Récits
Le Bonheur… tous a vos claviers !!!!
il y a 9 ans

J'aimerai aujourd'hui parler de la définition du bonheur par Rencontre 3434 Je pense que le bonheur c'est vivre ce que l'on aime, sans se soucier du regard des autres, sans porter du jugement ,ne se préoccuper que de son bien être et celui des personnes présentes . Être entouré des gens que l'on apprécie le plus tout en faisant de très belles rencontres. Graver même une fraction de seconde, un moment ,un instant de bien être, cela peut être aussi un petit rien , un geste de tendresse , un regard, un mot doux ,une chose inattendu…. Avoir cette impression , cette sensation de voler telle un papillon ou même plus cette sensation de liberté. Et pour vous quel est selon vous votre définition du bonheur ? ps musique d'accompagnement https://www.youtube.com/watch?v=2jsECwrbFJw
DVD privé ou L’initiation d'une soumise
il y a 9 ans

La domestique initiée au BDSM

J’ai 21 ans et je travaille depuis six mois comme domestique dans une belle et grande maison cossue de Montréal. Je proviens d’un milieu beaucoup plus modeste. On dit que je suis plutôt jolie avec mes cheveux coupés courts. J’ai de petits seins que je trouve bien mignons et qui répondent vite aux caresses. Pour le moment, je n’ai pas d’ami de cœur ni d’amant. Quand la tension sexuelle est trop forte, je n’hésite pas à me masturber, comme le font bien des femmes qui sont seules. Dans mes jeux sexuels en solitaire, je me suis rasé tous les poils du pubis. La plupart du temps, pour me masturber, je me frotte la chatte avec de l’huile de massage. Je peux me faire venir plusieurs fois en une seule séance de masturbation. Je peux faire l’amour avec moi-même deux ou trois fois par semaine, mais ces temps-ci, je me masturbe tous les jours en pensant à ce qui m’est arrivé et à ce qui se produira encore je l’espère. Mes employeurs sont un jeune couple de professionnels dynamiques. Lui est...
Initiation au plaisir entre filles
il y a 9 ans

Initiation au plaisir entre filles

Initiation au plaisir entre filles - Je te l'ai dit, je dois mieux me connaître avant d'y penser, le physique des hommes me fait un peu peur. Je n'arrive déjà pas à comprendre le mien. Marie lui accorda une moue sceptique. - Tu me fais le coup du serpent qui se mord la queue. Si tu ne fais rien, tu n'apprendras jamais. Les règles de l'amour, on ne les trouve pas dans les manuels. - Oui mais je n'ai pas confiance. - Même pas en moi ? - C'est pas pareil. Tu es ma seule amie. Qu'est-ce qu'on pourrait bien faire entre nous. - Ton apprentissage. La dernière remarque lui avait échappée. Grisée, Marie avait oublié toute retenue. - Ah oui. Et comment ? Que risquait-elle à part un refus, perdre son amitié, son emploi, se retrouver à la rue ? Trop tard. - Si tu veux. J'ai envie de toi depuis si longtemps. Tu m'as toujours attirée. Les yeux se plissèrent devant un cerveau en ébullition. Malgré l'intérêt de quelques copines au lycée, jamais l'idée de faire l'amour avec une fille ne lui...
Lina me domine
il y a 9 ans

Un soumis prêté à une femme qui découvre le BDSM

Un nouveau Sms : « Je t’attends ce soir » C’est la deuxième fois que je reçois cette convocation depuis que j’ai révélé à ma meilleure amie que je suis un soumis. La première a été pour faire une mise au point dès qu’elle en a eu connaissance. Savoir comment notre relation pouvait perdurer. Les choses étaient claires : elle ne sera pas ma Maitresse, ni comme dominatrice ni comme amante, elle restera mon amie, ma confidente, un guide. Elle m’avait juste imposé une nouvelle hiérarchie (je resterai humble et soumis avec elle) et m’avait attribué une nouvelle place, à genoux devant elle lors de nos rencontres. J’étais heureux de ma nouvelle place. Je sonne et elle m’ouvre avec toujours ce grand sourire qui me dit qu’elle est contente de me voir, je l’embrasse, elle me fait signe d’entrer dans le salon. Surprise ! Elle n’est pas seule ce soir, son amie de longue date Lina, est présente assise dans un fauteuil. Je la connais depuis longtemps aussi. Mon cœur bat à cent à l’heure,...
Le dressage de Florence
il y a 9 ans

