Timing serré pour piéger sa soumise trop gourmande

Catégories : Femmes soumises SM camisole Bondage Shibari Kinbaku
il y a 3 ans

Hélène attendait sagement à son appartement. Regardant presque anxieusement l'horloge du salon, qui marquait environ 17h30. L'heure que lui avait précisée C. Elle était toute excitée. Pour la première fois, il allait venir chez elle. Profitant d'un retour de vacances et invoquant un détour «pour affaires ».

Il lui avait envoyé un mail, très précis. Expliquant qu'il ne disposerait tout au plus que de 2 heures. Largement le temps, disait il, de lui appliquer un strict bondage dont elle aurait tout loisir de se libérer. « Sois belle... sois soumise... et prépare toi à passer la plus belle nuit de ta vie ». Tout était dit.

Tout naturellement, elle s'était préparée pour l'occasion. Tenant à lui faire honneur. Ce n'était pas leur première rencontre, certes, mais elle comptait bien ne pas perdre une seconde à s'habiller une fois qu'il serait là.

Il lui avait adressé par la poste deux cadeaux inestimables, qu'elle chérissait depuis, tant ils étaient chargés de signification. Le premier était une paire de cuissardes en cuir vernis, à haut talons (12 centimètres), zippées sur l'intérieur de la cuisse. Hélène, en fétichiste absolue, en avait rêvé depuis des années. Le second était un corset de cuir, fait sur mesure (elle les lui avait adressées par mail), très ajusté et lacé dans le dos. Les anglo-saxons auraient appelé ce corset un « cincher », car il partait de la base des seins pour n'enserrer que la taille.

Se mettre en tenue pour une session de bondage sévère fait partie intégrante du plaisir de l'exercice. C'est en tout cas ce que vivait Hélène toute les fois où elle choisissait une tenue pour ce genre d'occasion.

Après avoir pris un long bain relaxant et s'être discrètement maquillée, Hélène avait noué ses cheveux en queue de cheval. Puis avait disposé sur son lit ce qu'elle comptait mettre.

Pour commencer, elle passa un porte jarretelles en PVC noir luisant, très simple. Puis elle étendit du talc sur ses jambes, avant de glisser une paire de bas en latex noir. Elle lissa avec application la matière, afin qu'aucun pli ne soit apparent. Puis elle appliqua un polisher qui fit scintiller le latex, ne laissant plus aucune empreinte.

Qui n'a jamais mis de vêtement en latex ne peut pas comprendre le plaisir que procure le simple fait de les enfiler. Ainsi, à peine mis, ses bas prenaient la température du corps. Se comportant comme une seconde peau, légèrement contraignante. Plaisir supplémentaire.

Vient ensuite un string noir et satiné. Ce dessous, qui n'était pas de la même matière, tranchait singulièrement. Mais il avait vocation à être implacablement tranché par C.

Passer les cuissardes se fit ensuite sans difficulté. Hélène les adorait, tant leur pouvoir d'évocation érotique était grand. Il lui était même arrivé, depuis qu'elle les avait, de les garder la nuit pour dormir (souvent en s'étant entravée et bâillonnée). Une fois les cuissardes enfilées, Hélène, soucieuse des moindres détails, les fit reluire avec la même application.

Elle passa alors un soutien gorge noir, de la même matière satinée que le string. Puis ajusta le corset que lui avait offert C. Le lacer seule était assez compliqué. Et, si elle parvenait à le serrer suffisamment pour qu'il ne puisse plus glisser, elle savait que C. aurait à cœur de l'utiliser de façon bien plus contraignante.

Vint enfin le premier cadeau que lui avait fait C. Un large collier de soumission en cuir luisant, haut d'environ 8 centimètre, dont l'anneau de cuir, attaché sur le devant, reflétait faiblement les lumières de l'appartement. Enfin, Hélène passa une paire de gant opéra en pvc noir, remontant au dessus du coude, qu'elle lissa avec application. Elle se contempla devant la glace, et se trouva irrésistible. Sa tenue était une mélange de provocation brute et d'évocation sexuelle. L'ensemble aurait sans problème été celui d'une dominatrice, mais le contraste du collier de soumission ajoutait encore à l'évocation trouble de la tenue. Attendre fut difficile, tant Hélène était excitée. Mais la frustration qu'elle ressentit allait, elle le savait, ajouter encore au jeu.

