Récits
Grands moments de solitude (5)
il y a 2 ans

Une bourrasque soudaine peut parfois jouer des tours quand on est en robe et sans culotte

Le lendemain, le sable avait séché. Et on s’est fait une orgie de soleil, de mer et d’huîtres. - Qu’est-ce qu’on est bien ! Ah, ça, elle pouvait le dire, Pauline. - Et ça passe nickel, en plus, tous les quatre. - Il y a pas de raison. D’autant mieux qu’évoquer ces souvenirs, là, comme on le faisait, ça créait un climat vraiment très très complice, elle trouvait, elle, Chloé. Pas nous ? - Si ! Si ! Bien sûr ! Et elle se posait une question. Parce que là, c’était toujours avec des inconnus qu’on s’était trouvés dans ce genre de situation. Mais avec des gens qu’on connaissait ? Ça nous était jamais arrivé avec des gens qu’on connaissait ? - Si, moi ! - Toi, Océane ? - Et à la fac, en plus ! - À la fac ? Oh, faut que tu nous racontes ça ! Faut absolument que tu nous racontes ça ! Julien a proposé. - Ce soir alors ! À l’intérieur. Et à poil ! Comme moi, hier. Il y a pas de raison. Elles ont fait chorus. C’était vrai, ça ! Il y avait pas de raison. 2-...
Tous les nouveaux doivent être bizutés
il y a 2 ans

Les internes vivent parfois un enfer

J'étais en terminale, interne dans un nouveau lycée. Le premier soir, je découvre la chambre que l'on m'a assignée. Frédéric est arrivé avant moi et a commencé à déballer ses affaires. Très brun avec un regard noir perçant, des traits fins et des cheveux mi-longs, Fred, finement musclé, est de ma taille. Nous nous présentons. Fred me dit qu'il est aussi nouveau dans ce bahut. Immédiatement, je ressens un bon feeling avec mon roommate. Après avoir rangé nos affaires, Fred me propose de prendre ma douche en premier dans la salle de bain que nous partageons. Je me dépoile et je sens son regard perçant qui m'observe. Après ma douche, je me sèche, mets un caleçon et entre dans la chambre. "La place est libre !" Fred se désappe devant moi et j'en profite pour bien mater son petit cul. Le 4e soir, alors que nous avions pris nos douches et que nous étions tous les deux couchés, vêtus simplement d'un caleçon, quatre mecs débarquent dans la chambre, allument la lumière et nous immobilisent c...
Alyssia, ma femme (11)
il y a 2 ans

Pas facile de courir plusieurs lièvres à la fois.

Séverine a attaqué, d’emblée, avant même d’avoir fini de s’asseoir. - Il a quelqu’un d’autre. - Quoi ? Qui ça ? - Benjamin. Quelqu’un d’autre que votre femme. - Vous êtes sûre ? - Pratiquement. - Et c’est qui ? - Alors ça ! Oh, mais je finirai bien par le découvrir. Ou bien vous. Vous le voyez souvent. Quelque chose va forcément, à un moment ou à un autre, vous sauter aux yeux. Ou même… vous pouvez susciter des confidences. Entre hommes, on aime se vanter. Et je le vois bien dans le rôle. - Vous allez faire quoi ? - J’aviserai. Quand je saurai. Mais pas la peine que je me berce d’illusions. Je ferai rien. Je subirai. Comme d’habitude. En espérant qu’il va pas se toquer de cette nouvelle conquête. Qu’il va pas avoir la lumineuse idée de vouloir « refaire sa vie ». Je l’ai dans la peau, qu’est-ce que vous voulez ! Alors il peut bien me faire cocue tant et plus. Du moment qu’il reste avec moi, qu’il parle pas de me quitter, qu’il dort, au moins de temps en temps, dans notre lit...
Les fringues de ma femme
il y a 2 ans

Le mari d’un couple libre, profite de la garde-robe de son épouse pour se travestir et aller jouer la salope.

Comme ma femme est très élégante, elle possède une importante garde-robe dans laquelle je n'ai qu'à choisir. Elle le sait, mais elle ne dit rien car, de son côté aussi, elle mène également une double vie. Lorsque je suis seul à la maison, je me fous à poil devant le grand miroir et je me caresse doucement la queue en imaginant que je suis une belle femme, sexy et aguicheuse. Pour confirmer ce fantasme, j'enfile une guêpière. Ma femme en a plusieurs, mais celle que je préfère c’est celle en satin blanc, avec des attaches pour les bas. Les bas justement, je les choisis de la même couleur que la guêpière. Tout en les attachant, je me tripote encore. Puis je m'assieds devant le miroir et je me maquille les yeux, la bouche. Je pare mes oreilles de longues boucles d'oreilles pendantes. Là je commence à devenir très troublant. Troublante plutôt, car je me sens tellement femme quand je me mire dans la psyché. Souvent je suis obligé de m’interrompre pour me masturber franchement et me faire...
Martine et le sulky Partie 4
il y a 2 ans

