Récits
Aiguilles, épingles et pointes
il y a 9 ans

Ca pique et c'est bon

Quelques jours après avoir appris à me branler, j’ai découvert dans la table de nuit de mes parents une revue dans laquelle un couple faisait l’amour avec des aiguilles plantées dans les fesses. J’ai aussitôt enfoncé, par le chas, cinq ou six aiguilles dans la paille de la chaise de ma mère sur laquelle je m’asseyais pour me branler et me suis assis dessus. Ce ne fut pas de la douleur, mais une extrême excitation qui m’a fait juter immédiatement. J’ai continué pendant quelques semaines avec cette technique, en doublant le nombre d’aiguilles de manière à en avoir dans les deux fesses ; avec l’habitude je pouvais faire durer le plaisir. Ayant un jour oublié d’enlever une des épingles, ma mère s’assit dessus et n’apprécia pas ; elle demanda qui avait mis cette aiguille, je fis celui qui ne savait pas, elle n’insista pas.Ma mère était couturière ; j’ai trouvé dans sa boîte à ouvrage des épingles à tête ronde dont la pointe faisait 2 à 3 cm de longueur, je m’en suis planté quelques-...
J’ai du acheter mon martinet !
il y a 9 ans

Un défi-punition

Pour aller acheter un martinet au grand magasin, je devais y aller en mini short. C’était là mon défi-punition. Il y avait une famille au rayon, aussi j’attendais au rayon voisin en faisant semblant de m’intéresser à autre chose quand j’entendis la maman dire : « Tu vois, ça c’est un martinet. » Je jette un coup d’œil et je vois le jeune garçon caresser les lanières, totalement inconscient de ce à quoi pourrait servir cet objet. Enfin ils s’éloignent et je me précipite sur la gondole. Le manche est en bois tourné avec une dragonne en ficelle. Les lanières sont en simili cuir. Il s’agit là d’un petit ustensile d’allure inoffensive, mais il représente bien sa fonction et tout le respect qu’on lui doit… Je sens un regard sur moi lorsque je décroche le martinet, mais je n’ose plus me retourner comme si j’avais les œillères de la honte qui m’enveloppaient. Il faut dire que ma tenue vestimentaire est on ne peut plus parfaite pour une première approche et je m’imagine observé et j...
Compte anonymisé
une semaine de terrible épreuve (sca to)
il y a 9 ans

Ceci est le début d'un fantasme qui m'est venu ce matin, il n'a pas encore de suite et qui sait s'il en aura une ;) Voici: Je lui avais demandé plusieurs semaines auparavant de me dire quand il aurait une semaine complète sans obligation aucune. A ce moment là je lui avais indiqué également de se munir d'une chaîne de la longueur de sa cuisine, de 4 cadenas, de quoi couper la chaîne aux dimensions que je lui indiquerais, une bâche plastique de la taille de sa cuisine, 10 tétines à adapter sur des bouteilles d'un litre, 10 briques d'un litre de lait de soja, 5 boîtes d'épinards, 5 œufs et une grosse couche. Il lui faudrait trouver aussi le moyen pour que je puisse rentrer chez lui sans qu'il vienne ouvrir. Sa liste achetée, photos à l'appui, je lui ai donné pour ordre d'aller chez tati se chercher un jogging, haut et bas le plus basique possible et le plus chaud possible, un collant d'hiver, un collant basique, et deux grosses paires de chaussettes bien chaudes. Sur place à l'heure du...
Le paradis et l’enfer de Crystal
il y a 9 ans

Une histoire érotique hard

Les textes trop hard sont réservés aux membres abonnés pour protéger les éventuels m i n e u r s passant à travers les mailles du contrôle et du disclamer. Une nouvelle fois en chasse, Darius Thompson recherchait à nouveau une proie attrayante, une ravissante blanche épouse d'un petit cornard de blanc. - Oui ces connards de petits blancs sont fiers de leurs ravissantes femme et les exhibent bien souvent comme des trophées de chasse... Lorsque je leur renvoie elles souvent un peu ternies, hey, hey, hey! Ces ravissants trophées sont alors pleines de mon jus! Gloussait-il tout en surveillant les bureaux de l'aéroport. Bien que personne ne le pressa de venir si tôt, c'est par pur plaisir qu'il venait tôt pour surveiller les abords des bureaux. Darius adorait voyager pour son boulot, chaque aéroport s'avérait un petit paradis, un fabuleux terrain de chasse où il pouvait déployer se appétits lubriques. Il était loin de la norme habituelle des mâles qui suivaient occasionnellement...
IMPERTINENTE FESSEE
il y a 9 ans

