Les femmes sont toutes des vicieuses ! La voix stridente de Mr. Riendeau suivie de son vulgaire rire gras, familier à tous les employés, avait résonné dans la salle à manger... D'autres hommes avaient émis un petit ricanement d'approbation mais la plupart des pensionnaires du Centre pour personnes agées L'Escale étaient restés cois. Émilie, manifestement visée par les propos du gros homme, s'était vivement retournée, foudroyant le vieux résident d'un regard réprobateur. Elle aurait certainement voulu réagir davantage: le giffler ou même l'expulser du centre mais Riendeau était un des pensionnaires les mieux nantis de l'établissement... et un ami de ses parents. Occupant le penthouse situé au dernier étage de l'immeuble, il versait chaque mois des milliers de dollars en frais de loyer. Et ces dollars étaient les bienvenus car, depuis le décès de son père et la maladie de sa mère, Émilie était seule avec son frère aîné Paul à s'occuper du centre. En fait, Paul ne lui était pas d...

Comme chaque matin, je m'engouffre dans le RER, ainsi que des milliers d'autres banlieusards. Des milliers de solitudes entassées dans un wagon... ? Pas sûr... ! Chacun a ses habitudes, et peu à peu, des visages deviennent familiers. On se parle peu, il est vrai, mais on finit par se connaître de vue. Parfois, une brève relation s'amorce. Quelques minutes entre deux stations, pleines de mystères, ou de promesses. L'imagination prend alors le relais. L'esprit vagabonde et se plaît à combler les trous. Un puzzle se construit autour d'un visage ou d'une attitude. Pour moi, c'est le fétiche qui exalte au travers de ces rencontres. Je ne laisse donc jamais passer une occasion de chercher du regard celle dont je pourrais contempler les chaussures. Parmi celles qui ont attiré mon attention, une, excitait plus particulièrement mon imagination, et pour cause, elle présentait tous les symptômes. ##### Elle portait toujours de superbes talons hauts, et semblait prendre beaucoup de plaisi...

La femme cheval Vendue ! Louise avait été sélectionnée pour être pony-girl. Pour 50 000 dollars ! C´était le prix que le Comte ( c´est tout ce qu´elle savait de lui) avait mis pour l´acheter. Le vieillard n´avait pas été prolixe après la présentation. Il avait quitté la salle de vente après avoir simplement flatté la croupe de Louise et lui avoir jeté un " à bientôt " sans autre commentaire. Louise ne savait pas trop ce qu´était une pony-girl, mais elle ne pensait qu´à la somme qu´elle percevrait au bout des cinq ans qu´elle aurait à passer avec cet homme. 50 000 dollars ! Que n´accepterait-elle pas pour cette somme, elle, qui n´avait même pas connu ses parents, avait été élevée au couvent et ignorait tout de la vie. C´est sans hésiter qu´elle se résolut à donner son consentement et sans angoisse qu´elle s´était endormie. Le lendemain elle fut conduite chez la mère supérieure. Comme à l´habitude à l´institution, elle allait nue. La mère supérieure l´attendait, dans une attitude...

Même si ce que vous allez lire vous semble extrême et dégradant, sachez qu’entre nous c’est le grand Amour depuis dix ans et que nous ne concevons pas de vivre l’un sans l’autre. A 38 ans, Andréa est très coquine, très joueuse, sa sexualité débridée lui permet de vivre des plans de folie. Nous en parlons librement, il n’y a aucune jalousie entre nous. Lorsque nous avons commencé le libertinage il y a dix ans, nous n’hésitions pas à nous dire les choses crûment du type, « cette nana me plait, je me la ferai bien » et inversement sans que nos sentiments réciproques en soient affectés. Au fil du temps, je suis devenu un peu « son Maître » des jeux lors de nos sorties en club. Je lui ai monté plus d’un gang bang, en lui disant des mots crus, en lui tenant les mains pendant qu’elle se faisait sauter. J’aimais et aime toujours la voir heureuse, la voir jouir comme une folle et il en était de même pour moi quand j’avais un bon plan. Un jour, l’idée nous est venue de jouer un plan comme...