Nous allons enfin profiter de l'attelage

Suite de martine et le sulky L’opération fut très simple : il a suffit de faire passer la pouliche entre les deux branches et de fixer chacune d’elles par une sangle et un mousqueton à l’anneau situé sur la ceinture, de chaque coté du torse. C’est là que je compris pourquoi les branches étaient incurvées : attachées par leur extrémité à la ceinture au niveau de la taille, leur forme courbe permettait ensuite de contourner les rondeurs de la croupe de chaque côté des hanches. Les sangles courtes et tendues rendaient le couple sulky pouliche très solidaire. Le système était très étudié. Il pourrait aussi bien s’utiliser en attelage debout (à condition de faire passer les rênes par-dessus les épaules avant de les passer dans l’anneau central de la ceinture) qu’à 4 pattes. C’est cette dernière option que nous avons retenue compte-tenu de l’espace disponible dans la salle d’exposition dont toutes les voitures étaient regroupées au fond. Nous penserons ultérieurement à la possibilité...
Grands moments de solitude (4)
il y a 2 ans

Au tour de julien de raconter...

Quand je me suis réveillée, il faisait grand jour. Et il y avait plus personne dans la chambre. Pauline était dehors, au soleil, sur le sable. - Ils sont où, les autres ? - Chloé dans la salle de bains. Et Julien, porté disparu. Sans doute retourné nous chercher des croissants. Sûrement. Il nous doit bien ça. Après la nuit qu’il nous a fait passer ! Je me suis étendue à ses côtés. - Ah, ça, faut reconnaître que pour donner, ça a donné. - Et que ça aurait pu donner davantage encore… - Comment ça ? Elle s’est appuyée sur un coude, a approché son visage tout près du mien. - J’ai pas osé. Te caresser… J’ai pas osé. Mais comment j’en avais envie ! Elle m’a souri, m’a pris la main, me l’a serrée. Je ne me suis pas dérobée. Je la lui ai laissée. J’ai pressé la sienne. On est restées un long moment comme ça. C’était doux. Très. C’était apaisant. Et apaisé. - Océane… - Oui ? - Je peux te demander quelque chose ? Ta cabine d’essayage, là, t’y repenses des fois ? - Ça...
Les confidences d’un fétichiste des odeurs féminines et des culottes portées
il y a 2 ans

Cette histoire raconte comment il a commencé à piquer des culottes sales et des collants portés dans le panier à linge des femmes.

Cela a commencé probablement huit mois après que j’ai commencé à porter des collants en 7e année. Ces derniers mois, j’avais été très sournois. Je me faufilais dans les tiroirs à culottes de mes amies mères et je fouillais dans leurs culottes et leurs collants. Je ne prenais généralement qu’une paire de chaque. Mais parfois, j’en prenais plus. J’avais quelques amies dont les mères portaient des collants. Entre l’achat de mes propres collants et le fait de les passer en revue, j’avais une très belle collection. Mais j’avais toujours besoin de plus de bas et de lingerie pour me faire plaisir. Une nuit, quelques amis ont fait une soirée pyjama. Mon amie avait une mère sexy qui ressemblait à Peggy Bundy et s’habillait comme elle. Et elle portait toujours des collants sous ses jambières. Elle était très sexy. Il avait aussi une soeur de 18 ans qui était une pom-pom girl sexy. On s’est endormis quelques heures plus tard et je me suis réveillé avec une rageuse. J’ai essayé de m’endormir, m...
Maté par l’odeur de mes pieds
il y a 2 ans

Il n’était peut-être pas fétichiste des pieds

Cette journée commence comme toutes les autres, mis à part qu’on est vendredi et que cela signifie que le week-end approche à grand pas. J’en ai bien besoin. Cette semaine a été stressante et la chaleur étouffante des derniers jours n’arrange rien. Pendant le dernier cours de la journée, alors que je prends des notes, je décide de retirer discrètement mes chaussures pour aérer un peu mes pieds qui en avaient bien besoin. A peine quelques secondes plus tard, un de mes voisins d’amphi se penche sous la table puis se redresse vers moi en me chuchotant: « Ah, c’est tes pieds qui sentent comme ça ? Remets vite tes chaussures ou je vais finir asphyxié avant la fin du cours ». m o r t e de honte, je les remets aussitôt et prie pour que le cours finisse bientôt. Une fois rentrée chez moi je décide qu’un peu de sport me ferait du bien. En enfilant mes baskets pour aller courir je me rends compte qu’effectivement l’odeur de mes pieds est très forte, pas étonnant que mon voisin m’ait fait...
Alyssia, ma femme (10)
il y a 2 ans

Mari et amant font plus intimement connaissance.

