'avait vu… La Directrice voyait toujours tout, malheureusement... Florence avait volé un léger baiser à Stéphanie pendant que la Directrice écrivait des formules au tableau. Un tout petit baiser. Un baiser léger comme un papillon. Juste de quoi patienter jusqu'au soir, quand dans l'obscurité des chambres sous les toits elles pourraient se donner à leur passion… Comme si elle avait eue des yeux dans le dos, la Directrice s'était retournée vers la classe au beau milieu d'une équation… En un éclair elle avait compris la scène et se sentit obligée de sévir immédiatement afin d'éviter que d'autres filles suivent l'exemple. Il y avait plusieurs 'amitiés' dans cette classe, cela se sentait cela dès qu'on y entrait: il y avait toujours comme de l'électricité dans l'air. Raison de plus pour mettre le holà... Sa voix froide fit frissonner les coupables: "Mesdemoiselles Florence et Stéphanie, devant la classe." Rougissant les deux a d o l e s c e n t e s se le...
Bondage punitif
il y a 5 ans

L’histoire érotique d’un maître punit sa soumise d'une façon très originale

En juin, j'avais décidé d'aller à l'enterrement de la vie de jeune fille d'une de mes copines, contre l'avis de mon mari qui ne l'aimait pas. Je lui avais promis de ne pas rentrer trop tard, mais la soirée était tellement sympa, qu'a la sortie du resto je me suis rendu compte qu'il était déjà 1 heure du mat. Pire ? Je n'ai pas pu résister à la proposition d'aller tous en boite. Je suis donc rentrée au petit matin, alors que mon mari n'avait pas dormi, inquiet, et, dans une colère noire, il avait dit que je lui paierais ça. Le lendemain et les jours suivants, tout semblait être oublié, jusqu'à cette soirée du mois d'août. Nous avons une maison à la campagne, avec un grand jardin, un petit potager, et une petite rivière qui délimite le terrain. Ce soir-là, il faisait très chaud, orageux. Nous avons mangé dehors un très bon repas et un peu bu ; j'étais bien. Noël me demanda de me déshabiller et commença à me caresser. Bientôt, il me proposa de m'attacher, pour me prendre sur la pelouse...
Extrême ABDL chez une nurse sadique
il y a 5 ans

Une très mauvaise rencontre ABDL

##### Il voulait vivre ses passions ABDL dans une logique un peu extrême, il va être servi ! Lorsque vos revenus passent de 1500 euros mensuels à 10 000 euros par jour, grâce à un héritage votre façon de vivre change. Si je suis resté me semble t’il celui que j’étais je me suis arrêté de travailler pour me consacrer à mes passions en m’offrant toutes les fantaisies dont j’ai rêvé. Etant ABDL, le net m’a permis de m’offrir toutes les tenues animant mes fantasmes et mes délires les plus fous avant de m’offrir un week-end dans une nurserie. Lors de la réservation, j’ai tenu à avoir la patronne au téléphone en lui proposant par email de tripler voir plus le montant de sa prestation en échange d’un régime de faveur. Très suspicieuse, elle a accepté cette conversation téléphonique. Au départ elle était convaincue que je voulais du sexe mais je l’ai détrompée en lui expliquant que je désirai juste vivre mes passions ABDL dans une logique un peu extrême. Une fois rassurée, elle m’a dema...
De compagne à maîtresse. Parenthèse de soumission et de domination dans notre vie vanille.
il y a 5 ans

Cela faisait maintenant quelques semaines que ma compagne m’avait prévenu : - « tu es prévenu, dans le courant du mois de septembre, tu seras ma chose, ma Sylvie pendant minimum 11 jours ! » Cette promesse résonne dans ma tête, mais je tâchais de ne pas trop y prêter attention. J’ai énormément de travail, je passe toutes mes journées derrière mon ordinateur et je n’ai donc pas le temps de penser à ce que ma domina me prépare. Jour 1 : Le jour J est arrivé sans que je ne m’y attende. J’ai présenté ce travail qui avait mis plusieurs semaines à se finaliser. La présentation a été particulièrement ardue, j’ai dû batailler pour faire comprendre mes idées et concepts si difficiles à intégrer. Je rentre donc chez moi, exténué, satisfait d’avoir obtenu gain de cause mais complètement retourné de cette journée riche en émotion. Et pourtant, cette journée ne faisait que commencer. Il est 19h20 : - « Va mettre ta cage, SYL VIE ! » Elle décroche chaque syllabe pour me faire directement com...
Une bonne fessée qui débouche sur de la discipline domestique
il y a 5 ans

Une histoire érotique autour d'une fessée méritée. Cette première fessée débouchera à court terme sur la discipline domestique.

