Récits
Jérôme le magnifique
il y a 8 ans

Jérôme le magnifique

Jérôme le magnifique Dès la sortie du métro, Julie évite quelques traders pressés devant le palais Brongniart. Malgré son pas ralenti par sa robe moulante et ses escarpins, elle arrive rapidement au lieu du rendez-vous, une devanture noire dépourvue de toute enseigne. Elle parait sans doute bien mystérieuse pour tout un chacun, mais pas pour Julie. Il n’est pas là. Le téléphone de Julie vibre. Elle parcourt le texte qui vient de s’afficher et au fur et à mesure de sa lecture, elle pressent au creux du ventre les plaisirs à venir. Julie va toutefois devoir pénétrer seule dans cet endroit, et elle n’aime vraiment pas ça. Tout avait commencé un mois auparavant lorsque Jérôme l’avait contactée à propos de la troisième édition de son anniversaire libertin. Cette fois-ci, plus de marathon sexuel avec toutes ses amantes réunies, plus d’orgie flottante en péniche ! À deux, rien qu’à deux, après les excès pornographiques, Jérôme le magnifique désirait tendresse et intimité, il voulait de l...
L'amant de ma femme me livre à ses potes (suite1)
il y a 8 ans

Le début de l'histoire est ici Le soir venu je mis mes plus beaux dessous, guêpière satin bleue à dentelle noire, string assorti, bas couture noirs, escarpins, robe très courte, bleue à paillettes et une perruque auburn. Quand elle me vit, Elisabeth parut satisfaite. « Tu es superbe, je suis sûre que tu plairas à Medhi, je vais juste reprendre un peu ton maquillage et tu seras parfaite. Je prends un risque, imagine que tu lui plaises plus que moi, il va falloir que je me méfie » Je n’appréciai que modérément. Medhi arriva à vingt heures avec trois bouteilles de vin. Musulman non pratiquant, il buvait un peu mais très modérément. Mais ce soir-là il avait visiblement décidé de faire une exception. Je sentis immédiatement que quelque chose était différent ce soir-là. Alors que d’habitude, en ma présence ils n’changeaient que de discret baisers, là ils s’embrassèrent fougueusement, Elisabeth caressant ostensiblement la braguette de son amant. Tout pour me mettre à l’aise. Elisabeth...
Elle s'appelait Géraldine
il y a 8 ans

Cela se passe dans nom Nord natal, une jeune femme apprend par hasard, lors d'une soirée étudiante, que je suis attiré par les jeux de domination et de soumission (à cause d'un ami qui, étant au courant de mes tendances, s'est permis d'en parler sans prendre garde à l'auditoire, la jeune femme en question). A l'époque, nous organisions un petit voyage à Disneyland avec ma promo étudiante, chacun d'entre nous avait la possibilité d'inviter une personne et devinez qui je pris ? La jeune femme pré-citée, que j'appellerai Géraldine (le prénom a été changé). Je me retrouve donc en vadrouille à Marne la Vallée au milieu des décors en carton pâte et autre Mickey. Peu de monde, période de juin, nous profitons des attractions mais, la fatigue aidant, je décide, avec ma compagne d'un jour, d'aller voir un spectacle histoire de s'asseoir un peu. Le spectacle commençant dans une vingtaine de minutes, le discussion s'enclenche sur le BDSM, puisque son oreille avait glissé quelques jours plus tôt...
L’amant de ma femme me livre à ses potes
il y a 8 ans

C’était il y a quinze ans, elle avait 55ans, j’en avais dix de moins. Nous étions ensemble depuis quinze ans, mariés depuis 7 ans. Notre couple allait mal, elle avait fini par découvrir mes penchants pour le travestissement. Elle m’annonça qu’elle ne s’y opposerait pas mais que de son côté elle prendrait un amant, elle me demandait simplement de faire « ça » ailleurs qu’au domicile. Elle se mit à sortir tous les weekends avec son amie Catherine et très vite elle ne rentra plus que le dimanche soir, elle dormait officiellement chez Catherine, mais ne me donnait aucune précision, d’ailleurs je ne lui demandais rien, de mon côté j’avais la voie libre pour faire des rencontres, très peu nombreuses par ailleurs. Pendant quelque temps, nos relations furent relativement bonnes, il nous arrivait encore de faire l’amour, elle disait apprécier le fait que je sois intégralement épilé et m’encourageait à prendre rendez-vous chez une esthéticienne, chose que je n’ai jamais osé faire. Il nous...
La Flaque
il y a 8 ans

La Flaque Auteur Helena Sevigsky Je suis divorcée et ça y est j'ai dépassé cette fatidique quarantaine. Quelques mots sur moi : Blonde naturelle d'origine polonaise, 1,55 m, j'ai longtemps gardé les cheveux longs. Ma peau est pâle et craint le soleil, mes seins sont trop gros et j'ai comme disait Sophie dans ses moments de gentillesse : " un grand nez qui donne à mon visage un petit air canaille ". Je ne me plais pas mais je plais. Pas à tout le monde, mais je plais. Gamine, je fantasmais plus sur les filles que sur les garçons. - Ça te passera quand tu rencontreras un homme que tu aimeras ! M'avait dit ma marraine à qui j'avais confié mes angoisses. Je me suis marié trop tôt à un garçon charmant et intelligent, qui me foutait une paix royale, j'étais vierge, je l'aimais, pas une foudre de guerre au lit, mais attentionné, il n'oubliait jamais mon propre plaisir. Je ne l'ai trompé que deux fois, une fois avec un homme, c'était sympa mais ça ne m'a pas laissé un souvenir inoubliab...
Christelle et Carole, premier arrosage partagé
il y a 8 ans

Il devait être 19 heures et je venais de rentrer du bahut. Dehors, il faisait froid et nuit et il pleuvait. J'ôtai mon manteau et le pendis derrière la porte. Avant d'ôter mes bottines, je vis les deux petites flaques qui les entouraient. Mes pieds étaient glacés aussi. Il faut dire que je m'étais amusée à marcher dans les caniveaux en rentrant chez moi. Enfin... Chez nous, puisque je partageais l'appartement avec mon amie Christelle. Mes pensées s'égarèrent un instant en direction de cette fille adorable qui était bien plus qu'une amie pour moi. Elle était douce et gentille, mais savait aussi rire et être très drôle. Et pour tout dire, elle était à peu près aussi cinglée que moi ! Je revins à la réalité. J'étais toujours debout, dans l'entrée et j'avais toujours les pieds trempés et gelés, ce qui me donnait une forte envie d'uriner que j'avais réussi à contenir jusqu'ici. Mais là... Impossible de me retenir une seconde de plus. C'est avec un soupir de plaisir que je vidai donc tranqu...
Jouir en silence ou être punie
il y a 8 ans

Comme une bonne soumise sexuelle

Jouir en silence ou être punie Je m'appelle Anouk, j'ai 26 ans. Je suis brune, 1m67 pour 49 kg. J'ai signé, il y a 1 an, un contrat avec mon maitre, dont voici le contenu (les paragraphes les plus importants) : Je suis le vide-couille de mon maitre et des hommes qu'il souhaite à disposition constante Je dois jouir en silence sans quoi je serai punie Je dois être nue en permanence (exception : lors des sorties et des visites de nos familles) Aucune v i o l ence physique ne sera exercée Je suis toujours nue, et ce matin mon maitre à décidé de me pousser dans mes retranchements. Il a décidé de me pousser à la faute : me faire jouir bruyamment. Dans la cuisine, il me demande de m'allonger sur la table dans sa position préférée : les jambes écartées qu'ils attachent aux pieds, et les mains derrière la tête qu'ils attachent également. Je suis face contre la table et ne voit pas ce qu'il me prépare. La situation m’enivre et me fait mouiller plus que de raison. Il s'absente e...
Candauliste gourmand et un peu gras
il y a 8 ans

Une histoire à lire en écoutant Jacques Brel

Une histoire à lire en écoutant Jacques Brel - Dans le port d'Amsterdam sur [Youtube ici](https://www.youtube.com/watch?v=kOMblsHP1kw) J’essaie de ne pas faire de bruit en faisant tourner ma clé dans la serrure, mes escarpins à la main. Inutile de réveiller la maison qui semble paisible, et encore moins les voisins qui ne loupent jamais une occasion de s’intéresser à notre vie privée ! J’entre dans le hall et je m’étonne de voir de la lumière provenant du salon. En posant mes escarpins dans l’entrée, je jette un œil vers la pendule de gare fixée à la voute qui sépare les deux pièces : 03:45 ! Ah oui, quand même ! Je n’ai pas vu le temps passer. J’entre, aussi féline que possible, du moins autant que les vestiges de ma coiffure, de mes bas et mon haut de dentelles noires déchiré sur le côté me le permettent : -« Tiens… Tu es encore debout mon cœur ? » -« Ouais. Ils passent une « spéciale Audiard » sur Arte ! Difficile de louper ça ! » -« Ah… OK… Et quel est le film en ce mo...
Une femme de ménage baby-sitter ABDL
il y a 8 ans

