Récits
La jeune épouse corrigée
il y a 6 ans

Lorsque Julien nous présenta sa fiancée, il n’était pas peu fier de lui. Il faut reconnaître que Nathalie est une fille d’une rare beauté : pas très grande, mais admirablement proportionnée, mince, fine, un corps de rêve, un teint superbe, une chevelure foisonnante. Elle était la coqueluche de la faculté où Julien et elle finissaient leurs études et notre fils avait quelque raison de s’enorgueillir d’avoir été préféré à tous les garçons qui la courtisaient. Elle plut tout de suite à mon mari. Il faut dire que Paul a toujours été un amateur de jolies femmes et qu’il tombe facilement sous leur charme : Julien a de qui tenir. Moi, j’étais un peu plus circonspecte. Certes, Nathalie était très belle, mais aussi très consciente de sa beauté et du pouvoir qu’elle lui conférait. Julien était baba d’admiration devant elle et prêt à tout pour satisfaire ses désirs. Il cédait à ses moindres caprices et cela ne laissait pas de m’agacer. Notre fils, un garçon si brillant, était comme un toutou de...
Le Rideau levé ou l'éducation de Laure
il y a 6 ans

Date de publication originale : 1786

Retirez-vous, censeurs atrabilaires ; Fuyez, dévots, hypocrites ou fous ; Prudes, guenons, et vous, vieilles mégères : Nos doux transports ne sont pas faits pour vous. À CYTHÈRE MDCC LXXXVIII LETTRE DE SOPHIE AU CHEVALIER D'OLZAN Je t'envoie, cher Chevalier, un petit manuscrit gaillard. Tu aurais de la peine à t'imaginer où je l'ai pris. C'est une bagatelle sortie d'une jolie main de mon sexe ; et c'est un délassement badin adressé dans un cloître. Comment un tel bréviaire se put-il introduire parmi les guimpes d'une religieuse ? C'est ce que mes yeux eurent de la peine à me persuader ; rien n'est cependant plus vrai, cher Chevalier, et c'était un présent digne de sa destination. L'amour n'est point étranger dans ces lieux ; le sentiment constitue le naturel du beau sexe ; la sensibilité forme la principale partie de son essence ; la volupté exerce un empire vainqueur sur ces êtres délicats. A ces dispositions originaires, qu'on joigne les effets échauffants d'une imaginati...
La fessée de la balance
il y a 6 ans

La fessée de la balance

Explications : La boutique ABCplaisir, contrôle le poids des colis avant de les expédier. Pour cela, une balance est utilisée. Le problème est que sa soumise Charmelia a utilisée la balance électronique pour peser de la farine pour un gâteau. N’ayant pas éteint la dite balance, les piles se sont vidées, TSM n’a donc pas pu peser les colis. Il a donc été obligé d’aller acheter 8 grosses piles avant de traiter les expéditions. Ce retard ne lui a pas permis de profiter de la levée postale de 10 heures. Par respect pour les clients de la boutique, il a du aller au centre de tri situé à une vingtaine de kilomètres pour qu’ils partent coûte que coûte. Il va sans dire, que cela l’a mis de mauvaise humeur.... La punition de Charmelia a commencé dés son arrivée. Elle a du passer 20 minutes dans la cage de réflexion où, enfermée et sans pouvoir bouger, elle a pu méditer à sa faute d’inattention. Assis sur son canapé de jardin, TSM lui a indiqué que dans les commandes, il y avait des cages...
Comment j’ai pris goût à la fessée
il y a 6 ans

Condamné à la fessée par un tribunal de femmes

Je ne l’avais pas entendue entrer dans mon bureau, s’approchant à pas feutrés derrière mon dos, tandis que j’admirais des photos de superbes croupes féminines à la nudité affriolante sur le site que vous savez. J’étais tellement absorbé dans ma contemplation ! En réalisant ce qu’elle avait pu voir sur mon écran sans un mot, j’ai dû rougir jusqu’aux oreilles d’appréhension, puis j’ai espéré qu’elle n’y avait peut-être pas prêté attention. Peu après, je l’ai entendue téléphoner au 1er étage et j’ai commencé à m’inquiéter car elle téléphone rarement sans m’en parler auparavant, ou même, le plus souvent elle me charge de le faire, car elle n’a jamais pris l’habitude de manipuler ces sortes d’appareils. La communication a duré un certain temps, mais je n’ai pas osé écouter. Puis je n’ai plus rien entendu. Je passai un moment à craindre qu’elle ne revienne me parler de ma vilaine curiosité, mais je finis par oublier, ou plutôt tenter d’oublier, l’incident qui n’en était peut-être pa...
La revanche de Coralie
il y a 6 ans