- Si tu as envie d’une fessée, dis-le tout simplement au lieu d’agir comme ça ! Crie Fred furieux en découvrant le bol sur la table de la cuisine pleine de miette avec le couteau quasiment collé sur la nappe en plastique. Marie est soudain très mal à l’aise. Il est vrai que ce matin, elle est partie précipitamment en laissant tout sur la table. Elle s’était promise de tout ranger en arrivant après ses cours. Au lieu de ça, elle a flâné dans les boutiques après avoir pris un café avec une copine de la fac. Elle s’excuse mais le ton de sa voix ressemble à « tu m’emmerdes ». Marie rage de s’être laissée avoir en se mettant à chercher une chambre pour étudiant. La crise de l’immobilier n’aidant pas, elle a du se rabattre sur une colocation. Si l’appartement est sympa et bien situé, le propriétaire habitant là est assez rude. C’est un étudiant de quatrième année de médecine, ultra sérieux, à cheval sur le ménage, l’hygiène, le respect mutuel. Il est vrai que Fred est très discret même...
Institution Saint-Sauveur 8
il y a 5 ans

Prise de conscience

Mon réveil fut difficile. Encore dans les brumes de la fin du sommeil, je me retournais. Mon poids sur mes fesses me rappela à la réalité. Mon postérieur n’était plus réellement enflammé. Mais la gêne que j’éprouvais au contact du matelas de mon lit, suffisait à me remémorer la punition reçue le soir précédent. La honte. C’est le sentiment qui dominait. J’avais honte de moi. Des larmes me montèrent aux yeux. Comment avais-je pu me comporter aussi inconsidérément ? A mon âge, ne pas être capable d’entretenir ma chambre, c’était vraiment … un comportement e n f a n t in. Je ne trouvais pas d’autre qualificatif. Je ne savais pas combien de personnes, à St Marie, qui avaient maintenant une piètre opinion de moi, qui devaient me considérer comme un adulte incapable de s’assumer. Comment pourrais-je croiser leur regard ? J’avais une sensation plus complexe vis-à-vis de la fessée que m’avait administrée Sœur Gabrielle. Bien sûr si j’avais eu mon mot à dire, j’aurais refusé de la recevoi...
Institution Saint-Sauveur 9
il y a 5 ans

La curiosité fait mal aux fesses

Je perçus une modification de la lumière qui entrait dans ma chambre. Positionné comme je l’étais, il était difficile d’en être sûr et je n’allais pas me retourner pour le vérifier. Retenant mon souffle, j’écoutais plus attentivement. Il y eut un léger frottement sur le sol venant de l’entré de ma chambre. « Ouf, songeais-je, Sœur Gabrielle est de retour. » Pendant un moment, il n’y eut plus de bruit, … puis un nouveau frôlement qui venait toujours du même endroit. « Pourquoi Sœur Gabrielle met-elle tant de temps à pénétrer dans ma chambre ? » C’était bizarre et ne correspondait pas avec les manières franches et directes de Sœur Gabrielle. Je sentis monter mon angoisse au creux de mon estomac. Qui pouvait bien être là ? « Axel ? » C’était Mathilde ! Que faisait-elle là ? Je m’enfonçais un peu plus dans mon coin. Je crois que pendant un long moment je cessais de respirer. Si elle n’avançait pas plus loin dans la pièce, elle ne pouvait pas me voir. Le coin où je me tena...
Institution Saint-Sauveur 10
il y a 5 ans

Intégration difficile

Si les trois punis avaient parfaitement conscience des conséquences futures de leur punition d’aujourd’hui, les répercussions sur mon avenir m’avaient totalement échappées. La mécanique était lancée elle ne s’arrêterait plus, comme un engrenage entraînant les faits l’un après l’autre. Le premier arriva, en début d’après-midi, sous la forme d’une convocation signée de la main de la directrice. J’étais attendu à seize heures quarante-cinq, dans la salle du conseil. Je supposais que Sœur Marie Joseph souhaitait me faire part de quelques ajustements dans les conditions de ma présence. Je ne savais pas encore combien j’avais raisonné juste. Je ne prêtais pas attention à cet enchaînement si parfait de mon emploi du temps. Seize heures quinze, fin des cours, comme chaque vendredi. Rendez-vous alors avec Sœur Gabrielle, ce qui me laisserait le temps d’être à l’heure pour la convocation. Je me réjouissais de pouvoir faire face à toutes mes obligations, sans imaginer que d’autres y avaient...
Institution Saint-Sauveur FIN
il y a 5 ans