##### Mon ex-épouse connaît mon penchant pour les couches et les jeux ABDL, mais n'a jamais exprimé l'envie de participer à mes fantasmes. Après une année à se déchirer l'un et l'autre, nous avons fini par divorcer. Bien évidemment; comme c'est souvent le cas dans ce genre de situation, les amis pré-mariage soutiennent celui qu'ils connaissent le mieux, et les amis post-mariage choisissent un camp. C'était le cas de Christelle une collègue de mon ex-épouse avec qui nous avions sympathisé. A ma grande surprise Christelle prit mon parti, bien que très copine avec ma femme. Depuis la séparation, Christelle et moi nous sommes revue souvent, dîner au restaurant, soirées avec ses amis et amies. Le fait de partager un peu une nouvelle vie sociale avec elle, et son entourage, m'apporta beaucoup et m'aida à mieux traverser cette épreuve. Un jeudi, j'eus la surprise d'avoir un appel téléphonique de Christelle. Pour m'inviter chez une de ses amies qui organisait à la campagne, un week-en...

Dorine et Sophie étaient des élèves de la même classe, et depuis quelques temps il fallait être aveugle pour ne pas voir qu'il y avait plus qu'une simple amitié entre les deux jeunes filles. Mercredi dernier arriva enfin ce qui devait arriver... Toutes deux avaient été choisies comme hôtesses d'accueil pour une foire commerciale qui se tenait dans la grande salle de la commune. Le travail d'hôtesse était un des métiers que l’Institution Genova enseignait à ses élèves. Les deux jeunes filles étaient jolies et savaient se conduire avec grâce et politesse en public. Au courant de l'après-midi la foire battait son plein. Les clients potentiels avaient été mis en contact avec les grossistes et dans les stands le vin coulait à flot, célébrant des contrats de vente, des contrats d'exclusivité et d'autres affaires toutes aussi intéressantes pour les commerçants. Les hôtesses profitaient du répit pour se détendre. Sans bien savoir comment, Dorine et Sophie se retrouvèrent dans un coulo...

##### Quand les filles décident de jouer les nurses, le diaper-boy a du soucis à se faire Devant être absent pour la soirée, ma femme a prévu une soirée entre fille. Mais mon RDV annulé, je rentre, il est 20 heures. J'arrive à la maison, ma femme est absente, mais 2 de ses amies sont là. J'en connais une mais pas l'autre. La première que je connais bien s’appelle Christelle, la seconde Marianne. Toutes les deux sont installées sur la terrasse, je les rejoins pour prendre un apéro. Alors que nous discutions de choses et d’autres, le téléphone de Christelle sonne. Elle décroche. - Ah tu vas bien, dit Christelle. On t’attend, que fais-tu ? Je devine qu’il s’agit de mon épouse, à moins que ce soit une autre de ses amies. - Au fait ton mari est là... Ma femme est tellement en colère que j’entends sa réponse malgré l’éloignement de l’appareil. - Comment ça, il est rentré ? - Son rendez-vous est annulé alors il est rentré - Je lui avais dit de ne pas rentrer de bo...

Elle posa alors la barboteuse et la culotte sur le lit, déplia le change complet, puis étala à l'intérieur 2 couches droites. Alors que je pensais ma couche prête, elle me regarda avant d'aller dans la salle de bain. Elle revint, le paquet de couches droites en mains. - Ta femme m'a dit que tu es un gros mouilleur. Alors je vais rajouter 4 couches pour t'éviter d'avoir des fuites. Elle posa avec précaution les 4 couches dans le change complet. Puis elle tira de nouveau sur mes cheveux pour me faire lever. Elle s'accroupit devant moi et commença à défaire les collants de ma couche-culotte. Cette dernière tomba au sol. Christelle la roula en boule puis se releva. - Tu n'as pas honte? Mouiller tes couches à ton âge ! Se faisant elle me mit la couche sous le nez. Ça pue le pipi, regarde... Elle posa la couche sale sur le lit et me poussa violemment sur le lit. J'atterrissais sur le paquet de couches propres qu’elle venait de préparer. - Allez, maintenant fini de rigoler. Je...

