Nelly bondagée découvre qu’elle est cocue

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il y a 7 ans

Nelly et Cathy s'étaient données rendez vous chez Nelly ce vendredi. les deux amies papotaient de tout et de rien, comme a leur habitude. Nelly était toujours fière de recevoir son amie dans la grande maison qu'elle et son mari avaient acheté, il avait quelques mois. A ce plaisir se joignait un peu de provocation , face son amie ,qui toujours célibataire habitait un simple deux pièces.

La conversation s'éternisait sur les hommes, Nelly savourait d'autant plus sa situation de femme mariée a un bel homme, à la carrière, que son amie peinait à trouver l'âme sœur. Elle n'imaginait pas la secrète jalousie qui habitait Cathy

  • il n'est pas donné à tout le monde d'avoir un mari aussi bien que le mien, disait Nelly, il rentre toujours à l'heure, il ne regarde jamais aucune femme.

Ce genre de réflexion, de pique qu'elle lui envoyait discrètement finit par agacer Cathy.

-oh tu sais, fit elle , je suis sur qu'il est un peu comme les autres, mets le face à une jolie fille qui ne demande qu'à le séduire, et regarde le , il lui fera les yeux doux, tu verras !

Nelly perdit son sourire légèrement ironique.

  • oh non pas Marc, tu sais il n'est pas comme ça lui !

Cathy émit un tout petit rire

  • mais tous les hommes sont comme ça , dit elle, d'ailleurs que je voulais le séduire, je ne crois pas qu'il résisterait bien longtemps ...

Nelly se mit à rire à son tour :

  • séduire Marc! Voyons Cathy, tu n'es plus une gamine !

  • non répondit celle ci , mais le charme de la trentaine est bien plus fort...

  • allons, finit Nelly , Marc te connaît trop, il te regarde à peine d'ailleurs, comment peux tu imaginer le séduire !

Cathy réfléchit un moment

-je t'assure que j'en serai capable si je voulais

Nelly haussa les épaule

  • on parie? lança Cathy en regardant son amie droit dans les yeux.

Nelly eut un petit rire dédaigneux

  • parier quoi ? de toute façon c'est peine perdue, ma chère

Cathy réfléchit un long moment

  • je te parie que non seulement j’arriverai à coucher avec lui , mais en plus qu'il me préférera à toi !

Nelly éclata de rire, Cathy ne put s'empêcher de rire à son tour

  • il faudrait m'en donner de sacrées preuves , tu sais fit Nelly en riant encore

  • oh mais cela n'a rien d'impossible, elle réfléchit un instant puis se remit à rire, je te verrais bien ligotée et bâillonnée dans un coin pendant que je serai avec ton mari ! tu ne manquerais pas de preuves !

Les deux amies se remirent à rire, d'un rire qui sonnait faux.

  • c'est toi qui va finir ligotée dans ton coin parce que tu n'y arriverais jamais , voyons

Cathy la regardai encore droit dans les yeux:

  • mais je suis absolument certaine de le séduire , tu sais, lança t elle , sérieuse tout à coup, alors tu relèves le pari ?

Nelly fronça les sourcils, les deux jeunes femmes se regardèrent, imaginant chacune de leur coté, leur amie ligotée dans un placard pendant qu'elle se ferait embrasser par le beau Marc...

  • Je relève le défi, finit par dire Nelly, ne viens pas te plaindre , tu l'auras voulu !

Cathy sourit:

  • dis adieu aux baisers de Marc, ils sont à moi maintenant !

  • et si on mettait ça noir sur blanc, proposa d'un seul coup Nelly

  • tu as peur que je recule ? pourquoi pas, après tout, va donc nous chercher deux feuilles blanches !

Nelly se leva, légèrement excitée à la pensée de ce qu'elle allait pouvoir faire subir à son amie . Elle se rendit dans le bureau de son mari et en revint avec deux feuilles blanches et deux stylos noirs qu'elle posa sur la table du salon.

-allez à nos pages d'écriture, lança t'elle

Cathy vint s'asseoir face à elle, et leva son stylo, voyons comment pourrions nous dire ça....

" je , soussignée , etc...autorise mademoiselle Cathy Brunner à tenter de séduire mon mari ", ça commence bien déjà !

Nelly leva la tête de sa feuille, un peu agacée,

  • bon admettons fit elle, je suis plus impatiente de la suite, et elle se mit à copier la phrase de Cathy.