Sonnette.

Le cœur d'Hélène fit un bond dans sa poitrine, tandis qu'un sourire illuminait son visage. Elle se leva. Alla vivement à la porte (du moins aussi vite que ses hauts talons le permettaient...). Coup d'œil, c'était lui. Elle déverrouilla la porte. Le regard de C. lui fit immédiatement comprendre qu'elle avait vu juste sur le choix de sa tenue. Il entra.

Il s'assit dans le salon, sur le sofa. D'un geste de la main, il lui ordonna de se tenir face à lui, et de tourner lentement sur elle même. Ce qu'elle fit avec plaisir, tandis qu'il se délectait à sa vue. Un petit applaudissement confirma qu'il avait réellement apprécié ses choix vestimentaires.

Autre geste. Index pointé au sol. Elle s'agenouilla immédiatement, se tenant droite, mains dans le dos. C., souriant, ouvrit le sac qu'il avait apporté avec lui. Puis, lentement, avec délectation, sortit un à un les objets qu'il contenait.

Il la regardait avec ravissement, de ce regard à la fois dur et brûlant qui la fascinait. Hélène était naturellement belle, mais quand elle se faisait féline et provocante, elle devenait simplement irrésistible.

" Croise les mains derrière la nuque, et écarte davantage les cuisses " dit-il sèchement.

Hélène rougit, déçue de sentir qu'elle n'avait pas encore réussi, malgré son subtil jeu de séduction, à envoûter son partenaire. La position qu'elle avait spontanément adoptée n'était pas assez déférente pour le satisfaire. Elle devina que ce soir, il voulait la dominer sans réserve. Il allait sans aucun doute lui imposer les positions et les traitements les plus humiliants. Il était même probable qu'il lui fasse subir ces sévices raffinées qui finissaient toujours par la transporter de plaisir.

Hélène, qui se demandait comment il allait l'attacher ce soir, savait que ce serait à la fois pénible et merveilleux, à condition qu'il daigne la laisser atteindre la jouissance. Mais elle n'avait jamais de droit choisir elle-même quand les désirs qu'il faisait naître en elle pouvaient trouver leur conclusion en un orgasme déchaîné.

Elle savait qu'elle ne devait pas faire un geste ni dire un mot sans son autorisation. Mais comme il était assis devant elle, il lui était possible d'observer le déballage méthodique des accessoires contenus dans le sac. La belle soumise reconnut d'abord deux plugs, un énorme, d'aspect métallique, sans aucun doute prévu pour garnir son vagin et l'autre, de taille moindre, en latex souple et certainement destiné à son autre orifice.

Vinrent ensuite les bâillons. Le premier était le simple anneau monté entre deux courroies, qu'il aimait caler derrière ses dents lorsqu'il exigeait d'être servi oralement. Le second était en forme de pénis, d'un diamètre identique à l'intérieur de l'anneau mais d'une longueur déraisonnable.

Le reste de l'équipement qu'il avait apporté était constitué par une série de courroies et de harnais en cuir dont elle connaissait parfaitement l'utilité dans ces jeux libertins. Il sortit une mystérieuse boite noire, dont sortaient plusieurs câbles électriques.

Hélène se sentait comme un bambin le jour de Noël, qui découvrait ses jouets devant le sapin. Mais c'était LUI qui déballait les jouets, et ELLE n'était qu'un jouet parmi d'autres ! Le sac était presque vide. Il posa sur le sol des vêtements en latex noir (probablement une ou plusieurs cagoules) puis déplia le dernier objet.

C'était un mono gant d'aspect classique, d'une bonne longueur qui devait arriver jusqu'aux aisselles de la belle soumise. C'était un manchon triangulaire d'une pièce, sans zip ni laçage, muni de courroies destinées à passer sur les épaules et sous les bras pour l'empêcher de glisser vers le bas. Ces courroies se terminaient par des fermetures métalliques d'une taille anormalement grande pour ce type d'usage. S'apercevant de son étonnement devant cet appareil, D décida de lui en expliquer le fonctionnement :

" Cet armbinder est en latex épais mais extensible, comme il n'y a pas de lacets, c'est la pression de ce matériau qui immobilise les bras. Pour le mettre, il faut le faire glisser sur les bras joints, avec un bon lubrifiant. Lorsque les s a n g l e s de fixation, croisées devant la poitrine, sont en place, il est impossible de l'enlever, malgré la relative liberté que laisse l'élasticité du latex.

