Vicky

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il y a 4 ans

Devenir esclave l'a libérée

Je suis assise au bureau de réception. Aucun visiteur n'attend et seulement quelques rares techniciens sont au travail aujourd'hui. Le téléphone est désespérément silencieux. Je n'ai aucune demande d'information dans ma boite de réception. Même ma boite de courriel est vide, je n'ai que quelques pourriels à éliminer.

Je suis seule avec ma détresse sans rien pour me changer les idées. Je sens la noirceur du désespoir m'envahir.

Je me remémore sans cesse la soirée d'hier. La réception était un baume sur ma vie brisée. Je ne me souviens plus la dernière fois où je suis allée au restaurant. Cela devait faire des années que je ne m'étais pas fait servir. Et puis le vin était bon. J'en ai peut-être pris un peu trop, mais je sais que je n'ai pas été déplacée. J'ai dansé avec quelques confrères après le repas. À minuit, nous avons eu droit à un morceau de tiramisu avec du champagne. C'était la première fois que je mangeais du tiramisu, c'était magique. Puis la soirée était terminée.

Il était 2 h du matin quand je suis rentré à la maison. Mon mari m'attendait en écoutant la télévision. Depuis plusieurs mois, il tentait de m'aider à m'améliorer en tant qu'épouse. Si seulement je pouvais être plus belle, plus compréhensive, plus capable, je n'en serais pas là. Nous nous sommes mariés il y a cinq ans, je venais d'avoir 18 ans et je n'étais que trop heureuse de quitter la maison.

Quand ma mère est décédée, mon père me faisait continuellement comprendre que je n'étais pas aussi bonne que ma mère. Je n'étais qu'un laid petit canard pour lui. Les repas que je lui préparais n'étaient jamais assez gouteux, le ménage de la maison était toujours à refaire. J'étais trop bruyante et je le dérangeais continuellement. À l'école, les élèves riaient de mes vêtements, je n'avais pas d'amie.

Alors à 2 heures du matin quand je suis entrée à la maison et que mon mari, avant de me dire un mot, il m'a giflée, j'ai compris que j'avais fait quelque chose de grave, encore une fois.

« Tu sens l'alcool. J'imagine que tu as laissé tous les employés te tripoter. » « Non! Tu sais bien que je ne ferais pas cela. » « Tu me mens toujours! »

Il m'a alors giflé encore une fois.

« Va-t'en. Je ne peux plus endurer tes mensonges. Va-t'en sinon je vais te tuer pour te faire taire. Tu n'es qu'une pouffiasse. Je ne peux plus te tolérer. » « Mais... »

Cette fois, il m'a frappé dans le ventre et poussé contre la porte.

« Va-t'en et ne reviens jamais. Je vais bruler tes cochonneries. Je vais t'effacer de la surface de la Terre »

Il a ouvert la porte et m'a poussé dehors. Je suis tombé sur le trottoir. Quand je me suis relevé, la porte était fermée à double tour.

J'ai couché dans ma petite voiture et ce matin je me suis lavée dans la toilette du bureau. Je ne pouvais qu'espérer que personne ne rirait de moi parce que je portais les mêmes vêtements qu'hier soir.

Demain quand la compagnie fermera pour le congé des fêtes je ne sais pas où je vais aller. Je n'ai pas de carte de crédit et depuis longtemps mon mari a confisqué ma carte bancaire et retiré mon nom comme bénéficiaire de mon compte de banque. Il a tout mon argent, toutes mes économies. Même mon auto est à son nom.

La seule solution que je pouvais envisager était que monsieur Lechasseur, mon jeune patron, accepte de me faire une avance substantielle en argent. Je me sens tellement désespérée.

Finalement, il arrive à 10 h. Je n'avais eu qu'un appel dans les deux dernières heures. Le reste du temps, je l'ai passé assise sur mes mains en essayant de ne pas pleurer.

« Bonjour Vicky. Est-ce que cela va? »

Son visage est souriant. Monsieur Lechasseur à 35 ans, il a fondé son entreprise à 18 ans. C'est un génie de l'informatique. Il a tout pour lui, il est intelligent, il est beau, je suis certaine qu'il est riche et sa femme est magnifique. Je comprends que la compagnie va très bien, un peu moins de 100 personnes y travaillent. Ils font des programmes informatiques pour d'autres compagnies où ils testent de programmes pour d'autres compagnies, je ne suis pas certaine de comprendre.

J'ai commencé à travailler ici il y a 6 mois. Au début comme temporaire, puis après 2 mois, monsieur Lechasseur a acheté mon contrat à l'agence de placement.

« Oui Monsieur. C'est tranquille. Je me demandais si je pourrais vous parler... » « Bien sûr. Qu'est-ce que je pourrais faire pour toi? » « Pas ici... Est-ce que je pourrais passer à votre bureau s'il vous plait? »

Je ne le regardais pas, j'avais trop peur, j'avais trop honte.

« Donne-moi 10 minutes et viens me rejoindre. » « Merci Monsieur »

J'ai fait les renvois d'appels vers les boites vocales, puis je suis passée à la toilette pour me préparer à la rencontre. Une fois seule dans la toilette, j'ai pleuré longuement. Puis je me suis souvenue que je n'avais que quelques minutes. J'ai tenté de me concentrer, mais quand j'ai vu mon visage dans la glace j'étais défaite.

J'ai cogné à la porte du bureau qui était ouverte pour m'annoncer. Il regarde avec intensité son écran.

« Prends place, je n'en ai que pour une minute. »

Je m'assis sur mes mains, prenant soin de plier ma jupe pour éliminer le surplus de tissu. Mes genoux sont collés l'un contre l'autre et mon regard est au sol.

« Alors, dis-moi ce que je peux faire pour toi Vicky. »

Il me regarde et ajoute. « Mon dieu, tu as les yeux rouges, qu'est-ce qui se passe? » « Monsieur, je ne veux pas vous embêter avec toute mon histoire, mais... »

À ce moment, je me mets à pleurer comme une madeleine. Il sort de derrière son bureau et vient s'accroupir à mon côté. Il me tend un mouchoir.

« Voyons Vicky... » « Monsieur... j'ai besoin d'argent... pouvez-vous... » « Vicky, explique-moi ce qui se passe. »

J'ai de la difficulté à parler tant je s a n g lote.

« Mon mari... il m'a jetée à la rue... j'ai besoin d'argent... une avance... » « Voyons Vicky. Tu ne peux pas rester comme cela. Pas avant les fêtes. Je vais m'occuper de toi. Laisse-moi parler à ma femme. Reste ici. »

Sans attendre, il se lève et me laisse seule dans son bureau. Je ne suis plus capable de m'arrêter de pleurer. Il n'a pas été parti longtemps.

« Ma femme s'en vient Vicky. Tu vas passer les fêtes chez nous. Tu vas voir, tout va bien aller, si tu fais ce que l'on te dit. »

Je pleure encore et mon nez coule. Je ne peux que deviner à quel point je suis laide en ce moment. Je suis incapable de lui dire un mot. Tout ce que je suis capable de faire c'est de lui sourire.

« Attends ici, ma femme va venir te chercher et je vais m'assurer que personne ne te voit dans ton état. Nous allons bien nous occuper de toi. Tu vas voir, nous allons passer de belles fêtes ensemble. »

Trente minutes plus tard, madame Lechasseur est entrée dans le bureau. Elle a le visage d'un ange qui vient me sauver.

« Pauvre Vicky. Mon mari m'a tout dit. Je t'emmène à la maison. Tu vas prendre un bon bain puis te reposer. J'organise tout, laisse-toi faire. Ça va? »

Entre deux gros s a n g lots, je lui dis :

« Merci Madame, merci pour tout » « Laisse les clefs de ta voiture sur le bureau de Jean. Il va s'occuper de la faire apporter à la maison » « Oui. Elles sont dans mon sac à main à mon bureau... » « Peux-tu me donner les coordonnées de tes parents? » « Dans mon sac... Mais ne téléphonez pas... » « OK. Alors, laisse tout là-bas, je vais lui expliquer tantôt. » « Merci Madame. »

Elle a passé un bras autour de moi, pour me soutenir, puis nous nous sommes dirigés vers son véhicule. Moins de trente minutes plus tard, nous arrivons à leur maison. Je sens que mes yeux sont bouffis et il me semble que mon regard est caché par un voile. Je peux quand même voir la grandiose résidence de brique brune, très moderne. Elle est entourée d'une grille qui s'ouvre quand le véhicule s'approche. Une grande porte de garage s'ouvre au même moment et le véhicule ne s'arrête pas avant d'être à l'intérieur. Le garage semble aussi grand que mon ancienne maison. À la pensée de ma maison, j'ai un pincement au cœur.

Nous entrons dans la maison et immédiatement nous sommes accueillis par une jeune femme qui est en habit classique de domestique.

« Bonjour Madame »

Elle a un joli accent européen. Elle est très mince et de beaux traits.

« Vicky, je te présente Natasha, notre aide-domestique. Natasha, va préparer mon bain. » « Oui Madame. »

Sans attendre, Natasha nous laisse seules.

« Viens. »

Madame Lechasseur m'a fait visiter une partie de la maison. Nous sommes allés à l'étage ou il y a trois chambres. Elle m'explique qu'il y a une section avec d'autres chambres incluant celle de Natasha. Finalement, elle me fait pénétrer dans une grande chambre toute blanche. Je n'en ai jamais vu d'aussi grande. Il y a plusieurs portes à ma gauche et à ma droite. Un mur complet est vitré du sol au plafond. Le lit est énorme et recouvert d'une grosse douillette attirante et de gros oreillers.

Elle prend ma main et me tire vers la porte à ma gauche. Elle fait glisser la porte dans le mur pour me faire voir la salle d'eau. Natasha est là, elle a une main dans l'eau du bain qui est laiteuse. Une douce odeur s'en dégage et je peux sentir la chaleur et l'humidité qui se dégage du bain. La salle est immense selon mes standards. Il y a une très grande douche vitrée, un mur couvert d'une grande glace. Il y a deux lavabos, une toilette carrée et ce qui me semble être une deuxième toilette. Le mur opposé à la glace est entièrement vitré et un voile blanc le couvre. Je peux voir la blancheur de l'hiver par la fenêtre.

« Vicky, déshabille-toi et donne tes vêtements à Natasha pour qu'elle en dispose. » « Mais... »

Je regarde le sol, je me sens rougir.

« Qu'est-ce qui se passe Vicky? Est-ce que cela te gêne? »

Je ne savais que faire. Je me savais rouge de gène et de honte. Depuis le décès de ma mère, personne ne m'avait vue nue. J'évitais de prendre certains rendez-vous avec mon médecin, j'évitais de me changer devant mon mari et si nous faisions l'amour c'était dans la noirceur. Je dormais habillée d'un pyjama de coton. Quand j'ai relevé les yeux, je ne savais quoi dire. Je sentais que j'avais les yeux pleins de larmes.

« Allons, allons. Voici ce que nous allons faire. Natasha et moi allons sortir un instant, déshabille-toi et laisse tes vêtements sur la chaise là. Entre dans l'eau et nous reviendrons te voir ensuite. Qu'en dis-tu? »

J'étais un peu soulagée. Je me trouve tellement idiote.

« Merci Madame. » « Tu sais que nous sommes entre femmes. Tu n'as pas à avoir honte de ton corps. »

Je ne lui ai pas répondu. Devant mon silence, les deux femmes sont sorties de la salle d'eau et ont refermé la porte coulissante. J'ai fait ce qu'on m'a demandé, prenant soin de plier mes vêtements. J'ai placé mes chaussures sur mes vêtements puis je me suis dirigée vers le bain. Avant d'y entrer, j'ai jeté un regard à la glace qui me reflétait mon image. Ma peau est tellement blanche. Elle est laide. Et que penser de ces poils sous mes bras et à mon entrejambe? Mes membres semblent flasques.

J'entre dans l'eau qui cache mon corps. Il me semble qu'on ne voit qu'un peu le rose de mes mamelons alors je place un bras pour les cacher. L'eau est très agréable, le bain très grand. J'ai pu m'installer dans ce qui me semble être un siège au fond du bain. Il y a suffisamment de place pour une autre personne. En fait, je sonde avec ma main gauche et je sens une dépression qui a la forme de l'autre siège sous l'eau. Derrière la porte j'entends :

« Est-ce qu'on peut entrer? »

Faiblement, je réponds :

« Oui, venez »

La porte glisse. Les deux femmes entrent. Natasha va directement à mes vêtements qu'elle prend dans ses bras. Elle quitte aussi vite la pièce et coulisse la porte pour la refermer. Je suis seule avec madame Lechasseur. Sans me dire un mot, elle retire ses escarpins, elle détache et fait glisser sa robe. Elle a sur elle un porte-jarretelles en dentelle et des bas noirs. Sa culotte et son bustier sont assortis. Je remarque alors son corps musclé et ses seins ronds et fermes. Quand elle retire son bustier, ses seins restent bien droits malgré leurs tailles. Ses mamelons sont foncés et durs. À cette pensée, je cesse de la regarder et je fixe mon regard sur la grande fenêtre.

« Avance-toi un peu ma belle. »

Sans penser, je fais ce qu'elle me demande. Je replie un peu mes jambes et j'avance mes fesses. Je la sens glisser derrière moi. Ses jambes glissent à mes côtés me f o r ç a nt à me déplacer vers le centre du bain. Je tends mes muscles pour maintenir une distance entre elle et moi.

« Détends-toi. Tu as eu une dure journée. Je vais te masser un peu le cou, cela te fera du bien. »

Je ne bouge pas, mais je la sens se pencher vers moi. Je sens ses seins s'appuyer contre mon dos. Elle passe ses mains autour de mon thorax et attr a p e mes mains qui cachent mes seins.

« Vicky, détends-toi. Laisse tes bras mous, je ne peux te voir dans ma position. Relaxe-toi. »

Elle place mes mains sur ses cuisses puis elle les remonte vers mes épaules. Elle me tire vers elle pour que je dépose mon corps sur le sien.

« Madame... » « Ferme tes yeux. Il ne t'arrivera rien de mal ici. »

Je fais ce qu'elle me dit. Je ferme les yeux et je tente de me relaxer. Elle commence à me masser doucement les épaules, puis la tête. Après quelques minutes, son massage devient plus énergique. Elle me fait avancer un peu et me masse ensuite le dos. Ses manipulations me font réellement sentir mieux. J'oublie lentement ma dure nuit. Elle me fait déplacer dans le deuxième siège, puis elle se retourne et manipule un petit panneau de contrôle. Le bain se met à bouillonner, des jets d'eau chaude s'activent en alternance sur tout mon corps. Je sens les bulles éclater près de mon visage, venir l'humecter.

Je sens la jambe gauche de madame Lechasseur contre la mienne. Elle me caresse l'intérieur de la cuisse. Instinctivement, je referme un peu les jambes et elle cesse sa caresse.

« Tu aimes? » « Oui. Merci Madame. Je ne sais pas comment je vais pouvoir vous remettre tout cela... » « Sottise. Tu es notre cadeau de Noël. Ne t'inquiète pas. »

Je lui souris.

« Merci Madame. »

Elle ne me répond pas. Ses yeux sont fermés, elle semble relaxer. Alors je me ferme les yeux et je fais comme elle, j'appuie ma tête contre un coussin et je laisse le bain faire son travail. Les jets continuent leur massage sur tout mon corps. De temps à autre, des jets sous mes fesses et près de ma fente se mettent en action. C'est agréable, mais je ne laisse rien voir.

Après un moment, j'entends madame Lechasseur soupirer. Je la sens vibrer à mes côtés. J'ouvre un peu les yeux et je peux voir qu'elle a une main sur ses gros seins. Je crois qu'elle pince un mamelon, mais par pudeur je referme les yeux. Je dois m'être assoupie, car la prochaine chose dont je me souviens c'est qu'elle me caresse à nouveau la cuisse et elle me parle doucement à l'oreille.

« Réveille-toi Vicky, ma chérie. »

J'ai ouvert les yeux et je lui ai souri.

« Tu dormais depuis un moment. Viens. Je vais te sécher. Ensuite, tu vas aller faire une sieste. »

Avant que je ne réponde, elle sort du bain, l'eau coule sur son magnifique corps, elle le rend luisant. Elle me tend la main. Je ne me sens pas capable de refuser, mais je ne peux me résoudre à lever les yeux. Je me lève et avant même que je ne sorte du bain elle me dit.

« Que tu es belle! Ton corps est parfait. »

Je crois qu'elle rit de moi. Je ne lui réponds pas et je garde le regard au sol tout en enjambant le bain pour me retrouver nue devant elle. Elle prend une grande serviette en ratine et m'éponge tout le corps de haut en bas. Ses mains passent sur mes seins et mon entrejambe sans s'arrêter. Ensuite sans me faire retourner elle se met en devoir d'éponger mon dos. Elle love son corps contre le mien pour ce faire.

Son visage est contre le mien puis lentement elle plie les jambes et descend m'essuyer. Son visage arrive à la hauteur de mes seins. Elle appuie doucement son nez contre mon sternum. À partir de ce point, lentement, elle descend en caressant mon ventre avec son nez. Ce contact me donne la chair de poule. Arrivée à mon nombril, elle dépose un très léger baiser sur le bas de mon ventre. Elle se relève et s'écarte de moi.

« Je vais hydrater ta peau et ensuite tu iras te reposer. » « Madame... »

Avant que je ne puisse dire un mot de plus elle faisait couler une huile dans ses mains. Lentement, elle a caressé tout mon corps avec ses mains huileuses. Au début mon cou, qu'elle a légèrement massé. Ensuite, elle a huilé mes épaules, mes bras et mes mains. Elle passe soigneusement entre chacun de mes doigts. Elle dépose ses mains sur mes cuisses puis elle répand de l'huile sur ma poitrine. Elle fait glisser ses mains sur mon thorax prenant soit de couvrir mes seins. Elle passe ses pouces sur mes mamelons qui sont durs. J'ai honte, ils sont tellement laids, trop gros. Ma mère me disait toujours de les cacher telle une tare.

Heureusement, elle ne s'y attarde pas. Avec plus d'huile dans ses mains, elle caresse mon abdomen. Elle me fait tourner et me caresse de la nuque aux fesses. Puis elle s'attaque à mes jambes. Je me sens la tête chaude, le visage rouge. Elle débute à mes pieds pour lentement remonter et terminer en prenant les lobes de mes fesses. Je sens qu'elle se love contre moi. Ses seins appuient derrière mes cuisses. De cette position elle couvre le devant de mes jambes avec de l'huile. Tout mon corps sent la vanille.

Elle prend un grand soin de mes genoux puis attaque mes cuisses. Je mets mes mains devant mon pubis pour protéger ma vulve. Quand elle arrive à mon entre-jambes, elle me f o r c e à écarter mes mains, mais elle ne couvre que mon aine avec l'huile. Elle contourne ma zone poilue et elle se relève en glissant ses mains sur mes côtés. Je me sens excitée et gênée de l'être.

Elle me claque une fesse et me dit :

« Allez, va faire une sieste, je vais m'assurer que tu ne seras pas dérangée. »

Elle me tire la main et après avoir ouvert la porte, elle me tire vers son lit. Elle ouvre le lit puis me laisse.

« Nous allons venir te chercher tantôt pour le repas. Repose-toi bien. »

Je m'étends dans le lit. Je suis encore incertaine de ce qui vient de se passer. Mais mon corps sent bon, je me sens reposé, je me sens même bien dans le douillet nid qu'elle m'a offert. J'entends un bruit à la porte, comme si l'on venait de la verrouiller. C'est surement cela, elle ne veut pas que je sois dérangée. Après quelques minutes, je tombe dans les bras de Morphée.

Je me réveille au moment où je sens qu'on me dépose un baiser sur le front. Avant d'ouvrir les yeux, je réalise que je suis complètement découverte. J'ouvre les yeux et je me rends compte que Natasha est penchée vers moi. Sa main est sur ma cuisse, je sens ses longs ongles recourbés sur ma peau. Instinctivement, je me cache avec mes bras et mains.

« Madame, vous avez dormi tout l'après-midi. Madame Lechasseur que vous vous joigniez à elle pour le repas de ce soir, son mari étant retenu à l'extérieur »

Pendant qu'elle parlait, Natasha s'est écartée du lit et approchée de la porte. Elle ramasse sur une chaise un court peignoir en satin noir brillant avec des manches longues et un col châle. Elle le lève en guise d'invitation. Je réalise que je dois marcher nue d'un bout à l'autre de la chambre devant Natasha. Je me sens rougir, mais je me lève et je vais la retrouver. Le tissu glisse sur ma peau. Natasha noue la large ceinture. Le peignoir ne va qu'à la moitié de mes cuisses. Je me sens dénudée.

Elle me passe ensuite des ballerines noires avec des semelles en cuir et des rubans en satin. Elles sont un peu trop petites, mais très jolies surtout une fois que Natasha a attaché les rubans sur mes mollets. Après avoir attaché les rubans, Natasha passe ses deux mains sur mes jambes jusqu'à mes hanches, relevant un peu le peignoir. Elle écarte rapidement les mains et attr a p e les miennes. Elle me sourit et me tire vers la porte.

Sans que je puisse prendre le temps de visiter la maison, elle me tire à travers un grand corridor, vers un escalier que nous empruntons. Je sens l'air frais sur mon corps, je sens le tissu caresser mon corps à chaque pas que je fais. En bas de l'escalier, nous arrivons dans le hall. Je peux voir à ma droite que madame Lechasseur est installée dans le salon devant un feu de foyer. Natasha m'attire vers le feu.

« Ha! vous voilà. Tu as bien dormi, ma belle. Viens prendre siège avec moi devant le feu. Assois-toi là. Mon mari ne rentrera pas ce soir, nous sommes seules entre nous. »

Elle est installée dans un grand canapé en cuir devant le feu. Elle me pointe un fauteuil à sa droite.

« Natasha, ma chérie, va t'assurer que le repas est prêt. Va chercher le mètre de couturière, un papier et un crayon et ma petite caméra. »

Madame a dans les mains un livre avec une couverture en cuir noir. Je ne peux lire le titre, mais je vois des lettres argentées sur la couverture. Même avec ses lunettes je la trouve très jolie. Elle porte ce que je crois être un gilet de coton blanc bien tiré dans une très courte jupe plissée tout aussi blanche. Elle porte aussi une veste de fin lainage gris qui semble tomber plus bas que sa jupe. Pour compléter, elle a un foulard gris-brun qui tombe entre ses seins. Le gilet semble un peu petit et son échancrure ne lui couvre pas totalement les auréoles. Ses mamelons qui sont durs semblent retenir la couture de gilet pour qu'il ne s'ouvre pas plus. Elle porte aux pieds des escarpins roses pailletés brillant avec de fins talons qui doivent faire dix centimètres. Ses jambes sont croisées et elle balance le pied gauche.

« J'espère que cela ne te gêne pas, j'aimerais terminer la lecture de ce chapitre. Ce ne sera pas long, profite du feu. »

Je réalise que je l'observais depuis un instant sans dire un mot. Je tourne mon corps vers le feu et détourne mon regard. J'entends Natasha dans la cuisine, sans la voir. Entre le feu et le canapé de madame, il y a une belle et grande table de couleur miel. Le plateau fait près de dix centimètres d'épaisseur, les pattes environ trente centimètres.

Je me suis surprise à me retourner pour observer un peu plus madame Lechasseur. Ses cheveux blonds retombent en cascade sur ses épaules. Les boucles découpent son visage. Sa peau semble parfaite et douce. Le maquillage de ses yeux bleus donne l'impression qu'ils sont plus grands. Il est charbonneux, ses paupières sont bleues et sous ses sourcils magnifiquement formés elle a un peu de fard brillant blanc. Ses lèvres sont pulpeuses et rosées.

« Tu me trouves belle? » « Je m'excuse Madame, je ne voulais pas vous dévisager... » « Réponds, me trouves-tu belle? » « À mon souvenir, Madame, vous êtes la plus belle femme que j'ai eu la chance de voir. » « Sottises. Tu es aussi belle que moi. » « Madame... »

J'ai détourné mon regard vers le sol. Je me sentais rougir,

« Vicky, tu es très belle. Tu ne le sais peut-être pas, mais tu es vraiment belle. Pourquoi crois-tu que mon mari s'est intéressé à toi? Regarde-moi. »

Je relève la tête. En même temps, je tente de replacer mon peignoir. Elle me sourit et dépose son livre. Natasha entre dans la pièce, elle a les mains pleines.

« N'est-ce pas qu'elle est belle Vicky? » « Oui Madame. Elle est très belle. » « Tu n'as besoin que d'un petit polissage et tu seras aussi belle que moi. Tu vas voir. Montre-moi tes ballerines. Elles te font bien? »

J'allonge une jambe vers madame et je lui réponds.

« Elles sont un peu trop petites. »

Elle prend une note dans le cahier que Natasha vient de lui passer.

« Parfait. Viens ici devant moi. Natasha, prends le mètre et aide Vicky. »

Je me lève et je vais me placer devant madame. Elle place les deux pieds au sol, bien écartés. Je peux voir sa culotte qui est blanche comme le gilet. Je comprends alors que ce n'est pas un gilet qu'elle porte, mais un justaucorps. Elle place ses mains derrière mes genoux pour m'attirer un peu plus vers elle. Natasha est à ma droite. Elle se glisse entre moi et la table. Je sens qu'elle passe ses mains autour de moi et attr a p e les deux bouts de la ceinture qui retient mon peignoir.

« Demain, je vais t'amener avec moi à mon spa. Je vais m'assurer qu'on t'offre des traitements qui vont faire ressortir ta beauté. Je vais aussi demander à Natasha d'aller faire des courses pour toi. Tu as besoin de beaux vêtements pour passer les prochains jours avec nous. Est-ce que cela te fait plaisir? »

Comme elle disait cela, Natasha tire sur la ceinture et je sens mon peignoir s'écarter. Je me cache les seins et mon pubis.