" je m'engage à ne rien faire pour empêcher mademoiselle Brunner de parvenir à ses fins, au contraire, je lui apporterai toute aide nécessaire pour qu'elle soit en situation de le séduire , notamment en la laissant seule en compagnie de mon mari ".

Nelly releva la tête vers Cathy, hésitant à écrire:

-Tu es sure que tu as besoin de ça ?

  • peu être, après tout , tu es si sure de ton mari, cela te coûte rien de m'accorder ça !

Nelly du admettre la justesse de ses propos et repris son stylo sous la dictée de Cathy

"afin de laisser mademoiselle Brunner avec mon mari sans risquer de les déranger, je resterai ligotée et bâillonnée durant leur tête à tête, à l'endroit et dans la position qui conviendra à mademoiselle Brunner"

Nelly faisait la moue en écrivant.

" une fois que mademoiselle Brunner aura fourni la preuve de ses rapports amoureux avec mon mari , je lui reconnaîtrai le droit de disposer de mon mari autant qu'elle voudra, je serai maintenue ligotée et bâillonnée à chaque rapport avec mon mari, je pourrai également être maintenue dans cette situation dans le cas ou celle ci y trouverait un plaisir particulier, ".

  • tu vas voir quand on va parler de toi , lança Nelly, fachée, à la fin de sa phrase.

"au cas ou mon mari affirmerait clairement sa préférence pour les rapports avec mademoiselle Brunner, je m'engagerai à ne plus en solliciter de sa part et a favoriser ceux qu'il pourra avoir avec elle"

Nelly ronchonna

  • tu y va fort la quand même !

  • mais non , l'assura Cathy, ça ne te coûte rien puisque tu es sure de lui...

Nelly se pinça les lèvres mais ne dit rien

" A chaque fois que mademoiselle Brunner sera disponible pour mon mari, je me préparerais à être ligotée et bâillonnée, dans les conditions qu'il plaira à mademoiselle Brunner, pour la durée qui lui conviendra et aussi fréquemment qu'elle le souhaitera. je m'interdis tout droit à refuser les ligotages que m'imposera mademoiselle Brunner. Je reconnais que les termes du présent contrat pourront être portés à la connaissance de :mon mari, mes voisins, mes collègues de travail, en cas de manquement à mes obligations"

Nelly sursauta

  • tu ne ferais pas ça quand même ?

Cathy sourit

  • tu ne crois pas, vraiment ? allez dépêche toi de signer

Nelly resta le stylo levé pendant quelques instants, puis soupirant elle signa la feuille.

Cathy se dépêcha de s'en emparer et la relut rapidement.

  • A ton ton , maintenant , ma belle , lança Nelly, en approchant un stylo de Cathy.

Celle ci sourit , sure d'elle, et se saisissant du stylo, se mit à écrire sous la dictée de Nelly :

"je soussigné Cathy Brunner, m'engage a tenter de séduire le mari de madame Nelly Cutler. je reconnais être favorisée dans cette tentative par le soutien matériel de madame Cutler. Au cas ou je viendrais à échouer dans mes tentatives d'avoir des rapports amoureux avec monsieur Cutler, je reconnais à madame Culter le droit de disposer de moi de la façon suivante :

A chaque fois que madame Nelly Cutler m'informera de son désir d'avoir un rapport amoureux avec son mari, je me préparerai à me rendre disponible pour être ligotée et bâillonnée, durant tout le temps du rapport amoureux de madame Cutler et au delà si celle ci le souhaite.

je reconnais qu'il me sera interdit de déroger aux instructions que me fournira madame Cutler , en terme de disponibilité et de condition de ligotage, sous peine de voir les termes du présent contrat communiqués à mon entourage, accompagnés des preuves photographiques correspondantes".

  • Bonne idée ça , les photos, admit Cathy, j'en ferai moi aussi !

Cathy signa sa feuille sans hésitation et la tendit à son amie. Les deux femmes se regardèrent longuement sans sourire.

D'un commun accord, troublées comme elles l'étaient après l'écriture de ces contrats , elles convinrent de ne rien tenter dans l'immédiat, chacune pensant aussi être allée un peu loin.

La conversation reprit son court et les deux femmes se séparèrent dans la soirée, peu de temps avant le retour du mari de Nelly.