Soumis travesti et bondagé aux mains de furies Nous étions allés faire des achats avec France une amie, ce samedi matin de février en période de carnaval, et en rentrant devions passer prendre des affaires chez Martine, une de ses collègues, qui habitait une villa dans la campagne. Vers midi, nous arrivons chez elle, elle était en train de faire des crêpes avec trois autres amies Claire, Patricia et Noémie. Elle nous dit que si nous le souhaitions elle nous invitait à déjeuner pour fêter le carnaval. Invitation acceptée avec plaisir, et nous nous retrouvons rapidement dans le salon pour prendre l'apéritif. Un punch était prêt, préparé par Noémie, une magnifique malienne, nous lui firent honneur en ce jour gris d'hiver. L'ambiance se réchauffa assez vite et Martine dit tout à coup, c'est Carnaval et nous pourrions nous déguiser, il y a de quoi dans la maison (elle est costumière pour le spectacle). L'idée fut acceptée rapidement et elle nous conduisit dans son atelier ou se trouvaient...

Fausse énurésie à l'armée J'avais toujours décidé de ne pas faire mon service militaire, estimant que c'était une perte de temps énorme à un âge où l'on a tant de choses excitantes à découvrir. De plus la chose militaire m'étant particulièrement odieuse, je cherchais par tous les moyens à me faire réformer. On me recommanda l'adresse d'une doctoresse qui faisait des dossiers médicaux sur mesure. Cette femme - assez incroyable- réunissait pendant une heure une huitaine de gars dans mon cas et leur constituait un dossier : chacun son tour nous déballions nos tares tant physiques que mentales. -" et, toi qu'est ce que tu as ? me demanda-t-elle. N'étant pas plus malade que les autres, je cherchais vainement à lui répondre. Tout le monde me regardait avec insistance et je finis par lâcher : -" je pisse au lit !" -" très bien " me répondit-elle avec satisfaction. A la fin de la séance, elle remettait à chaque patient une enveloppe cachetée qu'elle accompagnait de recommandations très préc...

Un soir de soumis comme un autre Aux yeux du monde extérieur, je suis le garçon le plus chanceux qui soit. Ou, tout du moins, extrêmement chanceux compte tenu de mon physique. Et c'est tout à fait vrai. Je mesure bien la chance que j'ai. Et les gens ne connaissent pas la moitié de l'histoire ! Laissez-moi vous expliquer. Je m'appelle Tony, j'ai 30 ans, et je suis salarié en tant qu'assistant export dans une petite entreprise industrielle. Je réalise surtout du travail de traduction et m'occupe de la communication avec nos clients et prospects étrangers. Rien de bien hallucinant, mais un boulot correct et intéressant. Il y a un an encore, j'étais un célibataire endurci. Que de choses ont changé en si peu de temps ! Je vis désormais en couple. Et quel couple ! J'ai l'honneur et le privilège de sortir avec une vraie mannequin ! Enfin, une mannequin « grande taille », pour être précis. Une mannequin « avec des formes », quoi. Ma copine est très connue dans son milieu. Si vous appréciez...

Le lecteur doit savoir que ce texte est vraiment très très dur et qu'il n'est pas accessible aux âmes sensibles C'était à l'époque où nous vivions en Afrique, ma jeune épouse et moi, dans un pays que je ne nommerai pas, pour éviter une éventuelle identification. Le chômage en Europe nous avait poussé à nous expatrier. Nous y avons fait la connaissance d'un autre couple de coopérants, Julie et Christian, qui avaient déjà bourlingué une dizaine d'années dans divers pays d'Afrique, et qui travaillaient tous les deux avec moi. A l'occasion de nos premiers congés, nous avons décidé de faire un petit séjour touristique dans le pays voisin. Nous voilà donc partis tous les quatre, dans leur voiture, pour une semaine de vacances et de balades. Arrivés dans la capitale de ce pays, nous nous trouvons un hôtel où nous déposons nos affaires, et partons pour faire un petit tour de la ville, afin de repérer les endroits qui nous semblaient intéressants. A un moment donné, en faisant tous ces...