Il se leva et se mit derrière elle. N'osant pas se retourner, elle compris qu'il avait dénoué les lacets du corset et qu'il commençait à le resserrer. Elle sentait son abdomen se comprimer, sa respiration devenait haletante. Il s'y reprit à trois fois, serrant à la limite de ce qu'elle pouvait supporter sans défaillir.

Il saisit ses mains, toujours croisées derrière sa nuque et tira ses bras en arrière. Il enduit ses gants, des phalanges aux épaules, d'un liquide lubrifiant qui les faisait encore luire davantage.

" Serre tes bras le plus possible, en croisant les doigts, paume contre paume, et tire tes épaules en arrière "

Hélène aimait cette position, qui mettait ses seins en valeur, malgré son relatif inconfort.

C enfila ses bras joints dans le mono gant. Hélène l'aida en faisant onduler ses poignets et ses coudes jusqu'à ce que ses mains aient atteint le fond du sac.

Il prit alors l'étrange boite noire qu'il fixa à l'intérieur du mono gant dans le triangle constitué par ses bras, entre les coudes et les omoplates. Il relia les fils électriques qui en sortaient aux fermoirs métalliques. Il lui passa les s a n g l e s sous les aisselles, les croisant entre les seins, et revenant par-dessus les épaules. Celles-ci se verrouillèrent dans les deux fermoirs métalliques avec un clic, comme des ceintures de sécurité de voiture.

" Ces fermetures sont bloquées par des électro-aimants, alimentés par les piles qui sont dans la boite noire. Quand les piles sont épuisées, les fermoirs s'ouvrent et les s a n g l e s sont libérées " expliqua-t-il.

Hélène connaissait sa passion pour la haute technologie, sans vraiment comprendre l'intérêt d'un tel dispositif pour fixer un simple monogant. Elle sentit une cagoule glisser sur sa tête. Très serrée, elle comprimait son cuir chevelu, ne laissant libre que son visage et sa queue de cheval qui ressortait par un trou situé au sommet du crâne. Elle sentit qu'il l'étreignait, caressant sa poitrine. Il l'embrassa plusieurs fois dans le cou et mordilla sensuellement le lobe de ses oreilles. Son cœur se mit à battre plus fort, elle sentait contre son dos son pénis qui trahissait son excitation. Mais elle savait qu'il n'allait pas lui accorder une libération rapide.

" Allons ma belle, il est temps de garnir tes orifices " dit-il.

Il présenta l'anneau du bâillon devant sa bouche. Elle écarta ses mâchoires docilement pour qu'il puisse le coincer derrière ses dents et boucler les courroies sur sa nuque. Sans surprise, elle le vit lubrifier le plug en latex. Il la fit se pencher en avant, elle sentit qu'un objet froid était glissé sous son string. Le vêtement tomba à terre, tranché sans pitié par la lame du couteau.

Il inséra sans ménagement l'intrus, qui faisait bien dix centimètres de long sur quatre de diamètre, dans son anus. Elle aimait et haïssait à la fois cet objet qui comprimait par l'intérieur le peu d'espace laissé à son abdomen par l'insoutenable compression du corset. Il lui ordonna de se lever et de s'étendre sur le dos sur le sofa.

Elle n'avait jamais vu un plug vaginal d'une telle taille, mais elle savait qu'il était extrêmement désagréable de marcher avec cela dans le ventre. Il commençât par brancher le dernier câble qui sortait de la boîte sur une prise à la base du plug, puis il l'inséra, non sans prendre un malin plaisir à le frotter sur ses parties les plus sensibles.

L'engin se mit à vibrer lentement et l'excitation d'Hélène augmenta aussitôt. C enfonça sans peine l'énorme engin au fond de sa fente humide de désir. Hélène remuait les hanches, accompagnant les vibrations, sentant naître son premier orgasme de la soirée, lorsque elles cessèrent brusquement.