En rentrant chez elle, Cathy réfléchissait à sa tentative de séduction à venir , elle ne se sentait pas aussi sure d'elle qu'elle avait bien voulu le laisser paraître. Nelly , quant à elle , se montra particulièrement agréable avec son mari , ce soir la, déjà prête à lutter pour le garder.

Les deux jeunes femmes se retrouvant fréquemment en début de soirée chez Nelly, elles choisirent de ne rien changer à leurs habitudes, et au bout de quelques jours , le contrat fut presque oublié. Nelly n'y voyant plus qu'une plaisanterie.

Une dizaine de jours plus tard, les deux jeunes femmes décidèrent de faire les magasins ensemble. Le lèche vitrine leur prit toute l’après midi, et Nelly proposa à son amie de rentrer chez elle pour faire quelques essayages. Cathy monta en voiture avec Nelly, se rendant compte alors qu'il faudrait qu'elle se fasse raccompagner pour rentrer chez elle.

Chez Nelly , elles se reposèrent un moment avant de se livrer au plaisir de l'essayage de nouveaux habits. Le temps passa si vite qu'elles furent toutes surprises de voir Marc arriver .

  • mais quelle heure est il donc ? fit Nelly en le voyant

  • 19h30 ma chère je ne suis pas plus en retard que d'habitude , répondit son mari en l'embrassant tendrement sur les lèvres

Nelly frémit de plaisir à ce baiser , fière aussi de le montrer à Cathy.

  • il va falloir que je rentre, alors, annonça Cathy, pourrais tu me raccompagner ?

-oh reste donc dîner avec nous ,ca n'est pas si souvent, proposa Nelly toute enjouée.

  • avec plaisir , mais je ne veux pas déranger.

  • mais non, voyons tu ne nous dérange jamais , tu sais bien, et puis Marc te ramènera chez toi, n'est ce pas chéri ?

Marc, visiblement peu enjouée à cette idée répondit mollement

  • oui ...si vous y tenez

  • alors Cathy c'est d'accord, conclut Nelly ?

  • d'accord oui c'est gentil.

C'est en se rendant à la cuisine que Nelly réalisa ce qu'elle venait de faire. Confier son mari à caty était dangereux, elle allait avoir enfin l'occasion de se servir de ses charmes sur lui, ceci dit , allait elle vraiment le faire ? elle n'en parlait plus...

La soirée se déroula agréablement, Marc semblait tout heureux de diner entre ces deux jolies femmes.

Dés la fin du repas , caty leur fit part de son intention de rentrer chez elle, arguant qu'elle travaillait tôt le lendemain. Marc alla aussitôt se préparer et sortir la voiture . Pendant ce temps les deux amies restèrent silencieuses, imaginant ce qui pourrait se passer.

caty envoya un rapide au revoir a Nelly quand Marc lui fit signe que la voiture était prête. Elle s'installa a coté de lui et ils partirent rapidement . Sur la route caty réfléchit à toute vitesse : que faire ? Tenter de séduire Marc? En avait elle vraiment envie? D'un autre coté si elle ne tentait rien Nelly pourrait fort bien, exécuter les termes du contrat en sa faveur...Indécise sur la conduite a tenir , caty regardait Marc qui lui répondait par un sourire.

Ce fut arrivée chez elle qu'elle prit sa décision .

  • je t'offre un verre Marc ?dit elle en sortant de voiture, juste quelques minutes , je ne veux pas te retarder

Marc la regarda hésita, mais le beau sourire qu'il vit sur son visage l'incita a accepter

  • bon d'accord , mais 5 mn .

Ils montèrent ensemble jusqu'à l'appartement de caty et celle ci installa son invité sur le canapé.

-sers toi à boire le temps que je me change, lui fit elle

Pendant que Marc se servait à boire, elle alla dans sa chambre se déshabilla, et réfléchit à la tenue a mettre, autant mettre toutes ses chances de son coté ! Cathy réfléchit un moment en enlevant lentement ses vêtements, après tout , elle était chez elle , il était tard, il n'y aurait rien d'anormal à ce qu'elle se mette en chemise de nuit .

Elle choisit donc une chemise de nuit courte, en satin mauve qui lui arrivait à mi cuisse, par dessus elle enfila un peignoir léger en coton satiné assorti à la chemise de nuit. Elle passa a la salle de bain et se parfuma légèrement. Quand elle revint au salon , Marc s'était servi un verre et feuilletait distraitement une revue. Il leva les yeux vers elle , visiblement impressionné quand elle entra.

