Belle mais redoutable

Catégories : Rencontres FESSEE, éducation anglaise canne fouet Femme et Homme Hommes fessés
il y a 6 ans

Je fréquentais alors l’une des plus strictes écoles de Londres où l’on ne badinait pas avec la discipline. Il était notamment de règle que tous les élèves arrivent à l’heure, tout retard non justifié vous valant une punition corporelle sans délai. J’étais habituellement un bon élève, mais ma regrettable manie d’être souvent en retard ne me mettait nullement à l’abri de ce genre de punitions. C’est ainsi que, ce défaut grandissant avec l’âge, j’en reçus près d’une dizaine.

La plupart des corrections pour fautes mineures étaient administrées dans le bureau de notre monitrice d’éducation physique, Miss Julia. Et je dois dire que cette jeune fille était assez indulgente pour que ses fessées réussissent à modifier quoi que ce soit dans mon comportement. Mais les choses changèrent du tout au tout ! Miss Julia et fut remplacée par une nouvelle monitrice, la redoutable Miss Lisbeth.

C’était une grande et superbe jeune femme de 25 ans environ. Dès le premier jour, elle nous fit une grande impression tant par sa prestance que par son autorité. Elle avait toujours une ceinture de cuir ou une longue règle à portée de main dont je n’allais pas tarder à comprendre l’usage.

Les premiers temps où elle prit ses fonctions, j’arrivais en retard une fois de plus et le professeur du moment m’envoya à son bureau. A peine entré, je me sentis tout penaud mais aussi terrifié à la vue de sa grande silhouette et surtout de la ceinture de cuir souple qu’elle agitait dans une main d’une façon menaçante.

Ce jour-là, j’étais le seul élève à arriver en retard, aussi m’interrogea-t-elle sur mes funestes habitudes avant de me réprimander longuement. Je pensais alors être tiré définitivement d’affaires lorsqu’elle me renvoya en classe muni de ce seul sermon.

La surprise – bien mauvaise, hélas ! – survint plus tard en fin de matinée à l’heure de la récréation qui précédait le repas de midi.

Elle me cueillit à la sortie de ma classe et me donna l’ordre de me mettre à genoux en pénitence dans la cour devant toute l’école jusqu’à la pause du repas.

À l’heure du déjeuner, elle vint vers moi et me demanda de la suivre. Elle me conduisit dans son bureau et retrouva alors sa longue règle. Et me répéta alors que le retard était une faute inexcusable est qu’elle ne pardonnait personne dans ces cas-là. Puis elle m’ordonna et de baisser ma culotte, de retrousser ma chemise et de me courber au-dessus de son bureau. J’étais trop désemparé pour oser lui résister.

Puis je sentis ses mains saisir mon slip par côtés et l’étirer fortement vers le haut de sorte que l’étoffe se resserrant en une mince bande mes fesses se retrouvèrent quasiment sans protection aucune. La sensation de pression était nouvelle pour moi et pire que si mon derrière avait été entièrement dénudé. Puis, tout en maintenant mon slip d’une main Miss Lisbeth commença à fouetter mes fesses à demi nues et l’arrière de mes cuisses à l’aide de sa règle. La force de ses cinglées me mit aussitôt en larmes, pleurant peut-être inconsciemment le départ de Miss Julia.

Après environ une bonne douzaine de cinglées, elle s’arrêta et m’avertit qu’à la prochaine récidive elle m’administrerait une correction nettement plus sévère. Après la pause repas, elle me fit mettre de nouveau à genoux et cette fois ce fut plus affreux car juste au-dessous des bords de ma culotte courte tout le monde pouvait voir les traces rouges de la règle ressortir sur la peau blanche de mes cuisses.

Avec le temps, je finis bientôt par oublier la correction et j’arrivais en retard une nouvelle fois le mois suivant. Me revoyant dans son bureau, Miss Lisbeth fut furieuse. J’eus alors un autre aperçu de sa façon de corriger. Elle m’empoigna par le col de ma chemise, me déculotta complètement et, délaissant sa règle pour la ceinture de cuir, fouetta mes fesses toutes nues de huit coups qui me laissèrent suffoquant de larmes.

Puis elle me fit mettre à genoux le temps de me reprendre avant de me donner l’ordre de me reculotter et de regagner ma classe. Je crois que c’est cette dernière correction de la main de cette belle et sévère jeune femme qui me donna le goût d’un certain « revenez-y »

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement