Daphné esclave sexuelle

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il y a 4 ans

Jeff a toujours détesté les réceptions. Il détestait surtout celles qui étaient organisées par mes employeurs. Je le suppliais toujours durant trois jours pour qu’il m’y accompagne comme tous les autres. Il avait cherché toutes les excuses possible afin de s’échapper de ces festivités de fin d'année mais je continuais à l'implorer, surtout parce qu’il y avait un nouveau responsable à la tête de la société. Je l’informais qu'il ferait beaucoup pour ma carrière si il m’accompagnait. Je désirais montrer une image stable de notre couple, chose qui plaisait beaucoup au patron d’entreprise en âge avancé. Jeff se maudit lui-même lorsqu’il finit par accepter.

On arriva une heure en retard à la réception. J’allais saluer mon ancien patron à la porte de son bureau. Après une courte réprimande pour notre retard, il nous conduisit dans une grande salle de conférence où trente ou quarante personnes y était présentes. La soirée étant importante pour moi, je m’étais habillée en conséquence. Je sais que mes charmes sont appréciés par beaucoup de personnes. Je portais une robe longue, noir, moulante, dévoilant ma poitrine nue, bien que petite mais dure comme de la pierre. Je sais que Jeff aimait me voir ainsi vêtu, surtout lorsqu’il savait que je portais un string ficelle noir. Je sentais ses yeux rivés sur mes fesses et cela me rendais chaude.

Je vis mon futur patron et accompagnais mon mari vers lui. Je les présentais et ils se saluèrent cordialement. Eric, c’est son prénom, devait avoir la cinquantaine, mais il avait un physique d’un homme de trente ans. Il dégageais de lui une chaleur que j’aimais beaucoup.

Je les abandonnais à leur conversation d’homme et me dirigeais vers le bar afin de me désaltérer un peu. Je dus boire trois coupe de champagne avec que Jeff me rejoigne. Alors que je commandais une autre coupe, il me réprimanda un peu. Je lui avouais être un peu nerveuse de travailler avec Eric. Il venait de quitter l’armé et avait décidé d’appliquer les même méthodes que l’armé dans l’entreprise.

Bien qu’il me grondait un peu, il savait que lorsque j’étais légèrement éméchée, je devenais très cochonne.

A la quatrième coupe, je me dis que cela suffisait, et enfin détendu je partis danser. Jef resta assis à me regarder. Il avait horreur de la danse, mais l’érection que je lui provoquais me plus énormément.

Mon mari n’était pas le seul à me déshabiller du regard. Je remarquais que Eric le faisait également. Etre désirée par deux hommes m’excita grandement.

Eric fendit la foule et vint me rejoindre. Il m’emmena dans un coin de la salle et on discuta. Cette conversation me détendit sur la personne. A la fin j’étais satisfaite de le connaître un peu mieux. Je retournais alors m’asseoir sur les genoux de mon mari.

Je lui racontais mes craintes non fondées, pendant qu’il glissait discrètement une main sous ma robe fendu. Il me caressa agréablement l’intérieur de mes cuisses et mon pubis humide.

Il me demanda si je voulais rentrer. Pour moi la soirée ne faisait que commencer. Je lui répondis que non, mais que j’étais prête à baiser quand même. Je pris sa main et on partit à la recherche d’un bureau vide.

On entra dans l’un d’eux. Le bureau était grand et la table en bois massif pratique comme lit. C’était le bureau d’Eric. Je fermais la porte et allais allumer la lampe de bureau. Je m’agenouillais alors que Jeff se rapprochait de moi. Il s’arrêta près de mon visage et je dégrafais son pantalon afin de sortir son pénis en semi érection. Je le mis dans ma bouche et le suçais doucement. Il commença à grossir pour ma plus grande satisfaction. Je le mordillais comme il aimait et je le regardais droit dans les yeux. J’aimais se pouvoir d’un sexe dans ma bouche. J’ais toujours aimé sucer avant de baiser. Bien que les hommes se croyaient puissant leur sexe dans notre bouche, c’est nous qui avions une emprise sur eux. Il bougeais son bassin voulant aller plus loin dans ma bouche.

-Que ce passe t’il donc ici? » dit une voix derrière Jeff.

Jeff jura de ne pas avoir fermé la porte à clé derrière lui. J’avais reconnu la voix d’Eric et je fus prise de panique. Eric entra dans la pièce et prit soin de la fermer à clé.

Je me levais aussitôt cherchant une excuse qui ne vint pas immédiatement. Eric leva la main dans un signe qui disait qu’il ne voulait rien entendre.

-Ne m’insultez pas avec des excuses bidons! Ce n’est pas ce que j’attends de mon assistante. Réfléchissez donc plutôt à ma future question, ainsi que votre mari. Est-ce que vous êtes prêt à faire comme je dis quand je dis? »

Jeff le regardait interloqué, le pantalon sur les cheville et le sexe flasque. Je ne voulais pas perdre mon travail que j’aimais beaucoup.

-Je suis prêtes à accepter vos ordres! » lui dis je avec le soutient de mon mari

-Bien , cela me convient tout à fait. Jeff vous seriez très gentil de retirer la robe de votre femme.

Mon mari hésita mais la demande était très sérieuse. Jeff s’approcha de moi et saisit le bas de ma robe d’une main tremblante. Bien que étroite, elle se détacha doucement de mon corps alors qu’il la tirait au dessus de ma tête. Je me retrouvais donc en string, éclairée uniquement par la lampe du bureau. Instinctivement, je couvrais ma poitrine de mes deux mains.

-Ne vous couvrez jamais devant moi, s’il vous plaît? »

Tremblante, je retirais mes mains de ma poitrine.

-M. J., pouvez vous faire durcir les mamelons de votre femmes pour moi? Je vous direz quand arrêter! »

Jeff inclina sa tête et se mit à lécher ma poitrine. J’étais déjà très excitée et je gémis instinctivement. Sa bouche était très agréable sur mes téton en feu et je m’approchais doucement de la jouissance. Eric ordonna alors que cela suffisait et je gémis de désapprobation. Eric s’approcha alors de nous.

-Vous avez une superbe poitrine ma chère. Ils sont petit mais agréable à la vu. Une poitrine comme je les aimes .»

Il prit mes deux tétons entre ses doigts et les pinça. Je gémis sous la douleur. Il me f o r ç a à m’agenouiller.

-Si vous aimez sucer, essayez le mien? » dit il en sortant son pénis et lui faisant glisser le bout sur mes lèvre. « Rendez le moi dure, et je peux vous apprendre deux ou trois petite chose! »

J’ouvris la bouche et me mis à le sucer comme il me l’avait demandé. Je vis Jeff qui me regardait horrifié. Je n’avais plus peur. Mon seul objectif était de le rendre dure et puissant et j’y appliquais tout mon art.

-Votre femme suce merveilleusement bien. Aidez là donc à prendre mon pénis plus en profondeur. » dit il en retirant sa veste.

Jeff se plaça derrière moi et prenant ma tête, il m’aida à avaler tout l’organe. Il était puissant et bien proportionné , comme l’homme. Son sexe était près à me prendre. Jamais mon string n’avait été aussi humide.

-Ce que je déteste le plus, est une chatte sec. Retirez donc son string afin que l’on puisse vérifier. Ne touchez surtout pas sa chatte! »

Jeff me connaissait bien et savait que la lubrification n’était pas nécessaire avec moi. Il retira mon string et le donna à Eric.

-Merveilleux! Ecartez vos jambes, s'il vous plaît. »

Je lui obéis sans crainte.

-Je vais brouter votre femme afin de voir si elle est capable de recevoir mon pénis. »

Eric parlait à mon mari comme si je n’étais pas présente dans la pièce.

-Je vous laisse son anus si vous le voulez! »

Eric retira sa chemise dévoilant une poitrine velu. Il s’agenouilla devant moi, glissa ses deux main entre mes cuisses et se mit en quête à écarter mes lèvre juteuses. Je tremblais car c’était la première fois ce soir là que l’on me touchait intimement.

Mon mari adorait mon anus et il ne se fit pas prier longtemps pour venir glisser sa langue dans la partie la plus étroite de ma personne. Je commençais à gémir sous les assauts cumulés des deux langues. Mes gémissements se transformèrent en cri lorsque je sentis l’approche de l’orgasme. C’était divin de se faire brouter par les deux trous.

Eric se leva alors que j’étais proche de l’orgasme. C’était la deuxième fois qu’il me laissait sur ma faim. Pas pour longtemps.

-Installez la sur le bureau! » ordonna Eric.

Jeff me conduisit vers le bureau et m’aida à grimper dessus. Ma chatte ruisselait de mes liqueurs et de la salive d’Eric. Je me sentais prête à tout.

-Maintenez ses mains derrière la tête! » ordonna t’il encore. « Vous pouvez sucer ses seins! »

Mon mari m’offrait complaisamment à mon patron. Il me maintint les mains derrière la tête pendant que Eric se plaçait entre mes jambes.

