Récits
La honte
il y a 1 an

Ce peut être si délicieux, la honte!

Je ne sais jamais à l’avance quand ce sera. Il peut ne s’écouler que deux jours. Ou une semaine. Ou un mois. Ou davantage. C’est totalement imprévisible. Mais ça finit toujours par arriver. - Une petite fessée, ça te dirait ? Si ça me dit ! Et je me précipite. Je parcours au plus vite les cinq cents kilomètres qui me séparent d’elle. Le temps de m’installer et… - Viens ! On sort. On erre par les rues. Longtemps. On longe des cafés. Devant chacun d’eux un délicieux sentiment d’appréhension m’étreint. Qui grandit au fur et à mesure que se prolonge notre promenade. Qui se fait, peu à peu, grisante angoisse. Elle se décide d’un coup. - Ici ! On entre. On s’installe à une petite table à l’écart. Pas trop. Et on parle. De choses et d’autres. Tout en passant discrètement les autres consommateurs en revue. Elle hausse la voix. D’un coup. Sans que rien le laisse présager. - Je t’avais prévenue, Alice. Je t’avais pas prévenue ? Les conversations, autour de nous, s’...
Un curieux jeune homme
il y a 1 an

L'histoire d'une première rencontre entre une fesseuse et un jeune homme bien curieux...

Un bien curieux jeune homme Ce jeune homme me rend perplexe. Vautré dans le canapé, avec un brin d’insolence dans le regard, son attitude nonchalante bouleverse mes habitudes. En temps normal, le « gus » se serait déjà retrouvé en travers de mes genoux à regretter son comportement puéril. Mais, rendue curieuse par une telle outrecuidance, je ne réagis même pas. Je me demande jusqu'où il peut aller comme ça. Alors qu’il est censé recevoir une punition méritée en regard de la liste des offenses qu’il a lui-même notées, Monsieur joue les désinvoltes et fait comme chez lui. C’est la première fois que je le rencontre et tout porte à croire que ce rendez-vous est le premier d’une longue série. Nous continuons de faire connaissance, et, subrepticement, le garçon parvient à faire diversion. Nous parlons de tout et de rien et, sans que je m’en rende compte, une bonne demi heure s’écoule avant que je prenne conscience que la situation m’échappe. Le fourbe m'as branché sur mon travail…...
Vitrine
il y a 1 an

Du rêve à la réalité.

- Tu dors ? - Non… - C’est fou, les rêves, hein ? Parce que tu sais pas ce que je viens de rêver ? Mais tu vas pas te moquer de moi au moins ? - Mais non ! Vas-y ! Dis ! - J’étais au boulot. Je venais de finir la vitrine. Et elle m’engueulait la mère Bernier, mais elle m’engueulait ! « Parce que vous appelez ça du travail, Laëtitia ! N’importe quelle stagiaire de quinze ans aurait fait mieux que vous. Non, mais pourquoi je vous paye, hein ? Vous pouvez me dire pourquoi je vous paye ? » Elle était furieuse. Et puis d’abord puisque c’était comme ça, puisque j’y mettais autant de mauvaise volonté, elle allait me flanquer une fessée, dans la vitrine, devant tout le monde. Et moi, bizarrement, ça me paraissait pas si incongru que ça. Presque naturel. Comme s’il allait de soi que les patronnes fessent leurs vendeuses en public quand elles en sont mécontentes. Comme si ça arrivait tous les jours. « Déculottez-vous ! » Et j’obéissais. C’était normal. Complètement normal. Et elle me...
Le scénario du chien soumis au gîte fétichiste
il y a 1 an

Un long plan de selfbondage associé à un Espace game

Comme indiqué dans mon mini compte-rendu précédent, nous avons reçu un client génial qui s’assume et qui ose aller au bout de ses fantasmes, ses envies et expériences. [LIEN DU PREMIER PLAN](https://fessestivites.com/recit/201092) https://fessestivites.com/recit/201092 Ce dernier avait envie de tester le scénario du chien soumis qu’il avait lu dans le classeur des vraies bonnes mauvaises idées. Ce fou, encore plus taré que moi, a souhaité que je l’associe à un Espace game. Mais quand je dis qu’il est encore plus fou que moi, ce n’est pas pour rien. Si, si, cela existe ! ! ! Par principe et précaution pour la sécurité, lorsqu’un client me demande un scénario je lui pose des questions et essaye de m’assurer qu’il ne se blessera pas. Là, j’avais bien compris que cette personne géniale (je sais je me répète) aimait les longs scénarios de selfbondage et ou self servitude. En plus, en se sentant en sécurité, il profitait de son séjour pour pousser ses propres limites et essayer d...
La discipline au couvent
il y a 1 an

Les confidences secrètes d’un chapelin Extraits des mémoires du R. P. Chapelain de l’abbaye de Thétieu (1780–1788), copiés textuellement sur les souvenirs écrits de sa main, trouvés dans son secrétaire après sa m o r t .