Frustrée, elle regarda son Maître avec des yeux implorants. Pourquoi avait-il fait cela ?

" Encore une surprise " dit-il d'un air sardonique, " Les parois du gode sont perforées pour que des capteurs puissent mesurer l'humidité. Dès qu'elle dépasse une certaine valeur, les vibrations cessent " Sur ces paroles, il boucla une ceinture de chasteté autour de la taille de sa victime. Il resserra la s a n g l e verticale qui couvrait son sexe, faisant pénétrer les deux inserts encore davantage.

Il lui lia les chevilles avec une s a n g l e de cuir et la remit à genoux. Hélène était déçue, désemparée de ne pouvoir assouvir son désir. Les larmes coulaient sur ses joues et, conséquence de son désespoir, les sécrétions de ses parties intimes avaient cessé. Le changement n'échappa pas aux capteurs intégrés au gode... Et après quelques minutes les vibrations recommencèrent...

La bosse qui tendait l'avant de son pantalon ne laissait aucun doute sur les intentions de C. Alors que le gode recommençait à la stimuler, il déboucla sa braguette pour laisser s'exprimer sa vigoureuse érection. Il inséra son membre dans le trou de l'anneau pour envahir la bouche ardente de son esclave. Elle suçait avec appétit pendant qu'il tenait son crâne des deux mains en faisant pénétrer sa chair virile plus profondément entre ses amygdales, comme s'il voulait lui en remplir la tête.

Un nouveau plaisir montait en elle, la joie de servir son maître et les vibrations du gode l'amenaient rapidement au bord de l'orgasme quand celles-ci cessèrent brutalement. Seul l'anneau l'empêcha de serrer les dents de dépit sur le sexe de son Maître. Atisé par sa frustration, il explosa rapidement dans sa gorge en retenant sa tête jusqu'à ce qu'elle ait tout avalé avec docilité. Elle devinait qu'il voulait ainsi, par cette acte au plus profond de sa gorge comme s'il pénétrait son cerveau, symboliser qu'il la possédait corps et âme...

" Bonne entrée en matière " dit-il, la laissant dans un état de frustration désespérant, " Nous n'avons plus qu'une demi-heure pour finir ton bondage "

Il présenta le bâillon en forme de pénis devant son visage. Il le fit coulisser dans l'anneau jusqu'à ce qu'elle soit prise de spasmes, ne maîtrisant plus l'envie de régurgiter l'intrus.

" Inutile, tu dois accepter ce bâillon, la longueur en est calculée de manière à ce que tu puisses le supporter en gardant le menton en l'air "

Hélène étira son cou vers le haut et constata que l'extrémité du bâillon n'appuyait ainsi plus sur le fond de sa gorge. Si elle avait pu, elle aurait sourit devant l'ingéniosité de son tourmenteur. Elle comprenait pourquoi il n'avait pas jugé utile de remplacer le simple collier de soumission qu'elle avait choisi par un collier plus contraignant pour maintenir sa posture.

Il boucla autour de son crâne harnachement constitué par les courroies du bâillon. Hélène constata que ce dernier était percé d'un conduit qui lui permettait de respirer par la bouche. Quand il glissa sur son visage une seconde cagoule en épais latex, sans ouverture au niveau des yeux ni du nez, elle compris que ses capacités respiratoires seraient limitées à ce que l'évent du bâillon autorisait.

C la coucha sa victime par terre sur le ventre et ramena ses chevilles au dessus de ses fesses. Il les attacha à l'anneau situé au bas du mono gant, la ligotant dans un sévère hogtie, à la manière dont les cow-boys américains traitent le bétail. Totalement impuissante, aveugle et muette, elle se demandait pourquoi il avait pris tant de peine seulement quelques minutes avant de partir.

" Je dois m'en aller, j'espère que tu ne vas pas passer une nuit trop agitée " lui annonça-t-il.

Hélène était terrorisée, il ne pouvait pas la laisser ainsi seule. Qui pourrait la libérer après son départ ? Envisageait-il d'envoyer une des ses amies au petit matin ?

Elle ne pourrait résister à l'humiliation de révéler son état aux personnes qu'elle fréquentait. Elle était désespérée alors que l'engin diabolique, ayant jugé suffisant l'assèchement des parois de son vagin, recommençait implacablement à la stimuler malgré elle.