-Votre chatte à un goût merveilleux. » me dit il alors que je sentais le bulbe de son sexe caresser mes lèvres. « Je regrette de devoir le déchirer! »

-Vous pourriez essayer quelque chose! » l’interrompit mon mari.

Il s’approcha d’Eric et lui parla à l’oreille. Que pouvait il bien manigancer. Eric la regarda avec un sourire.

-Alors comme ça, vous aimez vous faire enfiler juste au moment de votre orgasme! » dit Eric avec un œil salace. « Votre mari va donc vous brouter le minou et quand vous jouirez, je vous baiserais. A vous de jouer mon cher! » dit il en s’écartant de mes cuisses.

Jeff s’agenouilla devant moi et commença son travail. Sa langue glissa entre mes lèvres et me pénétra comme je l’aimais. Je gémis de bonheur surtout lorsqu’il s’attaqua à mon clitoris. Mes hanches commencèrent à rouler sur le bureau suivant la progression de mon plaisir. Je projetais régulièrement mon bassin à la rencontre de sa bouche avide.

-Je vais jouir! » leur dis je.

Aussitôt, Jeff abandonna sa position remplacé aussitôt par Eric, qui me pénétra sans préliminaire. Je criais. Les parois intimes de mon vagin palpitèrent autour du sexe, humidifiant l’éperon de mes liqueurs. Ses mains s’emparèrent de mes chevilles et les souleva le plus possible au-dessus de ma tête, permettant ainsi à son pénis de me pénétrer le plus loin possible. Il commença à aller et venir en moi, alors que mon vagin s’était resserré autour de son engin.

Eric gémit disant qu’il allait venir en moi. Ses coups de boutoir furent plus rapide et plus désordonné. Mon mari me suçait les seins voracement. Je sentis à nouveau l’orgasme arriver et je criais à mon tour lorsque Eric cracha son sperme en moi. Mon corps était plein de spasme pendant qu’il m’embrassait pour la première fois sur la bouche et je soupirais lorsqu’il se retira de moi.

Eric s’empara de mon string et essuya sa queue et mes cuisses de nos deux liqueurs poisseuses.

-Ce n’est qu’un début! » dit il en ramassant sa chemise et sa veste. « J’ai beaucoup de chose à vous apprendre à tous les deux . »

Il quitta alors le bureau après s’être rhabillé, nous laissant reprendre nos esprits.

Cette petite séance avait grandement excité mon mari. Une fois à la maison, j’en étais pour me racheter une robe. On n’eut pas le temps d’atteindre notre chambre. Il déchira ma robe dans les escaliers et on baisa comme des bêtes sur les marches. On remit cela une fois dans le lit. Jamais mon mari ne m’avait aussi bien fait l’amour.

Faisons plus ample connaissance

Deux jours avaient passé et le travail suivait son cours au bureau. Jamais, avec mon patron, on ne fit allusion sur ce qui s’était passé dans son bureau. Eric, comme il l’avait annoncé, déposa un certain nombre de règles.

L’une d’elle était, que les tenus décontractées étaient interdites pendant les heures de travail.

Je dus renouveler ma garde robe et Eric me donna une indemnité ainsi qu’une liste des vêtements et sous-vêtements à acheter et à porter bien évidemment. J’aime beaucoup la lingerie et jamais je n’aurais pus m’en offrir de si belle avec mon salaire.

Un soir, alors que je m’apprêtais à partir, Eric m’appela dans son bureau. Il prétexta un travail urgent et me demanda de m’asseoir près de lui sur son bureau afin de prendre des notes. Alors que je croisais les jambes une fois assise, je remarquais son air désapprobateur dans ses yeux. Je devais insulter à nouveau son intelligence, comme la fois où je m’étais couverte les seins. Je décroisais les jambes et les écartais même afin qu’il ai une vision parfaite sur mon intimité sous ma jupe étroite. En plus de ma jupe, je portais un body en dentelle sans chemisier. On pouvait voir ma poitrine nue dans l’échancrure de ma veste.

Pendant qu’il me caressait les cuisses gainées de bas, il me dicta son courrier. Sa caresse était agréable et arriva ce qui devait arriver. Je sentis mes liqueurs perler à la sortie de mon sexe et humidifier le tissus de mon body. Cela n’échappa pas à mon patron. Du bout du doigt, il recueillit un peu de liqueur et la goutta comme si c’était la première fois.

-Humm, quel goût merveilleux! Chaque femmes a un goût différent et je ne m’en lasse pas. »

Alors qu’il disait cela, il dégrafa son pantalon et sorti son pénis à moitié en érection. Pas la peine de dire un mot, seul le regard suffisait. Je déposais mon bloc note et m’agenouillais. Je me mis à caresser et à lécher l’oiseau afin de lui donner de la vigueur. Je me masturbais tout en le suçant.

Je l’entendis composer un numéro sur son téléphone.

-Bonsoir Jeff! » Il appelait mon mari. « Daphné rentrera tard ce soir, car elle a un travail à terminer. Elle est d’ailleurs en train de le faire. Je mets le haut parleur afin que vous l’entendiez. »

Je n’eus pas le temps de m’offusquer, trop concentrée sur mon travail.

-Elle est actuellement à genoux près de moi, me suçant délicieusement le pénis. Mais pas la peine de vous faire un dessin, vous connaissez aussi bien que moi l’habilité de votre femme.

J’accentuais le bruit de ma bouche autour de l’engin afin que mon mari l’entende bien. Je devinais la bonne partie de cul une fois que je rentrerais à la maison. La respiration d’Eric s’accéléra en même temps que son sexe prenait du volume.

-Maintenant, nous allons passer à des choses plus sérieuses. Relevez vous Mme J. et reprenez votre place sur le bureau. »

Je lui obéis en prenant bien soin cette fois d’écarter mes jambes après avoir relevé ma jupe sur mes hanches. Je remarquais le combiné du téléphone décroché. Mon mari devait être dans tout ses états. Je le voyais se branler dans le salon près du téléphone.

Eric disait tout ce qui se passait afin que mon mari en profite. Jamais je n’avais imaginé que je partagerais un jour ma vie sexuelle entre deux hommes, et que mon mari serait consentant. J’avais reçu une éducation assez strict et là je jetais toutes mes convictions aux orties.

Eric caressa doucement mon pubis à travers mon body avant de descendre entre mon entre cuisse afin de dégrafer celui-ci. Mon pubis apparut, nue, récemment rasée suivant les conseil de mon patron, le pubis d’une jeune fille. La fraîcheur sur mon intimité me surprenait à chaque fois. Je tremblais.

-Vous êtes une excellente collaboratrice. Vous respectez très bien mes ordres. » me dit Eric. « Bon, maintenant retournez vous et allongez vous sur mon bureau en m’offrant votre cul. »

Je lui répondis « oui monsieur! ». Il m’écarta les jambes et commença à me caresser les lèvres avec son pieu turgescent.

-Votre femme est très chaude aujourd’hui Jeff! »

Lentement son sexe entra en moi, écartant mes lèvres. Son sexe était nettement plus épais que celui de Jeff, et mes muscle vaginaux s’adaptèrent à celui-ci. Je sais que les hommes adore sentir un sexe se refermer doucement autour d’eux. J’avais même réussi, après un long apprentissage, à masturber un homme, uniquement avec mes muscle vaginaux.

Je sentis son scrotum butter contre mes fesses. Mon vagin lubrifia le pieu de telle sorte qu’il put plus facilement sortir et revenir.

-Vous devriez voir cela Jeff. Votre femme est une vrai chienne en chaleur, une salope d’enfer.»

Il se mit alors à flatter l’entrée de mon anus. Ce n’était plus que je n’en pouvais supporter. Dés que l’on s’intéressait à lui, je devenais folle, bien que n’ayant jamais pratiqué la sodomie. Jeff devait entendre mes râles et mes gémissements de plaisirs. Eric continuait, malgré son souffle coupé par ma possession, à commenter ce qu’il me faisait.

-Votre femme est délicieusement étroite et son cul est merveilleux. »

Je sentis son sexe gonfler un peu plus me renseignant ainsi sur les prémices de son éjaculation.

-Je vais jouir dans sa chatte! »dit il à l’intention de mon mari.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Un flot de sperme m’inonda, provoquant par la même occasion mon orgasme. Je criais, plutôt hurlais mon bonheur. Il se retira de mon fourreau et déposa la fin de son plaisir sur mes lèvres et mon anus.

-Son travail est terminé Jeff. Elle ne va pas tarder à rentrer. » dit Eric une fois que sa respiration fut redevenu normal.

Moi, je continuais à haleter, les fesses toujours exposées. Il me caressait la peau avec le bout de son pieu poisseux. Une tape, assez v i o l ente, sur la peau fragile de mes fesses, me dit que je pouvais me rhabiller et partir. Eric salua Jeff et raccrocha. Je remis les pression de mon body en place sans penser à me laver. Je gardais sur moi, les preuve de notre étreinte, surtout pour mon mari.