Au petit déjeuner, c’était elle, la fille du patron, qui était de service sur la terrasse. Elle y faisait de rapides apparitions, débarrassait un plateau, passait vite fait un coup de torchon sur une table. En évitant soigneusement de trop s’approcher de nous. Et sans jamais jeter le moindre regard dans notre direction. De toute évidence, elle n’en menait pas large. Alyssia a fini par l’appeler. - S’il vous plaît… Elle s’est approchée. À contrecœur. - Vous vous appelez comment ? - Eugénie… - Et vous avez quel âge ? - Vingt-deux. - Alors comme ça, Eugénie, on espionne les clients… Une grande fille comme toi ! Tu sais que c’est pas bien du tout ? Elle est devenue écarlate. - Je vous jure… Alyssia a éclaté de rire. - Ben, voyons ! N’empêche… Qu’est-ce que ça a dû être frustrant pour toi ! Être interrompue, comme ça, en pleine action. Elle se dandinait d’un pied sur l’autre, se grattait nerveusement la joue. - Tu t’es finie dans ta chambre, j’parie ! Non ?...
La domination pour les nulles Ou la domination féminine facile
il y a 2 ans

Un tuto BDSM à ne surtout pas faire lire à votre femme. Quoi que....

Désolé Mesdames de ce titre pouvant vous gêner, mon idée était simplement de reprendre le principe des livres : l’informatique pour les nuls, Internet pour les nul,.... Ne voyez aucune critique ou manque de respect à votre égard. Ce document n’a qu’un but : vous aider et vous donner des astuces. Certains hommes rêvent de soumission, que leurs femmes les dominent. Une des problématiques des femmes qui ne sont pas opposées à l’idée de faire plaisir à leur mari est : quoi faire ? Loin des clichés d’internet et des images pornographiques où des femmes dominatrices sont vêtues de cuir, il y a tant de chose à faire dans un contexte familial conventionnel et sans des tenues vestimentaires à 300 euros. Les pratiques communes dans les activités des femmes dominatrices dans les couples hétérosexuels sont la chasteté, le god ceinture et la féminisation. Il y en a bien d’autres, nous y reviendront plus tard dans ce document. Je vais donc prendre par ordre ces premières pratique commun...
Grands moments de solitude (3)
il y a 2 ans

Pauline a trop bu et ne maîtrise plus rien

Julien s’est levé sans bruit, s’est habillé à la hâte et est gentiment parti nous chercher les croissants. - Il a intérêt à en ramener assez. Parce qu’elle crevait la dalle, Chloé. - C’est rien de le dire. Pauline aussi. - Ça creuse l’air de la mer. Sans compter… Elle a marqué un long temps d’arrêt. - J’ai trop aimé ça, cette nuit, qu’il ait pas pu se retenir. -  C’est la faute d’Océane. - Ben, voyons ! Faut bien une coupable. - Si, c’est vrai, hein ! T’as pas vu sa tête quand tu racontais ? Ah, elles lui plaisent nos petites mésaventures, on peut pas dire. - Oui, oh ben, s’il y a que ça pour lui faire plaisir, j’en ai d’autres, hein ! Elles aussi. Plein d’autres. - C’est normal. Nous, les filles, c’est sans arrêt qu’il nous arrive des trucs. Parce qu’on est des filles justement. Bon, mais… et maintenant ? On allait faire quoi maintenant ? Parce qu’elle était d’avis, Chloé, qu’il allait recommencer. - Ça fait pas l’ombre d’un doute. - Tu comptes pa...
Ma Bardot à moi
il y a 2 ans

Une jolie histoire d’amour et de fist sensuel

Un rayon de soleil se faufile entre les rideaux de la chambre d’hôtel, pour tomber juste sur la chute de reins de Juliette. Je ne me lasse pas de l’observer, allongée sur ces draps froissés, témoins de notre étreinte. J’ai envie de caresser son épiderme à quelques centimètres de moi, de laisser mes doigts courir de sa nuque à ses orteils. De faire parcourir à ma langue et à mes lèvres ce corps que je connais pourtant désormais par cœur. Mais je ne veux pas la réveiller. Alors, c’est à peine si j’ose respirer et je me perds dans la contemplation des reflets vénitiens de sa chevelure, dans les ondulations que j’ai eu tant de plaisir à mettre en désordre alors qu’elle était agenouillée devant moi, voici une heure. Sa main gauche est reposée sur le drap et le rayon farceur finit par tomber dessus, me renvoyant l’éclat doré de son alliance en plein visage. Je n’aime pas cet anneau. Il me rappelle le mien, que je touche machinalement du pouce. Je soupire. Juliette s’agite, puis tourne le vis...
Publicité en cours de chargement