La baby-sitter pour adulte était une nymphomane

Mon nom est Roméo. Aujourd’hui, je suis âgé de 36 ans. C’est à l’âge de 31 ans que j’ai commencé à avoir les problèmes d’incontinence urinaire. Depuis ce moment, je ne porte que des couches, comme un bébé. Mais, depuis l’année passée, ma femme m’a quitté car elle ne pouvait pas supporter un homme qui se réveille tous les jours, trempé. Et comme un malheur ne vient jamais seul, mon employeur m’a aussi licencié pour le même problème. En effet, il m’arrivait souvent de me pisser dessus au boulot. Heureusement, par la suite, j’ai pu trouver un emploi à domicile sur Internet qui me permet de joindre les deux bouts du mois. Ainsi, au fil des jours, j’ai fini par m’habituer a me problèmes de vessie, au point de bander, rien qu’en sentant l’odeur de mes pisses. Mais, comme je me sentais seul, j’ai été obligé de chercher une femme de ménage pour m’aider. Quel fut mon bonheur de trouver une ABDL que j’ai fini par épouser. Le processus de recrutement d’une bonne. Lorsque j’ai lancé l’ap...
Addiction au plaisir anal
il y a 8 ans

Addiction au plaisir anal

Addiction au plaisir anal Marc parti en voyage d'affaire, je me retrouvais seule avec mon fils de 3 mois et ma libido déréglée. Depuis cette soirée ou Marc m'avais enculée pour la première fois, j’étais dans un état d'excitation permanente. Le pire est que cette excitation était focalisée sur mon anus. Je ne pensais qu'à ça. Avez-vous déjà regardé le biberon de votre bébé en vous demandant quelle sensation cela vous ferait s'il était enfoncé dans votre anus? Et c'était pareil avec tous les objets de la maison présentant une forme plus ou moins phallique. Profitant de l'absence de mon mari, je décidai dès le premier jour de prendre le sujet en main. J'allais acheter mon premier sex toy... en voici le récit. Comme tous les sex shop la devanture ne paye pas de mine. J’étais déjà rouge de honte à l'idée d'y entrer. J’imaginais le regard lubrique du vieux client pervers (il y en a toujours un), le sourire en coin du vendeur, etc... Je me décidai finalement à entrer. Eh ben mes a priori...
CV ET LETTRE DE MOTIVATION D’UNE FILLE FESSEE
il y a 8 ans

Idée venue sur le forum fessée

##### Cher Monsieur suite à notre discussion fort intéressante sur le forum et en privé, je vous prie de trouver ci-joint mon CV et ma lettre de motivation. CV 2003 : découverte du monde de la fessée 2008 : première fessée d’un fesseur expérimenté 2008-2014 : relation d’attitrée avec mon premier fesseur 2010-2013 : relation de jeu avec une autre personne 2013 à de nos jours : Différentes rencontres et expériences dans le monde de la fessée -_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_- Ma découverte du monde de la fessée date d’il y a très longtemps, j’étais bien jeune. Etant de la génération de la mise en place d’internet totalement généralisée, j’ai pu très vite me renseigner et apprendre beaucoup de chose sur le monde merveilleux de la fessée. Vidéo, image, histoires bref tout ce qui pouvait me renseigner. J’ai réellement mis le pied dans ce monde à 21 ans avec un fesseur expérimenté. Il l’est resté mon fesseur pendant six ans....
Des confidences entre femmes emmènent le dressage d’un mari
il y a 8 ans

Des confidences entre femmes emmènent le dressage d’un mari

Des confidences entre femmes emmènent le dressage d’un mari Magalie écoutait sa collègue ; Justine était un vrai moulin à paroles. Elle avait toujours une histoire extraordinaire à partager. C’était une célibataire chronique. Infoutue de supporter un mec, elle finissait toujours par les mettre à la porte. Elle lui parlait d’une de ses amies qui avait soumis son mari. Le « pauvre » homme portait, depuis cinq ans, une cage de chasteté. Justine pensait que la soumission de l’homme était la vraie solution pour qu’un couple puisse fonctionner. Magalie ne s’intéressait pas souvent aux histoires de sa collègue, mais là elle se sentait intriguée. — Mais bon, elle doit bien lui enlever sa cage de temps en temps pour faire l’amour avec lui, non ? demandait Magalie. — Non, ils ne font plus l’amour ensemble comme ça. Elle l’a mis au pas. C’est un esclave qui a juste le droit de la lécher quand elle le lui autorise. Il a la bite en cage en permanence. Il n’a qu’un devoir : la servir. Quand elle...
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