Mon mari était un véritable amour. Il m’avait fait couler un bain et avait débouché une bouteille de Chardonnet, mon vin préféré. Il devait bien avoir une idée derrière la tête. Bien que légèrement fatigué après l’étreinte que je venais de subir, j’étais très excitée de lui raconter ce qui c’était passé. Je vis ses yeux briller lorsqu’il remarqua le sperme séché d’Eric sur mon corps.

Il s’assit sur le bord de la baignoire, pendant que je lui racontais mon aventure tout en sirotant mon vin préféré. Le faite de tout lui dire en détail, réveilla mes pulsions et mes seins se mirent à durcir. Il n’avait pas mis de savon à bulle afin de profiter de la vision de mon pubis de jeune fille. Pour mon plus grand bonheur, il plongea une main dans l’eau et vint me caresser intimement. Je continuais à lui raconter l’histoire avec une voix tremblante. Je lui dis que le faite de le savoir a téléphone m’avait encore plus excitée. J’avais les jambes écartées et mon mari me caressait divinement bien. Je sentis mes liqueurs se répandre dans l’eau chaude de mon bain. Il glissa deux doigts dans ma chatte et me masturba. Je jouis encore une fois se soir là.

Il m’aida à sortir de la baignoire, et pendant qu’il m’aidait à me sécher, j’en profitais pour coller mes fesses sur son bas ventre. Il bandait comme un taureau. Je décidais de le soulager. Je m’agenouillais devant lui, sortis son oiseau et me mis à le sucer sauvagement. Il ne tarda pas à éjaculer dans ma gorge. J’avalais tout ce qu’il pouvait m’offrir, jusqu’à la dernière goutte.

On mangea quelque chose de léger, vu que je n’avais pas une grande faim et on monta directement se coucher. Mon mari bandait à nouveau et on fit l’amour en levrette sur notre lit.

Ma vie sexuelle commençait à être comblée, vue le passage à vide que l’on venait de connaître.

La soumission

Deux semaine passèrent sans que Eric eut le moindre désir sur ma personne. Un consortium japonais désirait travailler avec nous, et je fis tout mon possible pour remporter le contrat. Je ne sais si se fut grâce à mon intelligence, ou bien à mes tenus sexy, mais on gagna le contrat.

Eric décida de nous inviter tous dans un hôtel particulier afin de fêter cela. En voyant ses yeux briller, lorsqu’il discutait avec le patron japonais, je devinais que j’allais être la cerise sur le gâteau. Il me demanda d’appeler Jeff, afin qu’il participe à la fête. Ce fut Eric qui lui donna l’adresse de l’hôtel. Je ne savait pas où il pouvait bien se trouver.

Une fois assise dans sa voiture, les jambes suffisamment hautes pour qu’ils ne perdent pas une miette de mes charmes, il sortit un foulard de sa poche et me banda les yeux. La voiture démarra, moi dans l’inconnu totale.

Une fois à destination, on m’aida à descendre et on me guida dans uns hall. J’entendis Eric parler en Anglais avec quelqu’un et une main plus puissante me pris par la main. On monta dans un ascenseur et on finit par entrer dans une pièce. Je me laissais faire, excitée par la suite des événements. Je n’aurais jamais été aussi consentante il y a trois mois de cela, mais depuis ma rencontre avec Eric, je me pliais à tous ses caprices sachant que j’allais tirer un maximum de plaisir.

L’homme aux mains puissantes commença à me dévêtir. Je sentais que nous n’étions pas seuls dans la pièce. Je sentais des yeux sur ma peau nue. Il ne me laissa que mes bas et mon porte-jarretelles. Il m’aida ensuite à grimper sur une sorte de grande table basse et me fit allonger sur le dos. Il plaça mes mains en arrières et les entrava dans des s a n g les. Il en fit de même avec mes chevilles. J’étais écartelée, offerte aux personnes présentes dans la pièce. Mon intimité n’avait plus de secret pour eux. Il y avait trois voix distinct dans la pièce, parlant le japonais. J’entendais la voix d’Eric dans une pièce à côté. Un bruit de tissus me fit comprendre que quelqu’un d’autre se déshabillait. Je sentis la table sous moi qui commençait à tourner. Bien que la température fut élevée, je tremblais, plus d’excitation que de froid. Je sentais mes liqueurs perler à la sortie de mon sexe. La pointe de mes seins dardait, lançant leur pointe vers le plafond.

J’entendis mon mari saluer Eric et la personne qui se trouvait avec eux. Ce devait être le patron de la société japonaise. Je ne compris pas se que voulait dire mon patron en parlant de « glace à la vanille » recouvert de « chocolat ». J’entendis frapper dans des mains et la table arrêta de bouger. La table trembla comme ci quelqu’un s’était assis dessus. Je fus prise d’appréhension et cherchais à me dégager des s a n g les. Je reconnus la main de la personne qui m’avait conduite, déshabillée et attachée. Cette main se posa sur ma poitrine et pinça mes mamelon. Je gémis aussitôt. Une bouche vorace s'attaqua ensuite à eux. Je gémissais de plus en plus. J’entendis les personnes dans la pièce qui râlaient un peu. Mon partenaire se déplaça sans abandonner ma poitrine. Il me lécha l’oreille droite ce qui me fit frissonner et lentement l’une des main glissa vers mon entre cuisse. Je devait sûrement me trouver face au trois hommes. Deux doigts écartèrent mes lèvres intimes humides, dévoilant ainsi mes charmes et mon excitation. Je sentis glisser contre moi visage quelque chose que je connaissais très bien. C’était un phallus en mi érection, mais déjà d’une taille impressionnante. Je voulais en savoir plus, le toucher pour l’apprécier un peu plus. Je lui demandais de libérer au moins l’une de mes mains afin que je puisse le caresser. Il ne m’écouta pas continuant à me taquiner la vulve, ce qui commença à me rapprocher de l’orgasme.

Il dut le ressentir car il arrêta sa t o r t u r e . Une plainte profonde sortit de ma gorge. Je revivais ma première aventure avec Eric et mon mari. Je sentais, pendant ce temps là, son pénis prendre plus de puissance et je me doutais que sa taille devait être impressionnante.

Il ne pouvait me laisser ainsi sur ma faim. Je me tordais sur la table espérant ma libérer afin de calmer le feu entre mes jambes. Je le suppliais de revenir, de me prendre. J’utilisais des mots de véritable nymphomane en chaleur, chose que j’étais devenue.

Pour mon plus grand soulagement, je sentis un corps musclé entre mes jambes écartelées. Il repris sa caresse mais cet fois avec le bout de son pénis. Ma liqueur devait lubrifier son sexe puissant. Il ne fallait pas qu’il ne tarde, j’étais on ne peut plus prête. Il le savait et il libéra mes chevilles.

Aussitôt, je les précipitais dans son dos, les croisant sur ses hanches. Il plaça ses main sous mes fesses et commença à faire pénétrer son énorme sexe en moi.

Pendant qu’il m’embrochait, je criais de douleurs et de désirs. Le sexe entrait lentement en moi déchirant mes chairs intimes. Ce ne pouvait être qu’un noir pour être aussi bien monté. Je compris alors les paroles d’Eric. Je travaillais des jambes afin de l’emmener le plus loin au fond de moi. J’étais à la limite de l’orgasme et je hurlais de plus en plus. Jamais dans mes fantasmes les plus fous, je n’avais imaginé être prise par un inconnu, les yeux bandées.

Il commença alors son travail de va et vient entre mes cuisses. J’essayais tant bien que mal, malgré mes poignées toujours entravés, à précipiter mon bassin à sa rencontre. Je n’étais plus que stupre et désir sexuelle. Je criais, je hurlais. J’eus deux v i o l ents orgasmes, mais continuais à en vouloir plus. Son sexe me tourmentais, mon clitoris, bandant, était soumis à rude épreuve à chaque fois que son scrotum le touchait.

Je sentis qu’il allait venir. Je le suppliais de m’inonder la chatte. Il ne m’écouta pas. Il sortit son engin et cracha son sperme sur mon corps, mon ventre, mes seins. Malgré cela j’eus quand même mon troisième orgasme de la soirée. J’entendis des applaudissements. Pendant que j’essayais de récupérer de mon étreinte de folie, je fus enfin libérée. Retirant le bandeau, je découvrais enfin mon amant. C’était un superbe noir, musclé avec un sexe énorme bien qu’au repos. Je découvris aussi les autres personne ainsi que mon mari dans la pièce à côté.

Mon amant s’empara de moi et me souleva de la table dans ses bras. Instinctivement, je l’embrassais sur la bouche pour le remercier. Il m’emmena dans la salle de bain afin que je fasse un brin de toilette. Je me lavais encore tremblante de mon étreinte.