« Oui Madame, mais... » « Pas de, mais. Cela me fait plaisir de t'offrir cela. Tu me seras de bonne compagnie demain. Nous allons prendre tes mensurations maintenant. Ne sois pas gênée, mets tes bras le long de ton corps. »

Je ne me sens pas capable de résister et je fais ce qu'elle me demande. Immédiatement, Natasha place le mètre sur moi et donne des mesures que madame note. Ses mains caressent mon corps en se déplaçant de haut en bas. Malgré la chaleur, je sens que j'ai la chair de poule et que mes mamelons durcissent à mon grand désespoir.

« 85-65-85, pas mal. Quelle taille de bonnet portes-tu? » « Du 85 B habituellement » « Je m'en doutais. » « Elle fait un mètre soixante-cinq » « Combien pèses-tu ma belle? »

En disant cela, madame place sa main sur ma fesse qu'elle caresse. Je me recule un peu pour l'en empêcher. Mon corps se love contre celui de Natasha qui en profite pour mettre sa main libre sur les abdominaux. J'avance un peu, je me sens prise. La main de madame glisse sur l'arrière de ma cuisse jusqu'à mon genou puis se détache de moi. Je me sens rougir et je tourne mon regard vers la salle à manger.

« Environ 51 kilos. » « Bien. Va t'installer près du feu et retire tes ballerines. » « Oui Madame. »

Je ne suis que trop heureuse de me sortir de cette fâcheuse position. Je me glisse entre les deux femmes et je m'approche du foyer. En m'appuyant sur le marbre du foyer, je retire mes chaussures. Madame a pris en main son appareil photo. Elle se place du côté opposé du foyer à environ deux mètres de moi. Pendant qu'elle se place, je tente d'attacher la ceinture du peignoir.

« Non-laisse. »

Je me relève la tête et je vois le flash se déclencher.

« Souris pour la photo. »

Je me sens mal d'être ainsi exhibée, alors je me cache les seins et le pubis avec mes mains.

« Mais non Vicky. Je ne peux croire que tu as honte de ton corps à ce point. Retire ton peignoir et met les mains sur tes hanches. Personne ne va voir ces photos. Elles ne vont servir qu'à Natasha quand elle va faire des courses pour toi demain. Allez... »

Je ne sais pourquoi, mais j'obéis à madame, je laisse tomber le peignoir et je place mes mains à mes côtés. Je vois le flash.

« C'est mieux. Écarte un peu les jambes. »

Encore un flash. Elle continue de me donner des ordres. Je me tourne puis je prends un sein en main pendant que je suis devant le feu. Je me penche vers l'avant et prends mes chevilles quand je lui fais dos... La séance a duré moins de cinq minutes, mais cela m'a paru une éternité.

« C'est bien. Tu peux te rhabiller, mais laisses les ballerines. Va t'assoir un instant. Natasha vient me faire un massage, tout cela m'a un peu fatiguée »

Je remets le peignoir qui est à mes pieds. Cette fois, j'attache la ceinture avec un nœud double. Je vais m'assoir dans le fauteuil prenant soin de mettre mes pieds sous moi et de bien me cacher. Je sens en moi un mélange d'émotions. Je suis reconnaissante d'être hébergée et nourrie, mais terriblement embarrassée de l'attention de madame. Je ne crois pas pouvoir accepter qu'elle m'achète des vêtements dont j'ai besoin, mais je ne sais pas comment lui dire. Je ne pourrai jamais lui remettre son argent, je n'en ai pas et avec mon salaire...

Et le spa... Je ne sais que penser. Je n'ai pu me permettre qu'une fois d'aller dans un salon d'esthétique... Le jour de mon mariage, il y a plus de cinq ans. J'espace mes visites chez la coiffeuse et je n'achète que le minimum pour mon maquillage et ma toilette. Je sens la détresse m'envahir encore une fois. Je sens déconnectée d'avec la réalité.

Quand je relève la tête au milieu de mes rêveries, madame est déjà retournée au centre du canapé. Natasha a ses deux mains sous ses cheveux et lui masse le cuir chevelu. Je peux voir ses longs ongles noirs à travers l'épaisse chevelure blonde. Madame a les yeux fermés, la bouche entrouverte. Doucement, Natasha se penche et tout en continuant son massage du cuir chevelu elle dépose sa gorge sur le dessus de la tête de madame. Elle répond en penchant sa tête vers l'arrière jusqu'à ce que son nez soit contre le menton de sa domestique.

Je ne peux m'empêcher de les regarder. Je suis hypnotisée et je me sens vraiment comme si je n'étais pas là, comme si je regardais un feuilleton télévisé.

Les mains de Natasha se sont déplacées vers les épaules qu'elles manipulent avec soin. Elle déplace sa tête, la glissant lentement vers la gauche. Ses mains suivent les bras de madame jusqu'à ce que leurs mains soient réunies. Elles sont joue contre joue. Madame Lechasseur se tourne vers moi et me fixe dans les yeux tout en me souriant. Lentement, la domestique remonte les mains en glissant ses ongles le long des bras de madame. J'observe qu'elle a la chair de poule. Natasha continue sa caresse jusqu'à la base du crâne. Puis elle redescend en suivant le dos. Cette fois, son visage va vers la droite rejoindre celui de madame. Elle le tourne et leurs lèvres se joignent et restent collées quelques secondes avant qu'elle ne remonte en glissant le bout de ses ongles de chaque côté du tronc de madame.

Madame qui avait ses mains sur ses cuisses les a remontés jusqu'à la limite de sa courte jupe. Ses doigts sont passés sous le tissu et reposent sur son aine, je devine à la limite de son pubis. Elle me regarde toujours. Ses mamelons se sont encore gonflés. Je devine maintenant qu'ils sont plus imposants que les miens. Elle me fait signe de la tête, mais je ne comprends pas.

Natasha qui avait redescendu ses mains passé la limite de la jupe les remonte à nouveau, cette fois directement en ligne avec les seins de madame. Elle place les mains à plat avant d'y arriver et les f o r c e à remonter dans le justaucorps déjà étiré au maximum. Les deux mamelons sont maintenant découverts et Natasha utilise à nouveau ses ongles pour les égratigner. Cette attention extirpe un soupir de madame qui remonte sa jupe et découvre le bas de son justaucorps. Avec une main, elle le tire vers la gauche et découvre son mont de vénus glabre. Elle place un doigt sur sa fente et le glisse de haut en bas lentement. Elle laisse sa tête retomber vers l'arrière. Natasha place une main à l'arrière de la tête et se penche vers madame.

Cette fois, je peux voir qu'elle sort sa langue fine et pointue pour darder la bouche de sa maitresse. Leurs lèvres se collent encore une fois, mais cette fois le baiser est beaucoup plus long. Madame glisse le bout de son doigt qui s'occupait de sa fente en elle. Elle frissonne. Natasha caresse la poitrine de madame avec sa main libre. Elle la glisse sous le justaucorps. Je peux voir qu'elle utilise ses ongles jusqu'au nombril de madame puis remonte sa main en ligne directe avec le sein gauche de madame.

Lentement, madame se cale un peu plus dans son canapé, les jambes bien écartées. Elle a recommencé à me regarder. Natasha lui caresse tout le haut du corps. Parfois, elle s'en prend aux mamelons de madame, les attaquant à tour de rôle avec ses ongles, puis les pinçant et les étirant. Elle termine toujours en glissant ses ongles de la base des seins jusqu'aux mamelons gonflés.

« Tu ne te caresses pas, ma belle? »

Je ne lui réponds pas. Simplement, je croise les bras sous mes seins en guise de confort et je continue à jouer à la voyeuse. Je ne me suis jamais vraiment caressée. Quelques fois, j'ai passé ma main entre mes jambes, furtivement dans la tiédeur de mon lit à la faveur de la noirceur, pendant un instant de solitude et sans jamais combler mon désir.

La main de Natasha qui caressait madame fait maintenant son chemin pour rejoindre celle de madame qui glisse de haut en bas sur sa fente, la pénétrant à chaque mouvement vers le bas. Elle place sa paume sur le poignet de madame et suit le rythme de la main. Leurs bouches se joignent à nouveau. Je vois madame frissonner. Puis elle retire sa main de sa fente et passe ses deux mains derrière la tête de Natasha. Cette dernière se déplace un peu et pose ses deux mains sur le ventre de madame. Lentement, elle les remonte, prend une dernière fois les mamelons entre des doigts et les pinces. Ensuite, ses mains continuent leurs courses vers la tête de madame. Leurs bouches se séparent. Les mains de madame abandonnent la tête de Natasha.

Madame se redresse lentement et Natasha caresse à nouveau le cuir chevelu de sa maitresse. Sans cacher ses seins ou son sexe, madame se retourne vers moi et m'adresse à nouveau la parole en me souriant.

« Nous ne t'avons pas incommodée, j'espère. » « Bien sûr que non, Madame. Au contraire, moi... » « Natasha va servir le repas, nous arrivons dans un instant. Qu'allais-tu me dire Vicky? » « J'aurais peut-être dû quitter la pièce, où à tout le moins me retourner. » « Pourquoi? Tu trouvais cela repoussant de me voir avec Natasha? Ou peut-être que tu trouves Natasha laide? Est-ce que c'est cela? » « Non, non, pas du tout. C'est simplement... » « Tu es jalouse peut-être? » « Non. Vraiment non. »

J'ai la tête qui tourne, elle me désarçonne complètement. Je ne sais plus comment me sortir du pétrin dans lequel je suis sans causer une scène.

« Alors, prouve-le-moi. Vient m'embrasser et ensuite va embrasser Natasha. »

Je ne m'attendais vraiment pas à cette tournure. Ne sachant quoi faire d'autre, je me lève et je m'approche de madame. Je mets un genou sur le canapé et j'approche mon visage du sien. Je n'ai jamais embrassé une femme autre que ma mère. Elle a une douce odeur de fleur d'oranger et de vanille. Je me sens trembler. Je ferme les yeux et je dépose mes lèvres sur sa joue. Elle passe une main dans mon cou et le caresse doucement. Ensuite, elle me caresse du bout des doigts le visage et place ses lèvres devant les miennes. Je sens son souffle chaud sur mon visage. Lentement, elle s'approche. Je sens son nez glisser contre le mien. J'ai le souffle coupé. Très doucement, elle dépose ses lèvres sur les miennes sans les écarter. Le contact ne dure guère plus d'une seconde, mais cela me semble une éternité.

Elle s'écarte et me caresse avec son nez un instant. Puis je sens qu'elle s'approche à nouveau de mes lèvres. Encore une fois, l'approche est faite en douceur. Ses lèvres se collent sur les miennes à nouveau. Je les sens un peu écartées cette fois. Je sens son souffle dans ma bouche. Elle reste ainsi que très peu longtemps et s'écarte à nouveau. Je réalise que je ne respire plus depuis un instant maintenant. J'ouvre les yeux. Elle a ses mains de part et d'autre de mon visage qu'elle caresse. Elle a un air de contentement.

« C'est bien. »

Elle prend une petite boite ronde en argent sur la table. Elle dévisse la partie du haut de la partie du bas, je peux alors voir que c'est une boite à pilules. Je vois trois types de pilules, elles diffèrent par leurs formes et couleurs. Elle prend deux pilules rondes et blanches et me les offres.

« Allez, cela va t'aider à dormir tantôt. » « Merci, mais... »

Elle me les met dans la main droite et se penche pour prendre son verre d'eau sur la table.

« Allez, c'est un ordre. Ne discute pas, cela sera bon pour toi. »

Je les ai prises. Je trouve étrange l'attitude de madame. Un moment elle est douce, ensuite elle est cassante.

« Ce n'est pas tout, allez, tu vas embrasser Natasha maintenant, viens » « Madame je ne crois pas que... » « Viens! »

Elle me prend la main et me tire vers la salle à manger où Natasha termine de mettre les couverts. Quand je la vois, j'arrête et madame tente de me tirer, mais je ne bouge plus. Je suis tétanisé. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne veux pas embrasser Natasha.

« Bon, j'espérais qu'on n'en viendrait pas à cela. » « Je ne comprends pas Madame. » « Bien sûr que tu ne comprends pas. Écoute-moi bien. Tu as une chance, saisie la. » « Je ne comprends toujours pas, je m'excuse. » « Vicky, je vais t'expliquer parce que mon mari te trouve jolie et qu'il aimerait que cela fonctionne entre nous. Écoute-moi très bien, je ne vais pas répéter. » « Oui Madame »

Je me trouvais sotte, comme si je devrais savoir quelque chose que je ne savais vraiment pas. Je ne comprends surtout pas en quoi un baiser à Natasha peut expliquer ce comportement de madame.

« Vicky, tu n'as plus un sou, n'est-ce pas? » « Oui. »

Mon cœur se gonfle.

« Tu n'as pas à répondre, c'était une question rhétorique. Tu n'as plus un sou et en plus tu n'as plus de papier, nous te les avons confisqués. Natasha a allumé le feu dans le salon avec tes vêtements et mon mari s'est aussi débarrassé de ta voiture. » « Quoi! »

Je panique. Tout à coup, j'ai l'impression d'être tombé dans un traquenard.

« Tais-toi. Ta beauté ne peut pas tout excuser. Tu me comprends bien. Nous avons fait disparaître toute trace de toi. Selon ce qui sera décidé ce soir tu disparaitras même du système informatique de ton employeur... De plus, je viens tout juste de te faire prendre un puissant hypnotique, qui va te faire dormir dans une heure, mais qui va te faire oublier aussi. Alors tu as une chance et c'est maintenant. » « Je te donne deux options : soit qu'à partir de maintenant tu fasses tout ce que moi et mon mari te disons, sans poser de question, sans rechigner et surtout sans te rebeller. Soit non. » « Dans le premier cas, tu deviendras notre jouet, mais tes conditions de vie seront grandement améliorées. Je vais te vêtir, te fournir un toit, de la nourriture, tu travailleras pour mon mari ce qui te permettra de voyager avec nous. Tu seras bien traitée. Demain, par exemple, je pensais t'amener avec moi au spa pour un massage et des soins. » « As-tu déjà reçu un massage Vicky? »

J'ai simplement hoché la tête de gauche à droite. Je sens mes yeux se remplir de larmes encore une fois. Je sens aussi une boule se former dans mon estomac.

« Je m'en doutais. » « Si tu refuses de faire ce que je veux, je vais demander à un ami de me débarrasser de toi. Il va t'amener loin d'ici cette nuit. Il va peut-être te vendre. Je ne sais pas, mais nous ne te révérons plus. Tu vas être nue, sans un sou, sans papier, sans travail, à la rue. »

Je pleure abondamment maintenant et je sens que mes genoux sont fragiles. Mon nez coule et ma bouche est pâteuse. Je répète faiblement « non ». Mon corps est secoué par des vagues de douleurs. J'ai croisé mes bras sur mon ventre. Je me sens enfermée dans la noirceur, envahie de désespoir.

« Alors qu'est-ce que ce sera? Tu vas embrasser Natasha et tu me prouves que tu veux m'obéir, où je téléphone à mon ami. Cesse de pleurer, cela m'incommode. »

« Mais Madame... » « Natasha, apporte-lui un mouchoir. Alors je comprends que tu préfères nous quitter? »

Je suis surprise de ce qui nait en moi, une détermination que je ne me connaissais pas.

« NON! »

Je prends le mouchoir des mains de Natasha, je l'utilise pour essuyer mon nez puis v i o l emment j'attr a p e Natasha par le cou et je lui plaque un baiser sauvage. Elle est surprise par mon geste et me repousse en plaçant ses mains sur mes hanches. Je regarde le plancher. Quelque chose s'est brisé profondément en moi, je le sens.

Natasha, avec un mouchoir en tissus brodé sorti de sa poche, m'essuie le visage. Je me sens comme sur un nuage. Elle est très délicate. Elle passe sa main sous mon menton pour me faire lever le visage, pour qu'elle puisse m'observer. Je la regarde dans les yeux, comme un animal blessé sans jamais la fixer longuement. Je ne pleure plus. Elle s'approche de moi puis je sens le nuage m'englober toute entière.

Vendredi 23 décembre

Je me suis réveillée avec un léger mal de tête. J'ai l'étrange sentiment de ne pas savoir où je suis. J'essaie de me remémorer ma journée d'hier. Mes souvenirs sont diffus. Je me souviens de mon mari qui m'a rejetée. Je me souviens des Lechasseur qui au contraire m'ont accueilli. J'ai une curieuse intuition, quelque chose a changé pour de bon en moi hier, mais je ne sais pas quoi au juste. Je me sens seulement motivée par la nouvelle direction que prend ma vie. Mais quelle est cette direction? La solution, je le sais intérieurement, repose dans des mains des Lechasseur qui ont eu la bonté de m'accueillir. Je ne dois pas les décevoir.

Je n'ai pas encore ouvert les yeux que je réalise que je suis dans un lit douillet. Je suis bien au chaud, confortable. Quand je sens qu'on m'embrasse l'épaule gauche, j'ouvre les yeux. Je prends conscience qu'il y a une main placée sur mes abdominaux. Quand je tourne la tête, je peux voir madame Lechasseur à mon côté. Elle me regarde avec un air de contentement. Elle me dévisage. Je sens la chaleur de son corps près du mien. Je sens son sein lourd qui repose sur mon bras. Elle ne bouge pas et je ne tente pas de me dérober. Je la regarde et j'essaie de comprendre.

« Bonjour Vicky. Comment vas-tu ce matin? Nous avons eu peur pour toi quand tu as eu ton malaise. Nous croyions que tu allais nous quitter. »

Je suis hésitante. Ces mots réveillent un sentiment douloureux. Je ne me souviens pas d'avoir eu un malaise. Mais je me souviens très bien de mon désir de rester ici.

« Je vais bien... je crois. J'ai faim. » « Bien sûr, tu n'as pratiquement pas mangé hier. Natasha nous a préparé mon déjeuner préféré. Viens, allons la retrouver, elle aussi s'inquiétait de ton état. Viens la rassurer. »

Elle est sortie du lit, nue. Sans penser à me cacher, je m'extirpe lentement du lit. Je reconnais maintenant la chambre où je suis. Madame prend une clé attachée à une corde de cuir qui est sur son meuble de chevet. Rien d'autre ne traine dans la chambre. Aucune ombre d'un vêtement. Elle me tend la main. Quand je la rejoins, elle prend ma main et me tire. Avec la clé, elle débarre la porte de la chambre. Elle me tire, nue, à travers un long corridor, par des marches puis vers la salle à manger. Natasha est dans la cuisine dans son habit de domestique.

« Regarde qui arrive, Natasha. »

Elle se retourne et me fait un large sourire. Elle me tend les bras. Madame me claque une fesse.

« Allez, va l'embrasser, ma chérie. »

Sans hésiter, je me jette dans ses bras dont elle m'entoure immédiatement. Je me love contre elle. Comme si c'était naturel, elle me serre dans ses bras et me f o r c e à placer mes jambes en quiconque avec les siennes de façon à ce que nos bassins soient en contact directement avec nos entrejambes. Tout en me gardant contre elle, elle recule sa tête et me regarde tout en me souriant.

« Vous nous avez fait peur hier, Madame, je croyais que vous alliez nous quitter. »

Encore une fois cette notion de départ qui réveille en moi un étrange sentiment. En guise de réponse, je lui souris. Je la vois fermer les yeux. Ses mains se déplacent sur mon corps. Sa main gauche se place sur ma nuque, sa main droite au bas de mon dos. Elle f o r c e le contact entre nos basins. Lentement, elle dépose un baiser dans mon cou, puis un autre sur ma joue. Je ferme les yeux et retiens mon souffle. Je réalise que je me sens trouble, nerveuse. Je sens son nez glisser contre la peau de mon visage, puis délicatement elle dépose ses lèvres contre les miennes.

Je place une main derrière sa tête. Elle retire ses lèvres et les repositionne pour un autre baiser. Ses lèvres sont légèrement entrouvertes cette fois et elles se referment sur les miennes comme si elle me goutait. Elle recommence ces baisers à plusieurs reprises. J'ai l'impression que le temps s'est arrêté. Comme elle, j'entrouvre les lèvres et les referme quand nos lèvres se joignent. La sensualité du geste m'envahit et me ragaillardit. Je sens sa langue passer sur mes lèvres puis sa bouche se déposer sur mes lèvres entrouvertes et humides. Elle applique plus de pression cette fois. Je sens qu'elle déplace ses hanches, qu'elle se frotte contre moi.

Je ne me souviens pas avoir vécu un baiser si passionné, si enflammé. J'ai l'impression que mon cœur veut sortir de mon corps tant il bat fort et vite. Cette fois, c'est moi qui sors la langue pour lui caresser les lèvres. Je suis surprise de ne pas les trouver, elle a la bouche pleinement ouverte. C'est sa langue qui accueille la mienne. Elle referme la bouche et suce ma langue un instant. Elle se recule et me donne un dernier baiser puis je la sens se déplacer. Elle place sa tête contre la mienne et m'embrasse l'oreille. Elle lèche le lobe et me dit :

« Merci Madame. »

Puis elle s'écarte de moi me laissant pantois.

« Vient manger Vicky. Natasha, tu vois bien qu'elle t'aime. »

Natasha et madame Lechasseur se sont échangé un regard complice. Puis Natasha est retournée au fourneau. Je me suis assise encore à bout de souffle, mon cœur battant à un rythme irrégulier. Je regarde la table quand madame, qui est assise devant à moi prend mon menton et me fait lever le visage. Elle me regarde avec le même air de contentement que j'ai remarqué à mon réveil.

Natasha nous a servi un grand jus puis une salade de fruits. Finalement, elle nous a préparé un succulent bol de café au lait et elle nous a servis du pain perdu avec du sirop d'érable dans une assiette très chaude. Le mélange de cannelle et de sirop et la texture moelleuses à l'intérieur et croustillantes à l'extérieur des grosses tranches, rend le mets délectable. Je comprends madame d'y être sensible.

Tout le temps de notre petit déjeuner, Natasha s'est tenue au bout de la table, sans bouger. Je la regardais de temps à autres. Elle ne levait jamais les yeux vers moi.

« Merci Natasha pour le petit déjeuner, avant d'enlever les couverts j'aimerais que tu m'écoutes un instant. » « Oui Madame. » « Tu as la liste de courses que j'ai préparée pour Vicky? » « Oui Madame. » « Tu peux y ajouter ce que tu aimerais manger et partager avec Vicky la semaine prochaine. N'oublie pas non plus la liste pour la réception du Nouvel An. » « Oui Madame. » « Parfait. Vicky maintenant. »

Madame prend sur la table un petit cahier recouvert de cuir brun.

« Vicky, j'ai préparé une liste pour toi. Toutefois, cette liste est un peu différente. Je te la donne, mais ne la regarde pas. Plutôt, donne là à Natasha et demande-lui de te faire, de te faire faire ou de te montrer tout ce qui y est inscrit. Allez, demande-lui. »

Elle me tend le cahier. Sans l'ouvrir, je le tends à Natasha qui est toujours au bout de la table. Elle me regarde franchement. Je lui souris.

« Natasha, peux-tu m'aider à faire ce qui est écrit dans ce cahier. »

Tout son visage est souriant quand elle me répond.

« Ce sera un grand plaisir pour moi de vous aider avec votre liste Madame. »

Elle me caresse les doigts quand elle prend le cahier de mes mains.

« Bien. Vicky, cela me fait un peu de peine de t'annoncer que demain matin, très tôt, Jean et moi allons vous quitter pour sept jours en vacances. C'était prévu depuis longtemps. Alors tu vas être seule ici avec Natasha. J'espère que cela ne te chagrine pas. »

Elle ne me laisse pas le temps de parler et elle continue.

« Alors, pour compenser, j'ai pensé passer la journée avec toi aujourd'hui. Si tu le veux, nous allons ensemble au spa. J'ai réservé des traitements pour toi et moi. Nous pourrons aussi profiter des bains et relaxer là bas. Je crois que cela te fera du bien. Qu'en dis-tu? » « Madame, vous êtes trop généreuse. »

Elle s'est levée et me tend les bras. J'observe un instant son corps voluptueux, puis me lève et je vais la rejoindre. Je la serre dans mes bras et je la sens m'embrasser sur les cheveux. Ce seul geste m'ébranle, je sens une vague d'émotion monter en moi. Des larmes viennent à mes yeux, je réalise que ce sont des larmes de joie. Jamais, depuis la m o r t de ma mère, je ne me suis senti aussi en sécurité que dans les bras de cette femme nue. Je dépose mon visage sur la poitrine de madame qui me caresse un instant les cheveux. Je ne me reconnais plus.

« Viens, ma chérie. »

Une heure plus tard, nous étions dans le véhicule de madame à l'entrée du domaine où est le spa. Madame m'a expliqué que mes vêtements étaient souillés et déchirés quand je suis arrivée hier. Je ne m'en souvenais pas, mais cela tombait sous le coup du sens. Alors elle m'a prêté une de ses robes. Je la trouvais adorable, mais elle tombait mal sur moi, mes formes étant beaucoup moins généreuses que celles de madame. Évidemment, madame n'a aucun sous-vêtement à ma grandeur. La robe longue à bretelle est faite de lin beige très mince. Elle est ornementée de dentelle et est évasée vers l'ourlet. La légèreté du lin fait qu'il est légèrement translucide et je peux voir mes poils foncés et même mes aréoles à travers la robe. Cette exhibition me trouble, mais madame m'a assurée qu'elle n'avait aucune conséquence puisque personne ne me verra ainsi vêtue.

Elle s'est garée à l'intérieur.

Au spa, on m'a demandé de remplir un formulaire sur lequel madame m'a fait indiquer que mon adresse était en fait la sienne. Ce simple détail m'a fait réfléchir à ma nouvelle situation. Cela m'a rendue heureuse d'avoir un nouveau chez moi, même, si ce n'est que temporaire. La dame à la réception nous a remis une grande serviette et un peignoir de soie blanche. Elle nous a dit de faire vite, j'étais déjà en retard pour mon premier rendez-vous.

Madame Lechasseur m'a guidée à travers le spa pour finalement arriver à une autre réception, celle des soins. Une autre dame m'a demandé de la suivre. Madame Lechasseur a pris une autre direction et m'a laissé aux soins de la préposée à l'accueil. Il était 9 h 5 selon l'horloge à cette réception.