En captivité

Le séjour BDSM de Flo, se déroula pour elle, sous l'entier contrôle de celui qui s'était institué son maître et qui avait entrepris de la "dresser". Elle devait effectuer un stage trois mois. et "son dressage" dura tout le temps prévu. La fière et prétentieuse jeune fille qui avait débarqué à la fin juin, était devenue une esclave docile soumise et craintive comme une petite chienne, devant son maître tout puissant. Plus d'une fois, odieusement harnachée et enchaînée sur sa paillasse, elle regretta amèrement d'avoir choisi de retourner auprès de celui qu'elle avait cru pouvoir éconduire, mépriser et ridiculiser,sans conséquence, l'année précédente. Du haut de ses prétentieux vingt ans, alors qu'elle se sentait en plein épanouissement de sa beauté de son intelligence et de son charme, elle s'était crue tout permis. Elle en payait à présent le lourd tribut . L'homme se vengeait de belle façon. Non seulement il en profitait d'elle sans vergogne et en toute impunité mais il ne manquait...
Première branlette
il y a 9 ans

Confidence de jeunesse

Au cours de ma douzième année des poils ont poussé au bas de mon ventre, sur ma bite et mes couilles et je me suis mis à bander, mais personne ne m'avait parlé du phénomène et mes sages lectures ne m'avaient pas appris la possibilité de me branler. Demi-pensionnaire, je déjeunais à midi au lycée. Un jour de novembre, après le déjeuner, un copain de classe, assis près de moi sur un banc, m’a demandé : — Tu te fais juter souvent ? — C’est quoi se faire juter ? — Tu connais pas ça ? Tu te prends la bite et tu la branles comme ça, et ça jute, ça gicle ! Il faisait le geste puis se tripotait la bite dans la culotte, une vraie initiation. Ce soir-là je n’ai pas traîné pour rentrer à la maison où, comme d’habitude, j’étais seul jusqu’à l’heure du dîner. Je me suis assis sur ma chaise habituelle, à poil avec, comme j'en avais l'habitude, deux aiguilles dans chaque fesse, et me suis branlé pour la première fois. Je me souviens parfaitement avoir pensé, très précisément : — Un...
La bachelière malchanceuse
il y a 9 ans

se retrouve dans un centre d’éducation pour jeunes filles

Par Marmotte Une nuit, 3 jeunes gens qui rentrent d’une soirée, organisée pour fêter leurs réussites au baccalauréat sont arrêtés par un barrage de police. A bord, se trouvent 2 garçons 18 ans révolus, et une fille qui fera ses 18 ans le lendemain. Il s’agit d’un contrôle d’alcoolémie organisé en grande pompe avec la présence du préfet. La soirée étant bien arrosée, le conducteur est positif. Les policiers font souffler les autres occupants dans le ballon. La jeune fille, bien que n’ayant bu qu’un verre ou deux, est annoncée elle aussi positif à son étonnement. Peut-être est ce lié à son manque d’habitude de consommer de l’alcool ? Invités à sortir du véhicule, on leur annonce qu’ils vont être emmenés au poste de police. Lucie aperçoit le préfet, un ami de son père qu’elle connaît depuis qu’elle est petite. Elle l’appelle et le supplie de les aider. Celui-ci annonce qu’il ne peut rien faire. Conduits au poste, ils sont emmenés dans des cellules de dégrisement, les garçons dans...
La bachelière malchanceuse 02
il y a 9 ans

La bachelière malchanceuse 02

La bachelière malchanceuse 02 Les textes trop hard sont réservés aux membres abonnés pour protéger les éventuels m i n e u r s passant à travers les mailles du contrôle et du disclamer. Lucie écoute les explications en les regardant, personne ne réagit et le préfet paraît impressionné par l’élaboration de la tenue. Elle pense « cela veut dire quoi éducation de jeunes filles » et enfile des sandales à talons. - Bon ! Allons y ! - Madame, je n’ai pas de culotte. - Je viens d’expliquer l’intérêt de la tenue ! Imagine la perte de temps avec une culotte ! Il faudrait la baisser pour te stimuler le derrière ou pour contrôler que tu ne laisses pas repousser tes poils. Alors imagine. Si tu n ‘es pas sage, il suffit que tu te penches en avant, tes fesses sont bien découvertes, un ou deux petits coups de cravache et c’est terminé. Et puis, cela t'obligera au quotidien à faire attention à ta position si tu ne veux pas que tout le monde puisse te voir. Ils sortent de la pièce, pa...
Un ABDL pris au piège par deux lesbiennes
il y a 9 ans