  • je me mets à l'aise , tu ne m'en veux pas dit elle de son plus beau sourire

Marc la regarda , admiratif.

  • non bien sur , répondit il avec un large sourire, tu es chez toi !

  • oui mais j'y suis bien seule tu sais, fit elle d'une voix triste

Marc la regarda a nouveau , semblant la découvrir

  • tu ne le mérites pas , tu es ravissante , tu sais

Cathy releva la tète vers lui et se tourna légèrement sur le coté , dévoilant légèrement sa poitrine. elle croisa les jambes et les pans de la chemise de nuit s'écartèrent dévoilant ses cuisses.

  • j'ai pourtant tellement de tendresse à donner fit elle d'une voix douce, et besoin d'en recevoir autant...

Marc la détailla de la tète aux pieds, et Cathy le sentit troublé, elle décida de pousser son avantage et se rapprocha de Marc jusqu'au effleurer son corps, elle laissa sa main glisser le long de sa cuisse jusqu'à venir toucher celle de Marc. Celui ci ne broncha pas, il la regarda dans les yeux pendant qu'elle lui souriait et il ne bougea pas quand il vit ses lèvres venir à la rencontre des siennes. Quelques instants plus tard, il l'enlaçait .

Pendant ce temps, Nelly avait débarrassé la table et , ne voyant rien d'autre à faire , elle s’était mise au lit, se tournant et se retournant dans son lit, guettant l'heure sur le réveil, espérant le bruit d'une porte qui s'ouvre. Elle attendit longtemps et son inquiétude alla croissante: qu'avait il put se passer entre caty et son mari, pourquoi ne rentrait il pas ?

Elle ne se souvenait pas à quelle heure il était parti, mais le temps lui sembla infini avant qu'elle entende enfin une porte s'ouvrir. Marc vint la rejoindre quelques instants plus tard.

  • c’était bien long , lui lança t 'elle des qu'il arriva.

  • elle m'a proposé de prendre un verre chez elle, expliqua t il, cela aurait été malpoli se refuser.

Il lui déposa un baiser, qui la fit frémir, puis se retourna et s'endormit rapidement. Nelly resta longtemps éveillée et inquiète, rien dans l'attitude son mari ne lui permettait d’être sûre de quoi que ce soit.

Les jours suivants, elle oublia presque cette soirée, Marc rentrait à la même heure que d'habitude, caty se faisait discrète. A peine sentit elle son mari un peu plus rêveur le soir. Quelques jours plus tard , il était aux environ de midi, elle reçut un coup de téléphone inattendu de caty.

  • bonjour Nelly , fit celle ci, comment vas tu ? Puis je t'inviter à déjeuner chez moi , demain midi ?

  • oui avec plaisir, Nelly avait plein de choses à dire à son amie , et puis elle voulait surtout savoir si elle avait tenté quelque chose avec son mari.

Elle se rendit donc chez son amie , le lendemain, peu avant midi. caty la reçu avec le sourire et les deux femmes se mirent à discuter de tout et de rien.

Le portable de caty sonna tout à coup , les interrompant

  • oui , disait caty au téléphone, oui ce midi comme d'habitude... disons dans 20 mn...

Puis se tournant vers Nelly et la regardant en face , elle ajouta :

  • je t'embrasse mon chéri

  • tu attends quelqu'un , s'inquiéta Nelly

  • oui , répondit caty, avec un sourire malicieux et elle se leva d'un pas décidé .

Elle alla ouvrir un des tiroirs d'une commode et en sortit plusieurs bobines de cordes et des foulards qu'elle jeta sur la table basse devant Nelly

  • oui , continua t elle , j'attends quelqu'un qui va faire que tu vas te retrouver ligotée et bâillonnée !

Nelly sursauta et se leva d'un coup

  • comment ça ? tu ne veux pas dire que toi et Marc... ?

Cathy se tourna vers elle , rayonnante

  • mais si , ma chère, depuis le soir ou il m'a raccompagnée... Tu vois comme mes charmes sont efficaces sur ton mari ? Toi qui en doutais !

  • je ne te crois pas ! Nelly était rouge de colère.

  • mais si tu ferais mieux de me croire, que crois tu qu'il fasse maintenant tous les midi ?

  • tu ne veux pas dire qu'il vient te voir tous les midis ? C'est impossible , il déjeune au bureau

Cathy regarda son amie d'un air navré

  • que tu es naïve , ma chérie !

