Confessions de Jack

Catégories : Bondage Shibari Kinbaku Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 9 ans

Confessions de Jack

Va te doucher, reviens bien sec, mais... nu!" Fit-elle...

Estomaqué mais émoustillé, je fis rapidement ce que Michelle ordonnait. "Assieds-toi sur cette chaise et mets tes mains dans le dos! sourit-t-elle. Devant mon hésitation, elle rajouta: "Tu me casses bien les pieds depuis des années pour ça, non ?" Résigné et bandant, je m'installai sur une chaise du salon. La corde à linge immobilisa mes poignets en quelques instants. Mes chevilles furent réunies puis tirées sous le barreau transversal avant de la chaise et fermement ligotées. Elle se releva triomphante, approchant ses seins qui bourgeonnaient sous sa robe rouge de mon visage également très rouge. "Essaie de te libérer!" Mes mouvement de torsion furent vains, la corde à linge s'insinuait à chaque geste dans mes chairs.

Je décidait d'arrêter ces essais inutiles: j'étais fait comme un rat. Seul mon sexe se réjouissait et prenait une ampleur inhabituelle. Mon gland était devenu violacé et mon ventre me faisait mal. Elle eut un regard satisfait vers le bas. J'étais mort de honte...

Elle commença par me presser un nombre incalculable de points noirs, insensible à mes protestations. Moi qui l'avais toujours refusé, la chassant sans ménagement lorsqu'elle approchait ses mains fines aux ongles longs de mon délicat faciès... j'étais à sa totale merci!! Ma peau ne fut bientôt plus qu'élancements et brûlures...

C'est ainsi... beaucoup des histoires parues sur votre excellent site -qu'elles soient vécues ou fantasmées- font état d'un déclic à l'intérieur d'un couple: L'homme souhaitait (plus ou moins consciemment) passer de la position de dominant à celle de dominé... et un beau jour se produit l'événement! Mon histoire (vécue) est conforme à ce schéma. En effet, depuis de nombreuses années je fantasmais sur une soumission à ma belle épouse, Michelle, une grande brune svelte aux yeux noisette. Mais celle-ci, qui avait été une fille obéïssante à son père (image masculine dominante) étant jeune se refusait à ce jeu-là avec son époux, une fois parvenue à l'âge adulte. Je revenais régulièrement à la charge et ceci durant des années!... mais à chaque fois, les larmes aux yeux, elle me prenait pour un fou.

Durant ce temps et pendant des années également, je l'entendis se plaindre dans un tout autre domaine: A chaque fois que je sortais de chez le coiffeur, elle entrait dans une colère sourde, râlant que ces derniers "ne savaient plus coiffer", "n'étaient que des incapables", et j'en passe... Elle incriminait ce que je pouvais bien réclamer comme coupe, j'intégrais alors le rang des "incapables" moi aussi; elle alla même jusqu'à venir m'accompagner pour dicter ses désidérata elle-même, ce qui ne changea rien: j'ai le cheveu rebelle, raide en diable et difficile à coiffer!! Finalement, à force de couper elle-même les cheveux de notre fils âgé de trois ans à l'époque (le pauvre frisa le ridicule les premiers temps) elle avait pris de l'assurance dans ce domaine si primordial à ses yeux...

Mais... revenons à ma fâcheuse situation! Etant donc attaché et à sa merci sur une chaise, elle se mit à désinfecter tous mes points noirs mutilés, un par un, à l'aide d'alcool à 90 degrés... et ça a chauffé de plus belle!! Elle s'était assise sur moi et j'étais au bord de l'éjaculation. Soudain, satisfaite de son travail d'hygiène, elle se leva pour ranger son matériel et revint armée d'un peigne et d'un ciseau neuf! Mon sang ne fit qu'un tour! "Non, pas ça! Pas les cheveux, je t'en supplie" me lamentai-je. "Allons! cesse de gigoter ou ce sera bien pire!" fit-elle d'un air concentré.

Et commencèrent les 30 minutes parmi les plus longues de mon existence. Je vis, désolé, tomber des mèches et encore des mèches... certaines tombaient sur mon pénis le coiffant d'une auréole sombre et ridicule. Les cheveux s'insinuaient entre mes cuisses, piquant jusqu'à mes testicules. Je frissonnais trouvant d'un coup qu'il faisait très froid. D'ailleurs mon ardeur s'émoussait peu à peu. Je me crus défiguré. Fini. Foutu. J'imaginais déjà les sarcasmes de tous les collègues de mon travail...

Au bout d'une éternité, je la vis tourner plusieurs fois, égalisant encore par-ci et par-là... "Bon, je crois que ça ira pour cette fois" fit-elle enfin... Satisfaite, elle me planta ses yeux au fond des yeux, puis approcha ses seins tout contre mon nez. Je tentai de les happer des lèvres mais elle se retira. Commençant un jeu nouveau, elle s'amusait de mon impuissance. Elle commençait un baiser qu'elle interrompait en se dérobant en arrière comme pour me faire regretter mon état de prisonnier. Très vite, mon sexe reprit la forme qu'elle attendait. "Oh tu as l'air bien excité mon chéri, dommage que tu ne puisses pas me faire l'amour!"Alors elle cessa son manège et partit rentrer son matériel. Elle revint avec un plumeau et me débarrassa de tous les cheveux avec méthode, insistant là où ça chatouille et comme je suis chatouilleux, c'est à peu près partout... Enfin elle insista longtemps sur le gland, très longtemps même. Puis sans mot dire, elle se mis à genoux face à moi et lécha par petits coups l'extrémité de mon sexe tendu. J'étais médusé: elle m'avait toujours refusé ça!! Je dis bien TOUJOURS !

Puis elle a pris mon pénis en bouche le temps de quelques va et vient. Enfin, rouge d'excitation jusqu'aux oreilles, elle se redressa me toisant de son mètre soixante-quinze: "Alors vas-y détache-toi!" Devant mon incapacité attendue, elle dit simplement

:"Dommage..." et quitta la pièce en éteignant la lumière.

Elle partit dans une autre pièce et travailla une bonne heure sur son portable. Frigorifié, complètement débandé, je dus attendre son retour. Je ne sentais plus mes mains exsangues et des fourmis partaient à l'assaut de mes jambes. Je tremblais de partout sans pouvoir m'arrêter. Je souhaitais qu'elle me libère mais n'osais pas appeler... Enfin la lumière revint et elle entra en robe de chambre, lavée et prête à se coucher. "Que dois-je faire ? Te détacher ou te laisser toute la nuit? Car c'est ce que tu mérites..." Il fallait que je m'abaisse. C'était ce qu'elle voulait sûrement. "Oui, s'il te plait, détache-moi..." Elle alla sans mot dire à la cuisine chercher le ciseaux à poisson et trancha la cordelette. Je détachai moi-même mes pieds, rangeai, balayai le sol jonché de cheveux. Lorsque j'arrivai au lit, glacé et secoué de frissons, elle dormait déjà.

Le lendemain, je pus lui faire l'amour, mais Il ne se passa rien d'autre le mois suivant et je n'osai réclamer, un peu refroidi par la tournure de la séance précédente... jusqu'à ce qu'elle dise un jour en me regardant droit dans les yeux: "Tes cheveux sont trop longs! .... ce soir je les coupe..."

Je me présentai donc nu et propre vers 21H30 au salon...

Jack

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