Récits
La servante en couche culottes en caoutchouc 2
il y a 7 ans

Dévergondage puissance 10 !

Elle posa sa valise sur la table et ouvrit les serrures. Contente Lisette l’aida à la déballer. Denise retira une courte robe noire, des bas noirs, un petit bonnet et un tablier, et elle commença à se déshabiller. Lisette l’observait avec un regard émerveillé. "Oh, Denise !" cria-t-elle enthousiasmée, "comme tu es jolie, que tu as une mignonne culotte." Denise encore vêtue de son slip en soie rose bien ajustée, se tourna coquette. Lisette s’approcha d’elle et caressa du bout des doigts le tissu brillant. "Merveilleusement lisse, n’est ce pas ?" demanda Denise. Lisette hocha la tête. "Excitant de douceur, où l’as tu eu ?" Denise pinça les lèvres. "A ce sujet, on n’en parle pas en femme, mais tout à fait confidentiellement, ma dernière patronne avait cinquante ans et Monsieur seulement trente-huit et il était fichtrement bien. Ho, oui !" "Oui et pourquoi es tu partie de là ?" "Pffft ! Madame a trouvé tous les jolis dessous que Monsieur m’avait offert." "Et t...
Je rêvais de découvrir l'orgasme lesbien
il y a 7 ans

Je rêvais de découvrir l'orgasme lesbien

Je rêvais de découvrir l'orgasme lesbien Il est 18h, et nous sommes le 04 mai 2008. Je suis seule à la maison, mon ami est en vacances pour quelques jours. je suis confortablement installée sur mon fauteuil de bureau, je sens mes seins gonflés et tout durs. j'ai la chance d'avoir une généreuse poitrine et j'aime caresser tranquillement mes tétons. Ils pointent, c'est agréable. Je glisse mes mains sous mon tee-shirt et dégrafe mon soutien-gorge. Comme c'est agréable de ressentir pleinement ma si belle poitrine, quel délice de se découvrir ... Je ressens une petite décharge dans le fond de ma culotte et je joue habilement avec mes tétons. Ils sont de plus en plus durs et j'apprécie de pouvoir faire jouer mes longs ongles sur cette partie de mon corps. J'attr a p e un de mes seins et attire vers ma petite langue son téton en imaginant la présence d'une magnifique femme nue à côté de moi. Nos bouches sont attirées l'une vers l'autre et nos deux langues se mélangent. Elle passe ses mai...
Le cadeau
il y a 7 ans

Le cadeau

Je suis l'esclave de ma femme. Je suis son soumis, je suis son objet. Je suis sa pute, je suis sa chienne. Son chien, son marchepied, sa poubelle, son ordure. Je suis tout ce que vous pouvez imaginer d'humiliant et d'humilier pour elle ! Je m'appelle Peter Ruiter. Ma femme me domine en tout : en âge : j'ai la vingtaine et elle a la trentaine ; en taille : elle est plus grande que moi ; en poids : elle pèse plus que moi ; en patrimoine économique : elle gagne plus que moi ; en sexualité : j'ai connu quelque femme, elle a connu une ribambelle d'hommes ! Ma femme me domine en tout et ça me fait bander. Physiquement je suis roux aux cheveux courts, petit de taille et de corps, j'ai un visage poupin qui me fait ressembler à une fillette. Ma femme, ma Maitresse, est parfois brune, parfois blonde, parfois rousse, ça dépend, en ce moment elle est une brune aux longs cheveux noirs. Personnellement je la préfère avec les cheveux noirs je trouve que ça lui donne du sévère. Je suis étudiant, j...
Ma première soumission
il y a 7 ans

Ma première soumission

Ma première soumission Je roulais à toute allure dans la nuit noire, j’étais en retard je le savais. Pourtant j’étais partie de chez moi à la bonne heure mais il ne m’avait pas prévenu qu’il y avait des travaux sur la route pour aller chez lui. Les arbres défilaient et je me remémorais nos conversations sur ce site de rencontre. Un homme charmant de 10 ans de plus que moi. Au fil des discussions, nos conversations ont déviés sur le sexe, je le sentais sûr de lui, ce qui m’excitait beaucoup. A force de me poser des questions je finissais par lui avouer que j’avais des fantasmes de soumises depuis longtemps mais que je n’avais eu que des hommes qui n’étaient pas vraiment dominants. Bien sûr j’avais déjà eu le droit à quelques petites claques sur les fesses, un de mes ex m’avait vaguement essayé de me sodomisé une ou deux fois mais ça n’était jamais allé plus loin. Dans la suite de notre conversation il me répondit qu’il était lui-même dominant pratiquant et que si je voulais nous pourri...
Ma rencontre avec un Monsieur
il y a 7 ans

