La date fatidique du week-end organisé par Alicia et destiné à faire découvrir à Régis sa vraie nature approche. Ce week-end de soumission qui s’appuie les trois piliers, fétichisme autour des grandes chaussettes, abstinence et pratiques sexuelles buccales et anales, excite beaucoup Régis mais lui fait peur. Un mois avant, Alicia demande à Régis de s'engager à respecter quelques pré-requis. Pour commencer, il doit assurer un bronzage intégral du corps, hormis les mollets qui seront cachés par des grands chaussettes et/ou jambières. Alicia explique que l’absence de bronzage des mollets est destiné à affirmer son fétichisme pour les grandes chaussettes. Les séances de bronzage devront débuter dès avril afin d'être prêt pour le dernier week-end de mai, date retenue par Alicia. Il doit aussi acheter une cage de chasteté et s’habituer à la porter. Alicia le guide dans l’achat et l’appropriation de la cage. Deux semaines avant le grand jour, il doit entamer une abstinence afin de faire mo...

Régis roule sur la quatre voie, pensif, un samedi ensoleillé de fin mai. Il se demande quelle folie lui a pris de s'embarquer dans une telle aventure. Il prend conscience qu'il prend un gros risque. Il ne mesure pas encore à quel point cela va changer ça vie. Il se dit qu'il est complètement fou à commencer par son accoutrement. Il porte un débardeur rouge, un mini short bleu vif et des jambières à bandes rouge et blanc. Sous ses jambières il porte des chaussettes de foot blanches et sous son short un string noir. Il a des chaussures de running blanches et rouges. Il a des poignées éponge blanches et un pendentif piment rouge accroché à une fine chaîne dorée. Il aime porter cela mais ce dit que ce n'est vraiment pas discret. Il se dit - Pourvu que je ne sois pas obligé de m'arrêter et descendre de la voiture ! Il se remémore alors comment il en est arrivé là. Tout commence 6 mois plus tôt. Régis est un fétichiste des chaussettes hautes et autres jambières. Il aime les porte...

Connaissez-vous ces e n f a n t s qui ne disent qu’au dernier moment à leurs parents qu’il y a une sortie de classe et qu’il faut préparer un casse-croûte, un imperméable ou peu d’argent de poche? Et ben, Vincent en faisait partie. Il lui arrivait souvent d’oublier quelque chose d’important à l’inverse de Mélanie, sa sœur aînée qui avait une mémoire d’éléphant. Cette fois-ci il ne se rappela qu‘à dix heures du soir que demain les élèves doivent être déguisés. - Et c’est maintenant que tu m‘ le dis, cria sa mère. - Tu m’écris un mot d’excuse et je reste à la maison, Vincent haussa les épaules. - Mais ça va pas, non? gronda-t-elle. Tu t‘comportes comme un gamin de quatre ans, et bientôt t‘en auras treize. - Et alors? demanda le garçon comme si de rien était. - Vas t’coucher et n’oublies pas que tu t’lèves tôt demain. - Et pour le déguisement? - T’en fais, je te trouverai quelque chose, elle sourit mystérieusement. Vincent alla se coucher dans sa chambre. - C’est aujourd’hui le g...

Les sanglots longs des violons de l’automne blessent mon cœur d’un langueur monotonne, Nicolas se souvint de ce poème, or on n’était pas en automne. Le mois de janvier touchait à sa fin et pourtant la grisaille et la pluie n’avaient aucune envie de quitter les Parisiens. Nicolas devenait dépressif et voulait changer d’air. Il se maquillait avec des couleurs vives et intenses pour égayer l’ambiance qui régnait dans la capitale, mais quelques heures par soir, ne faisaient qu’augmenter sa frustration. Un jour en rentrant du travail il s’arrêta devant une agence de voyage, une affiche attira son attention. Le paysage blanc de Québec lui rappella son rêve d‘enfance de visiter le Canada. Il entra pour se renseigner, le circuit proposé était intéressant et le prix abordable. Il ne lui restait plus qu‘à demander deux semaines de congé. Son supérieur hiérarchique était une femme attirante de quarante ans qui, sans que Nicolas le sache, avait le béguin pour lui. - Vous partez au ski? demanda...