Un autre poème sur un thème cher à mes yeux...et à mes mains ... sans oublier cher à vos formes, mesdames ! IMPERTINENTE FESSEE Aujourd’hui, tu as décidé D’offrir à mes caresses Ce doublon de globes liés Ce que l’on nomme tes fesses Ta jupe me cache pour l’heure Ce futur grand bonheur Lentement je la remonte Pour toi fière, sans honte Ta culotte de blanche dentelle Délicatement ajourée Me prouve que ces deux belles N’attendent qu’une juste fessée Mes mains envisagent, sages Ce tendre et inédit visage Ton sourire au travers du fin tissu Attire un massage sur ce cul nu Ma droite adroite te masse Main gauche, elle ne se lasse De réconforter par son emprise Ces fesses à sa disposition, mises Ainsi chauffés, ces deux hémisphères De pourpre, de grenat se colorent Et désireux d’une nouvelle atmosphère Réclament une plus forte chaleur encore.. Lors, ta seconde peau de tissu Va te quitter, je te l’enlève Oh, merveille, la fente d’Eve Apparaît plus bas et resplendit...
Récit à deux voix pour des fesses
il y a 9 ans

Récit à deux voix pour des fesses

Un vendredi soir à 19h30, c’est l’été et certains sont en vacances, mais moi je sors de mon travail. J’ai déposé ma voiture au garage ce matin, et donc j’utiliserai l’utilitaire de la société pour le week-end. C’est une camionnette Mercedes avec 2 sièges à l’avant, et une banquette 3 places derrière, suivit d’un grand espace de chargement. Les vitres arrières près de la banquette sont teintées et à l’arrière ce sont deux portes pleines sans vitrage, c’est voulu pour que lors qu’il soit chargé, on ne puisse en voir le contenu de l’extérieur. Je démarre donc le super diesel qui motorise cet utilitaire et pars à l’assaut de la montagne pour rentrer chez moi. Hé oui, je bosse en vallée et il me faut une bonne demi heure de route pour rentrer, et avec les touristes en vacances il me faut presque une heure parfois !! Bref je roule tranquille et pour le moment, pas de file de voitures escargots à l’horizon. Arrivé à un carrefour j’aperçois une auto-stoppeuse avec une grosse valise et un én...
Boules
il y a 9 ans

Ma voiture était équipée d’un attelage

Pendant vingt ou trente ans, ma voiture était équipée d’un attelage dont la boule servait, trois ou quatre fois chaque année, à accrocher une remorque et, au moins une fois par semaine, à me ramoner les entrailles, de temps en temps à travailler la chatte et le cul de Marie. Rien qu’à voir cette boule, j’avais le cul qui frétillait. Je ne pouvais tout de même pas m’y empaler dans la rue, cela n’aurait pas été légal, mais je le faisais souvent chez moi, dans la cour ou au garage, dans des parkings et souvent dans la nature : je m’arrêtais dans un endroit tranquille, de préférence dans un bois, ce qui, je ne sais pourquoi, m’excitait particulièrement, et, à poil chaque fois où j’en avais le temps, je m’empalais bien à fond, la raie des fesses venant buter sur la tige d’attelage et me branlais en frétillant bien du cul pour me faire passer des vibrations dans tout le corps, m’astiquant la bite jusqu’à faire couler le jus gluant dont je léchais chaque goutte. Sur la vidéo de Fessestivit...
Marie
il y a 9 ans

Marie, héroïne de mon récit et de ma vie

Marie, héroïne de mon récit « Routine conjugale », devient moins ardente depuis qu’elle a des arrière-petits-enfants, mais ce fut une chaude partenaire; toujours en demande de sexe jusqu’à un âge avancé. Autrefois nous allions plusieurs fois par an dans les maisons de rencontres à Paris, rue Boursault, à la Cheminée et dans celle de la rue de Courcelles, elle s'y faisait ramoner la chatte et enculer. Il y a quelques années, elle a trouvé que, son physique se détériorant, elle n'était plus attirante et pourtant les mecs se précipiteraient encore si, comme autrefois, elle s'allongeait sur le ventre, écartant les fesses de ses deux mains. Longtemps elle se promenait nue sous une minirobe et, au cours de pique-niques réunissant plusieurs familles bourgeoises, il m'est arrivé souvent, alors que nous étions assis côte à côte, de lui mettre, sous sa jupe, un doigt dans la chatte et un autre dans le cul pendant que nous continuions à parler avec les autres. Si je racontais en détail to...
La cravache de Monseigneur – Une éducation d’excellence
il y a 9 ans