Nelly ne savait plus quoi dire, elle se tordait les doigts. Pendant ce temps, Nelly défaisait les bobines de corde

  • tu ne me crois vraiment pas ? lança t elle , et bien tu vas pouvoir le constater toi même... Comme cela était prévu dans le contrat de toute façon...

Nelly se rapprocha de Cathy , inquiète

  • oublions ce contrat, c'était une plaisanterie, enfin ! dit elle d'une voix faible

  • d'accord, oublions le , admit Cathy, laisse moi juste le montrer à Marc quand il va arriver , ca nous fera bien rire !

  • oh non non, supplia Nelly

  • alors tu sais ce qui t'attends, approche toi !

Désemparée, ne sachant trop comment réagir, Nelly se laissai guider par Cathy. Celle si la prit par le bras et lui fit signe de rester debout juste au coin du canapé.

  • tu ne me crois pas , toujours ? fit elle d'un air amusé, et bien tu seras aux premières loges !

  • que veux tu dire ? s'inquiéta Nelly

  • tu verras bien, croise tes poignets dans ton dos !

Nelly hésita.

  • dépêche toi , Marc va bientôt arriver et je vais être obligé de lui raconter pas mal de choses ! Comment tu le laisses aux mains de ta meilleure amie...

Nelly pâlit.

  • non, non , ne lui dit rien!

Et docilement , elle croisa ses poignets dans son dos.

Cathy les saisit fermement , les rapprocha et se saisissant d'une corde, elle fit quatre tours serrés autour des poignets avant de les nouer par un nœud solide, avec les bouts de cordes qui lui restaient entre les mains, elles plaqua les poignets dans le creux de ses reins en tournant plusieurs fois autour de la taille de Nelly.

Celle ci tenta de se libérer mais ne put que constater que les nœuds étaient bien serrés. Elle vit Cathy se baisser devant elle et, prenant une corde, commencer à entourer ses chevilles. Elle fit plusieurs tours autour des chevilles avant de faire remonter la corde jusqu'à ses genoux ou elle fit faire encore plusieurs tours à la corde avant de nouer le nœud par devant.

Cathy se recula et jugea de son travail : Nelly essayait de gigoter dans ses liens mais ceux ci, bien serrés ne se défaisaient pas.

  • dépêchons nous , fit Cathy en revenant vers Nelly , Marc va bientôt arriver.

Nelly trembla à l'idée d'être surprise, ligotée face à son mari.

  • mais comment vas tu faire ? il va me voir la ? je ne peux plus bouger !

Cathy eut un petit rire

  • non il ne te verra pas , rassure toi, ceci dit tu auras intérêt à te faire discrète !

  • je ne comprend pas, soupira Nelly

  • tu vas comprendre, fit Cathy avec un sourire ironique

Elle prit un foulard et y fit un nœud en son milieu, elle l'approcha du visage de son amie et d'un geste ferme le plaqua sur la bouche entrouverte de Nelly. elle serra de toutes ses f o r c e s dans la nuque et Nelly émit un gémissement.

  • voilà tu es prête, fit Cathy en se tournant vers le canapé.

Nelly gémit sous son bâillon , tremblante à l'idée d'entendre son mari arriver.

Elle vit Cathy se pencher vers l'avant du canapé et, attrapant deux poignets chromés , tirer le long tiroir qui se trouvait sous l'assise . Elle en sortir des couvertures et un couette qu'elle se dépêcha d'aller ranger dans un placard. Elle revint se placer derrière Nelly et la saisissant fermement par les épaules , elle fit lentement basculer son amie dans le tiroir. Nelly plia les genoux pour ne pas tomber , les cordes rentrèrent un peu plus dans sa peau. Elle s'allongea de tout son long dans le tiroir, ne comprenant pas trop ce qu'elle faisait là.

Elle vit Cathy se saisir à nouveau des poignets du tiroir et sentit qu'elle commençait à le repousser à l'intérieur du canapé.

  • ah , je ne t'ai pas dit , lança celle ci, un large sourire au lèvres , ton mari adore faire ça sur le canapé !

Nelly émit un grognement en voyant Cathy disparaître à sa vue.

  • je t'avais bien dit que tu serais aux premières loges! continua Cathy , et ne vas pas faire pas de bruit surtout !