Lorsque je ressortis, je constatais que mon mari était parti. J’étais encore nue et toutes les autres personnes étaient encore là discutant entre elle. Le noir était également nu. Je m’approchais de lui, m’agenouillais et lui prodiguais une fellation d’enfer. Je ne voulais pas que la soirée se termine comme cela, et je fis signe aux autres d’approcher. Je les masturbais, les léchais et les suçais un à un recueillant le résultat de mon travail dans ma bouche et sur mon corps. J’avais envi à nouveau du sexe noir en moi. Je ne suppliais pas longtemps pour qu’il me reprenne à nouveau. C’était divin et j’en rêverais longtemps. Eric ne pouvait être que satisfait de moi. Il me fit d’ailleurs l’amour une fois que tout le monde fut parti et après un brin de toilette, il me laissa rentrer à la maison me promettant de me donner l’adresse de l’athlète noir. Je fus soulagée de voir que mon mari dormait à poing fermé. Je n’aurais pas eu le courage de remettre ça. J’étais repus, comblée et tous mes membres, surtout mon vagin, me faisaient mal.

Le lendemain, mis à part la séance habituelle de l'huile bronzante, il ne se passa rien. Il m'annonça que l'on dînerait ce soir là chez une personne avec qui il avait travaillé dans le passé. Il me demanda de porter uniquement une minijupe et le bustier moulant en soie qu'il m'avait offert à notre arrivé sur l'île. Il y avait anguille sous roche, car il me demanda de ne rien porter dessous. Je trouvais cela bizarre vue qu'il adorait en règle générale ma lingerie. C'était encore une nouvelle aventure et cela ne me déplaisait pas car j'adorais ses surprises. J'en avais toujours tiré un grand plaisir. Il me dit que le chauffeur me conduirait sur les lieus, allant discuter d'abord avec la personne de leurs souvenirs. Il voulait pas me f o r c e r à participer à cela.

Je pris une bonne douche et mis les vêtements qu'il m'avait dit de mettre. Le bustier était comme une seconde peau, de tel sorte que personne ne pouvait ignorer mes charmes. Il se nouait sur le devant laissant mon nombril à l'air libre. De plus la soie était tellement agréable à porter que mes tétons s'érigeaient immanquablement.

A mon arrivée dans le hall de l'hôtel, Eric m'attendait et je vis dans ses yeux que je lui plaisais ainsi vêtu. C'était un hôtel de luxe et toutes les personnes présentes se retournaient sur mon passage. On entra dans l'ascenseur qui nous conduisit au dernier étage de l'hôtel. Il me flatta légèrement l’intérieur des cuisses. On arriva dans une immense suite qui occupait tout l'étage. Je me demandais combien pouvait coûter une si grande suite.

-Sam!" appela Eric une fois que la porte de l'ascenseur fut refermée.

Une femme, ayant le même âge que Eric, apparut. Elle était plus grande que moi, et avait un corps parfait sans un pet de graisse. Ses cheveux grisonnaient légèrement et son visage était très doux. Elle portait un caleçon noir, révélant le superbe galbe de ses jambes, ainsi que la rondeur de ses fesses et un chemisier bleu pâle orné de roses. Elle s'avança vers nous et Eric fit la présentation.

-Heureuse de vous rencontrez!" me dit elle en me détaillant de haut en bas. "Vous êtes charmante et délicieusement habillée."

On prit l'apéritif et on passa à table. Elle était très bonne hôtesse et je me sentais détendu. Je ne voyais pas où était le piège. Elle discutait constamment avec moi, laissant Eric de côté. Le repas fut excellent et notre hôtesse nous invita à retourner au salon afin de prendre le digestif.

Elle s'assit et alors que j'allais prendre place dans l'autre canapé elle m'interpella.

-Venez donc vous asseoir près de moi!" me dit elle en tapotant le canapé.

Je lui obéis tandis que Eric pris place dans un fauteuil. J'avais l'impression qu'il se comportait comme un observateur.

-Eric m'a dit que vous avez une chatte très sucrée, ma chérie!" dit elle alors qu'elle remplissait mon verre de vin.

Cette question me choqua un peu venant d'une femme aussi bien élevée. Alors que je regardais Eric avec des yeux exprimant mon sentiment envers lui, je sentis un doigt glisser à la naissance de mes seins. Ses doigts agiles défirent le nœud de mon bustier.

-Je ne pense pas qu'il en ai goûté suffisamment pour être bon juge, alors avec votre permission, je m'en assurerais moi même."

Sam me libéra de mon bustier et se penchant vers ma poitrine, elle se mit à me lécher et grignoter les seins. Elle le faisait délicieusement et je m'abandonnais dans un plaisir agréable.

Une main vint me caresser les cheveux tandis que l'autre descendait vers l'objet de son désir. Elle commença à remonter ma jupe, et je l'aidais en soulevant mes hanches. La jupe fut remontée jusque sur mon ventre laissant ainsi un accès libre sur ma chatte. Je m'écartais de moi même.

-Vous l'avez très bien formé." Dit elle à l'intention d'Eric.

Elle descendit du canapé et s'agenouilla entre mes cuisses, le visage près de ma fente humide. Elle me regarda.

-Restez donc ainsi et détendez vous, mon cœur!" me dit elle. "Appréciez et prenez des notes car j'attends la même chose en retour."

Avant que je ne dise un mot, elle se baissa et sa bouche attaqua mon intimité. Elle trouva rapidement mon clitoris et s'attaqua sans vergogne à lui. Jamais personne ne m'avait aussi bien sucé l'intimité. C'était une pure t o r t u r e . La pièce était rempli de bruits de langues et de mes gémissements. J'eus encore un élan de mon éducation et la prenant par la tête, j'essayais de la repousser. Elle se cramponna à mes fesses et Eric vint prendre mes poignets et les tira derrière ma tête. Je vis les yeux de Sam remercier Eric ne voulant pas quitter ma grotte brûlante. J'étais offerte et me liquéfiais dans sa bouche. Sa langue explorait tout l'intérieur de mon vagin et elle me masturbait de deux doigt.

Cette femme était un vrai démon. Elle saisit mes chevilles et les leva au dessus de ma tête m'ouvrant encore plus et permettant à sa langue d'aller encore plus loin en moi. Malgré les soubresauts de mon bassin, elle ne quittait pas sa prise. Je résistais pour ne pas jouir. Elle le sentit et donna de grand coup de langue sur mes lèvres et mon clitoris. Eric s'occupa alors de mes seins qui dardait avec arrogance vers le plafond. S'en fut de trop pour moi. J'eus alors un v i o l ent orgasme que je criais dans toute la pièce, mon corps saisit de spasme, crachant mes liqueurs à gros bouillon dans la bouche de Sam. Elle se régalait de ma cyprine et quand tout fut fini, elle me nettoya amoureusement. Elle me regarda, les yeux plein de sa victoire.

-Il avait raison. Vous êtes sucrées et délicieuse" Maintenant c'est à vous de prendre soin de moi."

Elle se leva, retira ses chaussures et fit glisser son caleçon le long de ses jambes. Elle était nue dessous. Elle avait un pubis soigneusement épilé prenant la forme de son maillot très échancré.

-J'adore être prise par une jeune bouche inexpérimentée." Dit elle à Eric.

Elle retira son chemisier dévoilant une belle poitrine, fléchissant un peu, vu son âge mais encore bien ferme.

Elle reprit sa place près de moi et elle prit mon visage, m'embrassa sur la bouche et le fit descendre sur ses seins.

-Vous allez aimer cela, je vous assure." Me chuchota t'elle.

Je m'appliquais à la lécher comme j'aimais l'être et vus ses gémissements je sus que je me débrouillais très bien. Elle se leva et me présenta sa toison blonde devant mon visage. Elle écarta ses lèvres dévoilant sa vulve. Jamais je n'avais vu un sexe de femme d'aussi près. Elle me prit mon visage et le déposa sur sa chatte odorante. L'odeur me chavira et je me mis à la lécher comme elle me l'avait montré. Je me sentais inexperte mais cela lui plaisait énormément. Je vis son clitoris et le touchais d'une langue hésitante.

-Bouffe moi, mon ange." Cria t'elle avant qu'un torrent de liqueur inonde ma bouche.

Son corps était plein de spasme et à chacun d'eux j'avais droit à un peu de cyprine. Cela me chavira et je la bouffais encore plus.

Je venais de faire pour la première fois l'amour avec une femme. Que de découverte en une semaine! La sodomie la veille et l'amour lesbien ce soir là.

Eric, en parfait gentlemen, nous laissa toutes les deux enlacées afin de reprendre nos esprits. J'embrassais cette femme qui m'avait donné autant de plaisir, plus que trois hommes réunis.

-Eric, mon ami, pouvez vous prendre congé et revenir chercher cette charmante personne demain dans la journée. Je sens que j'ai des choses à lui apprendre et que votre présence ne m'est plus indispensable."

Il se leva, lui fit le baise main et m'embrassa sur la bouche.

