Correction bien méritée

Catégories : Hommes fessés
il y a 4 ans
Je le reconnais, je l’avais cherchée cette fessée.

Mais voilà, à f o r c e de me faire déculotter devant des filles… j’y avais pris goût. Ce goût qui persiste encore aujourd’hui d’ailleurs. Qu’avais-je donc fait pour mériter cette correction-là ? Une comme ma mère ne m’en avait encore jamais donné, comme j’allais le découvrir.

J’avais seize ans à l’époque et j’avais accumulé les stupidités pendant une petite semaine pour chauffer l’affaire : mauvais comportement, réponses insolentes, désordre savamment organisé dans ma chambre…

Et puis vint ce moment fatal. Ma sœur et ses copines, deux filles de quinze ans, étaient à la maison. J’en pinçais pour l’une d’elles qui me troublait beaucoup. Ma mère me demanda un service. Et je lui répondis follement : « m e r d e ! ».

Ma mère changea de couleur et ma sœur blêmit.

« Au coin ! » m’ordonna-t-elle immédiatement d’une voix glacée en désignant le coin de la cuisine où ma sœur et moi devions souvent séjourner en pénitence.

Pour faire bonne mesure dans la provocation, je haussai les épaules mais je lui obéis, me mettant au coin en riant sous cape.

Les deux copines un peu gênées – cela s’entendait au son de leur voix – devaient me reluquer en se demandant ce qui allait se passer.

Moi je le savais, du moins, je le croyais.

J’entendis ma mère s’approcher de moi par derrière. Sans prévenir, elle dégrafa mon jeans et… l’instant d’après, pantalon et slip étaient autour de mes chevilles ! Ce rituel inhabituel étant au coin m’inquiéta un peu, mais je me dis que ce n’était sans doute rien d’autre que pour me faire honte en présence des filles.

J’entendis la porte s’ouvrir et se refermer ainsi que les pas de ma mère s’éloigner.

« Non mais ça ne va pas ! me fit ma sœur. Comme si tu ne savais pas ce qu’elle va faire ! »

« Oh ! Ça va. La fessée j’en ai déjà eu, c’est pas bien grave ! »

De petits « oh » intéressés et et émoustillés se firent entendre du côté des copines.

« Je crois que tu te trompes, idiot, de toute façon tu vas vite t’en rendre compte! »

Ma sœur avait souvent raison et je savais aussi qu’elle avait déjà été punie sévèrement. Avait-elle encore raison aujourd’hui ?

Ma mère revint.

« Didier, pour ton insolence, tu compteras 25 coups. »

Je soupirais. J’avais connu bien pire. Soulagement de courte durée, hélas !

« A 16 ans, tu n’es plus en âge pour une simple fessée. Tu vas donc recevoir 25 coups de badine et 25 de ceinture! »

Ça, ce n’était pas prévu.

Je fus contraint de me diriger vers la table de la cuisine et de me pencher au-dessus en offrant aux trois filles le meilleur de mon anatomie de garçon.

Je me souviendrai toujours du premier coup de badine : une tige fine et souple que ma mère venait de couper dans un taillis et qu’elle n’avait pas complètement écorcée.

Je gémis en comptant ce premier coup.

Pour cette première partie, l’artiste se limita – si c’est le mot – à me cingler les cuisses. Je dansais au troisième coup. Je pleurais au cinquième et s a n g lotais au dixième. J’avais l’impression qu’elle m’avait appliqué un fer rouge sur les cuisses.

Une pause marqua l’intervalle entre les deux corrections. Je pus me relever et danser d’un pied sur l’autre en frictionnant mes cuisses sous les regards médusés des deux copines. Mais ma sœur, qui avait déjà subi ce genre de correction, me regardait calmement.

Avec cette badine flexible, c’étaient de véritables traits de feu qui venaient de brûler mes cuisses, mais quand j’eus repris la position et que la ceinture de cuir entra en action, visant cette fois toute la surface dénudée de mes fesses, elles se mirent aussitôt à flamber. Je criai dès le troisième coup. Autant que la douleur, mon manque de courage me fit monter le rouge aux joues. Mais je suis sûr que les filles n’auraient pas fait mieux.

Ma mère savait manier la ceinture avec habileté. A chaque cinglée, je sentais la perfide caresse du cuir sur mes fesses nues avant sa frappe fatale. Elle me fouettait avec détermination et les impacts se faisaient de plus en plus forts comme pour me punir en brisant ma volonté.

Le sentiment que les filles étaient en train de me regarder souffrir fut pour moi une sorte de stimulant pour résister à mon envie de me trémousser et de hurler sous les cinglées. La correction terminée, je me reculottai en vitesse trop content d’échapper à leurs regards moqueurs.

Le reste de la semaine, j’éprouvai quelque difficulté à m’asseoir confortablement et au cours de sport, je fis de mon mieux éviter les questions des copains.

En réalité, une seule des deux filles s’était un peu moquée de moi durant la correction. Quant à l’autre, celle qui me plaisait tant, je l’appris plus tard de la bouche de ma sœur, elle était corrigée de la même façon que nous.

Cette nouvelle changea ma façon de la voir. Je rêvais de la voir en une telle posture en train de se faire fesser.

Didier

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Ah, les fessées devant des filles! Que c'est mortifiant! Mais comme ça peut aussi être jubilatoire.
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