I Deux tendres novices embéguinées depuis six mois, sœur Véronique et sœur Gudule, la première, une mignonne blonde de dix-neuf ans, la seconde, une belle brune de vingt ans, ont fait un accroc à leur robe d’innocence. On les a trouvées la nuit dernière, toutes nues dans la même couche, occupées à égrener, sous leurs doigts agiles, le chapelet de Cythère. Elles vont expier leur tendre péché, dans la tenue où elles l’ont commis ; elles doivent être fouettées jusqu’au s a n g , le châtiment ne devant prendre fin, que lorsque chaque fesse aura purgé la dette, par l’effusion de quelques larmes de s a n g . Pour que la correction dure plus longtemps, et que le souvenir en soit plus durable, sœur Sévère qui doit l’administrer, s’est munie, sur l’ordre de la mère abbesse, d’un martinet composé d’un manche de bois, auquel sont attachées douze lanières de cuir souples et minces, qui n’entament la peau qu’à la longue, quand elle est échauffée par une sévère fustigation. Les coupables,...
La fessée de Pétronille
il y a 1 an

Les désirs de Madame la baronne sont des ordres.

- Oui, effectivement, Madame la baronne ! La manche, oui. Oh, mais ce n’est rien. On va vous y faire une retouche sur le champ. Pétronille ! - Madame ? - Allez donc nous chercher du fil vert et une aiguille. Vous savez où ils se trouvent, n’est-ce pas ? - Oui, Madame. Tout de suite, Madame. 2- - Une fort avenante petite recrue que vous avez là, Madame Duplessis. D’où la tenez-vous donc ? - De monsieur le curé qui m’a demandé, par faveur, de la prendre à mon service. Et de lui assurer, cela va sans dire, la meilleure éducation qui soit. - Cela va sans dire. J’imagine la tâche fort ardue. - Non point tant, Madame la baronne. Elle est issue d’une excellente famille sur laquelle bien des malheurs se sont récemment abattus. - La pauvre petite ! Sans doute vous est-il néanmoins nécessaire de sévir à l’occasion ? - Elle s’avère d’une probité, d’une docilité et d’une vertu dont je n’ai qu’à me louer. - Quand on la voit si joliment tournée on en viendrait pres...
Une femme ABDL fessée et dupée sexuellement
il y a 1 an

Une jeune little très coquine va le découvrir des choses... avec un GRAND daddy qui est également un Maître pervers assez doué en terme d’humiliations

J’aime le sexe f o r c é puis jouer la pisseuse et que l’on me gronde ou me fesse quand j’ai fait pipi. J’aime les couches et tout ce qui tourne autour, en clair jouer la petite fille bousculée. Ce que je demande aux hommes est immoral au possible mais ce sont mes trips et à 40 ans j’ai décidé de les assumer. L’exhibition et l’humiliation autour de ces pratiques immorales me rendent folle, par contre, je ne suis pas maso, hormis la fessée, je ne supporte pas la douleur et ce qui tourne autour du SM. Je ne juge pas, mais à chacun ses trips. ……………….. Avant de passer une annonce de ce style sur le site de rencontres Fessestivites, pour réaliser mes folies sexuelles, les clubs libertins m’ont permis de baiser ou plutôt me faire baiser. Si j’y ai pris du plaisir, la partie domination n’était pas convaincante ni dès plus passionnante, quant à la couche, ce n’était même pas la peine d’en parler. Côté fessée, j’ai pris tout au plus des claques sur les fesses en me faisant traiter de...
UN CIRQUE D’ENFER
il y a 1 an

Rêves et fantasmes ou cauchemars pour fesses rouges

Anna s’était couchée la boule au ventre. Le lendemain matin, sa Maman avait rendez-vous avec la directrice de son école. Elle redoutait tant cette entrevue qu’elle fit un cauchemar, terrible et singulier. C’est ce rêve affreux que nous vous racontons ici. A l’intérieur du carré qu’ont formé les caravanes, une bande de fillettes batifolent, sautent à la corde, s’échangent des secrets à l’oreille. De l’intérieur des roulottes se répandent autour d’elles les effluves du repas à venir. Les tables ont d’ores et déjà été dressées, et toutes en profitent pour jouer avant qu’on ne les appelle pour mettre le couvert. Au milieu de la table centrale, une vieille femme est assise, une feuille de papier dans les mains. Elle est flanquée de deux formidables amazones jumelles. D’une taille et d’une carrure prodigieuses, elles feraient se recroqueviller sur lui-même n’importe quel mâle trop fier de sa virilité. En ce moment, elles observent, avec un ennui visible, les deux fillettes qui leur f...
Une sombre histoire d’assistante sociale
il y a 1 an

Un de mes vieux textes TRES + TRES Hard vous êtes prévenus.