Nelly se retrouva dans le noir, ligotée et bâillonnée, elle essaya de remuer mais le tiroir était si petit et si bas qu'elle ne pouvait ni se relever ne se retourner. Elle tressaillit tout à coup en entendant le bruit de la sonnette à la porte d'entrée. Elle entendit Cathy se diriger vers la porte et l'ouvrir , un bruit de voix étouffées lui parvint , elle ne comprenait pas ce qui se disait mais elle reconnut cependant la voix de son mari. Elle les entendit s'approcher et quelques instants plus tard elle les sentit venir s'asseoir sur le canapé.

Elle n'osa plus bouger d'un pouce, craignant trop d'être entendue. Les éclats de voix au dessus de sa tète se firent plus doux, puis bientôt laissèrent la place aux frémissements d'une étreinte. Sa position devenait de plus en plus inconfortable : avec ses bras croisés derrière son dos, son incapacité à remuer et sa peur d'être entendue elle se savait plus quoi faire pour supporter sa position.. Elle maudit son mari et son amie qui, pendant ce temps, savouraient une étreinte coupable.

Au bout d'un long moment , les deux amants finirent par s'assagir, Nelly se retenait de toutes ses f o r c e s pour ne pas bouger. Enfin elle entendit la voix de son mari annonçant son intention de retourner au bureau. Cathy l'accompagna jusqu'à la porte et lui dit , assez fort pour être entendu de Nelly:

  • A demain , mon chéri !

Quelques instants plus tard, Cathy ouvrit le tiroir et dégagea Nelly. Avant de lui ôter son bâillon, elle l'avertit :

  • je te préviens, si tu dis un mot je te remets d’où tu viens !

Nelly fit signe qu'elle ne dirait rien et Cathy lui enleva lentement son bâillon.

  • alors qui a gagné, lança t elle à son amie ?

Nelly n'osa répondre

  • tu veux que je retrouve les termes du contrat ?

Nelly , trop choquée par ce qu'elle venir de vivre ne répondit toujours pas

  • attends je vais te le chercher !

Cathy disparut et revint quelques instants plus tard en lisant une lettre a voix haute :

  • " une fois que mademoiselle Brunner aura fourni la preuve de ses rapports amoureux avec mon mari , je lui reconnaîtrai le droit de disposer de mon mari autant qu'elle voudra, je serai maintenue ligotée et bâillonnée à chaque rapport avec mon mari, je pourrai également être maintenue dans cette situation dans le cas ou celle ci y trouverait un plaisir particulier "

Elle sourit largement à Nelly.

  • voyons ... comment vais t'attacher la prochaine fois ?

Nelly tourna la tète , prête a pleurer.

  • Ce n'est qu'une aventure sans lendemain pour lui, tu verras, dit t'elle d'une voix tremblante, je sais bien qu'il n'aime que moi, quoi que tu fasses tu n'y pourras rien.

Cathy fronça les sourcils, elle devait bien admettre que la remarque de Nelly pouvait être juste...

  • et bien puisque tu insistes , je te fournirai la preuve qu'il me préfère à toi !

  • ah oui et comment ? lança Nelly

Cathy réfléchit un instant

  • tu l'entendras dire qu'il me préfère à toi, tout simplement.

  • pas ici sur le canapé , rétorqua Nelly , je me doute bien de tout ce que l'on peut se dire après s'être embrassé !

Cathy réfléchit à nouveau, puis une lueur traversa son visage

  • d'accord ce ne sera pas ici, ce sera dans un endroit le plus neutre possible !

  • et s'il ne le dit pas alors notre contrat tombe à l'eau en tout cas la partie qui te concerne !

Cathy se mit à sourire

  • mais s'il le dit... Alors il est à moi... définitivement...

Nelly pâlit d'un seul coup, c'était prendre un gros risque, mais elle pensa à son mari: malgré ce qu'il venait de faire, il devait l'aimer , elle en était sure !

  • alors, allons compléter le contrat, fit Cathy en détachant Nelly.

Plusieurs jours passèrent et Nelly guettait sur le visage de son mari les traces de ses escapades chez Cathy , mais rien dans son attitude ne permettait de se rendre compte de quoi que ce soit , à tel oint qu'elle en venait à douter que ce fut bien lui qui fut avec Cathy , l'autre jour , il se montrait toujours aussi amoureux et prévenant. Pourtant elle l'avait bien entendu !