Un ABDL pris au piège par deux lesbiennes

J'ai trouvé ça sur un blog aujourd'hui disparu. Je l'avais enregistré pour le lire ce n'est donc pas de moi. A 60 ans André, à sa surprise, se trouvait tout seul. Les minots étaient partis depuis long temps et vivaient à l'étranger. Et puis un jour, après 35 de mariage Mireille, sa femme, avait annoncé qu'elle voulait vivre tout seul. C'est vrai que depuis qu'il avait avoué son fétichisme pour les couches et les jeux de bébé quelque chose avait changé. Bien qu'il y avait toujours beaucoup de complicité, de mémoires partagés, et des intérêts en commun, l'attraction avait diminué, et même l'affection. Le choc avait été rude mais très vite il se f o r ç a i t à voir les choses avec son devise de toujours : chaque crise est une opportunité. Il réalisait qu'il allait pouvoir vivre ces fantaisies en toute liberté. Petit à petit il se refaisait une vie. Il voyait beaucoup plus ces amis, retrouvait son amour pour les livres, et surtout, vivait sa passion AB. Il était en couches presque 24/7...
Un ABDL pris au piège par deux lesbiennes 2
il y a 9 ans

Un ABDL pris au piège par deux lesbiennes 2

Chapitre 2 L'année suivante André invitait de nouveau Milène et Alice de passer une partie de l'été dans sa maison en Espagne mais à son regret Alice expliquait qu'elles avaient d'autres projets. Il passait un été en couches au soleil, mais très solitaire. Vers le début de l'année suivante André prenait sa retraite anticipée. Quand au printemps le temps continuait à être exécrable il avait envie d'aller en Espagne et d'y rester jusqu'en automne, mais Mireille, son ex-femme qu'il continuait à fréquenter, lui disait qu'il était fou, puisque l'été passé il c'était plaint de sa solitude. Il en parlait avec Alice et quelques jours plus tard elle revenait vers lui avec l'idée de passer quelques mois à trois dans le sud. Elle c'était mis à peindre, et à faire des collages, et avait besoin de plus d'espace, et Milène pourrait prendre du congé non payé et se mettre à écrire le roman dont elle parlait depuis toujours. André n'hésitait pas une seconde à accepter. Quelques semaines plus tard i...
Le collage d'entraves BDSM
il y a 9 ans

Un bondage d'enfer

##### Il avait un fantasme d’entrave puissante, et comme d’habitude je me laissais faire. Cette fois, il avait été inspiré par ces bandes collantes argentées. Il s’était procuré le matériel ; il ne restait plus qu’à passer à la réalisation de cet étrange situation. J’étais complètement entravée sur une table d’examen, les fesses tendues vers le ciel, les jambes écartées, indécente et vulnérable. Mon ventre reposait sur un appui et mes genoux étaient très étroitement liés à des poteaux rendant impossible le moindre mouvement des hanches. Puis commença la cérémonie de collage. Tout d’abord il m’a complètement rasée les poils pubiens, mais il a aussi fait très attention à nettoyer toute trace de poils entre les jambes, dans l’aine, sur le haut des cuisses, entre les fesses. Il a passé une crème adoucissante, évitant soigneusement mon sexe. Ma peau était tendre et rosie par ce traitement tout en douceur. Puis il m’annonça que là commençait une partie douloureuse. [Mon bâillon](ht...
La première bite dans mon cul
il y a 9 ans

Je m'étais depuis longtemps enfilé dans le cul tout ce qui me tombait sous la main, je m'étais souvent fait ramoner le trou du cul par des femmes bien équipées mais la première bite masculine qui a eu l'honneur de me pénétrer les entrailles, ce fut à San José, au Costa Rica, un certain mois de juin. Je fus abordé dans la rue par un type, la quarantaine, bien mis, qui me demanda : — Are you French ? Étonné qu'il ait deviné ma nationalité j'engageai la conversation avec lui. Au bout d'un moment il me dit avoir été chargé par deux femmes de leur recruter des étrangers pour un gang bang et me proposa de m'y emmener avec sa BM. Trois minutes plus tard, tout en conduisant il caressait la bite gonflant mon pantalon : — Are you shy ? Non, je n'étais pas timide. Nous étions encore en ville. Sans répondre, voulant lui montrer que je serais à la hauteur de l'attente de ces dames en chaleur vers lesquelles il me conduisait, j'ai baissé le pantalon pour libérer une bite turgescente : — You hav...
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