Pour les trois heures qui ont suivi, j'ai été d'une technicienne à une autre, tout avait été réservé et prévu par madame. J'ai eu droit en premier à une épilation, en partie avec un appareil au laser et avec de la cire. À la fin, l'esthéticienne avait retouché mes sourcils et avait éliminé tous mes poils pubiens et sous les aisselles. Je me sentais comme une a d o l e s c e n t e sans poil entre mes jambes.

Ensuite, j'ai eu droit simultanément à un soin pour mon visage, à une manucure et une pédicure. Trois techniciennes bourdonnaient autour de moi. Je ne pouvais voir ce qu'elles faisaient comme traitements, mais c'était divin. Quand la technicienne a retiré le masque facial et que j'ai pu finalement ouvrir les yeux, j'ai pu voir que mes mains avaient complètement été transformées. J'ai maintenant des ongles qui font plus deux centimètres passé le bout de mes doigts. Mes ongles de mains et de pieds sont d'une belle couleur rosée. Je me demande comment je vais faire pour travailler à mon poste de travail avec ces nouveaux appendices, mais je réalise aussi que le retour au travail est bien loin dans mes préoccupations actuelles.

Au moment où les techniciennes qui s'occupent de moi s'apprêtent à terminer, madame Lechasseur entre dans la salle. Elle porte, comme moi, le court peignoir de soie. Je remarque que le sien à un monogramme à son nom : ML.

« Bonjour Mesdames. Je ne vous dérangerai pas longtemps, je viens simplement m'assurer que ma protégée prend son médicament. »

Elle a une petite boite ronde argentée dans sa main. Elle l'ouvre et prend une pilule ovale rouge et me la tend.

« Tiens, prends cela. »

Je prends la gélule et je la regarde avant de la mettre dans ma bouche. Il y a un emblème de dauphin imprimé dessus.

« Qu'est-ce que c'est? » « Quelque chose pour t'aider a mieux apprécié tes traitements et le spa. Tu verras, tu vas vraiment apprécier tantôt. Je viens te chercher dans 45 minutes »

Après m'avoir dit cela, elle quitte la pièce aussi rapidement qu'elle est arrivée. Ensuite, j'ai eu droit à deux autres traitements. Une jeune coiffeuse pimpante m'a coupé et m'a fait de belles boucles avec un fer. Une esthéticienne m'a ensuite installé des cils, un à un, pour allonger et augmenter mes cils naturels. Elle m'a expliqué que ce traitement va durer plusieurs mois. Le résultat est impressionnant, je trouve mes yeux beaucoup plus beaux. Toutefois, au milieu de mes traitements, j'ai une montée d'anxiété que je ne peux m'expliquer. J'ai une boule dans l'estomac et les mains moites. Quelques instants plus tard, j'ai un vertige. Au moment où l'esthéticienne termine, madame Lechasseur arrive. Elle semble nerveuse. Moi je suis maintenant totalement détendue, même euphorique et totalement pleine d'énergie. Mon anxiété a disparu. Je suis prête pour la suite.

« Vous en avez pour longtemps? » « Nous avons terminé, Madame. » « Bien. Vient Vicky. Tu es attendue pour ton massage. »

Elle me prend la main et enlace ses doigts avec les miens. Ce simple toucher déclenche quelque chose d'inattendu chez moi. Je me sens étrange, comme si le fait de prendre ma main avait tout à coup un aspect sensuel que je n'avais jamais ressenti auparavant. Pendant qu'on marche, pieds nus, je lui caresse la main avec mon pouce. Des effluves de parfums m'atteignent quand nous passons les portes de chambres de traitement. Ses senteurs me semblent aphrodisiaques. Madame marche d'un pas rapide, moi j'aimerais danser, je me sens sautiller.

Finalement, nous arrivons devant une grande porte de verre dépoli qu'elle ouvre sans attendre. Passé la porte, je découvre une grande pièce qui semble toute faite de pierre. Près du mur du fond, au centre, il y a un grand bassin circulaire d'eau avec des marches. Le mur à droite forme un banc en pierre à sa base. À gauche, le mur est couvert de tablettes, plusieurs avec des chandelles odorantes. Devant moi, il y a un grand lit directement au sol. Il semble recouvert d'une surface plastifiée et à gauche et à droite il y a un oreiller formé à même le lit. Il y a plusieurs bols de bois de différentes tailles au sol. Ils semblent tous contenir un liquide translucide.

Devant le lit et directement devant moi il y a une femme asiatique qui porte un kimono de soie rouge. Elle a de longs cheveux de couleur jais. Elle ne semble pas mince comme moi et surtout elle a des seins qui semblent aussi généreux que ceux de madame. Elle a de beaux traits fins et ne porte aucun maquillage.

« Bonjour Madame Lemieux. »

Elle parle avec beaucoup de douceur, sa voix est chantante, joyeuse. Elle est très souriante.

« Nous allons passer la prochaine heure et demie ensemble si vous le désirez. Aimeriez-vous que je vous attache les cheveux? » « Est-ce nécessaire? » « Non. Je vais attacher les miens, si cela ne vous gêne pas. Madame Lechasseur, prenez place sur le banc. »

Rapidement, avec une pince, elle attache ses cheveux. Il y a une douce musique dans la pièce. Je me sens entrer dans une transe au rythme des notes livrées par des haut-parleurs cachés.

« Êtes-vous prête? »

Je lui fais signe de la tête que oui. Sans attendre plus, elle s'approche de moi et détache la ceinture de mon peignoir et le fait glisser au sol. Je trouve cela naturel, je ne ressens aucune inhibition face à cette femme. Je me retourne vers madame Lechasseur qui est étendue nue sur le banc de pierre. Elle l'a recouvert d'un grand coussin. Elle a les jambes bien écartées et je peux bien voir ses lèvres qui luisent. J'attends la suite et la thér a p e ute semble en faire autant. Je la regarde, elle me sourit, mais ne bouge pas. Je pense alors comprendre qu'elle attend que, comme elle l'a fait, elle veuille que je détache son kimono.

J'approche mes mains de sa ceinture, elle ne m'arrête pas, au contraire elle me sourit. Je détache sa ceinture et porte les mains à ses épaules. Je soutiens son regard, je la dévisage. Elle a un petit nez rond, ses yeux foncés sont bridés. Je lui caresse les épaules et je fais glisser son kimono sur son corps.

Nous sommes toutes les deux nues. Elle fait un pas pour s'approcher de moi et m'entoure de ses bras. J'en fais autant. Le moment où nos corps se touchent est magique. Un sentiment qui m'est inconnu m'envahit. Elle dépose un baiser dans mon cou et ensuite elle s'écarte et me tire vers le bain. Rapidement, elle me fait entrer dans le bain chaud et m'y fait assoir pour que mon corps tout entier soit recouvert. Elle se trempe aussi entièrement. Une fois nos deux corps recouverts d'eau elle approche son visage du mien et dépose un léger baiser sur mes lèvres. L'intensité de ma réaction me surprend. Je suis totalement subjugué par la situation. Pendant quelques minutes, nous restons dans l'eau. Elle me caresse le corps doucement du bout des doigts.

L'eau chaude qui caresse ma peau combinée aux mouvements des mains de la thér a p e ute fait que toute ma peau semble devenir une grande zone érogène. Je ferme les yeux et profite de cette sensation nouvelle. Cela me permet de me concentrer un peu plus sur la musique relaxante et capiteuse. J'entends aussi madame Lechasseur soupirer. J'ouvre les yeux pour la regarder. Elle est couchée sur le dos sur le banc de pierre et a la tête tournée pour nous regarder. Je ne peux voir directement entre ses jambes, par contre, par les mouvements de son bras, je vois qu'elle se caresse. Au lieu de m'embarrasser, la vue de madame qui se caresse m'allume.

La thér a p e ute saisit ma main et me tire hors de l'eau. Elle m'invite à me coucher sans m'essuyer, le ventre sur le matelas. Six lampes chauffantes attachées au plafond ont réchauffé la surface du matelas qui est très agréable. Quand je me couche, je sens la douce chaleur des lampes sur moi. La thér a p e ute me passe un bandeau de tissu noir sur les yeux qu'elle attache derrière ma tête de façon à me cacher la vue. Quelques instants plus tard, je ne peux voir ce que la thér a p e ute prépare, mais je l'entends mélanger un liquide. Par-dessus la musique, j'entends aussi madame Lechasseur soupirer et j'entends des bruits provenant de son entre-jambes mouillé. Toutes ces stimulations sonores me stimulent et me poussent à soulever les hanches pour passer une main entre mes jambes.

Au même moment, je sens qu'on verse un liquide chaud sur mon dos. La thér a p e ute met sa main sur mes fesses pour me faire redescendre le basin. Ma main est prise sous moi. Avec ses mains, elle étend le liquide visqueux sur mon dos et mes épaules. Elle retire ses mains et, profitant de cette pause, je retire ma main de sous moi. Je sens qu'elle verse plus de liquide dans le bas de mon dos et cette fois avec ses mains elle pousse le liquide vers mes cuisses et mes mollets. Ses caresses me semblent tellement sensuelles que cela me semble irréel. Elle verse encore du liquide, entre mes omoplates cette fois, et le pousse avec ses mains sur mes bras jusqu'à mes mains.

Une fois ma surface postérieure complètement couverte, elle commence à me masser le dos. Je sens mon corps réagir fortement à cette attention. La tension sexuelle que je ressens ne cesse d'augmenter. Je voudrais me retourner et embrasser à pleine bouche la thér a p e ute, j'aimerais me lover contre elle et me masturber. Quand elle me masse les fesses, je sens mon souffle devenir plus court et je me frotte contre le matelas par réflexe. Elle descend mes jambes et arrivé à mes pieds elle fait quelque chose d'inattendu.

Elle passe ses jambes par dessus mon corps et appui son pubis contre mes fesses. Elle tire mes pieds vers ma tête et prend mes gros orteils dans sa bouche. Elle passe sa langue entre mes orteils tout en imposant des mouvements de haut en bas à son basin. Ce faisant, elle écrase mon pubis contre le lit ce qui augmente mon excitation. Je me sens mouiller et je sens mes mamelons durs frotter contre le matelas. Elle entreprend un long mouvement avec son corps qui glisse lentement vers ma tête. Elle est complètement lovée contre moi et le liquide qu'elle a versé sert à la fois de lubrifiant et de glu entre nos corps.

Je me sens atteindre un nouveau plateau dans ma griserie. À ce moment, je sens des mains dans mes cheveux. Ce ne peut être la thér a p e ute puisque ses mains sont à mes pieds. Je sens une langue pénétrer mon oreille puis un baiser y être déposé.

« Tu es une bonne petite putain n'est-ce pas? »

Je réponds par un long soupir.

« Tu vas jouir pour moi, putain. Tu vas faire tout ce que je te dis putain, n'est-ce pas? »

Ces paroles me fouettent et augmentent mon excitation. La thér a p e ute me lèche la fente près de mon anus. Ses mains descendent le long de mes cuisses et au moment où elles touchent mes grandes lèvres j'explose. Tout mon corps se met à être secoué de contractions, je sens une grande chaleur en moi. Je perds contact avec la réalité pendant de longues secondes et je sens mon bas ventre se contracter sans que je puisse ou veuille le contrôler. Je m'entends crier, mais il me semble que c'est irréel comme si c'était quelqu'un d'autre qui jouissait à mes côtés.

Avant même que je reprenne complètement connaissance, elle me fait me retourner et retire mon bandeau. Madame est assise à mon côté et se caresse les seins. Je vois la thér a p e ute, son corps est luisant, recouvert de gel. Elle prend à pleine main du gel dans un bol et en verse sur mon corps à plusieurs reprises. Elle l'étend sur mon ventre et remonte vers mes seins qu'elle caresse. Elle me pince les mamelons qui sont tellement gonflés qu'ils me font mal. Ses mains redescendent vers mon pubis maintenant glabre. Elle s'attarde un instant entre mes jambes puis continu vers mes cuisses.

Elle passe ses jambes par-dessus moi et met plus de gel sur mon corps. Je réalise que je frissonne encore. Elle se couche sur moi et attr a p e le haut du matelas. Elle me masse avec tout son corps qu'elle fait glisser de haut en bas. Je peux sentir ses seins et même ses mamelons qui tracent des lignes sur ma peau fébrile. Quand sa tête arrive à mon entrejambe, elle utilise son nez pour masser ma fente. Je m'entends râler et respirer par saccades. Mon corps est agité. Elle utilise ses mains pour se pousser, mais aussi pour me caresser les côtés et les fesses que je soulève à chacun de ses passages.

Après quelques minutes de ce traitement, madame place mes mains sur la thér a p e ute. J'ai l'impression qu'à partir de ce point elle se fond encore plus en moi que nous devenons une. Je lui caresse le dos et la tête quand elle l'a entre mes jambes. Maintenant quand elle est entre mes jambes, elle utilise sa langue pour caresser ma fente. J'écarte bien les jambes et elle appuie plus avec sa langue sur mes lèvres. Elle remonte, je peux sentir ses seins sur ma fente ouverte. Cette fois, elle arrête à mes seins qu'elle prend dans sa bouche. J'entoure son tronc avec mes jambes pour garder mon clitoris en contact avec sa peau. Elle suce, mord et étire mes mamelons. Je me sens devenir molle.

Elle se pousse un peu. Nos visages sont maintenant alignés. Sans hésiter, elle place ses lèvres contre les miennes et pousse sa langue dans ma bouche. À ce moment, j'ai l'impression de perdre connaissance dans une montée de plaisir intense. Je me sens comme un animal. Mon corps tremble et j'ai terriblement chaud, mais je me sens rempli d'énergie. J'en veux plus et je suis rapidement comblée. Quand je pense que mon plaisir a atteint son paroxysme, la thér a p e ute installe son visage entre mes jambes et commence une lente stimulation de mon sexe avec sa langue et ses mains.

Au début, elle trace des ronds autour de mes lèvres et passe ses mains sous mes fesses pour me f o r c e r à les relever. Madame met sa main droite sur mon pubis et avec ses doigts écartent mes grandes lèvres exposant mes petites lèvres et mon clitoris. La thér a p e ute prend rapidement mon clitoris entre ses lèvres et passe sa langue délicatement entre ses lèvres pour le frotter. L'effet est instantané, c'est comme si je recevais de petites décharges électriques. J'ai immédiatement porté mes mains à sa tête pour lui signaler mon appréciation, mais surtout pour m'assurer qu'elle continue.

Elle a fait pénétrer un doigt, puis deux, dans mon vagin qui semblait très bien lubrifié. Lentement, elle caresse toutes mes parois intérieures en décrivant des cercles. Quand la paume de sa main est vers le haut, elle appuie légèrement et retire ses doigts vers l'entrée de ma chatte. À mi-chemin, elle caresse en cercle une région de ma chatte particulièrement sensible. Je réalise que je tire fermement sur ses cheveux maintenant et que je serre sa tête avec mes cuisses. Je lâche ses cheveux pour ne pas lui faire mal et je porte mes mains à mes seins. Je pince mes mamelons entre mes pouces et mes index.

Ses doigts entrent et sortent de moi. J'ai le sentiment de vivre une expérience extrasensorielle comme si ce n'était pas moi qui étais sur le lit, je m'entends crier, jouir comme un animal. Mon corps convulse. Les doigts en moi envoient des ondes de plaisir qui me frappent comme autant de vagues. Je suis impuissante devant les ravages que me cause la thér a p e ute. Tout mon corps réagit à ses habiles caresses. Même l'intérieur de ma bouche est stimulé, comme si on la titillait, comme si elle était remplie d'électricité. Je me sens bouger la langue dans ma bouche comme si je voulais m'embrasser moi même. Mon corps s'arcboute quand une puissante décharge me frappe et je me perds dans ma jouissance. Pendant quelques minutes, j'ai l'impression de voir des couleurs sous mes paupières, j'ai l'impression que mon corps entier subit vague après vague de jouissance extrême. Je sens les muscles de mon vagin se contracter au rythme des vagues qui me frappent.

J'ai perdu contact avec la réalité, mais j'ai trouvé l'animal en moi. Un animal sauvage que je ne connaissais pas et qui ne demandait qu'à être domestiqué. Quand je reprends connaissance, madame est allongée à mon côté et trace des lignes avec ses doigts sur ma peau. Je réalise que la thér a p e ute s'est éloignée et est sous la douche. Je me sens euphorique et insatiable, j'en veux plus, je ne veux pas que ce soit terminé. Je me tourne vers madame et je presse mes lèvres sur les siennes. Elle s'écarte de moi prestement.

« Pas maintenant tigresse. Quand tu es prête, il faut quitter la salle, ton massage est terminé. »

J'approche encore ma bouche de la sienne et elle se lève et s'écarte du lit. Elle me tend la main pour que j'en fasse autant.

« Viens. » « Oui, maitresse. »

Je me suis surprise de dire cela et j'ai remarqué qu'elle a immédiatement souri. Ce mot représente exactement ce que je ressens, je me considère comme un animal qu'on a nouvellement domestiqué, elle est la maitresse qui m'a domestiqué. Je lui appartiens, je me dois de lui obéir, faire tout ce qu'elle me demande.

Je prends sa main et sans reprendre mon peignoir je la suis vers le corridor. Elle a son peignoir en mains et n'essaie pas de se cacher avant d'ouvrir la porte. Avant de sortir, elle se retourne vers la thér a p e ute.

« Merci Catherine. » « Madame, tout le plaisir était pour moi. J'ai hâte de vous revoir avec votre nouvelle recrue. »

Elle lui envoie la main puis se retourne vers moi.

« Va l'embrasser, chérie. »

Je m'élance vers la thér a p e ute qui vient de sortir de la douche et je lui plaque un baiser sur les lèvres. Elle se recule un peu.

« Doucement ma belle, tu m'as déjà griffée une fois. »

Elle me montre son dos où je vois en effet des marques rouges laissées par mes ongles. Elle s'approche doucement de moi et place ses lèvres sur les miennes. Elle m'embrasse quelques secondes puis s'écarte définitivement de moi.

« Allez, va. »

Je retourne vers ma nouvelle maitresse qui me tire nue dans le corridor. Là, elle m'aide à me diriger vers les bains. Au centre des bains, il y a une immense douche circulaire entièrement vitrée. À l'intérieur, il y a déjà une femme nue qui se douche. Madame me fait entrer dans la douche et me suit. Nous nous sommes douchés ce qui m'a permis de me débarrasser du gel que j'avais sur le corps. Madame remarque que je regarde tout autour de nous.

« Il n'y a pas d'hommes ici, si c'est ce qui t'inquiète. » « Pas du tout? » « Non, il y a deux ailes dans le spa, une réservée aux hommes, une autre aux femmes et les deux ne communiquent pas ensemble. Cela te gênerait qu'il y ait des hommes? » « Je crois que oui. » « Ha. Viens te sécher. Nous allons casser la croute. »

Je ne voulais pas quitter la douche immédiatement, je sens encore l'appel de mon appétit sexuel, mais j'obéis à la requête de madame. Toutefois pour prolonger le plaisir quand elle me tend une grande serviette je lui demande de m'essuyer. Pendant quelques minutes, je profite de ses caresses sur mon corps survolté. Elle comprend ce qui se passe et s'attarde longuement à mes seins et ensuite à mon entrejambe. Finalement, elle dépose ses lèvres sur les miennes puis s'écarte laissant la serviette dans un panier d'osier.

« Viens. »

Je l'ai suivi nue. Elle a passé son peignoir sans l'attacher. Nous sommes allées au bistro du spa où l'on servait des repas santé. Autour de nous il y avait des femmes en bikini, d'autres avec des peignoirs et d'autres, comme moi, nues. Les tables sont faites de verre et les chaises de plastique transparent. Elles ont formes galbées confortables. L'ensemble donne une impression de légèreté au bistro. Je m'assois en croisant les jambes. Les murs qui nous séparent de l'extérieur et du corridor sont en verre. Aux deux autres extrémités les murs sont peints d'une couleur vert chartreuse, très flash.

Quand la serveuse se présente à notre table, madame commande pour nous deux sans même consulter la carte.

« Vicky, ce que tu m'as dit tantôt me préoccupe. Tu as compris que tu dois faire tout ce que je te dis si tu veux rester chez moi et que je te prenne sous mon aile? » « Oui Madame. » « J'ai aimé quand tu m'as adressé la parole au titre de maitresse, cela t'importunerait beaucoup de m'adresser la parole ainsi? » « Non Maitresse. » « Merci. Donc je disais que tu dois faire ce que je te dis. Tu comprends que tu devras utiliser tes charmes face à la gent masculine et parfois être nue au milieu d'un groupe d'hommes pour mon plaisir. » « Si cela vous fait plaisir, Maitresse. » « Bien. Écarte tes jambes. Dorénavant ne t'assoient jamais plus les jambes croisées. Tu es encore allumée n'est-ce pas? Tu aimerais encore jouir? »

C'est comme si elle lisait dans mes pensées. Le feu qui a été allumé en moi me consume toujours. Même entourée de toutes ces femmes, je ne pense qu'à l'expérience que je viens de vivre et j'accepterais de faire bien des bassesses pour le revivre maintenant. Je baise les yeux et je regarde entre mes jambes. Ma vulve est ouverte comme une fleur et je vois même une goutte nacrée à sa base. Je ne lui réponds pas, car elle sait déjà la réponse. Je suis un animal domestiqué qui n'attend que les ordres de sa maitresse pour s'exécuter, pour avoir droit à ma gratification.

« Tu comprends aussi qu'à moins que moi ou mon mari ou toute autre personne que nous te désignerons ne t'en donnions la permission tu ne peux donner ou prendre de plaisir? »

Je fais oui de la tête.

« Tu comprends que ta dignité m'appartient? » « Oui maitresse. Je ferai tout ce que vous désirez de moi. Je suis persuadée que vous me traiterez bien et je suis consciente que je vous dois beaucoup. » « Est-ce que tu m'aimes Vicky? » « Avec tout mon cœur, Maitresse. » « Merci. »

Le repas arrive. Elle me fait signe et le reste du repas se fait en silence. Je la vois pensive. Elle me regarde de temps à autre et me sourit, mais elle ne prononce pas un mot de plus avant la fin du repas. Nous avons bu une bouteille de vin blanc avec le repas, je ne crois pas avoir bu du vin avant au repas du midi. À la fin, je me sens enivrée par le vin et par la situation.

« Alors tu as aimé? » « Oui Maitresse. » « Écoute-moi bien maintenant. Tu vas retourner à l'accueil de l'esthétique. Tu as un rendez-vous dans quelques minutes, tu devras peut-être attendre un peu. Alex doit te maquiller. Quand elle viendra te chercher à la réception, tu vas lui dire que tu veux être maquillée comme la putain que tu es. Demande-lui de te montrer comment faire. Demande-lui aussi de te faire un sac avec tous les produits qu'elle utilise et de mettre le tout sur mon compte. Tu me comprends? » « Oui. » « Que vas-tu lui dire? » « Qu'elle me maquille comme la putain que je suis. » « Bien. Demande-lui de te remettre ma robe, et viens me rejoindre à la réception principale quand tu seras maquillée et habillée. Ne me fais pas attendre. » « Oui Maitresse. » « Tu m'impressionnes petite. Allez, va. »

À 15 heures, j'arrive dans la réception principale avec la même robe que ce matin. Quand je me suis vue dans la glace avant de partir de la pièce où j'ai eu droit à un cours de maquillage, je ne me suis pratiquement pas reconnue.

Mes yeux sont plus que charbonneux, les paupières sont bleu presque noir, seul un peu de blanc scintillant sépare mes sourcils de mes paupières. Mes cils sont longs et fournis. Mes yeux bleus sont comme des diamants qui scintillent dans mon visage. Ils semblaient plus grands, plus pâles et plus brillants. Ma peau est blanchis et matte. Mon ossature est soulignée avec un peu rosé. Mes lèvres sont rose pâle, brillantes et pleines.

L'esthéticienne était plus gentille avec moi cette fois. Elle me caressait le visage, mes cheveux et la peau. Tout au long de son traitement et de son cours, j'ai dû réfréner mes ardeurs et ne pas me caresser. Jamais je n'ai senti une envie aussi forte, jamais je n'avais pensé me caresser devant une inconnue. Je pouvais voir parfois que mon corps me trahissait, mes seins étaient gonflés, ma fente continuellement humide et ouverte. Je réalisais que je n'avais plus honte de mon corps.

Quand j'arrive à la réception, madame m'attend. Au moment où elle me voit, elle me fait un grand sourire et me tend les bras.

« Que tu es magnifique, ma chérie! Viens, nous rentrons. »

Avant de s'écarter de moi, elle m'a serrée dans ses bras puis elle m'a donné un léger baiser. Dans le véhicule, elle m'a informé qu'elle désirait passer la soirée seule avec son mari à la maison. Natasha et moi devions les laisser pour la soirée. De toute façon, elle a prévu une soirée de magasinage pour nous.

De retour à la maison, quand nous entrons madame me fait signe de ne pas faire de bruit. Elle me prend par la main et me tire à travers le vestibule, le hall et le salon vers la salle de lecture. J'entends des bruits et je retiens mon souffle. Je suis nerveuse comme si nous allions découvrir des voleurs dans la maison. Ce que nous découvrons est le reflet dans la vitre de Natasha qui est à genoux devant monsieur. Elle est immobile. Après quelques secondes à les regarder madame s'éclaircit la gorge. Natasha se lève les yeux et croise ceux de madame. Elle recule et met sa main devant sa bouche. Je peux voir son visage maintenant, mais pas ses lèvres cachées par sa main. Elle est enjouée, je peux le voir dans ses yeux. Elle se lève et monsieur reste assis. Par la réflexion, je peux voir son membre dur protubérant de son pantalon.

« Natasha, tu as fait les courses que je t'ai demandé? »

Elle hoche la tête, la main toujours devant sa bouche.