D'un autre coté , cet attitude la réconfortait un peu, elle y voyait comme un signe que ses sentiments pour elle n'avaient pas changés. Elle évitait désormais de fréquenter Cathy, elle se serait sentit trop honteuse en sa présence, elle regrettait amèrement l'amitié qui les unissait. Elle reçu pourtant un appel de Cathy la semaine suivante:

  • bonjour Nelly, il faudrait qu'on se rencontre tu sais

  • tu crois ? répondit Nelly , un peu agacée, nous n'avons plus grand chose à nous dire à mon avis.

  • mais si , fit Cathy d'une voix enjouée , tu seras toujours ma meilleure amie , tu sais bien !

  • oui, même après m'avoir volé mon mari , fit Nelly d'une voix sèche

  • allons , ma chérie, la calma Cathy d'une voix conciliante, c'était juste dans le cadre de notre contrat, je ne désire rien de plus je t'assure !

Nelly ne la croyais qu'à moitié

  • tu le vois toujours tous les midis ?

Elle sentit Cathy hésiter à répondre et l'espoir qu'il n'en était rien surgit tout à coup.

  • tous les midis ? s'étonna Cathy , je n'ai jamais dit qu'il venait me voir tous les midis , enfin ! écoute , si on se voyait un de ces jours , on en parlerait tranquillement .

Nelly acquiesça et les deux jeunes femmes se donnèrent rendez vous pour la fin de la semaine. Malgré leur diffèrent Cathy était bien contente d'avoir à nouveau quelqu'un à qui parler, même si c'était une ennemie...Elle discutèrent un long moment avant d'en venir au fait

  • tu veux toujours savoir si ton mari me préfère à toi ? Lâcha finalement Cathy

  • Autant le savoir , soupira Nelly, après un instant de réflexion

Cathy la regarda longuement

  • tu n'es pas obligée tu sais, insista t elle

  • si j'y tiens , corrigea Nelly et elle baissa la tète

  • j'ai pensé à une chose , fit alors Cathy : nous avons bien dit que Marc ne devait pas être influencé quand il donnera sa préférence

  • absolument , acquiesça Nelly

  • que dirais tu alors si cela se passait dans son bureau ?

  • dans son bureau , s'étonna Nelly

  • oui il y a bien assez de placard pour t'y cacher !

Nelly réfléchit, son mari avait en effet un bureau que lui même trouvait bien trop grand pour lui ; des armoires et placards divers en occupaient une partie.

  • même si je peux m'y cacher, admit Nelly, cela ne changera rien au fait qu'il te dira ce qui te fera plaisir !

  • ce n'est pas a moi qu'il le dira, corrigea Cathy

Nelly leva les yeux étonnée ?

  • mais à qui donc , veux tu qu'il en parle ?

  • à Émilie, la secrétaire, nous avons fait connaissance toutes les deux , je suis passée chercher Marc au bureau quelquefois déjà...

Nelly sursauta, outragée

  • quoi tu veux dire que même elle est au courant ?

  • elle seule , rassure toi, je ne lui ai jamais rien dit , quand même , mais elle a été assez maligne pour comprendre.

Nelly fronça les sourcils, elle avait deja vu cette Émilie et l'avait trouvée bien gentille

  • donc continua Cathy , je vais charger Émilie de poser la question à Marc, toi tu seras aux premières loges pour avoir la réponse, correct non ?

et comme Nelly tardait à répondre :

  • je t'installerai dans son bureau bien avant qu'il arrive , ne t'inquiète pas , et je reviendrai te chercher très vite.

Cette situation paraissait bien inconfortable à Nelly et un peu scabreuse, mais elle avait l'avantage de tout tirer au clair avec Cathy. Aussi se laissa t elle rapidement convaincre de l'intérêt du stratagème. Et puis elle gardait toujours espoir de savoir que Marc la préférait à Cathy.

Les jours suivants , Nelly se fit très prévenante et autant qu'elle put , sensuelle et suggestive avec Marc, celui ci parut tout de suite charmé de ses attentions et Nelly reprit confiance.

Quelques jours plus tard, Cathy la rappela :

  • quand es tu prête à venir dans le bureau de Marc , demanda t elle d'emblée

Un peu prise au dépourvu, Nelly finit par répondre

  • je ne sais pas, le plus tôt sera le mieux !

  • alors prépare toi , conclu Cathy ,je t'attends à midi, on fera vite , Marc revient de bonne heure.

Nelly se dit qu'elle connaissait décidément bien Marc, pour savoir à quelle heure il rentrait de déjeuner , elle même n'en savait pas tant...

