Ejaculation féminine ou femme fontaine

Assurance DU webmaster de fessestivites.com Oui cela existe ! Non la femme ne pisse pas pour simuler ! Non, ce n'est pas un fantasme d'homme, cela existe bel et bien ! Non ce n'est pas de l'urine même s'il peut y en avoir un peu.

J'ai personnellement connu cinq femmes dites « femme fontaine » dont une très impressionnante qui parvenait à jouir et « éjaculer » plusieurs fois très rapidement. Ci-dessous mes constats personnels, une définition, un lien et deux témoignages.

CONSTATS PERSONNELS

Certaines femmes « accomplies » adorent parvenir à faire « fontaine » car la jouissance est plus intense. « Accomplies » parce qu'elles n'ont pas honte de jouir aussi intensément et de « mouiller » les draps au sens propre du terme.

Certaines femmes sont très gênées de mouiller les draps et leur amant/mari. C'est parfois pour elle castrateur de plaisir.

Une femme fontaine peut jouir sans pour autant faire « fontaine »

Cela ne « marche » pas toujours à tous les coups.

Pour qu'une femme fasse « fontaine » la stimulation peut aussi bien être clitoridienne que vaginale. (Seulement anale je ne sais pas, je n'apporterais donc pas une information à ce sujet)

Le goût d'une sécrétion de femme fontaine varie d'une à l'autre et de ce quelle a bu ou consommé. Il se rapproche un peu de celui de l'urine pour son côté salé.

L'amant qui pénètre et fait l'amour à une femme fontaine après qu'elle ait fait « fontaine » lui génère de sublimes sensations et parfois un autre orgasme avec ou sans « fontaine ».

Personnellement, lorsque j'arrive à faire jouir une femme et à lui faire faire « fontaine », je suis comblé et heureux parce que je sais que je l'ai conduite à une jouissance paroxystique.

Lire cet article pour avoir plus d'information sur le côté médical. http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89jaculation_f%C3%A9minine

Définition : (Source wikipedia) L'éjaculation féminine désigne, chez la femme, la libération d'un liquide (éjaculat) à l'approche ou au moment de l'orgasme. L'émission de liquide est très faible chez une majorité de femmes, mais abondante chez d'autres ; l'expression « femme fontaine » est parfois utilisée pour désigner une femme à l'éjaculation très abondante.

L'histoire réelle (j'insiste) en deux mots :

Une adorable jeune soumise (seulement dans le jeu croyez-moi...) était entravée couchée sur la table de la terrasse. Ses jambes écartées par une barre d'écartement était maintenues en l'air because nous avons la chance d'avoir un arbre auquel nous avions accroché la barre d'écartement. Nous nous acharnions à lui faire découvrir les plaisirs de la soumission et de l'abandon total sans possibilité de fuite.

C'est bien connu, si on est en confiance, quand on est entravé(e) on ne se libère que mieux.

Nous étions donc 3 à nous « acharner » sur son très joli corps que nous voulions, en grands sadiques, pousser au paroxysme de la jouissance. Elle se plaignait un peu (certes) mais comme en même temps, son corps et ses gémissements démontraient qu'elle prenait beaucoup de plaisir nous ne tenions pas compte de ses « jérémiades » en lui disant que c'était pour son bien. La minette comblée de doigts féminins experts, le clitoris « agressé » par un vibro ultra puissant, moi aux « manettes » de la poitrine et son Maître amant dévorant sa bouche de baisers fougueux, la belle s'est envolée au-delà de ce que nous imaginions et elle aussi.

D'un seul coup, elle s'est mise à hurler et à « gicler » désolé si cela parait vulgaire mais c'est le mot le plus adapté. Mon épouse assise sur un tabouret dans l'axe du V formé par ses jambes fut arrosée. Le corps de cette adorable jeunette convulsait de plaisir.