Nouvelle vie

Julie m’accueillit avec des yeux écarquillés. « Qu’est-ce que c’est que ce costume ? » Il n’y avait pas d’autre solution que de faire passer ce qui m’était imposé pour tout ce qu’il y avait de normal. « Oh, c’est l’uniforme de St Marie. – Tu portes l’uniforme de St Marie, c’est nouveau, ça ! Je croyais que c’était réservé aux élèves ? – C’est bien réservé aux élèves, mais nous nous sommes mis d’accord avec les professeurs que cela me permettrait d’être plus intégré dans le groupe d’élèves. Il faut aller plus loin dans l’observation participative. – Observation participative … je vois. » Je n’étais pas certain de l’avoir convaincue mais du moment qu’elle ne cherchait pas plus loin, cela m’allait très bien. Je me changeais aussitôt, pour retrouver une tenue plus habituelle. Mes mouvements étaient difficiles. La fessée de Madame Mac Cormac avait rendu toute sa sensibilité à mon postérieur. Je ne pouvais effleurer un objet avec mes fesses sans que cela m’amène au bord...
Une bonne fessée déculottée
il y a 5 ans

L'histoire érotique d'une bonne fessée déculottée

Je suis un jeune homme de 20 ans, brun, assez grand, 1,78 m mais paraissant tout au plus 18 ans. Je suis très timide avec les filles, je n’ai aucune petite amie. Je lis beaucoup de revues et de bouquins pornos. Je me masturbe en les lisant, cela me fait venir de drôles de désirs. Je vais souvent acheter mes livres dans une librairie dirigée par une femme dont la soeur s’occupe du rayon bazar. La libraire est une forte femme brune, entre 45 et 50 ans, encore très belle, avec une grosse paire de seins et un large fessier. Sa soeur, un peu moins forte, est tout aussi belle, quoique un peu plus âgée. Elles s’habillent toutes deux avec des corsages ajustés et des jupes moulantes. Un jour, la libraire m’a demandé une pièce d’identité; il y a un an de cela, elle ne croyait pas que j’avais 19 ans, elle m’en donnait 16. Alors je me suis mis à fantasmer. Elle me dit : «Tu devrais venir à l’heure de la fermeture, tu pourrais choisir les lectures sans être dérangé.» Je suis un bon client, tout...
Occasions manquées
il y a 5 ans

Il faut savoir profiter des occasions

La vie est trop courte et la santé si instable que j’ai toujours voulu profiter des occasions de satisfaire mes instincts sexuels. Je me souviens pourtant de trois occasions, ou du moins ce qui m’a semblé en être, où la conscience du devoir fut prioritaire. La première fois, roulant un jour de juillet sur la RN 10 en direction du sud, j’ai vu à l’intérieur la voiture qui me précédait, un couple de mon âge, alors environ 35 ans ; l’homme conduisant, la femme lui lisant le « livre à couverture bleue » auquel Françoise Giroud avait, quelques mois auparavant, consacré, sous ce titre un éditorial de [L’Express](https://www.lexpress.fr/). Pour ceux qui, par extraordinaire aujourd’hui, ne connaîtraient pas ce livre, il raconte l’histoire d’Emmanuelle, 19 ans, qui, récemment mariée à un bourgeois expatrié, s'offre à des amants et amantes dans la moiteur de Bangkok sous la coupe de Mario, son « professeur de jouissance ». Ses aventures, d'abord publiées dans la clandestinité, en avaient...
Une journée décevante
il y a 5 ans

Pas comme prévu

Éric m’ayant fort convenablement fisté lors d’une rencontre précédente, j’ai profité d’un passage dans sa ville pour lui demander de me dilater le fion à poing fermé. Au téléphone, il m’a aussi promis de me fesser, de me planter dans les fesses autant d’épingles que je voudrais, et même de me livrer à un de ses copains, un costaud qui s’occuperait bien de moi si je restais après 22 heures. Arrivé à l’heure convenue, je me suis aussitôt mis à poil ― si l’on peut dire car je ‘étais intégralement épilé ― et j’ai montré le contenu de mon attaché case : trois gros plugs, un bras à fister, un gode ceinture, des cordes, une lanière en cuir pour marquer le dos et les cuisses, une tapette en cuir garnie de clous et deux boîtes de cent épingles pour les fesses, un harnais, une chaîne et des préservatifs. Deux grands chiens dans l’appartement. Un instant j’ai pensé que j’allais leur sucer la bite et qu’ils m’enculeraient ; non, ils furent indifférents. Bien plus préoccupé par un livreur...
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