Je m’appelle Coralie. J’ai 20 ans et je travaille comme vendeuse au rayon parfumerie des Grandes Galeries du Midi. L’autre jour, j’aperçois une cliente qui, après avoir jeté quelques regards furtifs autour d’elle, s’empare d’un flacon de chez Dior, l’extrait de son carton, et le glisse sous ses vêtements. Ce n’est pas la première fois que cela arrive et je sais ce que je dois faire dans ces cas-là. Je ne dois pas intervenir moi-même, mais appeler aussitôt Marco. Marco, c’est le vigile. C’est un colosse de 1,92 m et 110 kilos. Autant dire qu’avec lui, ça ne rigole pas. Je veux dire pour les voleurs parce qu’avec moi, il est très sympa, on rigole bien ensemble au contraire. Donc je préviens Marco qui arrive aussitôt et se plante devant la dame. Je ne l’avais vue que de dos. C’était apparemment une belle femme, de 45 ans environ, grande, avec des formes épanouies, une bourgeoise assurément, élégamment vêtue. Je m’approche et, stupeur, je la reconnais : c’était Madame Laubier. Madame La...
40 degrés à l'ombre, un marquage au shibari
il y a 6 ans

Réel BDSM et bondage jouissif

40 degrés à l'ombre, un marquage au shibari n'est pas le titre de la célèbre émission de divertissement de FR3, c'est la température qu'il faisait en Camargue le jour du marquage au shibari pour Soumise Kioki-san. Dans un premier temps, et après qu'elle se soit recouverte d'ambre solaire je lui ai fait un corset avec des cordes en jute souple et confortables trouvées via le réseau Fessestivites. A la suite de quoi, je l'ai entravée sur la croix de Saint André dans le parking pour laisser le temps au soleil de faire son œuvre. Histoire de faire plaisir à ma soumise puis de maltraiter ses sens, un vibromasseur extrêmement puissant a trouvé sa place au bon endroit féminin qu'il n'est point besoin de décrire. Et là pour lui mettre la pression, je suis parti en voiture en lui souhaitant une bonne après-midi. Autant dire que la belle n'était pas fière ! Par prudence et surtout pour ne pas la laisser seule, je me suis garé à quelques centaines de mètres de la maison pour revenir surv...
La fessée avec un couple plus âgé
il y a 6 ans

Lorsque Armelle et moi emménageâmes dans notre nouvel appartement de l’avenue Ledru-Rollin, nous étions mariés depuis trois ans et nous avions l’un et l’autre presque 30 ans. Nous nous plûmes tout de suite dans cet immeuble haussmannien où nous disposions enfin du spacieux appartement rénové dont nous rêvions depuis longtemps. Le voisinage était en outre agréable et nous nous liâmes très vite avec un couple qui s’était montré très amical et complaisant avec nous au moment de notre emménagement. Robert et Suzanne étaient nettement plus âgés que nous : ils approchaient tous deux la soixantaine, c’est-à-dire qu’ils avaient à peu près l’âge de nos parents. Robert était un homme de taille moyenne, massif, avec une belle chevelure blanche et Suzanne, en dépit de ses 58 ans et de ses cheveux gris, était restée une belle femme, grande, avec des formes harmonieuses. Ils avaient tous les deux l’esprit ouvert et, en dépit de la différence d’âge, nous devînmes rapidement des amis intimes. Nous pa...
L'ascenseur... qu'il est chaud l'ascenseur !
il y a 6 ans

L'ascenseur... qu'il est chaud l'ascenseur

J'étais prête à partir lorsque le téléphone sonne. « -Allô? -Coucou Sofia, c'est Marguerite ! Ca va ? -Ah, c'est toi ! Ca va bien merci et toi ? -Ca va. Dis-moi, tu fais quelque chose cette après- midi ? -Heu… à vrai dire, je partais faire des courses. -Très bien on va aller les faire ensemble ! -D'accord, mais … où ça ? -Surprise, je passe te chercher dans un quart d'heure. -Ok …» Je m'assis alors sur le canapé, attendant que le temps passe. Deux minutes plus tard, je me rends compte que j'ai oublié d'aller chercher des sous. Me pressant pour aller prendre l'ascenseur, un peu vieux, je tombai nez-à-nez avec mon jeune voisin d'une vingtaine à peine… « -Bonjour ! me lança-t-il, pendant que nous attendions l'élévateur. -Bonjour. -Ca va ? -Oui, ça va. -Vous avez l'air agacée. Que se passe-t-il ? -Je suis surtout pressée. Mon amie vient me chercher dans dix minutes et je n'ai pas encore retiré mes sous.» Durant le silence qui suivit ma dernière parole, l'ascenseur arriva....
La fessée avec Elisabeth
il y a 6 ans