« Bon, alors va montrer à Vicky les achats que tu as faits et va te préparer pour la soirée. Tout était clair dans la liste pour Vicky? »

Elle hoche encore la tête, puis s'approche de moi. Elle me tend la main qui est libre et me tire à travers le salon vers les marches et ma chambre. Avant d'arriver aux marches, je l'entends déglutir. Je me retourne vers elle et elle retire sa main de sa bouche. Elle a sur son menton elle à une trace de liquide visqueux. Je devine ce que c'est et je lui fais signe avec la main. Elle me répond :

« Qu'attends-tu, enlève-le-moi. »

J'approche mon index pour essuyer son menton et elle fait un pas en arrière.

« Ne fais pas comme cela, idiote, utilise ta langue et ta bouche, c'est ainsi que Madame va te demander de le faire. »

Je suis surprise, mais je fais ce qu'elle me demande. Je m'approche, je sors la langue et je lèche le liquide qui a un goût sucré, légèrement amer. Avant que je ne puisse me retirer, elle passe une main dans mon cou et m'attire vers elle. Sa bouche s'ouvre et ma langue s'y perd. Elle l'aspire puis l'entoure de ses lèvres. Le baiser n'a duré que quelques secondes, mais me laisse complètement chamboulé. Elle s'écarte de moi et se remet en direction de l'escalier.

« Tu ne croyais tout de même pas que j'allais te laisser tout cela. »

Elle me disait cela en riant.

« Tu fais souvent l'amour à Monsieur? » « Aussi souvent qu'il le veut. Je crois que Madame est un peu jalouse, mais je crois aussi qu'elle m'utilise pour vivre des choses par procuration. » « Procuration? » « Oui, elle vit des choses à travers moi, des choses qu'elle ne veut pas se permettre de faire. Je me doute que c'est aussi ce qu'elle désire de toi. Tu es à l'aise avec cela? » « Est-ce que j'ai vraiment le choix? »

Je lui souriais.

« Vient voir ce que j'ai acheté pour toi, c'est magnifique. »

Il y avait des vêtements sur le lit puis d'autres dans un grand placard ouvert. Natasha m'explique que ce qui est sur le lit est pour ce soir et que je dois tout porter ce qui est là sans plus. Elle m'invite à fouiller à travers ma nouvelle garde-robe pour la prochaine heure pendant qu'elle va se préparer pour notre sortie. Avant de partir, elle me demande de lui remettre la robe que je porte. C'est donc nu que j'ai vu pour la première fois ma nouvelle garde-robe et que j'ai visité ma chambre pour la première fois.

Il me semble que tout dans la chambre est rose sauf le sol qui est fait de large latte de bois peinte en blanc et le plafond qui est aussi blanc. Un vieux radiateur à eau peint rose fait le long du mur extérieur. Au-dessus, il y a une grande fenêtre qui me permet d'avoir une vue impressionnante sur la forêt à l'arrière de la maison. La fenêtre n'a aucun mécanisme apparent pour l'ouvrir. Elle est recouverte d'un mince voile blanc. Les huisseries, les meubles dont le coin coiffeuse avec une grande glace et un bureau sont aussi rose que les murs. À côté du coin coiffeuse il y a une petite porte avec un bouton de verre.

Le grand lit est couvert d'une grosse couette et de coussins de diverses tailles et diverse teinte de rosé. Il a une forme très contemporaine même si c'est un lit à baldaquin. Il a des barreaux d'acier de couleur argent. Dessus il y a un voile blanc semblable au rideau qui est plissé vers la tête du lit. Je comprends que je peux le déplisser et changer l'atmosphère du lit.

La porte coulissante qui ferme le placard est une grande glace. Le placard est immense, un côté est couvert de tiroirs et de portes l'autre est organisé pour pendre mes vêtements. Le mur du fond est couvert avec une grande glace qui donne l'impression que le placard est d'autant plus grand.

Je place le sac de cuir avec mes cosmétiques sur le bureau dans le coin coiffeuse. Il y a déjà deux petites boites sur le meuble. Je commence la visite de la chambre. Je vais vers la porte qui mène au corridor. Quand je teste la porte, je réalise qu'elle est barrée. Je vais vers l'autre porte qui ouvre sur une salle d'eau avec un bain sur pattes, une cuvette et un cabinet. Le mur extérieur est complètement vitré. L'intérieur est tout de blanc. Il y a des serviettes de toutes tailles. Je sens que le sol est chaud.

Je regarde à nouveau la chambre. Elle est très féminine, je l'aime. Avant de m'habiller, je vais visiter le placard. Les vêtements qui y sont semblent tous soyeux et de grande qualité. Il y a des ensembles de toute sorte de couleurs à la mode. Certains vêtements me semblent petits. Je me demande comment Natasha a pu faire des courses pour moi si facilement. Dans des boites, il y a des escarpins, des mules et des bottes. Toutes ont des talons vertigineux, quelques-unes ont des semelles compensées et des talons qui doivent faire plus de quinze centimètres. Je prends dans mes mains un escarpin verni rouge et je le regarde. Il a un fin talon de quinze centimètres et un plateau de trois centimètres. Est-ce que je vais pouvoir marcher avec ces chaussures?

Je fouille ensuite dans les tiroirs. Je trouve des bas, plusieurs en soie, d'autres en nylon avec de larges jarretelles de dentelle. Je trouve aussi quelques porte-jarretelles et de minces gilets et des maillots. Je trouve deux corsets. Je trouve aussi deux peignoirs roses. Ce que je ne trouve pas ce sont des culottes, strings ou soutiens-gorge. Trois tiroirs sont fermés à clé et je ne peux les ouvrir.

Je retourne au lit et je regarde ce qui m'y attend. En premier, je passe des bas en soie noire. Je réalise que tout cela a dû coûter très cher à madame. Je n'ai jamais eu de bas et encore moins un bas de cette qualité. J'ai besoin de passer le porte-jarretelles qui est sur le lit pour faire tenir les bas. Ensuite, il y a une petite robe soigneusement pliée sur le lit. La robe est noire avec des motifs de fleurs et branches rouge vif. Le rouge est opaque, mais le noir est complètement translucide. Au centre de la robe, il y a une section qui est de dentelle noire élastique plus opaque qui forme une espèce de corset. Je passe la robe qui est très moulante. Je la tire parce qu'elle me semble trop courte, mais elle ne concède pas un centimètre. Elle ne couvre pas complètement la bande foncée du haut des bas de soie. Quand je me regarde dans la glace, je peux distinguer mes aréoles et ma fente. Je regarde par en arrière et je peux voir ma fente entre mes fesses.

Heureusement, j'ai un petit boléro de fourrure rouge avec des manches longues sur le lit. Quand je le passe, il cache tout juste mes seins. Je regarde dans la grande boite qui est sur le lit. Il y a dedans des cuissardes moulantes faites de dentelle. Comme les escarpins de tantôt, elles ont des talons qui doivent faire près de quinze centimètres et un plateau de trois centimètres. Quand je vais vers la glace avec les cuissardes, ma démarche est hésitante, je dois porter une attention particulière, mais j'y arrive. L'effet de l'ensemble est sensuel, mes jambes ainsi exhibées, mais bien couvertes, les lignes noires de différentes opacités, des bottes, des bas, des jarretelles et de la robe. Le rouge de la robe qui se marie avec le rouge du boléro.

Jamais dans le passé je n'aurais osé m'habiller ainsi, mais aujourd'hui cet habillement me plait. C'est comme si j'allais sortir dans une disco ou une soirée pour la première fois de ma vie. Je dois vraiment être la prostituée que madame décrivait plutôt aujourd'hui et je n'en ai pas honte. Ce n'est pas comme si c'était moi qui avais choisi ces vêtements, je ne fais que les porter.

J'ai dû attendre une quinzaine de minutes avant que Natasha vienne me chercher. Je ne savais que faire alors je me suis assise sur le lit et je me suis mise à méditer. Je réalise que toute ma vie quelqu'un d'autre contrôlait ma destinée. Mes parents, mes professeurs, mon mari, mes patrons. Je me suis fait dire plusieurs fois, ne fait pas ceci ou cela, tu ne peux pas porter cela, tu ne peux pas acheter cela, ne mange pas ceci... qu'est-ce que les gens vont dire. Ils ne me disaient pas ouvertement qu'ils voulaient me contrôler, mais effectivement c'est ce qu'ils faisaient. Et je détestais cela. Je devais toujours être sur mes gardes, les balises n'étaient jamais claires, elles étaient toujours changeantes. À la fin, j'étais toujours punie et je me détestais. On m'interdisait de vivre.

Pour la première fois aujourd'hui tout cela est fini. C'est clair. Je fais ce qu'on me dit, je n'ai plus de responsabilité. Je suis un animal domestiqué. Et comme une chatte de maison, je n'ai qu'à apprécier la vie. Je me sens vivre même si je ne suis plus qu'une prisonnière soumisse entièrement à sa maitresse, même si je suis un objet qui appartient à quelqu'un d'autre.

À ce moment de rêvasserie, j'entends la clé dans la porte. Natasha ouvre et entre dans ma chambre. Elle est complètement transformée. Elle porte un jean qui lui colle à la peau, qui lui découpe les fesses et même sa fente. On croirait qu'il est peint sur son corps. Elle porte des escarpins noirs aussi hauts que mes bottes. Elle ne porte pas de bas puisque je vois ses chevilles. Finalement, elle porte une robe de lainage blanc avec des mailles tellement amples qu'elle ne cache rien de son corps. La robe lui va au milieu des fesses, mais ne cache rien du jean. Je peux très bien voir sa peau olive et ses petits seins foncés en forme de poires. Je peux voir ses grandes aréoles foncées et gonflées ainsi que ses mamelons qui pointent à travers les mailles. Comme moi, elle est maquillée pour une soirée. Ses paupières sont de couleur chocolat et ses yeux soulignés avec beaucoup de noir. Ses lèvres sont de couleur prune. Elles sont très brillantes comme les miennes. Son fard souligne avec intensité l'ossature de son visage. Elle est magnifique.

Elle vient s'assoir à mon côté sur le lit et me passe une main dans les cheveux.

« Je ne te l'ai pas dit tantôt, mais tu es ravissante Vicky. Je me sens chanceuse que Madame t'a choisi pour que tu sois mon amie. Nous allons avoir une belle soirée et une belle semaine. Es-tu prête à faire ce que je te dis? » « Merci, oui, bien sûr. Je me disais justement que tu es magnifique. Est-ce que je peux te tutoyer où... » « Arrête, si tu m'écoutes, nous sommes des amies. Sinon, bien, je te mettrai en pénitence et l'on ne se parlera pas simplement. Parlant de cela, Madame m'a donné un livre pour tes temps libres. Lis-le, mais ne tire pas de conclusion à ton sujet en le lisant. Ce qui arrive à la fille du livre ne t'arrivera pas à toi. Ce n'est qu'un fantasme de Madame. Elle m'a aussi f o r c é à le lire, cela m'a été un peu pénible. »

Elle me donne un livre noir avec en lettres dorées le titre « Histoire d'O. »

« Ce soir, nous allons en premier faire des courses pour toi et ensuite nous allons manger et sortir voir une amie. Es-tu prête? » « Oui. »

Nous avons pris le véhicule de madame pour nous rendre à la ville. Quand nous sommes sorties de la maison, nous n'avons pas rencontré ni madame, ni monsieur. Natasha m'a demandé à la blague si elle devait m'attacher pour que je ne m'enfuie pas. Un instant, j'ai cru qu'elle était sérieuse. Elle a bien rigolé. Le chemin s'est fait dans le silence. Une fois, Natasha m'a rappelé de ne pas croiser les jambes. Elle m'a caressé la main, mais gardait toujours les yeux sur la route. À notre premier arrêt, j'ai trouvé le courage de lui poser des questions.

« Natasha, dis-moi, crois-tu que je suis une lesbienne? » « Pourquoi penses-tu cela? » « Aujourd'hui, le massage... puis, il y a toi. Je te regarde et... » « Et? » « Je te trouve belle et je me sens attirée par toi. Je me sens... je ne sais pas... nerveuse en ce moment. » « Merci Vicky, c'est un beau compliment que tu me fais là, moi aussi je t'aime, mais cela ne veut pas dire que tu es lesbienne pour autant. Je crois que tu es un peu confuse pour l'instant. Ceci dit, si tu veux rester avec nous tu dois penser différemment. Tu es ce que Madame ou Monsieur veulent que tu sois. Tu comprends? » « Je crois que oui. Merci. »

Je réalise que je regarde par terre. Je me sentais un peu rejetée, j'aurais aimé une réponse plus simple. Natasha me prend le menton et relève mon visage.

« Voyons ma belle, ne le prend pas comme cela. Viens à l'intérieur, on va te chercher des cadeaux sélectionnés par Madame et moi. Tu vas voir qu'elle t'apprécie beaucoup. »

Nous étions dans le stationnement d'une bijouterie de luxe. Nous y étions en effet attendu. Quand nous sommes sorties de la bijouterie, j'avais à l'annulaire une énorme bague en argent ornée de cœurs et sertie de plusieurs cercles de petits diamants tout autour. Au poignet, j'ai 25 petits bracelets en argent. Quand je bouge, le bras, ils se déplacent, me caresse et ils s'entrechoquent en faisant du bruit. Dans une boite, j'ai un bracelet qui fait plus de six centimètres, ornés de cœurs et qui s'agencent avec ma bague. Je me doute que tout cela a du coûter une fortune.

Notre deuxième arrêt fut en plein centre-ville. Nous avons dû nous garer à un coin de rue de notre destination, un salon de tatouage. Là, une femme m'a fait assoir dans une chaise longue en cuir, devant la vitrine. Rapidement, il y a eu un petit attroupement de voyeurs à l'extérieur. Elle m'a préparé puis expliqué la procédure et en une heure elle avait terminé de me tatouer une petite chaine inspirée d'un motif de Chanel sur mon biceps. Le tatouage devrait être discret, mais pour l'instant il est tout rougi et légèrement tuméfié.

Le troisième arrêt à 21 heures est une trattoria italienne. Selon Natasha, c'est un de ses endroits préférés en ville. Nous y sommes accueillis comme des princesses. Natasha connait tout le personnel de l'établissement qui nous sert ce qu'il y a de mieux sans que nous ayons à commander quoi que ce soit. Nous en sortons deux heures plus tard en promettant de revenir voir les propriétaires rapidement. Je comprends maintenant pourquoi elle adore ce restaurant.

Un peu avant minuit, nous arrivons à une boite de nuit. Il y a une file, mais Natasha va directement à l'avant voir un grand portier. Elle me tient par la main pendant qu'elle discute avec l'homme et sous les réprobations des clients qui attendent, la porte s'ouvre pour nous laisser entrer. Natasha me tire vers l'arrière du club où je fais connaissance avec sa copine Catherine, ou Cathou comme elle aime être appelé. Elle travaille ici et a un fauteuil de réservé pour nous. Je me mets à observer le club et je réalise que la majorité des clients sont des hommes et pour cause. Sur les quatre scènes, il y a des filles plus ou moins vêtues qui dansent au rythme de la musique techno. Sur une scène, il y a deux filles qui simulent une relation sexuelle. Le long du mur de gauche, il y a des cabines et je peux voir d'autres filles qui dansent en privé pour des clients.

Après nous être assis à notre table, Cathou revient nous porter des verres de martini et elle dit à Natasha qu'elle sera de retour dans trente minutes. Elle semble un peu plus vieille que nous et plus ronde. Ses seins sont lourds et bien mis en évidence par un bustier noir trop petit pour elle. Elle porte des mules avec des talons plus hauts que ceux de mes bottes. Ses jambes sont couvertes par des bas en résille noirs. Elle porte une petite jupe et un haut de couleur léopard. Ses cheveux longs sont aussi noirs que ceux de Natasha, et une frange couvre son front et dégage son visage. Ses ongles sont plus longs que les miens et de la même couleur que ses cheveux. Elle porte des bracelets aux deux bras. Un est un groupe de petites chaines entrelacées, l'autre plusieurs anneaux de plastique noir. Elle a de longues boucles d'oreille noires. Ses paupières sont aussi noires. Elle a un tatouage à l'épaule et son dos est entièrement couvert d'encre. Quand elle nous laisse seules, Natasha m'explique la suite.

« Bon, Vicky, je crois que Madame t'a fait comprendre qu'aujourd'hui était la première journée du reste de ta vie. » « Je l'avais en quelque sorte compris. J'ai été vendu à ce club de danse? » « Mais non... Que tu peux être sotte! Ce soir Catherine va t'utiliser comme accessoire pour son spectacle qui va être filmé en entier et envoyé à Madame par courriel demain. » « Et que dois-je faire au juste? » « Catherine va venir te chercher et t'amener avec elle sur une scène. Il va y avoir une chaise sur laquelle tu vas t'assoir et sur laquelle tu vas te caresser. Catherine va t'aider, mais tu devras suivre ses instructions. » « Et si je ne veux pas? » « Tu ne veux pas savoir. N'ai crainte. Sur la scène, tu ne verras pas les gens et Catherine va t'aider, tu peux lui faire confiance, c'est ma mère. » « Ta mère! » « Oui. Madame m'a demandé de ne rien te donner, mais si tu veux on peut tricher et je peux te donner quelque chose pour te relaxer. » « Je vais devoir me déshabiller? » « Non... Mais si tu le veux, tu le peux. La seule consigne c'est que tu dois te caresser et te faire jouir réellement devant la caméra. Madame dit qu'elle va le savoir si tu tentes de simuler. » « Tu l'as déjà fait? » « J'ai déjà travaillé ici, avec ma mère, c'est d'ailleurs ici que monsieur m'a vu la première fois. Ce que tu as à faire est plus facile. Tu n'as qu'à te fermer les yeux et te caresser. » « Tu ne comprends pas. Je ne me suis presque jamais caressée, et là, en public en plus... Je croyais que j'avais changé, mais là j'ai le trac. » « Tu as changé, ce n'est justement que le trac. Tu vas voir, tout ira bien. »

Pour les quinze minutes qui ont suivi, je me suis concentrée, les yeux fermés. Natasha me tenait les mains. J'entendais la musique, mais elle semblait lointaine. Puis j'ai senti d'autres mains se déposer sur les miennes. J'entendais Natasha parler, mais je ne la comprenais pas. Quand j'ai ouvert les yeux, sa mère était à mon côté. Elle me regardait et me souriait.

« Allez ma chatonne. Tout va bien aller. Ne te fais pas du mauvais s a n g . » « Je suis prête. »

Les deux étaient surprises de ma nouvelle détermination. J'ai retiré mon étole. Catherine est partie vers le DJ. Puis est revenue vers moi. Elle m'a pris la main et elle m'a tirée vers la scène pendant que l'annonceur maison décrivait le spectacle que nous allions offrir. Je l'ai entendu dire quelque chose au sujet de la mère et de la meilleure amie de sa fille pendant que sa fille regardait, mais je ne pouvais me concentrer sur ses paroles.

Sur la scène, je ne pouvais en effet voir la foule. Catherine m'a expliqué les règles : je pouvais me toucher, me découvrir. Je pouvais la toucher, mais pas question de lui toucher les fesses, la vulve ou la région du bassin. Je ne peux l'embrasser ou mettre mes doigts dans sa bouche. Je dois rester assise pendant tout le spectacle. Et le spectacle sera terminé quand elle le décidera.

Je me suis affalée dans un profond fauteuil de cuir blanc avec de larges accoudoirs arrondis mes fesses à la limite du coussin. Mes mains reposent sur mes cuisses. Sans attendre, Catherine vient se placer devant moi, me caresse les genoux puis les cuisses. Elle se penche vers moi et glisse sa tête près de la mienne. Je peux sentir son parfum sucré, ses cheveux caressent ma joue. Elle bouge lascivement son corps tout en maintenant sa tête en place puis se recule pour caresser mes cuisses à nouveau. Elle place ses mains à l'intérieur de mes genoux et m'écarte les jambes. J'entends des cris autour de moi, mais je n'en tiens pas compte. Je me concentre sur la présence de Catherine. Elle se redresse, mais garde mes jambes écartées avec ses propres genoux. Je me sais à la vue des spectateurs.

« Allez, amuse-toi ma chatonne. Donne-moi un beau spectacle. »

Je la regarde dans les yeux et lentement je glisse mes mains de mes cuisses vers mon entrejambe. Elle se penche devant moi et je peux voir ses seins presser contre son bustier. Elle me caresse l'intérieur des cuisses et danse langoureusement devant moi. Elle passe ses jambes par-dessus les miennes pour me chevaucher. Ses genoux sont appuyés contre les accoudoirs du fauteuil. Dans cette position, elle entreprend une danse en se frottant contre moi et en caressant son corps. Je la regarde faire tout en écartant mes lèvres. Je réalise que je suis mouillée. Est-ce Catherine ou la situation qui m'excite? Ou peut-être les deux. Une chose est certaine, je suis maintenant concentrée et c'est à peine si j'entends la musique ou la foule en liesse.

Catherine délaisse les caresses sur son corps pour me caresser le bras qui est entre mes jambes et passe son visage près du mien. Je sens son nez me caresser de la joue jusqu'à mon nez puis elle s'écarte et danse devant moi. Je comprends qu'elle permet ainsi aux voyeurs d'observer mon entrejambe. On me siffle. Elle continue sa danse et plie ses jambes de façon à ce que son basin entre en contact avec ma cuisse. Elle se frotte ainsi contre moi quelques secondes. Je garde un contact avec ses yeux et je lui souris. Elle se déplace et vient s'accroupir devant moi comme si elle allait m'embrasser sur ma fente mouillée.

Catherine garde ses distances et plutôt me caresse les bras. Je comprends que je dois être plus active. Je commence à tracer des cercles autour de mes grandes lèvres puis autour de mes petites lèvres. Après seulement quelques mouvements, je sens que mon index est couvert de ma mouille, il est doux. Je m'attarde à faire des cercles autour de mon clitoris. Elle me caresse le bras et la main sans jamais s'approcher de mes doigts. Je comprends la limite qui nous est imposée.

Elle se relève et place son cul dans l'air. Ses jambes bien écartées et bien droites, son corps droit, ses mains sur mes épaules et sa tête contre la mienne. Je la vois tracer des cercles avec ses fesses dans les airs. L'auditoire a une belle vue sur ses fesses. Tout en gardant ses pieds bien plantés au sol elle se redresse lentement caressant à nouveau mes cuisses. Je passe maintenant mon majeur de haut en bas de ma fente, parfois jusqu'à mon anus. Toute cette région est maintenant couverte de ma mouille.

Catherine danse maintenant tout autour de moi en se caressant et portant parfois une main vers moi. Je l'observe continuellement. Elle garde en tout temps un contact avec mon corps avec une main ou une cuisse. Ses mouvements sont lents et continuellement elle simule des mouvements sexuels, par exemple quand elle bouge son basin comme si elle avait une queue en elle. Plusieurs fois, elle vient simuler qu'elle m'embrasse. À chaque fois, elle caresse mon visage. Elle approche ses lèvres des miennes. Quelques centimètres de plus et elles se joindraient.

Elle s'écarte et va vers le côté du fauteuil. De cette position, elle me caresse et me pousse à me masturber. Je la regarde.

« Ma chatonne, tu sais que ma fille a déjà été à ta place ici. Est-ce que tu aimes ma fille? » « Oui Cathou. »

En disant cela, je réalise que ma respiration est changée. Je réalise comment je la regarde. Je me sens bouleversée.

« Elle te regarde et je suis certaine qu'elle se caresse elle aussi. Imagine-toi que c'est elle qui est ici. Imagine-toi que c'est elle qui te parle. Caresse-toi pour lui montrer comment tu l'aimes. »

Je pouvais vraiment m'imaginer que Natasha était avec moi. Elle ressemble tellement à Catherine. Seuls leurs yeux sont vraiment différents. Ceux de Catherine sont brun tellement foncé qu'ils semblent noirs. De grosses billes noires qui me regardent pendant que mon index glisse sur ma fente se frottant contre mon clitoris et entre finalement dans mon intimité. Je le garde un instant en moi et tire vers le haut pour augmenter la pression contre mon bouton d'amour.

Tout en restant à mon côté et en me regardant, Catherine commence à retirer ses vêtements. Elle retire en premier le mince tissu qui recouvre son bustier. Ce dernier suit rapidement et elle le lance dans la direction où se trouvait Natasha tantôt. Devant moi, je la vois se caresser les seins puis elle se redresse pour se pencher vers moi et caresser mon visage de son nez. Elle en profite pour me caresser le bras, l'épaule et, finalement, passer sa main sous mes cheveux dans mon cou. Je me sens en transe. J'imagine Natasha près de moi. Elle se relève et passe derrière moi

De derrière le fauteuil elle s'installe puis se penche sur mon visage. Moi je laisse ma tête retomber sur le dossier du fauteuil. Immédiatement, elle se met à caresser mon visage avec ses seins lourds. Je ne me souviens pas d'une telle douceur sur mon visage. Même ses mamelons gonflés glissent avec douceur sur ma peau. Avec ses mains, elle me caresse les épaules puis le ventre et remonte doucement jusqu'à la base de mes seins qu'elle contourne. J'attr a p e un mamelon dans ma bouche et le suce un instant. J'aimerais avaler en entier ce sein qui repose sur ma bouche.

Catherine se déplace à nouveau et va à mon côté. Elle attr a p e ma main droite qui repose sur ma hanche. J'utilise un puis deux doigts que j'insère en moi. Continuellement, j'entre et je sors, tout en glissant sur ma fente et en pressant sur mon clitoris. Je le sens bien dur sous mes doigts. Catherine place son visage contre le mien. À certains moments, je peux sentir ses lèvres sur mes joues. Elles ne font que se déposer puis repartir. Son nez caresse mon oreille puis elle prend mon lobe entre ses lèvres luisantes. Sa main qui est entrelacée avec la mienne caresse ma cuisse. Par moment, je me ferme les yeux. Je sens la marée du plaisir monter en moi par vagues.