Ma rencontre avec un Monsieur

Ma rencontre avec un Monsieur J’avais dix-huit ans et je venais d’emménager sur Paris. Après des années à vivre dans un petit village isolé, je découvrais la capitale et la vie nocturne qui allait avec. Malheureusement, peu habituée, je ne savais pas encore comment en profiter. Sur les conseils d’un ami de longue date, je m’inscrivais sur un site de rencontre mais sans grand succès. Les hommes avec qui je parlais étaient soit bien trop directs et m’effrayaient, soit pathétiquement maladroits dans leurs techniques d’approche. Je continuais cependant de correspondre avec certain d’entre eux. Il y en avait un avec qui je parlais plus souvent que les autres. Nos conversations étaient assez anodines et, vivant dans le nord, il n’était présent à Paris que de temps en temps. Plus les semaines passaient, plus il devenait curieux, séducteur, voir un peu coquin. Nous nous sommes accordés sur une rencontre juste après les fêtes de noël. Je rentrais donc en famille pour le réveillons, mais tous...
Humiliations Chéries
il y a 7 ans

Humiliations Chéries

Humiliations Chéries Ce texte est extrait d'un ouvrage publié vers 1930 dans la collection "Orties Blanches" Monsieur, Je ne suis qu’une simple femme de chambre, mais ça n’empêche pas que j’ai lu vos livres. Du reste, je ne les ai pas achetés, mais je les ai trouvés dans les affaires de ma patronne et ça m’a bien divertie. Il y a surtout dans Clotilde et quelques autres des histoires de lavements qui m’ont bien plu, parce que c’est des histoires que je connais bien ; seulement, avant, je croyais qu’il n’y avait que chez Madame qu’on pouvait voir des choses comme ça, mais je vois bien maintenant que ça se passe ailleurs aussi. Quand je suis rentrée chez Madame, il y a trois mois, je ne me doutais pas du tout de ce qui allait arriver, surtout que c’est une dame très bien (...) Alors, il y avait juste une semaine que j’étais au service de Madame, un matin Madame m’appelle. Je vais la trouver et elle tenait dans ses mains un irrigateur. "Venez avec moi, Justine, c’est aujourd’hui le jou...
Il m’a fait faire la pute
il y a 7 ans

Il m’a fait faire la pute

Il m’a fait faire la pute Voilà quelques semaines que je connais Julien. Nous nous sommes rencontrés dans un sauna, plus précisément dans les vestiaires d’un sauna, en nous rhabillant. Je n’avais pas spécialement flashé sur lui initialement dans les vapeurs des cabines, mais quand je l’ai vu enfiler son pantalon en cuir, je n’ai pu retenir un coup d’œil appuyé sur lui. Physiquement, il ressemble à ce que je qualifierais à quelqu’un de « normal », genre 1m75 pour 60-65kg, la trentaine, blanc. De ce point de vue nous avons à peu près la même silhouette. Par contre il portait superbement bien son fut cuir. J’avoue ne pas en porter moi-même, peut-être par appréhension. Il n’empêche qu’un mec en cuir me fait toujours de l’effet. Quoi qu’il en soit, Julien avait remarqué mon regard appuyé sur son fut cuir dans le vestiaire du sauna. Il s’est approché de moi et a engagé la discussion. Nous avons plaisanté sur deux-trois sujets, puis il a embrayé sur son côté cuir. Lui comme moi avions fait...
Menotté en pleine nuit
il y a 7 ans

Menotté en pleine nuit

Menotté en pleine nuit Je ne suis pas plus obsédé sexuel que d’autres. J’ai trente-deux ans et besoin de baiser comme tout le monde, seulement, moi je le dis et je le raconte. Mais j’ai mes périodes de chaleur. Je peux être sage, voire complètement indifférent au sexe pendant des jours, parfois plus d’une semaine, et puis, quand ça me prend, ça me mange la tête, il n’y a plus que ça qui compte, je deviens comme une bête en chasse, il me faut ma dose, et je suis prêt à tout pour ça. Je m’appelle Simon, je vis en Provence dans un petit village, mais je suis suffisamment près de Marseille et d’Aix pour ne pas avoir de problème de cul. Physiquement, je suis bien, pas gros, assez musclé, sec, pas la gueule de DiCaprio (heureusement !), mais j’assure viril. J’ai une bonne queue solide de 20 en longueur, par 4,5 de diamètre avec des couilles pleines de jus. Je suis du type « polymorphe », c’est-à-dire que je peux être le taureau qui engrosse comme la pire chienne qui se fait monter, le « ma...
Extrait du journal d’un soumis encagé
il y a 7 ans