Nous l'avons rapidement délivrée et SURTOUT couverte car après une telle éjaculation, les femmes ont souvent froid. Revenu sur terre un bon moment après des tonnes de baisers de son Maître/amant, elle s'est ensuite confondue en excuses et pensa en voyant mon épouse trempée, qu'elle avait uriné. Nous l'avons rassurée, dorlotée, bichonnée car elle ne savait pas ce qu'était une femme-fontaine. Son témoignage est dans les histoires : « Témoignage de Chloé jeune femme fontaine chez les TSM»

Ejaculation féminine sur mes doigts (femme fontaine)

Un témoignage de ED

L'éjaculation féminine, la première fois, ça surprend. C'est fort, c'est violent, c'est tiède ... c'est humide, très humide pour les draps.

C'est tellement fort et bref, qu'on se retrouve projeté dans des frustrations de "pas assez", de "trop bref", et de "y'en a encore ?" qui sont généralement des frustrations d'amante envers son amant. A chaque fois, j'aurais aimé pouvoir rejouer sur ce terrain encore et encore, et trouver de nouveau la parfaite exaltation qui transporte ... mais ...

Elle m'avait prévenu en ces termes :

• Si tu aimes, moi aussi, je sais éjaculer tu sais ?
• Ah oui ? Ce serait une première pour moi.
• La prochaine fois, si tu veux ...

Et en effet, la fois suivante, j'ai eu le bonheur de découvrir un nouveau nectar, rare, noble, et surtout qui se mérite ...

Cette princesse, est, comme une grande majorité de femme, une exquise clitoridienne qui a été négligée par des amants qui conquièrent trop souvent le corps d'une femme comme on charge une brouette.

Elle a adoré se sentir orchidée entre mes mains, mes doigts, mes lèvres et ma langue, langoureusement, lentement, lascivement, longuement ... et aussi luxurieusement et lubriquement. Sa fleur a livré ne nombreuses batailles avec brio, tentant de résister quelques fois aux baisers trop appuyés ou trop profonds. Sa reddition s'était opérée tantôt en capitulation de spasmes orgasmiques, tantôt en lever de drapeau blanc pour obtenir un vain souffle d'espoir de ne pas jouir encore et encore.

Mais ce jour, après une bonne petite heure d'orgasmes du bout de la langue, elle lâcha :

• Mets moi quatre doigts, fiste moi !!!

En levrette, elle m'a tendu sa croupe en une rapide pirouette. Sa fente rose clair faisait face au faible éclairage. J'ai posé un doux baiser, du plus profond élan ... puis mes doigts sont entrés en elle. Sa fente s'ouvrait facilement à mes doigts, un, puis deux, puis trois. Le va et vient entre ses reins commençais doucement. De mon autre main, je pressais sur sa taille parfois pour une cambrure encore plus sensuelle.

• Encore, plus fort !!!

Ma mains avait maintenant pris sa place, emboîtée dans sa vulve comme si c'était son logement naturel. Mon petit doigt allait et venait sur son bouton de plaisir, et je labourait vaillamment ce qui fut une délicate orchidée, et qui aimait maintenant être défoncée.

Mes doigts continuaient leur oeuvre, et les frottements délicieux devenaient de plus en plus profonds.

• Oui, encore, tout au fond !!!

Je poussais aussi loin que mon petit doigt le permettait, alternant ce jeu en profondeur en saccades rapides, par des mouvements latéraux, pour ouvrir encore plus l'orifice des délices. La ténébreuse antre laissait paraître parfois son rosé caverneux autant que mes doigts intrusifs la laissaient dilatée.

• Tu sens le sexe, ta chatte a un arôme orgiaque.

A cet instant même, un jet bref et puissant est venu couvrir ma main.

Ma première impression fut la surprise, surtout la chaleur de cet éjaculât. Je crois que j'ai compris ce jour ce que les femmes décrivent par la chaleur du nectar masculin au creux du ventre. J'ai ensuite été bouleversé par les convulsions de plaisir épileptique, et la sensitivité, même aux caresses de ce corps devenu incontrôlable, de cette peau devenue entièrement érogène.

Ce n'est qu'au bout de quelques minutes que je n'ai pu apposer un baiser intime sur son corps affalé, de la nuque aux coccyx ou l'inverse, dans des draps humides, trempés même, de cette extase singulière.