Elle s'écarte à nouveau de moi et danse jusqu'à être positionnée au-dessus de mon genou droit. Là, elle plie les jambes et son pubis fait contact avec ma cuisse. Elle commence à se frotter tout le long de ma cuisse et place un bras derrière mon cou. À nouveau, elle place son visage contre le mien. À travers son vêtement, je sens sa mouille. Sa position et son mouvement m'excitent terriblement. Elle le réalise et après avoir caressé mon cou avec son nez elle s'écarte de moi et fini de se déshabiller en dansant sur la scène. Je ne peux cesser de la regarder. Elle utilise mon corps pour s'appuyer quand elle finit de se dévêtir et je réalise que maintenant, quand elle me touche, je ressens des petites secousses, de petits chocs électrisants.

Le poil de son pubis est de la même couleur que ses cheveux. Maintenant quand elle se frotte contre ma cuisse je peux sentir ses poils qui me chatouillent et ses lèvres humides qui laissent une trace de mouille luisante. Elle redouble ses caresses et elle presse son corps contre le mien avec plus d'insistance tout en continuant de se trémousser au rythme de la musique. De mon côté, j'augmente de rythme de ma stimulation. Je sens que ma mouille coule de ma fente et va mouiller mes fesses. Plus que jamais il n'y a qu'elle et moi dans mon monde.

J'utilise toute ma main pour me caresser. Maintenant, je suis trop excitée pour caresser directement et continuellement mon clitoris, je l'effleure de temps à autre tout en m'occupant du reste de mon sexe. Par moment je me sens me cambrer et je sens ma tête retomber vers l'arrière. Je ferme les yeux. Je ne le réalise pas, mais en plus de soupirer profondément je hèle Natasha. Quand Catherine passe ses deux jambes par-dessus mes hanches et se laisse glisser sur mon corps jusqu'à ce que sa vulve touche à ma main qui me caresse je me sens partir.

Mon corps est secoué de tremblements incontrôlables, je me sens pleine d'électricité statique jusqu'au bout des doigts. Je suis trop excitée pour toucher à mon clitoris qui pulse. Je sens mes muscles de mon vagin et mon basin se contracter de façon rythmique et énergiquement. Je suis à bout de souffle et pourtant je crie ma jouissance sous les applaudissements de la salle qui me semble feutrée dans mes oreilles. Catherine me serre dans ses bras. Je suis couverte de sueur et remplie de bonheur. Je me sens sourire béatement. Je me sens molle dans un état de volupté.

Après quelques secondes de répit, j'ai toujours les yeux fermés et je sens Catherine qui s'écarte un peu de moi et reprend sa danse au rythme de la musique techno qui ne s'est pas arrêtée. Elle recommence à me caresser doucement sur les bras et les cuisses. Je sens mon excitation reprendre le dessus à un autre niveau comme si elle n'avait jamais cessé. Elle se penche sur mon corps et love son visage contre le mien. Je la sens déposer ses lèvres sur mon cou et m'effleurer doucement. Elle replace ma main sur mon mont de vénus et appui fortement son pubis contre ma main. Je comprends son signal.

Doucement, je recommence à me masturber. Je réalise à quel point je suis mouillée maintenant. Le seul mouvement de ses hanches me donne beaucoup un sentiment de vertige. Cette fois, j'entends clamer son plaisir. Sa respiration suit le rythme de la mienne et j'entends ses « han » et « Oh oui! » qui me signale qu'elle vient de passer à un nouveau plateau d'exaltation. Je sens maintenant des vagues de plaisir me frapper successivement. Je les sens déjà plus importantes que celle qui m'a fait chavirer il y a quelques minutes, mais je sens aussi que je n'ai pas atteint mon nirvana.

Catherine se déplace vers mon côté. Elle place sa tête sur ma cuisse et elle se caresse en me regardant. Elle a une main sur ses gros seins l'autre entre ses jambes. J'entends un bruit de clapotis qui témoigne de l'humidité de son sexe. Je la vois se branler avec vigueur. Puis elle se déplace à nouveau, laboure ma peau avec ses mamelons en se replaçant en position debout. Une fois debout elle place son pubis à quelques millimètres de mon visage. Je vois ses lèvres mouillées bien écartées. Je sens l'odeur du sexe de Catherine. Je sens même la chaleur qui s'en dégage. J'essaie de m'approcher et Catherine se recule pour m'en empêcher. Elle se caresse de cette position pendant quelques secondes. Je la vois entrer ses doigts en elle puis les retirer et les porter à ses lèvres.

Lentement, elle s'accroupit à nouveau à mon côté. Quand son visage est près du mien, je peux sentir l'odeur de son sexe sur ses lèvres. À nouveau, elle me caresse le visage avec son nez et ses lèvres. Je me ferme les yeux dans l'expectative d'être embrassée. Mon excitation monte encore d'un cran, j'utilise mes nouveaux ongles pour effleurer mon clitoris. Cela me donne l'impression que ce n'est pas moi qui me caresse. Le baiser n'arrive pas, j'ouvre les yeux, elle me regarde, son visage dégage beaucoup de sensualité. Elle se tourne vers mon sexe et caresse ma cuisse suivant le rythme de ma main qui s'occupe de mon clitoris.

Elle se lève à nouveau et reprend sa position debout à mon côté. Je tourne le visage vers son sexe, mais cette fois je ne cherche pas à m'en approcher. Je ferme les yeux. Mes autres sens sont d'autant plus sollicités, je la sens comme si mon visage était lové sur son pubis. J'imagine ma langue entre ses lèvres, j'imagine gouter son sexe. D'une main elle se masturbe avec vigueur, de l'autre elle me caresse les cheveux. Je la sens sa jouissance imminente, cela me pousse vers un nouveau sommet dans ma frénésie. Je sens tous mes muscles se contracter, avoir des spasmes. Je sens un vide se faire en moi et autour de moi. Je râle et respire profondément et bruyamment. Je me sens arriver au bord du gouffre. Mes mamelons qui frottent contre ma robe sont très sensibles. J'entends Catherine crier. Cela me fait basculer dans le gouffre et pour la prochaine minute mon corps se tortille sur la chaise. Je crie, je pleure. Tout mon corps est une grande zone érogène, même l'intérieur de ma bouche. Mon clitoris disparaît sous mes doigts. J'ai l'impression d'uriner tellement je suis mouillé. Tous mes muscles du bassin se contractent de façon rythmique.

Il me faut quelques minutes avant de reprendre conscience de mon entourage. Quand j'ouvre les yeux, Catherine est devant moi entre mes jambes. Elle se penche vers moi et me prend dans ses bras. Je l'entoure aussi de mes bras. Nous restons ainsi pendant ce qui me semble une longue période. J'entends des applaudissements autour de nous.

« Viens, allons nous rafraichir »

En sortant de la scène, un homme nous sert de garde du corps et nous reconduit vers une pièce où d'autres filles se préparent. Après quelques minutes, Natasha vient nous rejoindre.

« Tu as été magnifique. Je dois t'avouer que je ne croyais pas que tu allais le faire. Comment vas-tu? » « Je vais bien. Je ne sais pas comment décrire ce que je viens de vivre. Jamais, jamais je n'aurais cru pouvoir vivre quelque chose comme cela. Natasha, je suis ivre de plaisir. Je me sens bien, mais je suis vannée aussi. » « On rentre alors, tu as une grosse journée demain. »

Nous sommes entrées un peu après minuit. Natasha est venue me conduire à ma chambre et j'ai entendu le déclic de la serrure qui se barre quand elle a quitté la chambre. Je me suis douchée puis je me suis couchée. Après quelques minutes, je dormais.

Samedi 24 décembre

Le bruit de la serrure m'a réveillé ce matin. Natasha entre sans avertir. Elle porte une courte jupe de denim et un maillot de corps de dentelle blanche qui ne cache rien de sa petite poitrine. Elle est déjà maquillée et sent bon. J'essaie de me relever prestement, mais elle fait signe de la main de ne pas bouger puis elle vient s'assoir au pied du lit. Elle a en main un cahier noir.

« Bonjour Vicky. As-tu bien dormi? » « Oui, merci. » « Prête pour la suite? »

Bien qu'encore endormi, je n'hésite pas. J'ai une impression que toute hésitation aura une conséquence fâcheuse.

« Oui » « Parfait. J'ai en main le cahier avec les instructions te concernant. Je vais te lire certains passages ce matin pour que tu comprennes ce qui est attendu de toi. Dans ce cahier, j'ai des instructions qui te visent pour toute la semaine, mais aussi pour une partie de l'année qui vient. Je vais te les livrer au rythme qui est indiqué. Comprends que ce n'est pas moi qui ai écrit ce que je vais te lire, mais que si tu ne fais pas ce qui est attendu de toi, je vais aussi être punie. Me comprends-tu? » « Oui » « Alors, écoute bien. »

Natasha entreprend alors la lecture des premières pages du cahier. Elle touche plusieurs points tant au sujet de mon apparence, de mon attitude et de mes responsabilités. La lecture dure plus de 30 minutes et je me demande si je vais pouvoir me souvenir de tout. Quand elle conclut, elle ajoute :

« Aujourd'hui, nous sommes la veille de Noël et le cadeau que je vais te faire, c'est de la compréhension. Si tu ne te souviens pas de tout et que tu fais une erreur de bonne foi, pour la prochaine semaine, je vais te corriger, mais je ne punirai pas. Ce sera notre secret. Suite au retour de nos maîtres, ne compte plus sur moi pour te protéger. Me comprends-tu? » « Oui » « Je vais maintenant te donner ton programme matinal qui doit être complété avant que je vienne te chercher le matin à 7 h comme tantôt. Aujourd'hui était ta dernière grasse matinée, à moins d'une permission particulière. Pour t'aider, je vais t'apporter un réveille-matin tantôt. »

Elle m'a expliqué et démontré en détail tout ce que je devais faire avant 7 h le matin puis elle m'a dit de pratiquer pendant qu'elle allait préparer notre déjeuner. Elle me laisse seule avec les instruments qui étaient dans des tiroirs barrés jusqu'à il y a quelques minutes. Je dois, avant son arrivé le matin, avoir complété plusieurs exercices, dont un avec des petits cônes que je dois insérer dans mon vagin et que je dois retenir pendant de longues minutes. Quand je réussirai à tenir le cône numéro un assez longtemps, je dois passer au deux et ainsi de suite. Natasha m'a dit que j'en avais pour quelques mois avant d'arriver à retenir le cône numéro cinq assez longtemps. Cet exercice doit renf o r c e r des muscles qui procureront du plaisir tant à moi qu'à mes partenaires.

J'ai un deuxième exercice qui vise mon autre orifice. Je dois faire pénétrer dans mon anus un autre genre de cône avec une base évasée. Elle m'a montré ces cônes au nombre de 12 qui, lentement, permettront à mon anus de se dilater. Cela le préparera à être utilisé. Elle me demande de porter celui que je peux supporter pendant toute ma préparation du matin. Elle m'a averti qu'il est possible que certaines journées je doive porter un de ces cônes toute la journée. Aussi elle m'a averti de ne pas lésiner et de passer rapidement à un numéro plus grand quand j'en suis capable. Sinon je risque de le regretter quand on voudra utiliser mon cul.

Finalement, elle m'a présenté trois godemichés très réalistes de trois longueurs et largeurs différentes. Je dois apprendre à les accepter dans ma bouche et dans ma gorge tout en contrôlant mes réflexes afin de ne pas avoir la nausée. Je dois apprendre à contrôler ma respiration et à me détendre quand j'ai le gode en moi. Je dois arriver à prendre le plus gros et grand gode en moi sans avoir de nausée. Elle m'a dit que je pouvais saliver beaucoup, mais je ne devais pas avoir de nausée ou pire, vomir quand on utilisera ma bouche et ma gorge.

De plus, je dois tous les matins me doucher et nettoyer tous mes orifices. Je dois m'hydrater et aussi appliquer la base de mon maquillage. Quand elle va venir me chercher, Natasha va m'indiquer ce que je dois porter. Finalement, elle va m'indiquer comment me maquiller pour la journée.

Pendant que je fais mes exercices, je repense à la lecture du cahier que Natasha m'a faite. En premier, elle a répété des choses que je savais déjà ensuite, toutefois, j'ai compris un peu plus ma place ici. Elle m'a longuement expliqué que je devais comprendre et accepter que mon rôle est de donner du plaisir.

Rapidement, elle a amené la métaphore du véhicule, m'expliquant que je devais me voir comme une voiture sportive de grand luxe, soit, mais tout de même un véhicule. Mes propriétaires peuvent m'utiliser comme ils le désirent, m'exhiber, me pousser au-delà de mes limites même s'ils savent que cela va me briser. Ils s'occuperont alors de me faire réparer, à moins que je ne sois plus assez intéressante et qu'ils désirent m'envoyer à la casse. Mes propriétaires peuvent me prêter, même me louer. Je vais devoir accepter que plusieurs personnes puissent m'utiliser, parfois à la même fois. Comme un véhicule sportif de luxe, je dois fournir des sensations fortes à mes utilisateurs sinon je pourrais devenir inintéressante. Comme une voiture sportive qui ronronne quand on fait révolutionner son moteur, je dois envoyer le signal que j'aime qu'on m'utilise, que j'aime l'attention qu'on me porte.

Elle m'a expliqué, dans ce sens, que je ne peux rien refuser à mes maitres, et que je ne dois même pas hésiter quand on m'intime un ordre, et ce, même si je sais que ce qui va suivre va me blesser. Même si je fais quelque chose qui me blesse moralement ou physiquement, je dois démontrer mon plaisir à obéir. Elle m'a expliqué que mes maitres comprendront que je ne peux réprimer certains réflexes, par exemple celui de pleurer ou de crier, mais que je dois enrober ces réflexes de façon à sembler aimer mon traitement, quitte à devoir simuler ma jouissance des actes auxquels je vais participer.

Si je fais ce qui est demandé de moi, comme pour un véhicule qu'ils apprécieraient, mes maitres s'occuperont bien de moi. Ils me bichonneront comme je ne l'ai jamais été.

Par contre, comme un véhicule, je ne suis qu'un objet. Je dois admettre que je ne puisse prendre de décision par moi même et je ne peux chercher des amitiés en dehors de ma relation avec mes maitres. Je ne suis qu'un objet au service de leur plaisir.

Je réfléchis à mon cheminement depuis les derniers jours, à ma situation, comment je me sens changée, prête à remettre ma vie dans les mains de mes nouveaux maitres, dans les mains de Natasha aussi.

Après plus d'une heure, j'ai complété mes exercices, ma toilette et mon maquillage. Quand Natasha entre dans ma chambre, je suis toujours nue et j'ai dans mon anus un cône évasé. C'est inconfortable, mais j'ai réussi, une fois bien lubrifiée, à faire pénétrer le cône portant le numéro deux. Sans me parler, Natasha se rend dans mon placard. Je la regarde faire sans dire un mot. Elle revient avec une grande chemise blanche. Elle a dans sa main quelque chose d'autre que je ne peux identifier.

« Je ne peux croire que tu n'as pas été capable de mettre un dilatateur plus grand que le numéro deux! Tourne-toi et penche-toi. »

Je fais rapidement ce qu'elle me demande. Elle retire le cône de mon anus. v i o l emment, elle m'en insère un beaucoup plus gros. Je sens immédiatement une décharge de douleur dans le bas de mon dos et dans mon ventre. Elle me tire par les cheveux me f o r ç a nt à me relever. Le mouvement génère encore plus de douleurs dans mon ventre. Je sens des larmes se former dans mes yeux.

« Mets cela et viens manger. »

J'ai passé la chemise puis j'ai suivi Natasha vers la salle à manger où un petit déjeuner copieux nous attendait. Elle a pris son petit déjeuner avec moi puis m'a demandé de l'aider à préparer la soirée. Le reste de la journée, j'ai décoré la maison et un arbre de Noël en prévision d'une réception ce soir. Natasha m'a expliqué que les Lechasseur offrent toujours cette réception, même s'ils ne sont pas présents. C'est une façon de remercier leurs amis qui sont seuls en cette soirée festive. De son côté, Natasha devait s'occuper du traiteur et des confirmations. À 17 heures, elle m'a fait monter à ma chambre et m'a indiqué comment je devais me préparer pour la soirée. Les premiers invités doivent arriver à 19 h, mais Natasha ne va venir me chercher qu'à 20 h.

J'ai donc trois heures pour me doucher, me maquiller et m'habiller. Je peux finalement enlever l'objet que j'ai dû endurer toute la journée dans mon trou. Après la première heure, je dois avouer que je ne le sentais plus. Mon cul s'est habitué à être rempli. Quand j'ai retiré l'objet, j'ai pu voir que c'était le cône numéro 5. Je ne peux m'imaginer comment je vais pouvoir entrer le cône numéro 12 dans mon anus.

Ce soir, je dois porter une robe d'un rouge très vif, éminemment approprié pour la veillée de Noël. La robe est simple, en satin avec de fines bretelles. Elle me va aux genoux. De chaque côté, la robe est fendue du bas jusqu'à mes hanches. Natasha m'a même donné un serre-tête couvert de fourrure blanche pour faire plus Noël. Pour compléter, je dois porter des bottes de cuir verni blanc avec de gros talons qui font très rétro.

Après avoir terminé ma préparation, j'ai commencé la lecture du livre que Natasha m'avait confié plutôt. J'ai rapidement compris le commentaire que Natasha m'avait fait en me le remettant. Le début du livre est intrigant, mais sa lecture devient vite fastidieuse. Je suis heureuse que Natasha m'ait indiqué que mon sort ne ressemblera pas à celui de l'héroïne du livre, bien que déjà certains de mes traitements semblent sortis directement du bouquin. Quand j'entends la clé dans la porte, je pose le livre sur la table de chevet et je me prépare pour la suite.

« Que tu es jolie Vicky! Il ne te manque plus que quelques accessoires et tu seras parfaite. »

Elle a dans ses mains un sac de plastique blanc. Je lui souris. Elle s'approche et sort un ruban rouge qu'elle m'attache autour du cou. Elle en laisse plus d'un mètre dépasser derrière moi. Ensuite, elle sort une grosse rosette de rubans qu'elle colle sur le ruban dans mon cou.

« Parfait! Comme cela, tu es un beau cadeau. As-tu hâte de savoir à qui tes maitres t'offrent? » En disant cela, elle s'éclate d'un rire communicatif et me prend dans ses bras. Je ris moi aussi, un peu nerveusement. Elle m'embrasse dans le cou puis s'écarte.

« Je suis ton cadeau? »

« Mais non, ne sois pas sotte. Viens, nos invités sont tous arrivés. Souviens-toi de faire ce qu'on te dit. »

Elle m'entraine vers le salon en me tirant par la main. Du haut de l'escalier, j'entends déjà des voix et une fois en bas près du salon c'est réellement un brouhaha que j'entends. Quand j'arrive à l'entrée du salon, je suis surprise de voir plus de vingt personnes qui font la fête. Il n'y a que quelques femmes. Je reconnais rapidement plusieurs employés et quelques clients de l'entreprise de monsieur. Quand j'entre dans la pièce, plusieurs se retournent vers moi. Certains me sourient ou me font signe de la main. Il y en a même deux ou trois qui se mettent à applaudir. Je suis surprise et je me mets à rougir. Natasha continue de me tirer et je ne peux que retourner maladroitement que quelques sourires à ceux que je crois être mes admirateurs.

Nous traversons la foule du salon pour finalement arriver dans la bibliothèque où une femme fait le service hors-d'oeuvre. Contrairement au salon où les gens s'entassent, dans la bibliothèque, il n'y a que la serveuse, un couple et une jeune fille. Je reconnais immédiatement l'homme, un grand client de monsieur. Il passe couramment au bureau pour des réunions. Il n'est pas particulièrement beau, dans la cinquantaine, un peu bedonnant, un peu chauve. Sa peau est crevassée, marquée par l'acné de sa jeunesse. La femme qui l'accompagne est plus jeune que lui. Je dirais qu'elle a près de quarante ans. Elle est jolie sans plus. Elle est assez mince, la peau pâle, un peu bleutée d'une fumeuse. Ses cheveux droits et de longueur moyenne sont teints platine. Elle porte une belle robe bleue qui met en valeur son corps tout en étant très appropriée pour la soirée. Elle porte un maquillage simple.

La jeune fille m'intrique beaucoup plus que le couple. Elle est habillée d'une robe de lainage noire très simple, très moulante tout comme ses courtes bottes de cuir verni noires. Ses cheveux sont couleur d'ébène et arborent une coupe droite qui couvre tout juste son cou. Sa frange couvre son front, ses cheveux découpent son visage. La lividité de sa peau est accentuée par un maquillage très pâle. Ses lèvres en forme de cœur sont très luisantes et elles ont une teinte rosée très pâle près de la couleur de sa peau. Tous ces artifices mettent l'accent sur ses grands yeux bleus qui ont un maquillage très relevé. Premièrement, ses cils noirs sont touffus et longs. Son ligneur noircit dramatiquement le tour de ses yeux, leur donne une forme féline. Il forme une ligne large qui se fond avec son fart lui aussi noir. L'effet est saisissant, ses yeux semblent énormes et éclatants. Je réalise que je l'observe depuis un instant, alors je baise mes yeux sur son corps juvénile. Ses seins et ses hanches ne sont pas formés. Ses seins semblent à peine bourgeonner sous sa robe cintrée.

Je réalise que Natasha parle avec l'homme et je réalise que je n'ai pas porté attention à ce qu'elle disait avant qu'elle ne prenne le ruban dans sa main et le tende vers la main de l'homme. Cela me f o r c e à faire un pas vers lui.

« Fait ce qu'il te dit, ton propriétaire t'offre à lui ce soir. » Sans dire un mot de plus Natasha nous laisse et va se fondre à la foule dans le salon.

« Quand Jean m'a dit qu'un beau cadeau m'attendait ce soir j'étais loin de m'imaginer que c'était toi. »

L'homme a enroulé le ruban dans sa main et l'utilisait comme laisse. La jeune fille va se lover contre l'homme. Elle prend son visage avec ses mains et le f o r c e à se tourner vers elle puis dépose un baiser sur ses lèvres.

« Merci papa, mais tu sais qu'elle est MON cadeau. Donne-la-moi et va t'occuper de ton cadeau. »

L'homme n'offre aucune résistance et remet immédiatement le ruban dans la main de la jeune fille. Il place ensuite ses mains en position de capitulation puis va s'assoir avec la femme. La jeune les regarde avec intensité jusqu'à ce que les deux se retournent. Elle se tourne alors vers moi. Je suis sidérée de la situation.

« J'espère que tu ne croyais pas que tu devrais t'occuper de ce vieux crouton. Il ne te mérite pas, regarde-le. »

Je ne peux m'empêcher de la regarder. J'imagine avoir une expression ahurie, j'essaie de lui sourire et de ne pas laisser transparaitre ma surprise. Son regard est très beau et très dur à la fois. Elle est clairement en contrôle.

« Viens, tu es mon cadeau de Noël, papa m'avait promis une belle surprise et il ne m'a pas menti. Tu vas faire tout ce que je te demande jusqu'à demain minuit. Noël sera alors officiellement terminé et je vais te remettre à Natasha. Ne me déçois pas. Quel est ton nom? »

« Vicky » « C'est un nom banal. Je vais te nommer ma pute au lieu. Tu aimes? » « Si cela vous fait plaisir » « Cesse de me vouvoyer bêtement, je suis ta maitresse. Adresse-toi à moi convenablement ou tais-toi. »

Sans que je puisse placer un mot, elle continue.

« Avant de quitter cette fête insignifiante, j'aimerais qu'on donne un petit spectacle à mon papa, le vieux cochon. Mets-toi à quatre pattes et suis-moi. »

Je m'exécute. Elle garde le ruban bien en main. Si elle tire sur le ruban non seulement il m'empêche de respirer, mais en plus il me coupe la peau du cou. Je m'eff o r c e donc de rester près d'elle. Pendant qu'elle marche vers un fauteuil vide, elle ramasse au sol un grand sac de cuir verni noir. Elle dépose le sac près du fauteuil et s'assied sur le bord du coussin. Je réalise que des gens nous observent à l'entrée de la bibliothèque. Ils ne s'avancent pas, mais observent notre cirque.

Ma nouvelle maitresse est assise au bout du fauteuil, les jambes bien écartées. Sa robe est tendue au maximum sur ses jambes et avec ses mains elle l'empêche de glisser et de la découvrir.

« Qu'est-ce que tu attends? Occupe-toi de moi, putain. Fais attention de ne pas me dénuder, je ne veux pas exhiber mon corps ici. Enfile sous ma jupe. Allez, plus vite. »

Son langage est dur et directif. Il fait contraste avec l'apparente innocence de sa jeunesse. J'enfile sous sa jupe qui me cache de la lumière. Je mets mes bras le long de ses fines cuisses. Elle place ses mains sur ma tête, par-dessus le lainage de la jupe, pour m'encourager. J'avance doucement pour ne pas la brusquer, mais je sens qu'elle tire sur ma tête avec f o r c e pour que j'aille plus vite. Son entrejambe dégage une douce odeur de poudre de talc. Plus j'avance, plus je réalise que je ne sais pas quoi faire pour la suite.

Mon nez trouve en premier la fente humide. Dès ce premier contact, son corps se tend. Je relève la tête un peu et place mes lèvres sur son sexe comme pour l'embrasser. Elle frissonne. Lentement et d'une façon tentative, je sors la langue. Je ne sais pas à quoi m'attendre. L'odeur de sa fente est sucrée, mielleuse. Je passe lentement la langue du bas au haut de son sexe. Je la sens se tendre encore plus. Malgré qu'elle a les mains sur mes oreilles, j'entends la foule siffler et crier.

Ma langue s'aventure plus en avant. Un suc sucré envahit ma bouche, cela me semble impossible. Je la sens se pencher sur moi. Elle me chuchote :

« Tu aimes la surprise que je te réservais? »

Je fais un mouvement de la tête pour signifier mon appréciation. Je la sens se redresser et appuyer fortement sur ma tête. En même temps, elle place ses jambes pour que ses cuisses reposent sur mes épaules. Elle serre fermement ses cuisses. Non seulement elle s'est parfumée, elle s'est aussi enduit l'entrejambes d'un produit sucré pour mon plaisir. Je réalise aussi que dans la présente position elle pourrait m'étouffer. Malgré sa jeunesse, elle me fait peur.