Extrait du journal d’un soumis sous cage de chasteté

Ma Femme avait pris la précaution de ne pas s'asseoir sur mon sexe, désespérément "serti" dans "ma" CB . J'avais redouté cela ! j'étais un idiot ! Elle savait bien qu'après bientôt huit semaines de déni d'orgasme, je risquais d'éjaculer spontanément au moindre contact de son merveilleux entrecuisses sur mes génitoires, même sous cage ! Elle avait même prévu... disons... "mieux" : - " Avec l'éjaculateur précoce que tu es biquet, je suis sur mes gardes !... J'ai mes petites pinces, que tu connais, pour calmer tes ardeurs ! mais c'est pour toi tu sais !... va pas croire ! Avoue que ce serait trop bête que tu craches ton foutre en deux secondes ! ahaha ! tu attends ce moment depuis... combien déjà ? trois semaines ? " - " Bien plus du double ma Reine ! " Elle avait une charmante moue d'incrédulité sur son fin visage ... je savais bien qu'elle ne pouvait croire que ça ne faisait QUE trois semaines qu'ils me privaient d'éjaculation ! - " Tu es sûr ?! Tu es tellement concent...
Le lavement de soléne
il y a 7 ans

Une histoire érotique de lavement

Soléne est allongée sur le lit, sa jupe remontée haut dans le dos, sa culotte descendue à ses genoux. Elle joue avec ses cheveux en attendant la première insertion, elle se demandait si elle avait fait le bon choix. C’était sa première rencontre et aussi sa première expérience. Marc tiens le thermomètre dans la lumière de la chambre d’hôtel pour vérifier la lecture. Il n’a jamais joué au "docteur" avant mais a toujours rêvé de le faire. Il trempa le thermomètre dans le pot de vaseline, cela brille dans la lumière. Soléne ferme ses yeux quand elle sent que ses fesses sont écartée. Le thermomètre de verre est froid et glissant mais elle est surprise de la facilité d’introduction dans son rectum. Elle se relaxe et commence à apprécier le thermomètre bien enfoncé dans son derrière. Marc s’assoit à côté de son fessier hébergeant le thermomètre, il commence à bander en attendant qu’il puisse lire la température. Il tiens le bout de verre sortant de son fessier. Il pense à tout ce qu’il...
Confidences érotiques sur nos jeux dans les locaux de l’entreprise
il y a 7 ans

Confidences érotiques sur nos jeux dans les locaux de l’entreprise

Confidences érotiques sur nos jeux dans les locaux de l’entreprise Un des points communs que l’on avait avec ma collègue, outre le fait qu’on était amants, c’est qu’on était parmi les rares dans la boîte à avoir les badges d’accès de certaines salles, notamment la salle serveurs, et l’atelier. Ca nous permettait de nous retrouver quand on le voulait à l’abri des regards pour des petits câlins, de longues embrassades. A condition que l’entrée et la sortie se fassent en décalé afin de ne pas (trop) éveiller les soupçons. Mais on n’était jamais allés jusqu’à y faire l’amour vraiment. On se chauffait juste par des pelotages en règle, parfois une petite pipe ou un petit cunni rapides et inachevés. On ressortait souvent encore plus chauds qu’on y était entrés, mais accompagnés du parfum et du goût de l’autre, et ça nous allait. La salle serveur, c’était bien sympa l’été, à cause de la clim, mais c’était vraiment trop bruyant. L’atelier se trouvait juste à côté, en face de la salle de pause...
Deux pour le prix d'une ! Partie 1
il y a 7 ans

Partie 1

On avait frappé à la porte, tous les regards y compris le mien convergent vers celle-ci. Les interruptions étaient rares et lorsque je vis la personne qui entra, mon cœur rata un battement. Ma première réaction avait été de sourire de joie en le voyant, jusqu'à ce que j'aperçoive son expression tendue. Je ne pus retenir un : " Oooh merde !!" Exprimé à mi-voix en redescendant brutalement de mon petit nuage. Il s'excusa auprès de mon professeur et demanda la permission de m'emmener avec lui pour des raisons personnelles et urgentes. Mon professeur accepta quelque peu surprise. Cette déclaration entraina des regards curieux vers moi, mais je ne les vis pas car son regard me clouait sur place. Son regard était si dur que j'avais du mal à déglutir, la chair de poule me dressait les poils. Mon amie Alice, voyant mon trouble me demanda doucement: “ Qui est-ce? “ Je répondis faiblement : “-Adam... “ Ses yeux s'écarquillèrent de surprise et elle lâcha un petit : “- Oh...
Publicité en cours de chargement