Une fois qu'il fut parti on resta ainsi dans les bras l'une de l'autre jouant avec nos corps et nous embrassant passionnément. Je pinçais ses tétons les faisant bander et elle adorait cela.

-J'aime défricher les terres vierges." Me dit elle avec un grand sourire.

J'étais conquise et prête à tout apprendre de cette femme. Je regarderais les femmes avec d'autres yeux maintenant. Les mains d'une femme sont beaucoup plus douces que celles d'un homme. Tout mon corps frémissait lorsqu'elle promenait ses mains sur mes seins, le creux de mon ventre et mes jambes.

Elle finit par me repousser doucement et quitta le canapé. Pourquoi me quittait elle, alors que j'étais si bien. Je remarquais que la table avait été complètement débarrassée. Je pus admirer son corps qui avait gardé sa beauté de jeune femme. Jamais avant, je n'aurait apprécié de la sorte un corps de femme. Elle alluma une cigarette et se retourna vers moi.

-Je vais te faire découvrir un plaisir insoupçonné. Je sais que tu a apprécié déjà l'entrée en matière. Tu verras que l'amour féminin peut parfois être supérieur à l'amour masculin."

Elle frappa dans ses mains et un serviteur noir apparut. Elle lui parla en créole. Je remarquai, que j'avais toujours ma jupe retroussée sur mon ventre. Je la retirais sous son regard.

-Je te conseils de te préparer pour la suite. Montre moi comment tu te masturbes!"

Cela faisait longtemps que je n'avais pratiqué la masturbation. Cela remontait à ma rencontre avec Jeff. Je me fis alors salope, comme je savais maintenant le faire. Je m'ouvris en grand devant elle, et commençais à me caresser et à me masturber.

-Pas mal!" me dit elle avec une lueur dans les yeux.

Le serviteur revint, vêtu uniquement d'un cache sexe. Il me rappela l'athlète noir qui m'avait si merveilleusement fait l'amour à l'hôtel. Il tenait quelque chose dans sa main que je reconnus comme être un godemiché. J'en avais vu qu'en photo et 'est la première fois que j'en voyais un en réalité.

Sam parla à nouveau au serviteur qui se mit en charge de fixer l'engin autour de sa taille. Je continuais à me masturber frénétiquement, la regardant sidérée.

-Interdit de jouir, ma chère!" me dit elle brusquement. "Il n'y a que moi qui puisse t'accorder se plaisir ce soir."

Je ralentis donc ma caresse lui obéissant comme je le faisais avec Eric. Une fois l'engin en place, elle écrasa sa cigarette et prit la main du serviteur. Cela faisait drôle de voir les lanières en latex autour de sa taille et entre ses cuisses et l'objet blanc qui pendait devant elle. Ils s'approchèrent de moi.

-Bien, Eric m'a dit que tu étais une experte en fellation! Alors au travail ma fille!"

Je m'assis dans le canapé, avançant mes fesses sur le bord et me mis en devoir de retirer le cache sexe du géant noir. Il était proportionné comme je le pensais. Je me mis alors à le caresser et à le masturber tout en léchant le godemiché.

-Tu dois bien le lubrifier."

Je l'avalais, le recrachais répandant ma salive dessus. Je le recrachais pour m'occuper du sexe d'ébène. L'homme sembla apprécier ma caresse. Son sexe gonfla un peu plus pour atteindre une taille impressionnante. Je repris celui en caoutchouc en bouche. J'alternais alors ma caresse buccale de l'un à l'autre.

-Parfait!" dit elle. "Enfonce toi dans le canapé et écarte toi afin que j'ai une belle vision de ta chatte.

Je m'exécutais. De deux doigts, elle me sonda et considéra que j'étais prête à l'accueillir. Elle s'installa alors entre mes cuisses et pointa la tête du godemiché à l'entrée de ma grotte. J'écartais mes lèvre de deux doigt et elle entra doucement en moi. Rien à voir avec celui d'un homme. C'était plus dure et mes chairs vaginales s'en aperçurent. Elles secrétait un maximum de nectar afin de lui favoriser le passages. Sam fut surprise de voir que la progression n'était pas ralentie.

-Humm, c'est bien la première fois qu'il entre du premier coup. Votre vagin travaille merveilleusement ma chérie."

Je sentis les boules en plastique se coller contre mes fesses. J'avais déjà jouis lors de la pénétration. Elle attendis que je reprenne de l'air avant de ressortir pour revenir de plus belle. Elle me baisa avec cette engin et j'aimais beaucoup. Elle parla en créole et je vis le serviteur se placer derrière elle. Elle arrêta la chevauché attendant quelque chose. Soudain, elle se mit à gémir et je compris que l'homme la sodomisait. Je vis la progression du sexe sur son visage. Je dus supporter leur poids sur mon corps. Ils commencèrent alors à bouger tous les deux dans un rythme qu'il avait déjà du pratiquer tous les deux. Je sentis ses liqueurs se mélanger au mienne et on partit pour une extraordinaire chevauchée. J'eus de nombreux orgasmes, ainsi que ma partenaire. L'homme était vigoureux et tenait la distance. Moi, le sexe qui me possédait, ne risquait pas de perdre de sa puissance. Lorsque que l'on atteint l'orgasme ultime, j'étais déjà ailleurs, tout mon corps concentré sur un point précis de mon corps : mon vagin. Je jouis comme jamais je n'ai jouis. Je m'enfonçais dans une douce torpeur, ivre de sexe et de liqueur.

Je sentis que l'on me transportait, et des draps frais me couvrir le corps. Je m'enfonçais dans un sommeil bienfaisant.

Le soleil était déjà bien haut dans le ciel à mon réveille. Mon amante était là, me regardant d'un regard amoureux. Je souris en la regardant. Je voulus me lever mais mon sexe me fit trop mal.

-Chut, ne bouge pas. Je sais que cela fait très mal le lendemain. Vu la façons dont tu t'es démené, je savais le résultat d'avance."

Elle se pencha vers moi, et je reçus le baisé le plus affectueux de la part d'une femme. Nos langues se mêlèrent délicieusement.

-Je sais comment calmer tes douleurs. Eric passera dans trois heures te chercher, alors détend toi."

Elle ouvrit un pot de crème qui se trouvait sur la table de nuit, repoussa les drap dévoilant mon corps nue et frais après une douche qu'elle avait du me faire prendre.

-Retourne toi! Je vais te masser."

Je me retournais difficilement. J'entendis un bruit de tissus, et vis son peignoir tomber à terre. Elle s'assit sur mes fesses et sa courte toison caressa mon postérieur. Elle commença alors son massage et c'est vrai que cela me détendit.

-Oh, mon amour, je suis triste que tu t'en ailles. Eric a beaucoup de chance de t'avoir, et surtout ton mari. Je voudrais tant te garder pour moi tout seule et goûter encore et encore à tes charmes."

Je fus surprise de ressentir la même chose. Mon sexe commença à perler sous la caresse de ses mains. Lorsqu'elle s'apprêta à me masser l'intérieur de mes cuisses, elle remarqua mon émoi.

-Oh, ma chérie, tu es toujours prêtes à te faire honorer."

Elle descendit de mon corps, souleva mes hanches de ses deux mains et j'accueillit avec joie sa bouche sur mes lèvres endoloris. Je gémis sous sa bouche experte. La pièce se remplit des bruits de sa langue et de mes gémissements. Elle fut gentil de ne pas s'occuper de mon clitoris. Je voulais jouir en douceur, lentement. Seul une femme pouvait comprendre cela. Elle me mangeait comme on mange un fruit mûre et juteux. Je me caressais la poitrine dont les tétons bandaient avec arrogance. Ce fut l'une des plus merveilleuse caresse buccale que l'on me prodigua. Je finis par jouir, récompensant mon amante avec mes liqueurs sucrées.

Elle me nettoya avec sa bouche et quand elle me rejoignit en haut du lit, je n'avais plus mal du tout. On s'embrassa alors avec fougue et elle m'offrit un peu de liqueur qu'elle avait gardé pour moi.

Je pris mon petit déjeuné au lit en sa compagnie. Eric annonça qu'il viendrais plutôt en fin d'après-midi et cela me plut de rester avec elle le plus tard possible. On dîna nue toujours dans le lit et elle me montra des photos d'elle, dans sa jeunesse. Je la caressais pendant qu'elle me commentait les photos. En voyant cette femme ravissante, blonde, je l'aimais de plus en plus. On arriva ensuite à sa collection plus intime. La femme de tout à l'heure, bien habillé et parfaite en société, je la retrouvais là, exempte de tout vêtements et totalement nue, en charmante compagnie. Elle me montra son initiatrice qui avait le même âge qu'elle a aujourd'hui. Elle ne fréquentait que de belles femmes, de belles pouliches. Certaine n'avait connu aucun homme, et quand je les regardais, cela devait être dure pour eux de se faire repousser par de si belles beautés. Elle s'interrompais de temps en temps afin d'échanger un baisé avec moi. Je la vis ensuite au lit avec d'autres femmes. Bien que cela soit du passé, j'étais un peu jalouse. J'aimais sentir son corps vibrer sous mes caresses. Je lui prodiguais à mon tour une caresse buccale, afin de lui prouver que j'étais une bonne élève. La séance photo prit fin une heures avant l'arrivée d'Eric.