J'utilise ma langue pour la lécher et pour explorer sa chatte complètement glabre. À certains moments, je m'occupe de son bouton de rose, à d'autres j'insère ma langue profondément dans sa chatte. Elle semble apprécier mes attentions, quoi que je fasse. Elle me maintient en place fermement sous les applaudissements et encouragements de ses spectateurs.

Après avoir passé de longues minutes à m'occuper de son sexe, elle replie ses jambes et place ses pieds sur mes épaules. Elle me repousse ainsi de sous sa jupe et me regarde un instant.

« Tu as encore beaucoup à apprendre. » Elle se lève et prend le ruban dans sa main. Elle me f o r c e à me lever. « On va finir le spectacle. Lève-toi. »

Elle prend son sac de cuir et le pose sur le fauteuil. Après avoir fouillé quelques secondes dans le sac, elle en retire des items de cuir noir. Je réalise que ce sont des bracelets.

« Retire tes bottes. »

Je m'exécute. Dès que les bottes sont retirées, elle va attacher solidement deux larges bracelets à mes chevilles. Elle les sécurise avec de petits cadenas. Les bracelets ont des anneaux métalliques. Elle attache ensuite des bracelets semblables à mes poignets. Elle relie ces deux bracelets dans mon dos avec un double mousqueton. Je ne peux plus bouger les bras.

Elle retourne au sac et revient avec un long couteau noir à la lame recourbée. Elle se love contre moi et place le couteau sur ma gorge d'une main ferme. Je sens la lame pousser contre ma peau. Un seul faux mouvement et ma peau serait tranchée.

« Dis-moi que tu veux cela, dis-moi que tu me veux. » « Je vous désire, maitresse. » « Bien. »

Elle retire le couteau de ma gorge et le passe sous le ruban qu'elle tranche facilement. Elle se retourne vers le fauteuil, prend le temps de mettre le couteau dans son fourreau et prend le dernier bracelet de cuir.

« Tu comprends la signification de ce collier? » Sans me laisser répondre, elle continue, je comprends que la question était rhétorique. « Par ce collier, tu deviens mon esclave. Pour toi, accepter ce collier est la preuve de ta dévotion. C'est l'expression de ton amour. »

En disant cela, elle referme le cadenas qui fait clic. Le collier fait quatre centimètres de large. Il est serré sur mon cou, mais confortable tout de même. Elle retourne au sac d'où elle extrait une courte laisse de cuir et l'attache au collier. Elle reprend le couteau en main, tout comme la laisse et elle passe les ganses de son sac à son épaule. Elle s'avance vers la foule. Elle me tire dans la bibliothèque. En me retournant, je réalise que Natasha est à genoux et entourée de plusieurs hommes qui lui tendent leurs verges. Elle en a une profondément dans sa bouche.

Ma nouvelle maitresse me tire jusqu'à ce que j'arrive à moins de trente centimètres de l'entrée de la bibliothèque, à moins de trente centimètres de la foule qui forme un mur. Là, elle s'arrête et se place à mon côté.

« Écarte les jambes. »

Pour s'assurer que j'obéisse promptement, elle m'encourage en dardant mes genoux avec la pointe du couteau. J'écarte les jambes. Je la regarde. Elle me fait un sourire puis place le couteau entre mes jambes et tire le tissu de ma robe qui n'offre aucune résistance. Elle passe le couteau de bas en haut et elle n'arrête que près de mes seins. Il ne reste plus qu'une bande de cinq centimètres de tissu qui retient ma robe et les bretelles. D'un mouvement de poignet vers l'avant, elle coupe la dernière bande de soie et rapidement elle fait sauter les deux bretelles. Ma robe tombe par terre, me laissant nue devant tous les invités, incluant plusieurs confrères de travail. Elle replace encore le couteau dans son fourreau, puis dans son sac et tire sur la laisse pour me faire avancer.

« Hum... Non pas comme cela. » Elle passe derrière moi et me détache les mains. « À quatre pattes! »

Je me mets immédiatement à quatre pattes comme une chienne. Elle me tire avec la laisse vers Natasha. Une fois à côté d'elle, Natasha se retourne vers moi et me lèche le visage avec une langue couverte de sperme. Ma maitresse ne ralentit pas et rapidement je suis entourée d'homme dans le milieu de salon. Je réalise que tous les invités sont plus ou moins nus et que les quelques femmes sont toutes utilisées par plusieurs hommes. Je suis au milieu d'une orgie avec plusieurs de mes compagnons de travail et avec des clients de la compagnie.

Au milieu du salon, ma maitresse arrête et fouille dans son sac. Elle en retire un bandeau qu'elle me passe sur les yeux. Puis elle prend mes cheveux en couette et s'en sert comme laisse courte. Je sens des mains partout sur mon corps. Dès qu'on recommence à avancer, elle me tire les cheveux pour que je garde la tête haute. Je sens des verges me caresser le corps et le visage. Elle ralentit le rythme de la marche. Je sens une verge se presser contre mes lèvres. Je ne peux me détourner de l'organe qui f o r c e son chemin dans ma bouche. Je sens des mains appuyer derrière ma tête puis la verge exploser dans ma bouche et la remplir. J'avale le jus en tentant de ne pas en laisser tomber au sol.

« Cela fait longtemps que je voulais te faire cela, Vicky. »

Il sort aussi vite qu'il est entré. Je reconnais vaguement la voix de l'homme, peut-être il est un des employés de l'entreprise. Je sens des mains sur tout mon corps explorer délicatement l'entrée de mes cavités. Toutefois, ma maitresse tire à nouveau sur mes cheveux pour me faire avancer et m'écarte des mains. Je sens que nous sortons du salon. Arrivée à l'escalier, ma maitresse me f o r c e à me lever en tirant sur ma couette. Elle détache la laisse de mon cou. Je l'entends fouiller dans son sac.

« Penche-toi. »

Je me plie, elle m'aide à placer mes mains sur les marches pour garder mon équilibre. Je la sens passer derrière moi et rapidement glisser un objet métallique froid entre mes jambes. L'objet est lisse, son bout ovale. Elle le glisse sur ma vulve, écartant mes lèvres. Cela envoie un choc dans mon ventre et le long de ma colonne vertébrale. Je sens mes poils se dresser sur mon corps. Je réalise que j'ai peur pour la suite. Elle place un instant l'objet sur mon anus puis le f o r c e à entrer en moi. Une fois en moi je réalise que l'objet a la forme d'un crochet avec un bout en forme d'ovale de la grosseur d'un œuf qui est maintenant en moi. L'autre bout repose sur mon dos. Je réalise qu'elle tenait fermement l'objet par ce bout quand je sens sa main se retirer. Je réalise alors que la laisse est maintenant attachée à ce bout et que la forme de l'objet transforme la f o r c e qu'elle applique à la laisse comme un levier le ferait f o r ç a nt la partie en moi à se déplacer de façon désagréable.

« Voilà, c'est encore mieux comme cela. Relève-toi et suis-moi. »

Elle tire un peu la laisse vers le haut ce qui m'envoie une onde de douleur. Je la suis dans la noirceur en tentant de ne pas faire de faux geste. Je sens une terreur sourde naitre en moi. Arrivée en haut de l'escalier, elle me dirige vers une des pièces. Une fois dans la pièce, elle m'attache solidement les bras dans le dos avec une rude corde. La corde coupe la circulation dans mes bras. Pendant qu'elle m'attachait, j'étais à genoux. Quand elle termine d'ajuster la corde, elle me pousse dans le haut du dos et me f o r c e à tomber vers l'avant. Mon visage frappe v i o l emment le plancher sans que je puisse me protéger. Je me retrouve le visage contre le sol et le cul dans les airs. J'ai abdiqué complètement le contrôle de la situation sans même dire un mot.

Je sens que ma jeune maitresse retire l'objet de mon anus. Elle me caresse le visage avec le bout qui était en moi. Je comprends qu'elle l'essuie sur moi puis elle le f o r c e dans ma bouche. Je suce l'objet qui est encore chaud.

« Bonne pute. C'est cela, nettoie mon crochet à cul. »

Elle le retire de ma bouche et je l'entends le ranger dans son sac. J'entends aussi des bruits et des voix autour de moi. Je comprends que nous ne sommes pas seuls dans la pièce.

« Bon alors qu'est-ce qu'on va faire avec notre petite pute moche? Elle n'est pas très habile pour me donner du plaisir... »

Elle parle lentement.

« Je ne crois pas qu'elle soit un réservoir à sperme acceptable non plus... »

La terreur en moi ne cesse de croitre, je sens que je s a n g lote. Mon nez coule et je pleurniche. Je déglutis avec difficulté.

« Tu veux me dire quelque chose putain? Peut-être que tu voudrais que je te retire le bandeau sur les yeux? »

Avant que je ne puisse même penser à lui répondre, elle me met un pied dans le cou me coinçant au sol. Elle tire sans ménagement sur l'attache du bandeau et le retire. Mes yeux doivent s'habituer à la lumière vive dans laquelle baigne la pièce où je suis. Je réalise depuis ma position que plusieurs personnes m'entourent. Je ne peux que voir un pied de ma maitresse, l'autre est toujours bien appuyé dans mon cou. Tout à coup, je sens qu'on me claque v i o l emment les fesses plusieurs fois.

« Regardez comment sa peau rougit facilement. »

Je sens ma peau bruler sous ses coups. Elle retire son pied de mon cou et je peux voir qu'elle s'éloigne de moi un instant. Quand elle revient, elle se penche pour que je la voie bien. Elle me montre une seringue chargée de liquide.

« Maintenant, on passe aux choses sérieuses. Qu'en dis-tu? »

Sans attendre ma réponse, elle prend mon bras et y plonge la seringue. Cette action me fait chavirer complètement dans le délire. Je pleure maintenant sans aucun contrôle sur mon corps. C'est à peine si je sens que mes bras sont libérés de leurs entraves.

« Pauvre petit bébé qui pleurniche. Regardez comme elle est laide la pute... Elle coule de partout. »

Je ne réalisais pas encore, mais je venais d'uriner sur le sol. Du mucus s'écoule de mon nez et de la bave coule de ma bouche. Je sens un v i o l ent vertige s'emparer de moi et je tombe sur le côté et je me recroqueville en position foetale, les yeux fermés. La jeune fille a pris position sur le lit devant moi et me caresse les cheveux tout en continuant de m'humilier verbalement.

« J'adore te voir pleurer ainsi, putain. Mais tu ne t'en tireras pas aussi facilement. »

En disant ces paroles, elle empoigne mes cheveux et me tire la tête vers le haut.

« Mets-toi à quatre pattes et ouvre tes yeux! » Je lui réponds en continuant de pleurer. « Ne me frappez pas, maitresse. » Elle tire avec plus de vigueur mes cheveux. « Je ne prends pas d'ordre de toi, pute. Ouvre tes yeux et regarde-moi. »

Je fais ce qu'elle dit. Son visage me semble déformé. Elle rit à pleines dents. Elle me claque le visage avec sa main libre puis me f o r c e à regarder autour de moi. Ma joue brule. De mon nouveau point de vue, je peux voir plusieurs personnes. Elles sont toutes cagoulées, plusieurs nues. Il y a des femmes et plusieurs hommes. Plusieurs sont en pleine érection et se masturbent en me regardant. Je remarque qu'on me filme et me photographie. La tête me tourne, j'ai mal à la tête et la nausée. J'ai honte et en ce moment tout ce que je voudrais, ce serait d'aller me cacher. Je cherche à comprendre ce qui est attendu de moi, je voudrais pouvoir obéir de façon à faire cesser cette t o r t u r e .

« Regarde! Tu as pissé par terre, putain. Lèche ta pisse, nettoie le plancher. »

Elle lâche ma couette et sans offrir aucune résistance je fais ce qu'elle me dit. Après quelques minutes à lécher mon urine sur le plancher je me sens faiblir. Mes bras m'abandonnent et, tête première, je m'affale sur le plancher. Je sens qu'on me touche, mais je ne bouge pas. Je réalise qu'on utilise mes cheveux pour essuyer le plancher.

« Laissez là. Relève-toi et viens ici. »

Ce sont les dernières paroles dont je me souviens de cette soirée. J'ai eu quelques flashs de lucidité pendant les heures qui ont suivi. Pendant ces moments je me souviens d'avoir entendu la jeune me parler parfois durement, parfois doucement. Je me souviens d'entendre des rires autour de moi. Je n'ai aucune idée de la durée de mon absence, ni de ce qu'on m'a fait. Lundi 26 décembre

Quand je me réveille, je réalise qu'il fait jour. Je suis nue et couchée sur une table. Je pue. Ma peau brule. J'essaie de me lever, ma tête tourne. Je m'endors à nouveau.

Mardi 27 décembre

Je me réveille et je réalise que je suis dans mon lit. Il fait noir, un réveille-matin sonne sur ma table de chevet. Je cherche à l'éteindre. Je sens qu'il y a une feuille de papier déposée sur le réveil. J'arrive finalement à éteindre le réveil et à me redresser dans le lit, il est sept heures du matin. Quel jour est-on? Qu'est-ce qui s'est passé? Je ne me souviens de rien depuis la soirée. J'ouvre les rideaux. L'aube est arrivée, le soleil va se lever bientôt. Je retourne prendre le papier sur la table de chevet. Dessus je peux lire mes instructions pour ma préparation matinale. Je dois me doucher et bien laver mes cavités. Ensuite, après m'être parfumée, je dois passer les bracelets de cuirs qui sont dans mon placard ainsi que des chaussures qui sont avec les bracelets. Je réalise alors que je n'ai plus de collier à mon cou.

La lettre ne contient rien au sujet de mon maquillage. Par contre, je dois remplir mes cavités avec le cône numéro deux dans mon vagin et le dilatateur numéro six dans mon anus. Je dois les avoir en moi quand on viendra me chercher. Je me demande comment je vais faire. Finalement, je dois m'attacher au lit. Selon la lettre, je dois être attachée et les objets en moi avant qu'on vienne me chercher sinon je serais punie. Je regarde le lit et j'observe que des mousquetons ont été installés au pied du lit et sur le haut des poteaux qui forment le baldaquin de mon lit.

Avant d'entrer dans la douche, je réalise que je suis déjà propre, mais j'ai le souvenir d'avoir été très sale. Je me souviens aussi que ma peau brulait. Maintenant, je suis propre et hydratée, quelqu'un doit donc s'être occupé de moi.

À 7 h 55 je suis assise sur mon lit, j'ai passé les escarpins noirs qui étaient avec les bracelets. Avec beaucoup de difficulté, j'arrive à attacher les bracelets de cuirs à mon cou, mes poignets et mes chevilles. J'observe les deux objets que je dois insérer en moi. Même avec le lubrifiant je ne pense pas pouvoir insérer le dilatateur tellement il est gros. Je ne veux pas l'insérer trop rapidement le cône en moi. J'ai peur de ne pas être en mesure de le garder en moi assez longtemps. J'attache mes chevilles aux lits. Je me dis que c'est probablement Natasha qui va venir me chercher et qu'elle sera certainement compréhensive.

J'enduis le dilatateur de lubrifiant et lentement je m'assieds dessus pour m'aider à le faire pénétrer. À ma surprise, il entre en entier avec seulement un peu d'inconfort. Je prends le cône dans ma bouche et j'attache mon poignet droit. Avec ma main libre, je fais pénétrer le cône et je sers mes muscles pour qu'il ne retombe pas. Je suis étonnée de découvrir que ma chatte est mouillée. Je l'essuie avec la serviette que j'avais apportée pour m'essuyer les mains après avoir mis le lubrifiant. Finalement, j'arrive à attacher mon poignet gauche. Au même moment, j'entends des pas dans le corridor. La personne s'arrête devant ma porte, je peux voir son ombre sous la porte. Elle reste là quelques instants sans bouger. Je ne fais pas de bruit, je réalise que je retiens même mon souffle. J'entends le bruit de la clé qu'on insère dans la serrure. Puis la porte s'ouvre.

Je reconnais la jeune fille, ma maitresse de l'autre soir. Elle est habillée d'une simple robe rouge et elle est nu-pieds. Elle me regarde souriante, radieuse. Dans les mains, elle a ce qui me semble être une tablette tactile et une chaine.

« Surprise de me voir? »

Je ne sais que trop que cette question est rhétorique. Je me contente de baiser les yeux.

« Bon, au moins tu sembles avoir compris une chose ma petite salope. Tu sais au moins que tu es une vraie salope? »

Je continue de regarder le plancher.

« Tu ne me crois pas? C'est bien ce que je pensais. Regarde la tablette. »

Je lève les yeux afin de regarder la tablette qu'elle tient à côté de sa tête. Elle met un doigt sur l'écran et une vidéo démarre. Pendant deux minutes, la vidéo présente des scènes de quelques secondes qui me montre avec divers hommes et dans diverses positions sexuelles. Toutes les scènes se déroulent dans la pièce où elle m'avait amenée pendant la soirée. Après une dizaine de scènes, la vidéo s'arrête. La jeune reprend la tablette et je la regarde manipuler l'écran avec un doigt. Puis elle prend la tablette de sa main gauche et place sa main droite entre mes jambes.

« Que voilà un bon début. Ne crois-tu pas? Laisse tomber ce que tu as dans la chatte... »

Je relâche mes muscles pelviens et je sens le cône glisser doucement hors de moi.

« C'était trop facile putain. Je vais donner des instructions pour que tu te pratiques avec le cône numéro quatre maintenant. »

Je la vois approcher sa main et le cône de mon visage, puis le porter à ma bouche.

« Nettoie-le. »

Elle le met dans ma bouche. Je le prends et avec la langue je le fais se déplacer dans ma bouche. C'est tout ce que je peux faire.

« Bien. Redonne-le-moi. »

Doucement, je repousse l'objet hors de ma bouche dans sa main en faisant bien attention de ne pas laisser de salive couler. Pendant que je m'exécute, je réalise à quel point mon entre-jambes semble mouillé. Il semble même dégouter. Elle prend le cône en main et le lance derrière moi, sur le lit.

« Sais-tu pourquoi je suis ici? »

Je fais non de la tête.

« Alors, laisse-moi te raconter une histoire... L'histoire de la salope qui ne savait pas. Alors il était une fois une salope... »

Elle replace la tablette à côté de sa tête et une nouvelle vidéo démarre.

« La salope était insatiable... »

Sur la vidéo je peux me voir, couchée sur un homme noir qui est profondément en moi. L'angle de la caméra change et je peux voir mon visage. Je semble vraiment être sensible à l'attention que l'homme m'accorde. Je reconnais la même pièce que dans la vidéo précédente. De me voir ainsi utilisée m'excite encore plus. L'angle change encore et je peux voir un deuxième homme noir passer à côté de la caméra. Il est grand, bien bâti et surtout complètement nu. Je peux voir son corps complètement glabre et luisant. Son sexe est énorme. Il est long de plus de 20 cm et il est très épais. La caméra s'approche de ma croupe. Je peux voir que je m'active sur l'homme sous moi. Son sexe distend ma vulve, je peux voir mes lèvres mouler la verge luisante quand je m'empale dessus. Le deuxième homme étend de la gelée transparente sur mon anus puis fait pénétrer un doigt dans mon troufignon. Il semble enduire ma paroi intérieure de gelée et sans aller plus loin, il retire son index. Rapidement, je le vois appuyer son gland contre mon trou puis à ma grande surprise je réalise que c'est moi qui appuie contre sa verge pour la faire pénétrer en moi. Je ferme à moitié les yeux tellement la scène m'est difficile à observer.

« ... Et la salope se découvre. Tu as bien vu. C'est toi qui m'en demandais plus. C'est toi qui as choisi ces hommes pour te baiser. Tu ne me crois peut-être pas... Attends, je vais te le prouver. »

Elle place sa main gauche entre mes jambes et sans avertissement elle fait pénétrer deux doigts en moi qu'elle ressort aussi rapidement. Elle place sa main devant moi. Elle est complètement couverte de ma mouille.

« Tu vois comment cela t'excite. Tu dégoutes telle une chienne devant un beau steak. Tu aimerais voir la suite, n'est-ce pas? Ne me mens pas... »

Je regarde vers le sol. Je ne sais pas quoi lui répondre. Mon corps me trahit, mais ma tête me dit que c'est impossible.

« Tu ne me réponds pas? Tu dois croire que je t'ai d r o g u é e et que dans le fond ce n'est pas toi qui es là. Détrompe-toi. Je t'ai d r o g u é e, mais simplement pour éliminer un peu ton inhibition et te relaxer, sans plus. Celle que tu as vue c'est toi. Les deux derniers jours, tu as volontairement baisé avec des dizaines de personnes, parfois avec plusieurs à la fois. Tu me suppliais pour que tu puisses jouir sans arrêt, tu as à peine dormi. »

Je ne pouvais la croire, mais la vidéo ne trompait pas. Ni mon corps qui a accepté si facilement le godemiché qui est profondément logé dans mon postérieur.

« Regarde-moi. »

Je lève mes yeux vers elle. Elle me sourit.

« Mon travail est pratiquement terminé avec toi. Il a été beaucoup plus facile que je l'avais prévu. Pour que je sois satisfaite, il te reste toutefois une épreuve à accomplir... Tu vois, tu as de mauvaises habitudes que tu dois corriger. Tu dois apprendre que tu es là pour donner du plaisir, pas pour en recevoir. J'ai réalisé que tu es très égoïste. Cela doit changer maintenant. »

Elle lance sa tablette sur le lit et ensuite attache la laisse à mon cou.

« Ne bouge pas. »

Elle me détache les pieds, puis les mains. Je garde la position même une fois libre. Elle retire brutalement le godemiché de mon cul puis le lance en direction de ma toilette.

« OK, maintenant détends-toi et suis-moi. »

Elle me tire vers le placard et arrête devant la glace.

« Tourne-toi. »

Je me tourne comme elle me le dit pour faire dos à la glace.

« Regarde. »

Dans la glace, je regarde mon anus qui est un peu rougi, mais surtout encore un peu distendu. Puis je lève les yeux et je vois sur mon épaule droite un grand carré rouge-brun composé de points et de trois petits carrés qui forment trois des coins du plus grand carré.

« Qu'est-ce que c'est? » « C'est l'adresse temporaire de ton site web d'esclave. C'est un code qu'on peut lire avec un téléphone intelligent et qui mènera vers un site où il est possible de voir les vidéos que tu viens de voir et plusieurs autres vidéos de toi ainsi que des photos et des textes qui te présente. Tu aimes? »

Je ne savais quoi dire.

« Je t'ai laissé la tablette, tu pourras aller voir le site plus tard, pour l'instant je ne voulais que t'informer de son existence. Maintenant, viens, nous allons travailler sur tes mauvaises habitudes. »

Elle me tire brutalement sur la laisse et m'entraine à l'extérieur de ma chambre, vers les escaliers. Rapidement, elle me tire jusqu'à la cuisine où je peux voir Natasha bâillonnée et attachée à un crochet au plafond avec une corde nouée solidement autour de ses poignets. Ses bras sont totalement tendus. Si ce n'est d'une paire de bottes en cuir luisant avec des talons aiguilles, elle est comme moi complètement nue. Je remarque qu'elle a une zébrure rouge sur le ventre. Son visage présente une expression tendue, ses yeux sont ronds et nous suivent sans cligner. La jeune fille se dirige vers la table où je vois un fouet de cuir étendu bien droit. Il a un manche qui semble faire moins de 30 cm et une lanière bien droite qui semble faire moins du double du manche. La jeune fille donne un coup sec sur ma laisse pour attirer mon attention.

« Bon, passons aux choses sérieuses. Écoute-moi bien. »

Je me tourne vers elle et je la regarde sans la dévisager.

« Je croyais obtenir de toi ce que je voulais en moins de 24 heures, mais même si j'ai obtenu un certain résultat comme je viens de te le dire, je n'ai pas été en mesure d'éliminer toutes tes mauvaises habitudes. Comme je te l'ai indiqué, la D r o g u e que je t'ai administrée n'explique pas ton comportement asservi ni ton apparente amnésie. Soit tu as une double personnalité, soit tu es une petite salope et menteuse de surcroit. Laisse-moi te rafraichir la mémoire. Tu as vu la vidéo tantôt avec les deux hommes bien membrés, un dans ton con l'autre dans ton cul. La première fois qu'ils ont v i o l é ton cul, leurs verges ont été maculées de ton s a n g . Et qu'as-tu fait? » « Je... »

Elle me plaque une claque v i o l ente au visage. Je sens ma peau élancer et chauffer ou sa main s'est étampée.

« Tais-toi et écoute, salope! Tu en as redemandé, malgré ta douleur évidente. De nombreux hommes t'ont v i o l é avec v i o l ence et tu en redemandais continuellement. Tu jouissais sans cesse de plus en plus v i o l emment. Prends le temps de regarder toutes les vidéos. Tu verras qu'à certains moments deux hommes ont réussi à pénétrer ton sexe simultanément. Encore une fois, j'ai vu ton s a n g sur leurs queues, mais tu en redemandais. J'ai vu des hommes v i o l er ta gorge. À deux reprises tu as v i o l emment vomi le contenu de ton estomac et, encore une fois, à peine avais-tu fini de vomir, que tu ouvrais à nouveau la bouche. Sans cesse, tu te masturbais. Je t'ai pincée, claquée, frappée, fouettée et tu n'en jouissais que plus. Tu étais hors contrôle. » « Tu es l'esclave de ta jouissance. Tu n'es pas notre esclave et cela doit changer maintenant. » « Est-ce que tu sais au moins pourquoi je suis ici? »

Je fais non de la tête sans dire un mot. Je me souviens du sentiment de peur que j'ai ressenti la première fois que j'ai rencontré la jeune fille. Ce sentiment me revient sous la forme d'une boule dans mon ventre.