Elle gara sa voiture dans un parking discret et se rendit à pieds au bureau de son mari. Cathy l'attendait à la porte. A peine Nelly fut elle entre qu'elle la prit par le bras et la poussa dans l'escalier.

  • dépêchons nous disait elle , Émilie , n'est pas la non plus, nos avons juste quelques minutes. Elles arrivèrent à l'étage ou travaillait Marc , passèrent devant un secrétariat désert, et entrèrent dans le bureau de Marc

Cela faisait longtemps que Nelly n'y était pas entrée et elle ne reconnaissait plus les lieux, elle tournait sur elle même quand Cathy l'appela

  • viens par ici, regarde !

Cathy lui montrait un placard à portes battantes ouvertes dans la fond du bureau..

  • on va t'installer là, fit elle

Nelly regarda le placard avec suspicion

  • mais il est tout petit, et tu veux que je rentre la dedans !

  • mais oui , bien, plus c'est petit , mieux c'est , il ne faut pas que tu bouges , imagine que ton mari entende ! tu lui expliquerais comment ta présence ici ?

Nelly pâlit à l'évocation de cette scène . Sans un mot , elle se glissa dans le placard. Elle ne pouvais s'y tenir que par terre le jambes repliées, la tète penchée en avant, touchant le haut du placard. Elle commença à gigoter pour se sentir plus à l'aise

  • tu ne peux pas continuer à bouger comme ça , lui fit Cathy d'un ton ferme, il t'entendrait

  • que fait on alors ?

Pour toute réponse Cathy sortit du placard à cote plusieurs paquets de cordes. Elle en prit un et d'autorité, saisit les poignets de Nelly pour les ligoter

  • mais que fais tu, s'étonna celle ci sans oser l'en empêcher.

  • c'est pour que tu ne bouges pas, sinon imagine !

Nelly se laissa alors docilement ligoter d'abord les poignets, puis les chevilles et les genoux, enfin Cathy lui passa une corde sur la poitrine, juste en dessous des épaules qu'elle tira droite devant elle jusqu'à aller l'attacher à celle des genoux, obligeant Nelly à rester penchée en avant. Elle saisit à nouveau les poignets de Nelly et les fixa eux aussi a la corde des genoux. Elle se releva , jugeant de son travail. Nelly se mit à grogner

  • j'espère que ça ne va pas durer trop longtemps !

  • oh j'oubliais, fit Cathy

Elle prit un foulard dans le placard et, avant que Nelly ait pu réagir, le plaqua sur sa bouche avant de se serrer dans la nuque. Nelly se mit à grommeler sous son bâillon.

  • non ça ne suffit pas, il peut t'entendre, constata Cathy .

Elle s'éloigna vers le bureau de Marc et en revint avec un rouleau de ruban adhésif . elle se pencha vers Nelly et lui plaque le rouleau sur la bouche avant de faire plusieurs tours autour de la tète. Elle se releva, contempla son œuvre et satisfaite, lança à son amie :

  • écoute bien ton mari , et sois sage !

Cathy dut pousser de toutes ses f o r c e s pour refermer la porte du placard sur Nelly. Celle ci l'entendit ensuite faire tourner une clé dans la serrure. L’idée que Cathy la mettait sous clé l'inquiéta, mais en même temps , la rassura, au moins son mari ne risquait pas de la découvrir. Elle tenta de remuer un peu , mais coincée et ligotée comme elle était , elle ne put faire aucun mouvement.

Elle sursauta presque pourtant en entendant son mari entrer dans le bureau, bavardant avec ses collègues de travail. Ceux ci disparurent rapidement et elle n'entend plus que des bruits de papier froissés. Quelqu'un frappa à la porte du bureau puis entra , sans même attendre le réponse de Marc

  • Marc j'ai eu un appel de Cathy à l'instant , elle était pressée, elle demande ce que tu fais demain midi.

  • tiens elle le tutoie, eut le temps de remarquer Nelly

  • demain midi, disait Marc, voyons...

Il réfléchissait visiblement

  • tu hésites à aller la voir c'est ça ?

  • oui un peu j'avoue

Émilie lança alors :

  • tu hésites ? Dis moi donc qui tu préfères , Cathy ou ta femme ?

Nelly retint sa respiration, elle allait enfin savoir

  • qui je préfère, quelle question ! fit Marc, presque en riant, Émilie, voyons ! Ma préférée, tu sais bien que c'est toi, chérie !

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