Je lui posais des questions sur l'ordinateur qu'elle avait. Elle m'en parla volontiers me montrant une petite caméra, qu'elle utilisait de temps à autre afin de monter ses charmes sur le web. Cela m'intéressa. Elle me fit une petite démonstration trouvant une adresse qu'elle connaissait très bien. On voyait une fille étendue sur son lit, jouant avec des tas de gadgets. Je lui promis d'équiper celui de mon mari afin que l'on reste en relation. Elle me donna son adresse et me dit attendre avec impatience notre rencontre. Je remis mes vêtement de la veille.

Je remarquais son chagrin. Je vins la prendre dans mes bras et la consolais par de tendres baisées. Elle caressait ma poitrine déjà bien tendu. C'est ainsi que nous trouva Eric.

-Je vois que tout c'est très bien passé entre vous!" dit il.

Il m'embrassa à son tour sur la bouche sans que je ne quitte les bras de Sam. Se tenant par les hanches, on alla à la porte de l'ascenseur. On s'embrassa une dernière fois, un long baisé de départ. Elle glissa un doigt sur son caleçon et me le glissa dans la bouche. Je léchais son doigt reconnaissant sa douce liqueur. Je lui offris la mienne aussi.

-Au revoir mon amour." Me dit elle

-Je te promets de garder le contact." Lui répondis je et la porte se ferma sur la plus belle des femmes à mes yeux.

-On prend l'avion demain soir. Je te laisserais avec le goût de cette aventure jusqu'à ce que l'on soit à Paris." Me dit Eric en parfait gentlemen.

Je pensais à elle tout le long du voyage, surtout parce que j'avais reçu un beau cadeau de sa part. C'était une sorte d'œuf en or qui fallait se mettre dans le vagin. C'était très agréable à porter et on avait de temps en temps de petits orgasmes. Je pensais à elle jusqu'à ce que je retrouve Jeff. Je lui racontais tout, même l'épisode avec Sam en omettant de lui dire que j'étais tombée amoureuse d'elle. Il me dit regretter de ne pas m'avoir vu avec elle. Peut-être que cela ne se serait pas passé ainsi, si il avait été présent.

Je repris mes séances de fellation, et de cadeau érotique que pouvait m'offrit Eric, sans oublier Sam. On resta en contact, écrivant de longues lettres de déclarations amoureuses, comme de jeunes amoureux.

Comme Eric l'avait annoncé, on partit une semaine dans les Antilles. Ce n'était pas un voyage d'affaire comme il l'avait annoncé, mais plutôt un voyage fait pour me récompenser de mon travail et de mon obéissance. Bien qu'il n'y eu aucun rapport sexuelle entre nous, je goûtais au plaisir du soleil. Je dormais tard le matin et faisait du shopping en début d'après midi. A partir de quinze heures, j'enfilais le minuscule bikini qu'il m'avait demander de porter tout le long de notre séjour et m'installais dans un hamac au soleil. Il avait loué une résidence au bord de la plage de tel sorte que nous étions seuls. C'était des vacances de repos tant intellectuel que physique. On avait un employé qui s'occupait très bien de nous.

Mon amant, quand à lui, s'occupait à me passer de l'huile solaire sur mon corps, me provoquant à chaque fois des frissons. Pas une parcelle de ma peau n'était omise. Je me retournais afin qu'il délie la ficelle de mon soutien-gorge, et laissais courir ses doigt huileux sur ma peau. Ces légers attouchements, permettaient de conserver le désir en moi.

Le soir, après le dîné, on allait sur la plage et on se promenait un peu sous la lune flirtant comme deux jeunes mariés. Je me déshabillais ensuite et allais plonger nue dans la mer chaude. C'était très agréable de se sentir dans la nature toute nue.

Un jour, alors que je somnolais dans mon hamac, il vint à nouveau passer de l'huile solaire. J'aurais pu faire de l'intégrale mais il adorait voir des marque de maillot sur une peau bronzée. Je gémis à nouveau lorsqu'il commença à huiler mon corps. Cette fois là, il retira mon brésilien et apprécia la marque du maillot. Je m'écartais de moi même afin qu'il enduise mes cuisses et mon pubis. Il alla même sur mes lèvres les lissant doucement ce qui provoquait invariablement mon plaisir. L'huile se mélangea avec mes liqueurs. J'aimais lui montrer le résultat de ses caresses. Il savait qu'à f o r c e de me caresser ainsi, il me faisait approcher de l'orgasme.

Je sentis le hamac bouger alors qu'il grimpait avec moi. Il était nue. J'écartais mes cuisses afin de l'accueillir en moi. Après quatre jours d'abstinences mise à part les caresse afin d'entretenir mon plaisir, j'étais contente de faire l'amour. Je remarquais que l'employé nous regardait, et cela accentua mon plaisir. Il plongea dans mon sexe et on fit l'amour sauvagement. Heureusement que le hamac était de bonne qualité. Je me demandais si il existait des tests de résistance avec un couple faisant l'amour.

Je remarquais que pour la première fois, il semblait s'intéresser à mon anus. Il savait que j'aimais qu'on me le lèche, où qu'on y plonge deux doigts, mais là il semblait qu'il désirait un peu plus. Il s'aida de l'huile solaire afin de lubrifier les parois.

Je protestais sentant l'échéance arriver. Je lui dis que j'étais vierge de ce côté là. J'aurais du m'abstenir de dire cela car cela le poussa encore plus dans ses convictions. Il sortit alors son sexe gluant de ma chatte et le présenta à l'entrée de mon anus. J'essayais de m'en extraire, mais il était plus fort que moi. Je fus surprise de voir avec quel facilité il entra en moi. J'eus mal au début, cherchant de l'air tellement j'avais crié lors de son introduction, mais petit à petit je me mis à apprécier cette nouvelle sorte de plaisir. Je sentais que j'allais bientôt en demander un peu plus souvent. On jouit ensemble, lui m'inondant le cul à grosse giclée.

Il vint alors m'embrasser me remerciant de lui avoir offert le dernier rempart de ma virginité.

Mon mari m'avait souvent demandé de pratiquer la sodomie, et je lui avais toujours refusé de peur d'avoir mal. J'étais un peu honteuse, que ce ne soit pas lui qui m'ai déflorée.

Eric descendit et m'aida à descendre à mon tour. Le corps luisant de sueur on entra dans la maison, bras dessus, bras dessous. Je revis l'employé et lui adressais un clin d'œil complice. Le savoir présent, m'avait donné encore plus de plaisir. Il me laissa ensuite seule dans ma chambre où je m'allongeais sur le lit afin de récupérer un peu. Je somnolais, nue, les jambes écartées. Une douce caresse buccale sur mon intimité me réveilla. Le jeune employé s’occupait de moi avec douceur. Je fermais les yeux et gouttais à la douce caresse. Je jouis avant de me rendormir.

Le lendemain, mis à part la séance habituelle de l'huile bronzante, il ne se passa rien. Il m'annonça que l'on dînerait ce soir là chez une personne avec qui il avait travaillé dans le passé. Il me demanda de porter uniquement une minijupe et le bustier moulant en soie qu'il m'avait offert à notre arrivé sur l'île. Il y avait anguille sous roche, car il me demanda de ne rien porter dessous. Je trouvais cela bizarre vue qu'il adorait en règle générale ma lingerie. C'était encore une nouvelle aventure et cela ne me déplaisait pas car j'adorais ses surprises. J'en avais toujours tiré un grand plaisir. Il me dit que le chauffeur me conduirait sur les lieus, allant discuter d'abord avec la personne de leurs souvenirs. Il voulait pas me f o r c e r à participer à cela.

Je pris une bonne douche et mis les vêtements qu'il m'avait dit de mettre. Le bustier était comme une seconde peau, de tel sorte que personne ne pouvait ignorer mes charmes. Il se nouait sur le devant laissant mon nombril à l'air libre. De plus la soie était tellement agréable à porter que mes tétons s'érigeaient immanquablement.

A mon arrivée dans le hall de l'hôtel, Eric m'attendait et je vis dans ses yeux que je lui plaisais ainsi vêtu. C'était un hôtel de luxe et toutes les personnes présentes se retournaient sur mon passage. On entra dans l'ascenseur qui nous conduisit au dernier étage de l'hôtel. Il me flatta légèrement l’intérieur des cuisses. On arriva dans une immense suite qui occupait tout l'étage. Je me demandais combien pouvait coûter une si grande suite.

-Sam!" appela Eric une fois que la porte de l'ascenseur fut refermée.