« Je suis ici parce que ta belle Natasha n'avait pas le courage de faire ce qui devait être fait pour assurer ta formation. Elle ne voulait pas te faire mal, te blesser. Alors elle m'a demandé de venir m'occuper de toi pour que tu sois prête quand tes maitres reviendront. N'est-ce pas romantique? » « Regarde-la bien. Tu vois la marque sur son ventre? C'est moi qui l'ai faite pour que vous compreniez bien la suite. Regarde ses yeux, regarde les larmes séchées. Tout cela pour un seul coup de fouet. » « Alors, toi et moi nous allons baiser, si tu jouis sans ma permission tu devras la fouetter jusqu'à ce que je voie son s a n g . Si tu refuses, je vais la fouetter moi même, mais il faut que tu saches que je suis très habile avec le fouet et je serai généreuse quand viendra le temps de punir Natasha pour tes erreurs. On continuera tant que tu n'auras pas appris à me respecter et faire ce que je te dis. » « Tu comprends? »

Je hoche la tête affirmativement. Elle me claque le visage.

« Je t'ai posé une question, réponds moi correctement! » « Oui... Maitresse... » « C'est mieux. Alors on commence? » « Oui... Maitresse. »

Elle prend le fouet en main. Je me sens fiévreuse. Quand elle me tend le fouet, je lui présente une main qui tremble en retour. Je regarde Natasha et mon cœur se gonfle.

« Viens ici. »

Elle me tire au bout de la table.

« Pratique-toi quelques coups sur la table. » Elle simule le mouvement que je dois faire. Je ne savais que trop ce qui était attendu de moi. Je place le fouet au-dessus de ma tête et brusquement je le fais claquer sur la table. Le geste est brutal et le fouet retourne beaucoup d'énergie dans le manche qui me glisse de la main et tombe par terre. La jeune fille me regarde en souriant. Moi je me dépêche de le reprendre au sol. Je peux à ce moment voir et surtout toucher la lanière de cuir. Elle est rêche et semble avoir des petits poils de fer qui me piquent les doigts.

« Recommence! » Cette fois, je fais attention à mon mouvement et je limite la f o r c e que j'applique au fouet. Il claque encore la table, mais je ne le laisse pas s'échapper.

« Encore! » Je recommence, j'ai l'impression de bien contrôler cette fois le fouet.

« Bien. Viens ici maintenant. » Elle me tire vers Natasha. « Donne-lui un coup de fouet sur les cuisses. » Je vois Natasha se tendre. Ses yeux s'écarquillent. Moi je fais non de la tête et mes yeux se remplissent d'eau. Je sens l'horreur de ce qu'on me demande monter en moi. Je me sens nauséeuse. Je suis tout à coup tétanisée.

« Comme c'est beau l'amour. Fouette-la où ce sera moi qui le ferai. » Je ne bouge pas. « Connasse, fouette-la. » Elle tente de m'arracher le fouet de mes mains, mais je résiste. « Tu ne comprends vraiment pas. Alors, laisse-moi t'expliquer... Tu la fouettes ou je le fais. Si je le fais je vais l'écorcher vive. Et tu sais ce qui va lui arriver si je fais cela? Imagine ta belle Natasha écorchée vive, elle ne sera pas aussi belle n'est-ce pas? Crois-tu que ses maitres vont la garder si elle n'est pas belle, désirable... »

Ces derniers mots ont atteint leur but, mais la nausée prend le dessus sur moi. Je vomis un liquide acide qui brule ma gorge et ma bouche au passage. Je suis pliée en deux de douleur et je pleure abondamment. Après quelques instants, la jeune est à mes côtés et me tend un verre d'eau.

« Que vous êtes belles quand vous pleurez toutes les deux. »

Je me relève et je vois Natasha pleurer elle aussi. Je tente de décoder ce que ces yeux me disent. J'ai l'impression qu'ils m'implorent.

« Alors ce coup de fouet! » Sans même penser, je lève le fouet et je l'abats sur les cuisses de Natasha. Je vois immédiatement de petites gouttes de s a n g perler sur sa peau. Elle pleure encore plus si c'est possible et bouge frénétiquement. La douleur doit être incommensurable. Je la vois crier, mais son bâillon étouffe le bruit de ses cris.

« Bien, maintenant viens ici. » Elle me tire vers un lavabo. « Rince ta bouche. »

« Tu es vraiment belle quand tu le veux, salope. » Je me rince la bouche et j'essuie mes yeux. Avant que je ne les aie rouverts, elle me tire vers la table. Elle s'assit sur la table devant Natasha et me tire entre ses jambes. Avec beaucoup de délicatesse, elle place sa main droite dans mon cou derrière ma tête. Elle approche son visage du mien, place sa joue contre la mienne. Elle se tourne et m'embrasse l'oreille droite. Puis elle me dit doucement à l'oreille :

« Passons aux choses sérieuses maintenant. » Je la trouve répugnante. Je tente de reculer un peu. Avec ses jambes que je sens puissantes, elle me retient contre elle. Elle fait trainer ses lèvres sur mon visage jusqu'à ce qu'elles rejoignent les miennes. Elle reste là un instant, ses lèvres caressant les miennes. Lentement, je ferme les yeux. Elle me caresse les cheveux d'une main pendant que l'autre, placé dans le bas de mon dos, f o r c e nos corps à s'entrelacer plus étroitement.

Doucement, je me perds dans le moment présent. L'odeur de son parfum ambré est enivrante. Une douce accalmie m'envahit et je me presse un peu plus contre le corps juvénile qui est offert devant moi. Je sens ses lèvres faire un rictus puis se détendre à nouveau. Elles se pressent sur les miennes pour un léger baiser qui ne durera que quelques secondes. Elle se recule, je sens son souffle sur mes lèvres, elle incline un peu la tête et plaque à nouveau ses lèvres sur les miennes. Immédiatement, elle les écarte et sa langue pénètre délicatement ma bouche. Nos langues se joignent, se caressent.

Elle s'écarte à nouveau et place son visage contre le mien, me caresse le visage avec ses cheveux avec sa peau douce.

« Que tu peux être aguichante quand tu le veux. » Elle continue à me caresser puis replace ses lèvres sur les miennes pour un long baiser fougueux. Cette fois, je sens manifestement le désir monter en moi. Je ne le réalise pas, mais je me frotte contre le plateau de la table. Ma vulve s'ouvre et se referme selon le rythme de mon mouvement contre la table. À chaque mouvement mon clitoris se découvre et frotte, à chaque mouvement il se gorge un peu plus et le frottement devient plus efficace. La boule dans mon ventre s'est transformée en une boule de désir. La jeune fille me caresse le dos et ses mains s'aventurent sur mes seins occasionnellement.

Plus je sens la jouissance monter en moi, plus elle f o r c e son corps contre le mien. Finalement, sa main droite rejoint mon pubis puis mes lèvres me f o r ç a nt à m'écarter de la table. Tout en continuant de m'embrasser, doucement elle fait des ronds autour de mon clitoris gonflé. De l'autre main, elle me pince les mamelons et les tire. Je sens ma tête devenir chaude, des larmes monter à mes yeux. Puis je tente de me dégager de son étreinte. Je laisse ma tête retomber vers l'arrière et ouvre les yeux. Je peux la voir me sourire et trop tard je réalise ce qui m'arrive.

Une vague de plaisir me frappe de plein fouet. L'orgasme est v i o l ent. Tout en continuant de regarder la jeune, je sens mon corps se dérober. Elle me tient solidement contre elle avec ses deux jambes et ses deux bras dans mon dos. Finalement, je m'effondre dans ses bras avant de reprendre connaissance et me mettre à pleurer. Je venais de comprendre ce que je venais de faire. La nausée me frappe de plein fouet.

« Que tu es belle quand tu le veux! » Son rictus n'aide en rien mon état. Je suis défaite, je n'arriverai jamais à me contrôler, je n'arriverai jamais à me conformer, je n'arriverai jamais à la satisfaire.

« Maitresse... » Ma voix est tremblante. « Que veux-tu salope? » « Maitresse... est-ce que je pouvais jouir? » « C'est maintenant qu'elle me le demande. NON! » Elle me claque le visage, mais je ne bouge pas, j'accepte cette punition. Elle me tend le fouet. « Maitresse... » Mes yeux sont pleins d'eau. Je me tourne vers Natasha. Elle est visiblement proie à la panique. « Maitresse... qu'est-ce que je peux faire quelque chose pour me faire pardonner? » Je sens encore les effets de mon orgasme, ils sont mêlés aux effets de l'affolement qui me frappe. « Va fouetter ton amour, je vais y penser... »

Je prends le fouet et je regarde Natasha. Je suis défaite. Je regarde à nouveau la jeune. « Où voulez-vous que je la fouette, Maitresse? » « Bien. Fouette-la sur son ventre, bien bas sur son ventre. »

Je n'ai pas le courage de regarder Natasha dans les yeux. Rapidement, je tends le bras et j'abats le fouet sur Natasha. Je vois immédiatement la strie rouge du fouet sur sa peau. Natasha se tortille. Je me détourne pour éviter de la regarder. Je m'approche de ma maitresse. Je lui tends le fouet la tête basse.

« Bien. Va lécher les plaies de ton amoureuse. » Je me tourne vers Natasha et, toujours sans la regarder, je m'approche d'elle. Je me mets à genoux devant elle et avec un maximum de délicatesse je suis du bout de la langue les zébrures sur sa peau. J'essaie de ne pas mettre de salive sur les plaies. Mollement, j'embrasse ses blessures. Je sens des larmes tomber sur ma peau. Est-ce que je lui fais mal? J'essaie d'être encore plus délicate. Je sens la jeune à mon côté.

« Tiens, applique-lui cela. » Elle me tend un pot contenant une crème blanche épaisse. Doucement, j'étends une généreuse couche de crème sur les plaies de Natasha. Une fois la dernière plaie couverte, la jeune prend mes cheveux en couette et me f o r c e à placer mon visage entre les jambes de Natasha. Elle me pousse le visage fermement contre le bas ventre de Natasha.

« Qu'attends-tu? Donne-lui du plaisir. » Elle m'a tenu là pendant 15 bonnes minutes. Je me suis appliquée avec ma bouche et ma langue à donner du plaisir à Natasha. J'ai léché son sexe, je l'ai embrassée. J'ai sucé ses lèvres et son clitoris. J'ai fouillé l'entrée de son vagin avec ma langue. Dès le début, elle était mouillée et tout au long elle me faisait comprendre qu'elle appréciait mon attention. Elle se presse contre mon visage qui est pris entre elle et le bras qui me retient fermement. Je la sens vibrer, mais, malgré tous mes efforts, je ne la sens pas atteindre l'orgasme.

« Tire leçon du comportement de ton amoureuse. » Sans dire un mot de plus, la jeune me tire par les cheveux et m'écarte de Natasha. Sans dire un mot, elle me tire la couette pour que je me redresse et puis elle me tire vers la table à nouveau. Là, elle me pousse contre la table et me plaque immédiatement un baiser enflammé. Elle tortille ses hanches devant moi, frotte son corps contre le mien. Son baiser est beaucoup plus passionné que les premiers ce qui me rend inquiète.

Ses mains caressent mon corps délicatement et précisément. Rapidement, elle est en mesure de me faire atteindre un plateau dans mon excitation. Je perds la tête brièvement, mais la peur prend le dessus sur l'excitation. Je décide alors de contre-attaquer avec l'énergie du désespoir.

Ma première décision est de la mettre au même niveau que moi en tentant de lui retirer sa robe. Tout en la laissant continuer de m'embrasser, je prends à deux mains le bord de la robe et je la tire vers le haut. Elle cesse de me caresser et tente de repousser mes mains avec peu de conviction. Je soulève le genou gauche et place ma cuisse en contact avec son entre-jambes. Je réalise que de la cyprine s'écoule de son sexe et enduit ma cuisse. Cela me ragaillardit.

Sa robe est chiffonnée sous ses petits seins, je caresse son ventre et ses fesses disponibles. Elle attaque mon bouton d'amour et suce mes seins alternativement. Je sens la chaleur de l'excitation me consommer, mais je garde le cap sur mon objectif.

Lentement, je me penche, je l'embrasse dans le cou puis je saute à son ventre que je lèche avec attention. Mes mains passent sous sa robe qu'elles poussent plus haut. La jeune m'aide et finit de la retirer et la lance au sol. Ma bouche remonte et va se coller sur les petits boutons que forment ses seins. Les deux aréoles et les mamelons forment une petite protubérance sur la poitrine juvénile. Quelle n'est pas ma surprise, quand je me mets à sucer le premier petit sein, de sentir un liquide épais et sucré en sortir! Je continue de le sucer en tentant d'extraire ce suc délicieux qui sort de ma maitresse.

« Masturbe-toi pour moi. » J'ai été surprise de la douceur de sa voix. Elle me caressait les cheveux pendant que je la trayais. Je savais que je n'avais pas le choix d'obéir à son ordre. Avec ma main droite, j'entreprends de me caresser. Sa main gauche rejoint ma main qui me caresse pendant que son autre main appuie sur ma tête. Elle semble apprécier mes attentions. J'attaque le deuxième sein qui coule maintenant. Après quelques tétées, elle me tire la tête vers le haut et rapidement plaque sa bouche sur la mienne. Sans attendre, sa langue me pénètre puis je sens qu'elle aspire le contenu de ma bouche. Je sors la langue et elle se met à la sucer avec vigueur. Nous nous embrassons pendant de longues minutes pendant lesquelles je sens que j'ai atteint un nouveau plateau d'excitation.

Dès que je peux séparer nos bouches, je me laisse tomber à genoux. À partir de ce moment et pendant de longues minutes, j'embrasse son sexe, je le caresse avec ma langue, je trace des ronds autour de son clitoris gonflé, je la pénètre, je la suce, je la mordille. Je mets toute mon énergie et mon attention à tenter de lui procurer du plaisir tout en continuant de me caresser. Avec ma main libre, je la pénètre pendant que je lui suce délicatement le clitoris. Je me sens comme une abeille tant par le niveau d'effort que je déploie que parce que je tente de récupérer le précieux nectar qu'elle m'offre.

J'ai les yeux fermés depuis un moment déjà. Elle me caresse la tête d'une main pendant que l'autre se balade sur son corps. Depuis quelques minutes, elle se permet même de venir m'aider dans sa stimulation. Le son de sa voix me tire de ma rêverie, je ne réalisais pas à quel point je suis au bord de l'abime, ma respiration comme la sienne est saccadée.

« Jouis pour moi, Vicky! » Cette simple phrase me fait basculer et je me mets à crier. « Ouiiii maitresse. Oh oui! Ouiiii... »

Elle me tient la tête à deux mains, puis elle avance son basin vers mon visage f o r ç a nt le contact entre mes lèvres et sa vulve. J'ouvre la bouche et tends la langue sans savoir ce qui m'attend.

« N'en laisse pas échapper... » Elle ne peut finir sa phrase que je sens ses muscles se mettre à se contracter de façon rythmique et un grand jet me remplit la bouche. Le liquide est chaud et légèrement salé. Je l'avale rapidement. Elle me tire v i o l emment la tête contre elle et gicle un deuxième jet moins volumineux de cyprine dans la bouche. Je m'empresse de l'avaler à nouveau. Elle me f o r c e à garder mon visage contre elle et l'utilise pour frotter sa chatte. Je réalise que c'est fini, j'ai gagné, mais je ne peux m'arrêter de me masturber. Malgré ma jouissance, je réalise que je n'ai qu'atteint un autre plateau et que ma tension sexuelle est toujours aussi vive. Je me relève lentement caressant la peau de la jeune. Mes mamelons sont tellement durs et excités que leur simple frottement sur la peau soyeuse de ma maitresse m'envoie des décharges électrisantes dans le corps.

Une fois redressée et le visage devant le sien, nous nous observons. Elle me sourit, semble très calme en contrôle. Elle glisse une main et suit mon bras qui est entre mes jambes. Langoureusement, elle descend sa main qui va rejoindre la mienne. Elle m'aide à me masturber, elle me complète. Elle approche son visage du mien et sort sa langue. Délicatement, elle la passe sur mes lèvres puis l'entre de f o r c e dans ma bouche. Je la suce comme un bonbon. Je ne ferme pas les yeux. Mon bras libre passe derrière son cou pour la maintenir en place, mais c'est moi qui me recule quand je sens une vague me frapper. Je la regarde, je la trouve tellement belle en ce moment, il n'y a plus qu'elle dans mon univers. Je me sens partir, ma respiration est saccadée même difficile. Dans un soubresaut de conscience, je forme les mots...

« Maitresse... puis-je... » C'est tout ce que j'ai pu dire avant de l'entendre rire et me répondre « Oui, tu peux... » Ma tête tombe vers l'arrière, mon esprit se brouille totalement, mon extase est totale.

Mon orgasme est puissant, je m'y perds complètement. Il me frappe brutalement. Il prend naissance dans mon clitoris et se répand dans mon pelvis puis dans tout mon corps. Il me semble que je peux sentir chacun de mes muscles se contracter et se relâcher de façon rythmique. Je perçois les vagues de ma jouissance qui se brisent sur mon corps. Je me perds dans des bouillons, mais je ne veux pas sortir de l'état dans lequel je suis. Une grande chaleur se dégage de moi, je me sens fiévreuse. J'ai l'impression que je vais mourir dans les bras de ma maitresse.

Je ne le réalise pas, mais chaque vague est un nouvel orgasme qui me frappe. À mes pieds, il y a une petite flaque de liquide qui provient de mon corps, un mélange de sueur et de cyprine. La jeune ne cesse de me caresser, longtemps après que j'ai moi-même abandonné. Mes orgasmes durent plus de dix longues minutes. Je n'ai jamais vécu une expérience pareille. Je n'ai jamais vécu une telle complicité avec une partenaire et pourtant je ne connais même pas son nom.

Puis soudainement, je sens un grand vertige fondre sur moi. Je deviens molle, mes muscles se relâchent et je fonds dans les bras de la jeune. S'en suit un moment d'une grande volupté pendant lequel je ne suis que semi-consciente. Ma tête tourne, mes idées aussi. Comment ai-je fait pour me rendre ici dans cette situation?

Je la sens déposer un baiser sur mon front puis se dégager de moi. Je mets mes mains sur la table pour reprendre mon équilibre et quand je reprends pleinement connaissance je réalise que la jeune a quitté la pièce. Tout en reprenant mon souffle, je regarde Natasha. J'ai froid. Mon corps est couvert de sueur. J'ai la chair de poule. Je suis très fatiguée. Je ne bouge pas, je réfléchis à la situation. Je décide de façon irréfléchie de retourner à ma chambre pour me doucher. Dès que je commence à marche vers l'escalier j'entends Natasha se débattre, crier sous son bâillon et frapper ses talons par terre pour attirer mon attention. Mais je suis maintenant déterminé dans mon plan... Je me dis qu'elle va souffrir pour ce que j'ai souffert tout en souriant.

Je prends mon temps pour me doucher avec de l'eau très chaude. Lentement, le fil des jours précédents me revient en tête. Une phrase surtout : Je ne suis qu'un objet au service de leur plaisir. Je croyais l'avoir bien comprise quand Natasha me l'a expliqué, mais finalement c'est par les actions de la jeune fille que je venais d'en comprendre la pleine portée.

Une autre chose me frappe aussi : mon plaisir naît de mon abandon. En laissant ma vie dans les mains de la jeune, elle m'a fait subir des « supplices » que dans le fond je désirais. Je n'ai plus eu besoin de penser, mon cerveau m'a même protégée en se plaçant dans un mode automatique, un mode second dans lequel je n'avais plus qu'à me laisser faire pour obtenir un plaisir, une jouissance qui m'était jusque-là inconnue.

Maintenant dans la douche je me souviens très bien des nombreux partenaires que j'ai eus ces derniers jours et j'ai maintenant hâte de voir les vidéos de mes « exploits ». La jeune m'a fait cheminer beaucoup plus que Natasha n'avait réussi à le faire... Elle a raison, je suis une salope et je vais être une parfaite esclave, mais pas ce soir...

Après m'être douché, maquillé et habillé, j'essaie de regarder les vidéos sur la tablette graphique. Je réalise que je n'ai aucune idée du fonctionnement de la tablette. Alors je passe à la suite de mon plan et je m'en vais retrouver Natasha qui est seule depuis près de trois heures. Il est près de 14 h et j'ai faim au sens littéral et figuré. Quand j'arrive dans la cuisine je peux voir Natasha, son corps mou est penché vers l'avant, la tête vers le sol. Je m'approche et je l'entends respirer, je me penche et je vois que ses yeux sont fermés.

Je retire mes mules puis je vais au réfrigérateur me chercher un morceau de fromage. Pendant que je mange, je regarde ma future victime. Elle est tellement belle et je l'aime vraiment, mais notre amour sera toujours impossible dans ma nouvelle situation.

Je prends un verre d'eau puis je m'approche de Natasha silencieusement. Comme un félin, je déploie mes griffes quand je m'approche de ma proie. Mes bras passent silencieusement près de son corps et mes mains se positionnent près de ses fesses. Délicatement, je dépose mes ongles sur ses fesses et je fais remonter dans son dos. Je sens à peine la pression des ongles au bout de mes doigts, mais la réaction est immédiate et fulgurante.

Natasha se réveille en sursautant. Son corps se raidit, elle se recule et je vois la frayeur dans ses yeux. Elle tend au maximum les contraintes qui la garde solidement attachée au plafond. Je l'entends crier sous son bâillon. Le son qui en résulte me donne l'impression que j'ai devant moi un animal blessé. Cela ajoute à l'effet que je recherche. Je la vois se débattre et faire non de la tête.

« Bonjour Natasha. » Je lui fais un rictus f o r c é . « Tu savais que je t'aimais... Et pourtant... » Je marque une pause pour l'effet. « ... Et pourtant, tu m'as vendu à cette jeune pouffiasse. Elle m'a fait v i o l er par plusieurs hommes dans des positions que je croyais impossible toute aussi douloureuse une que l'autre. Ils ont éjaculé sur moi et même uriné sur moi, en moi... J'ai été totalement souillée, totalement humiliée... Et tu l'as laissé faire sans même lever le petit doigt. On m'a blessée autant physiquement que mentalement. »

Je marque une pause en la regardant. Je prends le fouet dans mes mains et je le caresse tout en continuant de la regarder. Son visage la trahit. Je peux y lire sa frayeur ainsi que quelque chose d'autre. Après un moment, elle se met à pleurer abondamment, tout en essayant de parler.

« Tu vas maintenant payer pour ce que tu m'as fait... » Elle hoche la tête signifiant son refus.

Je glisse un ongle sur sa peau tout en la regardant, ses poils se dressent à la surface de tout son corps. Elle émet des sons d'animal blessé, mais cela ne m'impressionne pas, je continue dans le silence ma petite t o r t u r e tout en maintenant mon sourire. Je peux voir qu'elle pleure et je devine que les sons visent à m'implorer de ne pas lui faire mal.

« Premièrement, tu vas payer pour ne pas avoir joui ce matin quand la petite m'a f o r c é e à te donner du plaisir... et que tu t'es refusée à moi... Cette fois, tente de ne pas jouir... »

Il s'en est suivi plus d'une heure pendant lesquels je me suis appliqué à lui procurer du plaisir, parfois intense, brut, parfois tout en douceur comme pendant les premiers moments où je l'ai prise dans mes bras et je l'ai à la fois couverte de bisous dans le cou et sur ces clavicules, tout en lui caressant le dos et les fesses avec les bouts de mes ongles. Quelques minutes plus tard, mes ongles s'occupaient du capuchon de son clitoris qui se gonfle rapidement.

Je me sentais connectée avec le corps qui m'était offert. À plusieurs reprises, j'ai pu amener Natasha au bord de l'abime sans lui permettre la libération qu'apporte la jouissance. Après la troisième fois, Natasha pleurait et semblait m'implorer de lui permettre de relâcher sa tension sexuelle. Je l'ai embrassée sur son bâillon. Puis je la regarde en souriant.

« Alors, es-tu prête à prendre tes responsabilités en mains? » Immédiatement, elle se met à hocher la tête positivement. « Je ne te crois pas. » Pour les quinze minutes qui ont suivi, j'ai poussé encore plus le traitement que je lui réservais. Cette fois, j'explore ses cavités, l'entrée de son vagin où je pouvais distinguer la petite boule de son point G et son anus que je caresse d'un doigt. Elle se tortille selon mes palpations, mais j'arrive à contrôler la situation pour qu'elle ne puisse pas jouir pendant que je la caresse. Ma bouche se concentre sur ses mamelons que je suce, tire et mord alternativement.

« Et maintenant? » Cette fois, son visage est différent. Elle semble vaincue. Elle hoche la tête avec circonspection et surtout garde ses yeux au sol. Elle me fait penser à une chienne servile. Je n'aime pas particulièrement être dans ce rôle, je le réalise, mais je dois passer mon message maintenant sinon je ne crois pas que j'aurais le courage plus tard.

« Si je te retire ton bâillon, vas-tu crier, ou même parler sans ma permission? » Elle fait non de la tête. « Veux-tu jouir? » Je la vois sourire un instant puis se mettre à pleurer sans me répondre. « Alors, dis-moi, veux-tu jouir? » Lentement, elle hoche la tête positivement.

Je détache le bâillon derrière sa tête et quand je le retire une quantité appréciable de bave s'échappe de sa bouche. Elle prend une grande respiration par la bouche, mais ne dit pas un seul mot. Je place une main derrière sa tête, love mon corps contre le sien et place ma bouche près de son oreille droite. Je dépose un baiser sur son oreille puis place mon autre main à l'entrée ses lèvres bien gonflées et bien humides. Je caresse quelques instants ses lèvres et par extension son clitoris, mais rapidement j'insère deux doigts dans sa chatte. Elle se met immédiatement à soupirer et respirer de façon saccadée.

Je lui chuchote dans l'oreille sachant très bien qu'elle devra porter une attention particulière pour bien me comprendre.

« Chérie, écoute-moi bien. Quand je suis arrivée ici je n'étais qu'une petite sotte sans avenir sans espoir. J'ai maintenant compris qu'obéir c'est apprendre, et je suis maintenant beaucoup plus délurée que je ne l'étais. J'aurais aimé faire cet apprentissage avec toi ces derniers jours... »

Pendant que je parlais, je pouvais entendre sa respiration devenir difficile. Je module mes caresses et mets plus de pression avec ma main qui lui tient la tête.