" Dès que les piles seront usées par la consommation électrique du gode, les électro-aimants verrouillant les fermoirs ne seront plus alimentés. Les s a n g l e s seront libérées et en tirant avec tes chevilles sur la pointe du mono gant tu pourras le faire glisser.

Lorsque tes bras seront détachés, le reste de ton bondage ne posera aucun problème... "

" Il faut deux heures de fonctionnement effectif au gode pour vider les piles. Mais rappelle-toi qu'il ne fonctionne que si ton sexe n'est pas trop humide "

Hélène entendit ses pas s'éloigner, et compris qu'il était parti.

Les vibrations de l'engin diabolique et le caractère implacable de son bondage recommençaient à l'exciter. Mais au bout d'un quart d'heure, alors qu'elle était sur le point d'exploser, les vibrations cessèrent de nouveau. Elle recommença à pleurer de frustration, ne sachant plus si elle haïssait ou aimait cet homme qui la dominait au plus profond d'elle-même.

C roulait déjà en direction du nord, conduisant à vive allure la puissante berline. La vitesse était pour lui un breuvage pour supporter l'excitation qu'il ressentait en pensant au sort de sa victime. Ses calculs étaient simples, si Hélène ne réussissait pas à dominer son désir, les vibrations du gode ne dureraient qu'une dizaine de minutes, suivies d'un période d'environ une demi-heure pour que les capteurs retrouvent un niveau d'humidité permettant la reprise de la stimulation.

Comme la capacité de la batterie était de deux heures de fonctionnement continu, si l'engin était au repos les trois-quarts du temps, il lui faudrait huit heures pour être libérée. Malgré la longueur du trajet, il serait endormi avant elle...

Hélène, dans son isolement, n'avait aucun moyen pour mesurer la durée des périodes de simulation et de pause qui se succédaient sans relâche. Elle avait l'impression que son bondage pourrait durer éternellement si elle ne luttait pas contre son plaisir.

Pendant des heures elle essaya de détourner son esprit du désir de plus en plus fort qui montait en elle. Mais à chaque fois, ses sécrétions étaient suffisantes pour provoquer l'arrêt des vibrations.

Au petit matin, épuisée, elle abandonna toute idée de résistance. Elle préférait rester attachée pendant des jours plutôt que de vivre cette frustration permanente. Elle serra avec ardeur le gode entre ses cuisses, essayant de se stimuler au maximum par le seul biais des ses contractions musculaires.

Contre toute attente, le gode continua à vibrer... Elle explosa dans une série d'orgasme d'une puissance inouïe, qui se succédèrent sans arrêt pendant plusieurs dizaines de minutes.

Epuisée, mais comblée de plaisir, elle se sentait bien, caressée par l'ingénieux appareil qui vibrait encore. Elle aurait presque souhaité que son bondage continue éternellement, au moins jusqu'à la prochaine visite de son amant. Mais les piles s'épuisaient aussi, et la tension électrique chuta. Elle entendit deux clics et les s a n g l e s sautèrent de ses épaules.

Elle se libéra facilement de l'armbinder, en tirant à l'aide de ses chevilles pour le faire glisser. Puis elle enleva, sans trop de peine malgré ses membres ankylosés, la cagoule et le reste de ses liens. Elle regarda le gode avec attention, elle sourit en constatant que la haute technologie de son Maître n'était pas exempte de défaillances.

C était endormi depuis longtemps dans sa demeure de la capitale. Dans un demi-sommeil, il se rappela que le type de capteur dont il avait équipé le gode, relativement fragile, pouvait se mettre en court-circuit quand il était exposé à une humidité trop forte.

Il ne doutait pas qu'Hélène avait su malgré elle profiter de cette faiblesse. Son problème à présent, allait être d’attendre qu’il lui retire la ceinture de chasteté.

Hélène de Troy

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Ce Maître est diabolique et en même temps, n'est-ce pas ce que sa soumise désire ? Je crois que oui.
Un Maître doué en bondage avec grande touche de perversité effectivement. Grâce à ses astuce, cela permet à sa soumise de vivre la rencontre bien plus que deux heures. Bien vu.
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