Une femme, ayant le même âge que Eric, apparut. Elle était plus grande que moi, et avait un corps parfait sans un pet de graisse. Ses cheveux grisonnaient légèrement et son visage était très doux. Elle portait un caleçon noir, révélant le superbe galbe de ses jambes, ainsi que la rondeur de ses fesses et un chemisier bleu pâle orné de roses. Elle s'avança vers nous et Eric fit la présentation.

-Heureuse de vous rencontrez!" me dit elle en me détaillant de haut en bas. "Vous êtes charmante et délicieusement habillée."

On prit l'apéritif et on passa à table. Elle était très bonne hôtesse et je me sentais détendu. Je ne voyais pas où était le piège. Elle discutait constamment avec moi, laissant Eric de côté. Le repas fut excellent et notre hôtesse nous invita à retourner au salon afin de prendre le digestif.

Elle s'assit et alors que j'allais prendre place dans l'autre canapé elle m'interpella.

-Venez donc vous asseoir près de moi!" me dit elle en tapotant le canapé.

Je lui obéis tandis que Eric pris place dans un fauteuil. J'avais l'impression qu'il se comportait comme un observateur.

-Eric m'a dit que vous avez une chatte très sucrée, ma chérie!" dit elle alors qu'elle remplissait mon verre de vin.

Cette question me choqua un peu venant d'une femme aussi bien élevée. Alors que je regardais Eric avec des yeux exprimant mon sentiment envers lui, je sentis un doigt glisser à la naissance de mes seins. Ses doigts agiles défirent le nœud de mon bustier.

-Je ne pense pas qu'il en ai goûté suffisamment pour être bon juge, alors avec votre permission, je m'en assurerais moi même."

Sam me libéra de mon bustier et se penchant vers ma poitrine, elle se mit à me lécher et grignoter les seins. Elle le faisait délicieusement et je m'abandonnais dans un plaisir agréable.

Une main vint me caresser les cheveux tandis que l'autre descendait vers l'objet de son désir. Elle commença à remonter ma jupe, et je l'aidais en soulevant mes hanches. La jupe fut remontée jusque sur mon ventre laissant ainsi un accès libre sur ma chatte. Je m'écartais de moi même.

-Vous l'avez très bien formé." Dit elle à l'intention d'Eric.

Elle descendit du canapé et s'agenouilla entre mes cuisses, le visage près de ma fente humide. Elle me regarda.

-Restez donc ainsi et détendez vous, mon cœur!" me dit elle. "Appréciez et prenez des notes car j'attends la même chose en retour."

Avant que je ne dise un mot, elle se baissa et sa bouche attaqua mon intimité. Elle trouva rapidement mon clitoris et s'attaqua sans vergogne à lui. Jamais personne ne m'avait aussi bien sucé l'intimité. C'était une pure t o r t u r e . La pièce était rempli de bruits de langues et de mes gémissements. J'eus encore un élan de mon éducation et la prenant par la tête, j'essayais de la repousser. Elle se cramponna à mes fesses et Eric vint prendre mes poignets et les tira derrière ma tête. Je vis les yeux de Sam remercier Eric ne voulant pas quitter ma grotte brûlante. J'étais offerte et me liquéfiais dans sa bouche. Sa langue explorait tout l'intérieur de mon vagin et elle me masturbait de deux doigt.

Cette femme était un vrai démon. Elle saisit mes chevilles et les leva au dessus de ma tête m'ouvrant encore plus et permettant à sa langue d'aller encore plus loin en moi. Malgré les soubresauts de mon bassin, elle ne quittait pas sa prise. Je résistais pour ne pas jouir. Elle le sentit et donna de grand coup de langue sur mes lèvres et mon clitoris. Eric s'occupa alors de mes seins qui dardait avec arrogance vers le plafond. S'en fut de trop pour moi. J'eus alors un v i o l ent orgasme que je criais dans toute la pièce, mon corps saisit de spasme, crachant mes liqueurs à gros bouillon dans la bouche de Sam. Elle se régalait de ma cyprine et quand tout fut fini, elle me nettoya amoureusement. Elle me regarda, les yeux plein de sa victoire.

-Il avait raison. Vous êtes sucrées et délicieuse" Maintenant c'est à vous de prendre soin de moi."

Elle se leva, retira ses chaussures et fit glisser son caleçon le long de ses jambes. Elle était nue dessous. Elle avait un pubis soigneusement épilé prenant la forme de son maillot très échancré.

-J'adore être prise par une jeune bouche inexpérimentée." Dit elle à Eric.

Elle retira son chemisier dévoilant une belle poitrine, fléchissant un peu, vu son âge mais encore bien ferme.

Elle reprit sa place près de moi et elle prit mon visage, m'embrassa sur la bouche et le fit descendre sur ses seins.

-Vous allez aimer cela, je vous assure." Me chuchota t'elle.

Je m'appliquais à la lécher comme j'aimais l'être et vus ses gémissements je sus que je me débrouillais très bien. Elle se leva et me présenta sa toison blonde devant mon visage. Elle écarta ses lèvres dévoilant sa vulve. Jamais je n'avais vu un sexe de femme d'aussi près. Elle me prit mon visage et le déposa sur sa chatte odorante. L'odeur me chavira et je me mis à la lécher comme elle me l'avait montré. Je me sentais inexperte mais cela lui plaisait énormément. Je vis son clitoris et le touchais d'une langue hésitante.

-Bouffe moi, mon ange." Cria t'elle avant qu'un torrent de liqueur inonde ma bouche.

Son corps était plein de spasme et à chacun d'eux j'avais droit à un peu de cyprine. Cela me chavira et je la bouffais encore plus.

Je venais de faire pour la première fois l'amour avec une femme. Que de découverte en une semaine! La sodomie la veille et l'amour lesbien ce soir là.

Eric, en parfait gentlemen, nous laissa toutes les deux enlacées afin de reprendre nos esprits. J'embrassais cette femme qui m'avait donné autant de plaisir, plus que trois hommes réunis.

-Eric, mon ami, pouvez vous prendre congé et revenir chercher cette charmante personne demain dans la journée. Je sens que j'ai des choses à lui apprendre et que votre présence ne m'est plus indispensable."

Il se leva, lui fit le baise main et m'embrassa sur la bouche.

Une fois qu'il fut parti on resta ainsi dans les bras l'une de l'autre jouant avec nos corps et nous embrassant passionnément. Je pinçais ses tétons les faisant bander et elle adorait cela.

-J'aime défricher les terres vierges." Me dit elle avec un grand sourire.

J'étais conquise et prête à tout apprendre de cette femme. Je regarderais les femmes avec d'autres yeux maintenant. Les mains d'une femme sont beaucoup plus douces que celles d'un homme. Tout mon corps frémissait lorsqu'elle promenait ses mains sur mes seins, le creux de mon ventre et mes jambes.

Elle finit par me repousser doucement et quitta le canapé. Pourquoi me quittait elle, alors que j'étais si bien. Je remarquais que la table avait été complètement débarrassée. Je pus admirer son corps qui avait gardé sa beauté de jeune femme. Jamais avant, je n'aurait apprécié de la sorte un corps de femme. Elle alluma une cigarette et se retourna vers moi.

-Je vais te faire découvrir un plaisir insoupçonné. Je sais que tu a apprécié déjà l'entrée en matière. Tu verras que l'amour féminin peut parfois être supérieur à l'amour masculin."

Elle frappa dans ses mains et un serviteur noir apparut. Elle lui parla en créole. Je remarquai, que j'avais toujours ma jupe retroussée sur mon ventre. Je la retirais sous son regard.

-Je te conseils de te préparer pour la suite. Montre moi comment tu te masturbes!"

Cela faisait longtemps que je n'avais pratiqué la masturbation. Cela remontait à ma rencontre avec Jeff. Je me fis alors salope, comme je savais maintenant le faire. Je m'ouvris en grand devant elle, et commençais à me caresser et à me masturber.

-Pas mal!" me dit elle avec une lueur dans les yeux.

Le serviteur revint, vêtu uniquement d'un cache sexe. Il me rappela l'athlète noir qui m'avait si merveilleusement fait l'amour à l'hôtel. Il tenait quelque chose dans sa main que je reconnus comme être un godemiché. J'en avais vu qu'en photo et 'est la première fois que j'en voyais un en réalité.

Sam parla à nouveau au serviteur qui se mit en charge de fixer l'engin autour de sa taille. Je continuais à me masturber frénétiquement, la regardant sidérée.

-Interdit de jouir, ma chère!" me dit elle brusquement. "Il n'y a que moi qui puisse t'accorder se plaisir ce soir."

Je ralentis donc ma caresse lui obéissant comme je le faisais avec Eric. Une fois l'engin en place, elle écrasa sa cigarette et prit la main du serviteur. Cela faisait drôle de voir les lanières en latex autour de sa taille et entre ses cuisses et l'objet blanc qui pendait devant elle. Ils s'approchèrent de moi.