« ... Je veux devenir un objet sexuel, une vraie esclave... Je veux être désirable. Je veux que ce soit évident que je suis disponible et que je veux être utilisée. Je veux que tout le monde le sache. Je ne veux plus être capable de faire autre chose que de donner des gratifications sexuelles. Je ne veux plus avoir à prendre de décision, je veux simplement subir les décisions des autres. Je veux donner du plaisir, devenir une véritable bête. J'ai été déçu que tu ne m'utilises pas, que ce ne soit pas toi qui me v i o l es... »

Je ne la caresse plus, mais elle ondule les hanches pour se donner du plaisir avec les doigts que j'ai encore en elle.

« ... Plus jamais! Tu me comprends. Plus jamais. » Je la sens près de la jouissance. Alors je retire mes doigts de son con. Elle me souffle à l'oreille : « Non »

Je continue, « Je ne veux plus être ton amie, ton amoureuse, je veux être à toi, je veux être à eux. » Elle me répond « Oui ». « Tu me le promets... » « Oui... »

Je change ma position et place mes lèvres sur les siennes, mes mains sur ses hanches pour la f o r c e r à se lover plus étroitement contre moi. « Fais-moi jouir. » Ce fut mes dernières paroles de la journée.

Rapidement, nos embrassades deviennent fougueuses, je la sens reprendre un certain contrôle, mais aussitôt que ma main redescend entre ses jambes elle retombe dans un état second où moi seule contrôle sa destinée. Par moment, je délaisse ses lèvres et je me penche pour aller embrasser son sexe. À chaque fois, je reviens avec les lèvres et le visage couvert de sa mouille. À chaque fois, elle prend ma bouche avec plus d'intensité.

Finalement, elle a une hanche pressée contre mon mont de vénus et sa langue profondément dans ma bouche qu'elle explore. Mes deux mains tirent sa tête pour que nos bouches puissent avoir un contact plus intime. Je sens mes mamelons durs frotter à travers le tissu de ma robe contre ses côtes. Je sens une jouissance différente, cérébrale, entière envahir mon corps et mon esprit. Je l'entends crier, je sens la déferlante sur mon corps, je perds connaissance me laissant envahir pleinement par cet orgasme d'un genre nouveau. J'agrippe le corps de Natasha pour ne pas tomber, je la sens trembler. Ma robe me semble complètement humide.

Cela m'a pris plusieurs minutes pour me remettre de mes émotions et j'ai pu constater que c'était partagé. Quand finalement mon corps revient à la normale, je détache les mains de Natasha. Elle se débarrasse rapidement des liens qui la contraignent. Je reste devant elle. Après s'être massé les poignets un instant, elle lève la tête puis me gifle v i o l emment. Avant que je ne puisse porter ma main à mon visage, elle attr a p e mes cheveux et se met en devoir de me tirer en direction de l'escalier. Je suis rapidement amenée à ma chambre qu'elle verrouille à double tour dès que la porte est fermée.

Le reste de la journée, j'ai lu et j'ai tenté de faire fonctionner la tablette. J'avais terriblement faim, mais jamais Natasha n'est venue me chercher pour manger. Je me suis endormi sur un estomac vide. Mercredi 28 décembre

Le lendemain à mon réveil il y avait des viennoiseries et un grand bol de café sur une table de chevet. Je n'ai pas entendu Natasha entrer ou sortir. Le café est déjà refroidi. Il y a un papier sous le bol. Je peux y lire : « Vicky profite de ta journée de captivité pour faire tes exercices. Demain, je vais vérifier ton avancement. N. »

C'était tout. Je comprends que je vais passer la journée seule dans ma chambre. Il pleut à l'extérieur. J'ai pris mon café froid dans mon lit et mangé une brioche au chocolat un peu fade. Après m'être douché, j'ai fait mes exercices, je me suis maquillé comme on me le demandait et j'ai attendu qu'on vienne me chercher. Quand j'ai réalisé que c'était vrai que je passerais la journée seule, j'ai fait comme hier, j'ai lu et j'ai dormi. J'ai complètement abandonné l'idée de faire fonctionner la tablette aujourd'hui.

Jeudi 29 décembre

À mon réveil aujourd'hui il n'y a rien sur ma table. J'ai très faim, hier je n'ai eu qu'une viennoiserie et un café pour me sustenter toute la journée. Je fais mes exercices puis je me douche et applique le maquillage de base tel que Natasha me l'a montré. Je suis un peu excitée puisque je me doute que Natasha va venir me trouver aujourd'hui et que les deux dernières journées seront derrière nous.

À 7 heures, j'entends la serrure. Natasha porte une robe de chambre blanche.

« Bonjour Vicky, tu as une heure pour te préparer... » Elle me donne les détails du maquillage qu'elle veut que je porte puis s'en va chercher ce que je dois porter aujourd'hui. Elle laisse tout sur le lit puis s'en va vers la porte. Avant de sortir, elle ajoute :

« Tu sais, l'autre jour je te disais, que je te faisais cadeau de la compréhension, je veux que tu saches que c'est fini, à partir de maintenant tu n'es plus qu'un animal dont j'ai la responsabilité temporaire. Ne t'attends plus à obtenir de faveur de moi et je te suggère de faire ce que je te dis, sinon tu risques de disparaître de ma maisonnée. Est-ce que je suis suffisamment claire? »

« Oui maitresse. »

« Quand je vais revenir, assure-toi d'avoir en toi le cône 5 et le 12. Est-ce clair aussi? »

Je me sentais devenir livide, mais je réponds « Oui Maitresse » tout en regardant le plancher.

Elle a ajouté « Bien » puis elle a refermé et verrouillé la porte.

Je me maquille comme elle me l'a demandé avec beaucoup de teintes rosées et beaucoup de noir aux yeux. Sur le lit, il y a une paire d'escarpins lustrés rose avec des talons de quinze centimètres et des semelles compensées. Il y a une robe à manches longues et col rond tout aussi rose. Et il y a un collier de perles attaché à une laisse puis deux bracelets argentés de quatre centimètres. Quand je passe la robe, je réalise qu'elle est complètement diaphane et moulante. On peut voir tant mes aréoles que mes mamelons et mon sexe. Je suis pratiquement nue avec cette robe.

Mais ce qui retient mon attention c'est ce que je dois faire maintenant qu'il est 7 h 55. Je prends le cône 12 en mains et je le caresse. Je ne peux croire que je vais arriver à le faire pénétrer dans mon anus, il est trop gros, trop long. Mais je n'ai pas le choix. Je le lèche pour l'enduire de ma salive puis je le dépose sur une chaise dure. J'essaie de m'assoir dessus, mais je ne suis pas capable de le faire entrer en moi. À mi-chemin, il m'étire déjà au point où je crois que ma peau va se déchirer. Je panique en voyant le temps passer.

Je crache sur le bout du cône puis j'essaie à nouveau de m'assoir dessus tout en me relaxant. Il pénètre un peu plus, mais pas assez. J'entends déjà les pas de Natasha dans l'escalier. Alors au lieu de retirer à nouveau le cône pour une nouvelle tentative, je saute littéralement dessus. Quand mes pieds quittent le sol, je le sens me déchirer l'anus. La douleur est incommensurable, mais je me relève aussitôt pour attr a p e r le cône 5. Quand la porte s'ouvre, j'ai les deux cônes en moi et les muscles complètement tendus pour retenir celui qui est dans mon vagin. La tension dans mes muscles semble f o r c e r mon anus à se déchirer un peu plus. Je sens la sueur qui couvre mon corps et je m'eff o r c e de sourire et de demeurer droite quand Natasha entre.

Sans dire un mot, elle s'approche de moi et glisse trois doigts dans mon vagin. Elle retire le cône qui s'y trouve et le met dans ma bouche.

« Redonne-le-moi! »

Je le recrache dans sa main. Elle le prend et le lance sur mon lit. Elle met une main sur ma mâchoire et me f o r c e à bouger la tête de gauche à droite tout en feignant d'observer mon maquillage.

« Tente de mieux t'appliquer demain. Mets plus de brillant sur tes lèvres. »

Je ne bouge pas ni ne réponds croyant qu'elle me donne des instructions pour demain. Après seulement quelques secondes elle me gifle puis ajoute : « Maintenant! »

Je vais immédiatement à ma table de maquillage et j'applique le brillant abondamment. Marcher avec le cône que j'ai dans le cul est difficile et douloureux, mais je ne dis rien.

« Mieux. Penche-toi. » Je m'exécute sans réfléchir. Elle place une main derrière mon cou pour me maintenir en position. Son autre main va directement au gros godemiché que j'ai dans le cul. Elle le prend solidement à sa base et le tire hors de moi puis le repousse dans moi avec v i o l ence. Je sens mes jambes vaciller sous moi, j'ai peur de tomber au sol. Dans ma position, je peux voir des gouttes de s a n g sur le plancher.

« À quatre pattes, chienne et nettoie le plancher. »

Je lèche les gouttes de s a n g , mais je réalise que des larmes vont se mêler au s a n g ... Elle me fait lécher le plancher pendant de longues minutes puis elle tire sur mes cheveux. Elle lève son escarpin gauche.

« Lèche mes semelles. » Je fais ce qu'elle me dit. Après le pied gauche, elle leva le pied droit puis elle prit ma laisse en main. Sans me dire un mot de plus elle me tire avec la laisse dans la maison.

Après avoir descendu de façon précaire les escaliers, elle me tire jusqu'à la salle à manger. Elle attache ma laisse à une patte de la table puis s'en va vers la cuisine. Quelques minutes plus tard, elle revient avec un grand bol de café et une assiette avec des gaufres garnies de fruits et de crème chantilly. Tout cela sent vraiment bon et mon ventre gargouille. Elle place l'assiette à la table, je fais un mouvement pour m'approcher, mais elle me repousse avec un pied faisant bien attention de m'entrer son talon dans les côtes.

« Ce n'est pas pour toi. Couche-toi et attends »

Je me couche au sol, penaude et toujours affamée. Elle prend son temps, lit un journal tout en mangeant. Après plus d'une heure, elle se lève finalement et va à la cuisine. Elle revient quelques minutes plus tard. Je suis demeurée couché recroquevillé. Quand elle entre, je réalise qu'elle a un gros bol à chien dans les mains. Elle le dépose à côté de moi.

« Mange maintenant! »

Je me mets à quatre pattes et je regarde dans le bol. Il y a du lait dans le fond et une viennoiserie coupée en petit morceau flotte dans le liquide.

« Mange! »

Je me penche et attr a p e un morceau de viennoiserie qui ne touche pas au lait. Il est desséché, mais je le mange quand même. Je continue avec les autres morceaux puis je lape tant bien que mal le lait. Elle s'est assise et continue de lire le journal. De temps à autre elle me regarde.

« Il en reste, lèche ton bol. »

Je tente de bien nettoyer mon bol puis je reste là sans bouger. Je regarde Natasha, mais elle ne porte pas attention. Après plus de 10 longues minutes à attendre finalement elle se tourne vers moi.

« Alors, tu aimes cela être traité comme une chienne? »

Je ne sais pas quoi faire, ni quoi lui dire. En fait, je trouve que le traitement qu'elle me réserve depuis que je l'ai détachée est extrême, mais avec quelques ajustements je m'y ferais. Mais en même temps sa chaleur, son amitié me manque. Je suis très ambivalente et par son expression je comprends que mon visage me trahit.

« Mon dieu, tu aimes cela! Parle-moi Vicky. » « Maitresse, je ne sais que vous dire. Oui j'aime que vous vous occupiez de moi, j'aime vous déléguer le contrôle sur mes actions. Mais mon déjeuner n'était pas très bon, non pas que je m'en plaigne. »

Je regrettais déjà ces dernières paroles. J'ajoute donc, tout en regardant ses pieds « Je m'excuse, Maitresse. ».

« Vicky, tu sais que je t'aime. C'est pour cela que j'ai demandé à Ariane de s'occuper de ta formation. Je ne pouvais me résoudre à faire ce qui devait être fait. Mais tu sais que tu m'as fait beaucoup de peine quand tu m'as dit que tu ne voulais plus être mon amie. » « Ariane, c'est la jeune? » « Pourquoi dis-tu cela? Ariane a 40 ans et deux e n f a n t s. Tu as rencontré son mari l'autre soir, elle le nomme papa. C'est elle qui m'a formé. Contrairement à toi, ma formation a duré plus d'un mois. Je ne voyais pas la fin, j'étais désespéré et je voulais t'éviter cela. Mais je ne voulais pas te faire mal non plus. » « Elle a 40 ans! » Moi qui croyais que c'était une jeune fille. « Est-ce que tu m'écoutes Vicky? Je t'aime, mais je n'aime pas te traiter comme cela. Tu me comprends? » Un peu défiante, je lui réponds « Traitez-moi comme vous le voulez, Maitresse. Si vous voulez m'aimer libre à vous, si vous voulez que je vous aime... » « OK, j'ai compris Vicky. »

Elle a détaché la laisse de la patte de table puis m'a tirée vers le garage sans me dire un mot de plus. Elle semblait pensive. Natasha m'a amenée en voiture dans le silence. Je n'avais aucune idée de la destination de notre promenade à voiture. Notre destination finale était le spa où j'ai eu une nouvelle séance d'épilation au laser puis une nouvelle manucure. Je croyais que j'avais de longs ongles qui me rendraient non fonctionnelle au travail avant cette manucure, mais après j'en étais assuré. J'ai maintenant des ongles qui font trois centimètres, très luisants, très durs, très rouges, très séduisants!

Elle nous a ramenés à la maison et m'a enfermée à nouveau dans ma chambre sans aucune autre instruction. Je me suis déshabillée puis nettoyée. Ensuite même si cela ne fait pas partie de ma routine j'ai décidé de m'exercer à garder en moi mes cônes. Je n'ai pas osé remettre le cône 15 dans mon anus, optant plutôt pour le 12. Mon cul est encore endolori de ce matin, je sens même des brulures aux endroits où ma peau doit être déchirée. Après 30 minutes d'exercices, je retourne à la toilette pour me mettre un onguent pour m'aider à guérir et finalement à 9 h je ferme ma lumière.

Au milieu de la nuit, je me réveille en sursaut quand je sens une présence dans mon lit. Je sens l'odeur de Natasha et elle me dépose un baisé sur une oreille avant de se placer dans la position de la cuiller. Elle ne peut le voir, mais mon bonheur me fait sourire. Je sais que je ne peux plus lui dire, mais je l'aime. Tout au plus, elle sent peut-être mon cœur battre un peu plus vite en ce moment. Une heure plus tard je dors heureuse de sentir sa chaleur contre moi.

Vendredi 30 décembre

Cela fait déjà plusieurs minutes que je suis réveillée quand le cadran sonne à 6 h. Je ne bougeais pas ne voulant pas réveiller Natasha. Au premier son du cadran, je l'arrête et je tente de m'extirper du lit. Elle m'attr a p e et m'empêche de quitter le lit.

« Pas ce matin, mon amour. »

Je ne dis rien en attendant ses instructions, mais aucune instruction ne suit. Je la sens s'être rendormie. Doucement, je reprends ma position dans le lit. Sans m'en rendre compte, je me suis aussi endormi à nouveau. Je panique à mon deuxième réveil. Il est 9 h 5 et je suis seule dans le lit. Je me lève prestement pour réaliser que Natasha est dans la toilette. Elle s'adresse à moi quand elle m'entend.

« Reste dans le lit, j'arrive. Et ferme les yeux, je ne veux pas que tu me voies tout de suite. »

Je me recouche et comme elle me le demande, je ferme mes yeux. Je l'entends s'approcher puis je la sens se glisser dans le lit.

« Tu peux ouvrir les yeux. » Quand je les ouvre, elle me fait face et me sourit. « Tu es vraiment belle Vicky, je veux te le répéter, je t'aime. » « Merci maitresse. » « Je veux te le répéter une fois de plus, je ne pouvais te faire ce qui devait être fait. Je vais probablement être punie parce que tu n'auras pas atteint tous les objectifs que tes maitres voulaient que tu atteignes, mais je préfère vivre avec cela sur ma conscience plutôt que de t'avoir fait mal. Tu me comprends? » « Oui maitresse. » Je lui souris tendrement.

« Demain quand tes maitres reviendront, assure-toi de vraiment bien les écouter et d'obéir à leurs ordres. Ne leur mens jamais. Ils sont vraiment gentils, mais ils m'ont confié que dans le premier mois s'ils ne se sentent pas à l'aise avec tes actions ils vont se débarrasser de toi. » Elle me caresse les cheveux et le visage en me confiant cela. Sa sincérité est palpable. Je ferme les yeux et caresse sa main en retour avec mon visage. Je l'embrasse dans le creux de sa main.

« Tu sais, c'est probablement la dernière fois que nous pourrons passer la nuit comme cela ensemble, comme des sœurs. » J'approche mon visage du sien et place une main sous sa tête. Je lui caresse l'oreille avec mon pouce.

« J'ai pensé faire tes exercices du matin d'une façon différente aujourd'hui. Ferme tes yeux et pense à ton maitre. Pense comment, il est beau et viril. » Je la sens s'approcher de moi, m'entourer de ses bras. Nos bouches se joignent. Je réalise que c'est la première fois que je l'embrasse sans aucun maquillage ou artifice. Cette pensée me trouble. Je me sens comme si l'on venait de retirer un masque de nos visages.

Je tente de penser à mon patron, mais son image me semble distante. Notre échange de baisers est différent, je ne peux l'expliquer. Après quelques instants, elle se sépare de moi et se tourne vers la table de chevet. Quand elle se tourne vers moi à nouveau, elle a en main un godemiché rose, souple, qui semble faire près de 30 centimètres. Ses deux extrémités semblent être des reproductions de glands.

« Alors es-tu prête pour débuter tes exercices? » « Certainement Maitresse, mais... » « Laisse-moi faire et détends-toi. Tu verras, ce sera agréable. »

Elle prend alors le gode dans sa bouche et ferme les lèvres dessus. Pendant un instant, elle le suce comme si c'était une verge qui lui était offerte. Elle me regarde intensément pendant ce spectacle. Lentement elle avale la moitié du gode, le fait ressortir et l'avale à nouveau. Cette fois je peux voir qu'elle écarte les lèvres et me montre qu'elle mord dans l'objet. Avec une main elle le guide vers ma bouche.

Je comprends ce qu'elle attend de moi et je prends le godemiché tout en ouvrant bien grande ma bouche. Rapidement, il touche mon pharynx et j'ai un léger malaise. Ma salivation est stimulée et quand Natasha fait ressortir le gode de ma bouche, de longs filets d'écume épaisse se répandent sur le lit.

Elle pousse une deuxième fois l'objet dans ma bouche. Cette fois, je ferme les yeux et je tente de me détendre. La bave qui le lubrifie et ma préparation font que le gode passe mon pharynx plus facilement sans que j'aie de haut-le-coeur. Lentement, je le sens pénétrer dans ma gorge. Bien que difficile à accepter, je sens la sensualité de cette caresse intérieure. Je suis surprise de sentir les lèvres de Natasha atteindre les miennes, les caresser. Elle se retire entrainant le gode avec elle.

J'ouvre les yeux au même moment où elle dépose ses lèvres sur les miennes. Elle a le godemiché dans sa main. Je réalise qu'elle déverse dans ma bouche une quantité impressionnante de sa salive puis elle se retire. Immédiatement, avec sa main, elle f o r c e le gode dans ma bouche et pendant quelques instants elle le fait entrer et sortir entrainant la bave dans le mouvement. Ce liquide visqueux se répand sur ma poitrine.

Elle se lève dans le lit et me prend par le menton. Je comprends qu'elle veut que je me place à genoux pendant qu'elle se penche sur moi. Elle reprend le gode dans sa bouche, mais cette fois elle mord seulement quelques centimètres de l'objet laissant près de 25 centimètres pendre vers moi. Lentement elle se penche vers moi pendant que j'ouvre la bouche et ferme les yeux. Je la sens placer sa main sous ma mâchoire et f o r c e r mon visage vers le haut. Elle me caresse le cou et la mâchoire pendant que je garde la bouche bien ouverte.

Je fais le saut quand je sens le godemiché toucher à ma langue. Je prends une grande inspiration et tente de me détendre. Rapidement je sens le gland toucher mon pharynx. Je tente d'avaler, mais j'ai un haut-le-coeur. Elle retire le gode du fond de ma gorge, mais le garde sur ma langue. Je reprends mon souffle quand je la sens descendre à nouveau. Cette fois, l'objet qui semble fait de gélatine pénètre ma gorge sans me causer de malaise. Je le sens entrer en moi et elle, le suivre sur ma gorge avec ses mains qui me caressent.

Je suis surprise quand je sens son nez s'écraser contre le mien. Ce contact fait que tout à coup je me sens étouffée et paniquée. Je mets mes mains contre sa poitrine pour la repousser, mais elle ne bouge pas. Je ne peux plus respirer, je panique et j'ouvre les yeux. Je me sens prise d'une v i o l ente nausée. Elle ne bouge toujours pas. Finalement, après de longues secondes pendant lesquelles mes yeux se sont remplis de larmes, elle se relève lentement tirant l'objet hors de moi. Quand l'objet est hors de ma gorge, je sens ma bouche se remplir d'écume. Je me penche vers l'avant pour tenter d'avaler, mais elle attr a p e mes cheveux et tire ma tête vers l'arrière.

« Ne fais plus jamais cela. Ne repousse jamais plus ton maitre ou ta maitresse. Croise tes bras dans ton dos et garde-les bien croisés. »

J'obéis tout en tentant d'avaler ma salive abondante. Mes yeux sont remplis de larmes qui coulent le long de mon visage et tombent dans mes oreilles. Cette fois, je sens le gode s'appuyer contre mes lèvres.

« Ouvre grand. »

J'ouvre la bouche. Elle tient le gode rose dans sa main. Elle le fait entrer énergiquement dans ma gorge et rapidement elle le retire. Elle répète ce mouvement plusieurs fois jusqu'à ce que je perde le contrôle sur mes réflexes et que mes muscles de ma paroi abdominale se contractent v i o l emment. Je croyais à ce point que j'allais vomir, mais je ne me braque pas. Elle retire le gode de moi et elle place sa bouche sur la mienne. Je sens sa langue bouger dans l'écume qui remplit ma bouche. Cela ajoute à mon dégout, mais encore je la laisse faire. Je sens que je pleure, mes larmes suivent mon visage et tombent sur mes seins. Je serre mes mains dans mon dos. Je la sens sucer le liquide hors de ma bouche puis elle s'écarte de moi.

Je tente tant bien que mal d'avaler le surplus de salive que j'ai dans la bouche. J'ouvre les yeux au moment où elle ouvre la bouche lentement. Un peu comme si je voyais un film au ralenti, je vois un filet de ma bave couler vers mon visage. J'ouvre la bouche pour l'accueillir. Ce faisant je la vois me sourire et ouvrir un peu plus sa bouche. Ma bouche est à nouveau remplie de mon écume et je m'eff o r c e de l'avaler rapidement. Elle dépose un baiser sur mes lèvres puis me dit simplement :

« Bien. »

Ensuite elle reprend en main le godemiché et elle me le place sur les lèvres. Son seul commentaire m'a ragaillardie et j'écarte les lèvres avec moins d'appréhension. Elle pousse la moitié du gode en moi puis elle se redresse, se penchant même un peu vers l'arrière.

« Fais-moi jouir maintenant. »

Je commence à peine à décroiser mes bras quand elle m'arrête.

« Non! Garde tes bras dans ton dos. »

Je réalise quel est son désir, mais rapidement je pense à plusieurs stratégies que je peux mettre de l'avant pour obtenir le résultat escompté. Je la surprends donc en n'utilisant pas immédiatement le gode. Je lui caresse son sexe déjà bien humide et son bouton de rose avec mon nez qui se couvre aussitôt de sa mouille. J'adore cette odeur sur mon visage. Lentement je baisse ma tête. Je sens son bouton glisser le long de mon nez puis sur mon front. Arrivé à ma frange, je m'écarte légèrement pour la caresser de mes cheveux.

Elle place ses mains sur mes oreilles et déjà me signale son appréciation. Je la caresse avec mes cheveux pendant de longues minutes avant de refaire le chemin inverse avec mon visage. Cette fois, je glisse le gode, que je maintiens en place dans ma bouche avec mes dents, le long de son sexe. Arrivé à son clitoris, je le fais plier un peu vers le haut et je me mets en devoir de faire glisser à plusieurs reprises la longueur du gode qui est hors de ma bouche sur son bouton d'amour. Elle tremble sous ces caresses et après quelques mouvements elle saisit ma tête et me f o r c e à faire pénétrer le godemiché en elle.

Je commence alors un va-et-vient en elle. Je pénètre jusqu'à ce que mon nez s'écrase contre son clitoris. À ce point, je bouge la tête de gauche à droite pour caresser son bouton durci. Je retire ensuite l'objet de son vagin, jusqu'à ce que seul le gland repose sur ses lèvres. Je pousse alors ma tête à nouveau vers l'avant en m'eff o r ç a nt de maintenir une pression sur la partie supérieure de son fourreau. Après quelques entrées et sorties, je peux voir de la cyprine blanchâtre s'écouler de Natasha. Je réalise alors mon propre état d'excitation. Je sécrète moi-même de la cyprine qui, en dégoutant, a fait un petit rond de mouille sur le drap.

Je pousse le gode une fois de plus contre le clitoris de Natasha, cette fois je fais glisser aussi ma lèvre inférieure et mon menton contre le bouton d'amour de ma maitresse. Je dois me concentrer pour ne pas décroiser mes bras. Elle me saisit à nouveau la tête et f o r c e le gode en elle. Cette fois, elle garde le contrôle de ma tête et se met à danser frénétiquement avec le gode en elle. Elle simule les mouvements de balancier des hanches d'un homme qui pénètre avec vigueur une femme. Je lève les yeux pour voir sa tête renversée. Son corps est splendide dans cette position. Ses longs ongles courbés sont bien plantés derrière ma tête. Elle est au seuil de sa jouissance. La beauté de cette scène que je peux observer ainsi que l'énergie qui se dégage de Natasha me fait basculer.

lapassagere

A suivre ici

http://www.fessestivites.com/f/articles/13475-Vicky-2

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