Ma première épouse, qui était très jeune - elle avait 19 ans quand nous nous sommes mariés et moi guère plus - n'était pas portée sur la fessée et je ne suis jamais parvenu à lui en faire partager le goût. Je l'ai bien un peu fessée, mais elle était douillette et je n'ai jamais pu aller très loin. Et je n'ai jamais réussi à obtenir qu'elle me fesse : lorsque je le lui ai demandé, elle m'a répondu qu'elle se sentirait ridicule de faire cela et qu'à tout prendre elle préférait encore que je la fesse, moi. De toute façon notre mariage, qui était vraiment une erreur de jeunesse, n'a pas duré longtemps. Entre notre séparation et la rencontre de celle qui devait devenir ma seconde épouse il s'est écoulé plusieurs années au cours desquelles j'ai eu diverses aventures et liaisons sans trouver une fille qui partageât mes goûts, sauf une fois. C'était une jeune femme de 25 ans (j'en avais alors 27) qui était professeur d'allemand et avec qui je faisais du théâtre dans une troupe d'amateurs. El...
Puni par une Baby-Sitter
il y a 6 ans

Puni et féminisé par une Baby-Sitter

Ca n'était pas comme cela que j'avais prévu de passer mon vendredi soir. C'était en partie pour aider Claire, ma soeur, qui avait deux baby-sittings dans la soirée, mais surtout pour calmer ma mère qui était sur le point de me jeter à la rue, que j'allais chez Geeta. Maman avait des problèmes pour me surveiller depuis le départ de Papa et elle sentait que je tournais mal. Voila pourquoi à dix huit ans, une semaine de salaire en poche, j'allais faire du baby-sitting. Je me consolais en pensant que je pourrai dépenser plus samedi soir et aussi que ça me faisait un prétexte pour revoir "Tati" Geeta. Elle n'était pas réellement ma tante. Elle avait travaillé pendant prés de dix ans avec Maman, puis avait arrêté pour s'occuper de son bébé. Cela avait causé une grande émotion à l'époque car elle n'était pas mariée et personne ne l'avait vue avec un homme. Depuis elle avait été le sujet de beaucoup de mes fantasmes et bien que personne n'ait vu le père, je savais qu'aucun de mes rêves n...
Puni par une Baby-Sitter 2
il y a 6 ans

De pire en pire

Chapitre 3 Le temps n'en finissait pas avant que Geeta revienne, mon derrière était engourdi. la bordure du pot s'était enfoncée dans ma peau et il me tardait qu'elle vienne l'enlever. Il semble qu'elle avait prévu autre chose, car elle ouvrit la garde robe et en sortit une boite en plastique blanc qu'elle apporta près du parc. Elle revint au placard et attrapa un tablier de caoutchouc rouge qu'elle enfila, ensuite elle sortit une paire de gants de caoutchouc d'un tiroir et ça n'est qu'à ce moment qu'elle vint voir dans le pot. Elle sourit en enfilant les gants. - "Bien trésor, tu as été un bébé occupé. Est-ce que ton derrière est douloureux ?" Elle parlait en roucoulant comme font les femmes avec les bébés. J'étais en fureur. - "Oui Tati Geeta" répondais-je. - "Bien à présent tu dois choisir quelle sorte de couche tu vas porter. En veux-tu une douce et délicate en éponge ou un change complet jetable ?" demanda-t-elle. Je ne répondais pas. Elle se tenait devant moi, l...
Hélène et la fessée
il y a 6 ans

Le soir où oncle Philippe m’avait administré la mémorable fessée que je vous ai racontée, après le repas, lorsque l’heure fut venue d’aller se coucher, j’embrassai mon oncle et ma tante et je me dirigeai vers la « chambre des garçons » avec mes cousins Daniel et Jean-Pierre. Tandis que j'embrassais aussi Hélène qui allait de son côté regagner sa propre chambre, elle me glissa à l’oreille : « une fois que vous serez couchés, viens me dire au revoir dans ma chambre ». Lorsque mes cousins et moi eûmes éteint la lumière et que j’eus entendu à leur respiration qu’ils s’étaient endormis, je me levai de mon lit, sortis de la chambre et me rendis dans celle d’Hélène comme elle me l’avait demandé. Je me doutais bien qu’elle voulait me parler de la fessée que j’avais reçue devant elle et c’était en effet le cas. Elle me demanda si j’avais encore très mal et je lui répondis qu’en effet j’avais toujours le cul en feu. Elle exprima alors le désir de constater par elle-même l’état de mon postérieu...
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