-Bien, Eric m'a dit que tu étais une experte en fellation! Alors au travail ma fille!"

Je m'assis dans le canapé, avançant mes fesses sur le bord et me mis en devoir de retirer le cache sexe du géant noir. Il était proportionné comme je le pensais. Je me mis alors à le caresser et à le masturber tout en léchant le godemiché.

-Tu dois bien le lubrifier."

Je l'avalais, le recrachais répandant ma salive dessus. Je le recrachais pour m'occuper du sexe d'ébène. L'homme sembla apprécier ma caresse. Son sexe gonfla un peu plus pour atteindre une taille impressionnante. Je repris celui en caoutchouc en bouche. J'alternais alors ma caresse buccale de l'un à l'autre.

-Parfait!" dit elle. "Enfonce toi dans le canapé et écarte toi afin que j'ai une belle vision de ta chatte.

Je m'exécutais. De deux doigts, elle me sonda et considéra que j'étais prête à l'accueillir. Elle s'installa alors entre mes cuisses et pointa la tête du godemiché à l'entrée de ma grotte. J'écartais mes lèvre de deux doigt et elle entra doucement en moi. Rien à voir avec celui d'un homme. C'était plus dure et mes chairs vaginales s'en aperçurent. Elles secrétait un maximum de nectar afin de lui favoriser le passages. Sam fut surprise de voir que la progression n'était pas ralentie.

-Humm, c'est bien la première fois qu'il entre du premier coup. Votre vagin travaille merveilleusement ma chérie."

Je sentis les boules en plastique se coller contre mes fesses. J'avais déjà jouis lors de la pénétration. Elle attendis que je reprenne de l'air avant de ressortir pour revenir de plus belle. Elle me baisa avec cette engin et j'aimais beaucoup. Elle parla en créole et je vis le serviteur se placer derrière elle. Elle arrêta la chevauché attendant quelque chose. Soudain, elle se mit à gémir et je compris que l'homme la sodomisait. Je vis la progression du sexe sur son visage. Je dus supporter leur poids sur mon corps. Ils commencèrent alors à bouger tous les deux dans un rythme qu'il avait déjà du pratiquer tous les deux. Je sentis ses liqueurs se mélanger au mienne et on partit pour une extraordinaire chevauchée. J'eus de nombreux orgasmes, ainsi que ma partenaire. L'homme était vigoureux et tenait la distance. Moi, le sexe qui me possédait, ne risquait pas de perdre de sa puissance. Lorsque que l'on atteint l'orgasme ultime, j'étais déjà ailleurs, tout mon corps concentré sur un point précis de mon corps : mon vagin. Je jouis comme jamais je n'ai jouis. Je m'enfonçais dans une douce torpeur, ivre de sexe et de liqueur.

Je sentis que l'on me transportait, et des draps frais me couvrir le corps. Je m'enfonçais dans un sommeil bienfaisant.

Le soleil était déjà bien haut dans le ciel à mon réveille. Mon amante était là, me regardant d'un regard amoureux. Je souris en la regardant. Je voulus me lever mais mon sexe me fit trop mal.

-Chut, ne bouge pas. Je sais que cela fait très mal le lendemain. Vu la façons dont tu t'es démené, je savais le résultat d'avance."

Elle se pencha vers moi, et je reçus le baisé le plus affectueux de la part d'une femme. Nos langues se mêlèrent délicieusement.

-Je sais comment calmer tes douleurs. Eric passera dans trois heures te chercher, alors détend toi."

Elle ouvrit un pot de crème qui se trouvait sur la table de nuit, repoussa les drap dévoilant mon corps nue et frais après une douche qu'elle avait du me faire prendre.

-Retourne toi! Je vais te masser."

Je me retournais difficilement. J'entendis un bruit de tissus, et vis son peignoir tomber à terre. Elle s'assit sur mes fesses et sa courte toison caressa mon postérieur. Elle commença alors son massage et c'est vrai que cela me détendit.

-Oh, mon amour, je suis triste que tu t'en ailles. Eric a beaucoup de chance de t'avoir, et surtout ton mari. Je voudrais tant te garder pour moi tout seule et goûter encore et encore à tes charmes."

Je fus surprise de ressentir la même chose. Mon sexe commença à perler sous la caresse de ses mains. Lorsqu'elle s'apprêta à me masser l'intérieur de mes cuisses, elle remarqua mon émoi.

-Oh, ma chérie, tu es toujours prêtes à te faire honorer."

Elle descendit de mon corps, souleva mes hanches de ses deux mains et j'accueillit avec joie sa bouche sur mes lèvres endoloris. Je gémis sous sa bouche experte. La pièce se remplit des bruits de sa langue et de mes gémissements. Elle fut gentil de ne pas s'occuper de mon clitoris. Je voulais jouir en douceur, lentement. Seul une femme pouvait comprendre cela. Elle me mangeait comme on mange un fruit mûre et juteux. Je me caressais la poitrine dont les tétons bandaient avec arrogance. Ce fut l'une des plus merveilleuse caresse buccale que l'on me prodigua. Je finis par jouir, récompensant mon amante avec mes liqueurs sucrées.

Elle me nettoya avec sa bouche et quand elle me rejoignit en haut du lit, je n'avais plus mal du tout. On s'embrassa alors avec fougue et elle m'offrit un peu de liqueur qu'elle avait gardé pour moi.

Je pris mon petit déjeuné au lit en sa compagnie. Eric annonça qu'il viendrais plutôt en fin d'après-midi et cela me plut de rester avec elle le plus tard possible. On dîna nue toujours dans le lit et elle me montra des photos d'elle, dans sa jeunesse. Je la caressais pendant qu'elle me commentait les photos. En voyant cette femme ravissante, blonde, je l'aimais de plus en plus. On arriva ensuite à sa collection plus intime. La femme de tout à l'heure, bien habillé et parfaite en société, je la retrouvais là, exempte de tout vêtements et totalement nue, en charmante compagnie. Elle me montra son initiatrice qui avait le même âge qu'elle a aujourd'hui. Elle ne fréquentait que de belles femmes, de belles pouliches. Certaine n'avait connu aucun homme, et quand je les regardais, cela devait être dure pour eux de se faire repousser par de si belles beautés. Elle s'interrompais de temps en temps afin d'échanger un baisé avec moi. Je la vis ensuite au lit avec d'autres femmes. Bien que cela soit du passé, j'étais un peu jalouse. J'aimais sentir son corps vibrer sous mes caresses. Je lui prodiguais à mon tour une caresse buccale, afin de lui prouver que j'étais une bonne élève. La séance photo prit fin une heures avant l'arrivée d'Eric.

Je lui posais des questions sur l'ordinateur qu'elle avait. Elle m'en parla volontiers me montrant une petite caméra, qu'elle utilisait de temps à autre afin de monter ses charmes sur le web. Cela m'intéressa. Elle me fit une petite démonstration trouvant une adresse qu'elle connaissait très bien. On voyait une fille étendue sur son lit, jouant avec des tas de gadgets. Je lui promis d'équiper celui de mon mari afin que l'on reste en relation. Elle me donna son adresse et me dit attendre avec impatience notre rencontre. Je remis mes vêtement de la veille.

Je remarquais son chagrin. Je vins la prendre dans mes bras et la consolais par de tendres baisées. Elle caressait ma poitrine déjà bien tendu. C'est ainsi que nous trouva Eric.

-Je vois que tout c'est très bien passé entre vous!" dit il.

Il m'embrassa à son tour sur la bouche sans que je ne quitte les bras de Sam. Se tenant par les hanches, on alla à la porte de l'ascenseur. On s'embrassa une dernière fois, un long baisé de départ. Elle glissa un doigt sur son caleçon et me le glissa dans la bouche. Je léchais son doigt reconnaissant sa douce liqueur. Je lui offris la mienne aussi.

-Au revoir mon amour." Me dit elle

-Je te promets de garder le contact." Lui répondis je et la porte se ferma sur la plus belle des femmes à mes yeux.

-On prend l'avion demain soir. Je te laisserais avec le goût de cette aventure jusqu'à ce que l'on soit à Paris." Me dit Eric en parfait gentlemen.

Je pensais à elle tout le long du voyage, surtout parce que j'avais reçu un beau cadeau de sa part. C'était une sorte d'œuf en or qui fallait se mettre dans le vagin. C'était très agréable à porter et on avait de temps en temps de petits orgasmes. Je pensais à elle jusqu'à ce que je retrouve Jeff. Je lui racontais tout, même l'épisode avec Sam en omettant de lui dire que j'étais tombée amoureuse d'elle. Il me dit regretter de ne pas m'avoir vu avec elle. Peut-être que cela ne se serait pas passé ainsi, si il avait été présent.

Je repris mes séances de fellation, et de cadeau érotique que pouvait m'offrit Eric, sans oublier Sam. On resta en contact, écrivant de longues lettres de déclarations amoureuses, comme de jeunes amoureux.

Romane

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