Un arrivage d’esclaves. Des Thraces. De fiers guerriers que nos troupes ont vaincus. Qu’elles ont faits prisonniers. Qu’elles ont ramenés enchaînés à Rome. Où ils ont été mis en vente. Calpurnia, ma maîtresse, m’a chargée d’aller lui en acquérir un. Un de plus. Qu’elle fera castrer comme tous les autres. Et qu’elle utilisera à sa guise. Si toutefois sa verge peut encore, quand on l’aura débarrassé de ses génitoires, s’élancer et durcir. Il y en a, oui, ils peuvent bander. Il y en a d’autres, non. C’est selon. Et Calpurnia ne se sert, pour se satisfaire sexuellement, que d’esclaves qui ont été préalablement châtrés. Pour ne pas risquer une grossesse intempestive et parce que, dans le feu de l’action, ils tiennent souvent beaucoup mieux la distance, et beaucoup plus longtemps, que qui que ce soit d’autre. Je connais les goûts de ma maîtresse. Il les lui faut jeunes, virils, bien charpentés et disposant d’un appendice sexuel de bonnes dimensions. Et surtout bien épais. Je prend m...

Chapitre 3 La probabilité que mon magasinier interprète correctement mon message me parut tellement nulle, qu’aussitôt cédé l’article du journal accompagné du DVD de Crash j’entretins l’audace d’alimenter le souvenir de mon accident avec le fantasme d’être durement baisée par des clients malintentionnés. Dès lors, pourquoi ne pas préciser mon intention en accompagnant le DVD du fameux tube de PåEnGång ? Même si ses ouvriers ne lui ont pas raconté son usage particulier, j’espérais que cette dernière suggestion finisse par convaincre le patron de me déboucher tout autrement. Sans vouloir vraiment me l’avouer trottait au fond de moi cette petite idée, qu’il serait facile au magasinier de provoquer un nouveau crash, car il nous avait souvent croisés sur la route de terre menant à mon lycée. À plusieurs reprises j’eus la certitude qu’après l’avoir plus nettement provoqué papa et moi étions souvent suivis par son estafette. Après tout, m’étais-je dit, les accrochages sont fréquents su...

Sur ordre de mon maître, j’avais déjà eu un rdv avec Christian, il y a plusieurs mois. Christian est le meilleur ami de mon maître, je dois alors satisfaire tous ses désirs. Pour cette soirée, je vais m’exhiber avec lui devant mon maître et réaliser tout ses fantasmes comme une petite soumise. Bonne soumise : toujours partante Nous sommes samedi soir, l’horloge affiche 22h00, je sais très bien que mon maître est avec Christian, je connais bien Christian je me suis déjà offerte à lui il y a quelques mois. J’ai reçu un appel, ils sont entrain de boire un verre dans un bar pas loin de chez moi. Christian est préoccupé en ce moment et mon maître le voit bien, il n’aime pas savoir Christian préoccupé. Il a donc décidé de lui faire profiter de sa petite chienne soumise sm, moi. Au téléphone mon maître m’avait dit que je devais les attendre sagement pendant environ une heure, si je voulais qu’ils s’occupent de moi tous les deux. Mais mon corps est fatigué en ce samedi soir, et en mêm...

Ma petite sœur aborda le collège à un peu moins de 11 ans, étant née en Octobre. Particulièrement douée pour l’apprentissage, à l’inverse de moi qui devait travailler davantage pour obtenir de bons résultats, elle intégra l’établissement après une journée d’épreuves, pour évaluer son niveau, comme d’autres filles et garçons de son âge, voire un peu plus jeunes de quelques mois! Elle se retrouva en 6èmeA, qui regroupait des gamines et des gamins de son âge avec d’autres d’un âge normal. Elle se fit vite remarquer par les Profs, tant par ses capacités à travailler et à apprendre, que par celle à foutre le bordel, pour parler clairement! En cela, elle suivait l’exemple de sa grande sœur… A peine un mois après la rentrée, elle ramena une première colle, ce qui n’était pas du genre à plaire à Maman, qui avait déjà usé sa main, la brosse et sa ceinture sur les fesses de l’aînée pour les mêmes raisons d’indiscipline… Ça allait donc f o r c é ment barder le soir même pour ma Steph chérie, q...