La fessée, un modèle de vertu dans l’éducation

La cravache de Monseigneur – Une éducation d’excellence La fessée, un modèle de vertu dans l’éducation ? Absolument, dans certaines conditions vertueuses comme celles que j’eus précisément la chance de connaître. Ma famille perpétue de génération en génération des valeurs que l’on peut expressément qualifiées d’aristocratiques : effort sur soi, droiture, respect de soi et des autres, dignité et courage… Parmi elles, ce sont ces dernières qui me sollicitèrent plus particulièrement dès ma treizième année lorsque, à la demande de mes parents, mon parrain (évêque), entreprit mon éducation d’homme. Dès lors, dans une confrontation permanente avec moi-même, et sous sa houlette affective mais d’une sévérité stricte, j’appris mois après mois, année après année, à assumer mes responsabilités, quitte à endurer l’épreuve prévue en cas de manquement ou d’imprévoyance. Bien qu’à l’entrée de l’adolescence, cette condition ne me parut nullement effrayante. Au contraire, heureux de l...
Le secret d’un ABDL et d’un amour qui naît
il y a 9 ans

Le secret d’un ABDL et d’un amour qui naît Las d’un monde de brutes, de tensions professionnelles extrêmes, Paul a ressorti ses couches et les quelques vêtements qu’il avait achetés par le passé. Un impérieux besoin de douceur le submergeait, c’est dans l’ABDL qu’il parvient à se décontracter un peu, à lâcher prise. Muré dans la solitude de sa maison cossue, il déambule en couche avec un body délavé comme compagnon. « J’ai besoin de compagnie, j’ai besoin de donner de l’amour et d’en recevoir, comment faire pour parvenir à trouver la fille de mes rêves ? La fille que je pourrai aimer mais aussi choyer avec tout ce fric que je gagne pour rien, si ce n’est que pour être toujours seul dans mon Audi». Pense Paul lors de cette soirée de déprime. Une pensé pour ses parents disparus bien trop tôt pour avoir croisé un prédateur de la route le met au bord des larmes. Les images des familles d’accueil achèvent son moral déjà mal en point. C’est en regardant un reportage sur les refuges animal...
Sandra Jacobs piégée
il y a 9 ans

Une histoire érotique Hard

Les textes trop hard sont réservés aux membres abonnés pour protéger les éventuels m i n e u r s passant à travers les mailles du contrôle et du disclamer. Sandra Jacobs était présidente des parents d'élèves du collège de Jack-son Valley depuis une bonne année. Elle avait 36 ans, mais on la prenait souvent pour la sœur de son fils de 18 ans, elle était sexy, mesurait 1,75 pour 65 kg. Elle était ravissante, son opulente poitrine se balançait mollement au rythme de ses pas lorsqu'elle se promenait. Bien que cela gêna son fils que sa mère ait de si beaux nichons, elle aimait s'habiller sexy et se sentait flattée des coups d'œil concupiscents que lui jetaient les copains d'école de son fils. Elle était le fantasme qui hantait les nuit de biens d'entre eux. Elle avait une texture de peau très pâle qui contrastait avec ses cheveux châtains foncés que, généralement, elle laissait pendre sur ses épaules et son dos où ils atteignaient la bande de fermeture de son soutien-gorge. Elle ve...
Corporal Punishment au pensionnat de garçons
il y a 9 ans

La cane règne en souveraine de la discipline

Ou comment une jeune demoiselle bien élevée apprit à manier la « cane » sur des postérieurs de vilains écoliers anglais fort mal élevés et par trop désobéissants. En ces temps bénis des dieux, les écoliers anglais avaient l’honorable privilège de goûter aux châtiments corporels. Malheureusement pour eux, la « cane », qui régnait en souveraine Maîtresse de Discipline, fut ignominieusement proclamée hors-la-loi et jetée aux oubliettes par cette Barbarie autoproclamée « modernité ». Cependant, l’anecdote que je m’en vais vous conter vous montrera combien son exercice eut un effet miraculeux entre les mains d’une jeune Française. C’était presque hier, en ces temps heureux de la fessée éducative. On était au tournant des années 50. Bac en poche, et forte de ses 18 printemps tout frais, gonflée de naïve fierté, Marie-Thé, mon amoureuse de l’époque, avait choisi durant les trois longs mois de vacances estivales de joindre l’utile à l’agréable en saisissant l’opportunité d’un poste de...
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