Assistance sociale est jeune, belle, coquine. Un de ses plaisirs est d’allumer les mecs sur internet en se faisant passer pour une salope maso. Le RMIste psychopathe dont elle s’occupe la reconnaît sur un site et la piège. Attention ce texte est TRES + TRES HARD. ................... Jolie, sulfureuse, intelligente et cultivée, ses passions sont les sorties dans les lieux un peu sombres, les plaisirs de la vie érotique et Internet, où elle use et a b u s e de sa féminité naturellement attachante pour séduire les mâles, mais aussi les lesbiennes qui n’ont, pour elle, que des messages très révérencieux, pour ne pas dire envieux. Mais, sans le savoir, alors qu’elle joue du clic et des mots pinçant, Catherine griffe, émoustille, provoquant de sa fougue imprévisible un véritable monstre de l’informatique, monstre au sens propre du terme, un de ceux qui défrayent la chronique lorsqu’ils sont traqués ou se font arrêter. Au mépris de toute prudence et des principes élémentaires...
Erreur sur la personne
il y a 1 an

Un jeu de filles, de bondage et de selfbondage d’offrande qui tourne mal

J'ouvris lentement les yeux, les chassant du sommeil. Le bruit qui m'avait réveillée était la fermeture de la porte de la chambre de Pauline. Je me suis sourie, car je savais exactement ce que cela signifiait : Matt, le petit ami de Pauline, était parti travailler. Je me suis frottée les yeux et roulé sur mon ventre (bien que le fait que mes seins soient maintenant sous moi, pressés par mon poids contre le lit, était bien plus perceptible). C'est alors que j'ai réalisé à quel point j'étais excitée ce matin. J'ai décidé d'aller déranger Pauline... C'était vers la fin de ma première année à l'université. Pauline et moi n'avions découvert que récemment nos petits problèmes mutuels, mais elle n'avait pas encore pris le temps d'en parler à son petit ami. C'est pourquoi nous avons profité de chaque occasion que nous pouvions pour profiter de la compagnie des autres. Nous logions dans les cités universitaires - Pauline et moi avions des chambres au même étage, dans le même couloir. J'enfil...
Dépucelage militaire
il y a 1 an

Attaché, rasé il se fait dépuceler par un gay

J'étais donc à l'armée au début de mon service militaire. Je venais d'avoir 20 ans et j'étais puceau et encore bien innocent. On me disait assez mignon et j'avais notamment de belles fesses bien cambrées. Avec mes camarades, tous beaux et sympathiques, nous partagions une chambrée de six. Certains parlaient de leurs expériences sexuelles avec les filles et moi, je me taisais discrètement. Ce soir là, après l'appel, les mecs de la chambrée (quelques petites bouteilles aidant) me semblaient plus excités que d'habitude. La conversation était au cul. Et Bertrand qui avait probablement des doutes sur moi essayait de me questionner sur mes "expériences" à ce sujet, mais en vain. Et tout d'un coup, Bertrand s'écria: "Et si on bizutait ce petit puceau de Bonny?" Et avant que j'aie eu le temps de réagir, 4 des mecs de la chambrée me saisirent. Sur le moment je ne me débattais pas, espérant une plaisanterie. "Descendons à la salle de gym," dit Bertrand. À 6, ils n'eurent aucun mal à me...
Ma première fessée
il y a 1 an

Qui si frotte, si pique

Du haut de mes seize ans, j’avais le nez sur mes exercices de math. Sophia, la fille de ma belle-mère était elle aussi dans ses devoirs. Elle n’était pas vraiment charmante, mais je lui lançais de temps en temps des regards furtifs. Ce jour-là, nous n’étions que tous les deux à la maison et je ne pouvais m’empêcher d’imaginer des scènes coquines avec elle. Autant dire que me concentrer sur mes exercices était bien compliqué. Cela dit, je parvins à finir ceux-ci avant que Sophia en eût fait autant. Ne trouvant pas de distraction à mon goût, et commençant à m’ennuyer ferme, je m’approchai de Sophia avec un sourire taquin. Un sourire qui annonçait mes intentions facétieuses. Pour beaucoup, j’étais un jeune garçon discret et timide. Mais c’était mal me connaître. J’étais bien plus joueur et bavard avec ceux que je connaissais bien et plus encore avec ceux que j’appréciais. Et Sophia, malheureusement pour elle, en faisait partie. Captant mon désir, Sophia leva la tête de son devoir et avec...
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