Chapitre 2 Notre immigré ignore sûrement tout de mon dégoût, et c’est justement pour cette raison qu’il va pouvoir me baiser aussi facilement qu’on débouche un évier. C’est donc à lui de comprendre qu’après la réussite de ces mêmes photos de nu exposées dans le magazine je n’ai certainement pas besoin de son argent, mais qu’en comparaison de son salaire de troufion, comme dirait maman je suis plutôt « pleine aux as ». En réentendant sa voix prononcer ces mots-là je me sens toute émue à l’idée que mon analphabète doit connaître suffisamment son anglais, car « fill my ass » signifie « prends moi le cul » dans la langue de maman. Par conséquent si je parviens à réaliser mon scénario Hentai cet abruti pourra bientôt m’enculer sans autre forme de procès. Pour l’instant je ne puis toutefois en espérer tant, car après avoir manifestement rassemblé son courage au bout de cette langue qui ne m’a pas encore embrassée, ce petit imbécile réussit à me demander, moitié en suédois, moitié...

voici une de mes premières expériences d'exhibition : il faisait beau et doux, après de nombreuses hésitations; je décidais de me rendre en pleine campagne. Au bout d'un long chemin plutôt bien isolé, je me mets entièrement nu, mes vêtements à quelques pas, au pied d'un arbre. Face au soleil, je profites des rayons qui chauffent mon corps, à l'écoute du moindre bruit suspect. Après quelques dizaines de minutes et prenant un peu d'assurance, je décide de m'imposer à fermer les yeux durant un compte à rebours. Après plusieurs séqences de plus en plus longues, J'entends des chuchotements: deux personnes sont passés à coté de moi en ricanant. Mort de honte je me mis en boule en sol pendant que les gens s'éloignaient. J'aurai aimé être invisible, à la fois honteux mais terriblement excité. Je n'ai pas encore osé re-vivre cette situation, pourtant j'en meurts d'envie. Sans aucun doute je recommencerai bientôt.

Maintenant que mes règles se sont déclenchées depuis bon nombre de périodes, une fois synchronisée avec la lune moyennant quelques exercices de relaxation yogis je m’interroge enfin sur le bon usage de l’appareil sexuel. Après avoir longtemps essayé de me soigner au pansement stérilisé, lorsque maman m’eut suggéré que mes bonnes intentions ne mèneraient à rien et que j’aurais plutôt intérêt à rectifier mes idées fausses, je fixais toute ma curiosité sur notre chasseur de termites, opticien de son état, expert en customisation vintage, au point d’imaginer qu’à l’occasion je pourrais lui être livrée pieds et poings liés. En imaginant mon héros rompre sa liste pour ne s’occuper que de mon cas, je visionnais tous les films de serial killer à ma disposition, et au super-marché du carrefour je commençais à taquiner le magasinier que maman ne pouvait pas supporter, simplement parce qu’elle s’était mis en tête qu’il était turc. Dans mes rêves je voyais déjà mon corps à distance, t o r...

Valérie, la sœur de Nicolas, arriva au lycée de bonne humeur. Le nouveau rouge à lèvres qu’elle venait de s’acheter, en outre sa belle et séduisante couleur de carmin était très hydratant et avait un goût vraiment agréable. Vêtue de robe rouge qui s’arrêtait juste au dessus de ses genoux, elle portait des escarpins talon aiguille de la même couleur que la robe, le rouge et le vernis à ongles. Aux yeux elle ne mit que du mascara pour que tout le monde ne remarque que son nouveau rouge et lui fasse des compliments, car elle aimait les entendre. Lorsqu’elle entra en salle des profs tous les yeux se fixèrent sur elle. - Et toi qui disait que les anges n’existaient pas, Marc le prof de sport s’adressa au mathématicien. - Pour les anges, je n’sais pas, par contre j’ai la preuve que les déesses sont parmi nous, répliqua le dernier. - T’es sublime, lui dit Aurélie la prof d’anglais, c’est un nouveau rouge à lèvres? - Et oui, il te plaît?, Valérie était ravie. - Et comment, fais attention...