Ah ! ces mains féminines !…

Catégories : Hommes fessés
il y a 4 ans

A dresser aujourd’hui le bilan des fessées données ou reçues, je pense en avoir quand même administré plus que je n’ai pu en recevoir. Néanmoins, le compte des fessées reçues de mains féminines autres que celles de ma mère, qui ne me fessa jamais, reste impressionnant et ma mémoire me permet d’en établir une chronologie qui ne me laisse pas sans douce émotion.

La toute première date de mes 11 ans, alors que je venais d’entrer au collège en classe de sixième. Geneviève G… était à la fois la meilleure amie de ma famille et aussi mon professeur d’anglais. Aussi, ce fut tout naturellement qu’elle proposa à mes parents de me donner quelques cours particuliers d’anglais les mercredis après-midis. Un jour à la fin de la séance de travail, Geneviève m’interrogea sur un devoir à rendre en fin de semaine et s’aperçut que je n’avais rien préparé à quelques jours de l’échéance. Au moment de nous séparer, elle m’annonça :

« Vois-tu, Alain, je m’étais dit que la prochaine fois que tu viendrais en cours particulier en n’ayant rien préparé, je te donnerais la fessée… Eh bien ! je ne vais pas attendre la semaine prochaine, car cette fessée tu vas la recevoir de suite ! »

Sans me laisser le temps de digérer cette annonce, Geneviève tout en restant assise sur sa chaise, m’attira vers elle, me renversa à plat ventre en travers de ses genoux, puis, tout en me maintenant d’une main par la taille, de l’autre elle me déculotta, baissant mon short et mon slip, jusqu’à mes genoux, avant qu’ils ne glissent et tombent sur mes chevilles. Je me retrouvais plaqué contre ses cuisses, mes fesses nues tressautant aussitôt sous un déluge de claques m’arrachant des « aie ! », des « ouille ! » et des battements de jambes en tout sens !!!

Par chance, Geneviève n’était pas trop sévère, du moins à cette époque, et la fessée ne dura pas trop longtemps. Quand elle cessa, elle m’envoya au coin où je dus rester, face au mur, les fesses à l’air… dès qu’elle fut sortie de la pièce, je me risquais à jeter un œil par-dessus mon épaule sur mes fesses pour constater qu’elles avaient pris la belle couleur rouge des tomates bien mûres ! Geneviève avait donc choisi de me motiver dans mes études en me fessant ; j’étais loin de penser alors qu’elle renouvellerait l’expérience quand j’aurais quitté le collège pour le lycée quelques années plus tard…

Je fais une place particulière à la fessée que la mère d’une copine nous a donnée, l’un devant l’autre, à sa fille puis à moi, lorsque nous avions 14 ans.

A l’âge de 15 ans, dernière année de collège, mû par un désir irrésistible d’adolescent, j’avais osé regarder sous les jupes de notre voisine de palier, l’aguichante Josette, toujours légère et court vêtue et qui ne portait pas encore de collants, mais des bas. Quand elle s’en aperçut, elle décida de m’en faire passer l’envie. Elle m’attendit en haut des escaliers, me fit entrer chez elle où je me retrouvais rapidement ventre nu plaqué contre le nylon de ses bas, jambes suspendues dans le vide et payais chèrement ma curiosité d’une longue et magistrale fessée de sa main, fessée claquante, cuisante, émouvante…

Par la suite, je fis tout pour écarter la tentation de regarder sous la jupe de Josette quand je la rencontrais dans les escaliers et surtout pour lui cacher les rougeurs de mon visage chaque fois que je croisais son regard chargé d’ironie, ravie d’avoir pu rougir mes fesses nues.

A 16 ans, avant la rentrée au lycée et durant les grandes vacances d’été, ma tante, professeur elle aussi, avait entrepris de me faire faire des révisions scolaires. Comme je n’y mettais aucune bonne volonté, excédée de jour en jour par ma fainéantise, elle y mit brusquement fin en m’annonçant :

« Je vais t’apprendre qu’il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée ! »

Ce qu’elle fit immédiatement après m’avoir généreusement déculotté, plaqué sur ses cuisses et administré une magistrale fessée de sa main, fessée dont les rougeurs trop visibles m’empêchèrent de me mettre en maillot de bain pour aller à la plage et me baigner durant la journée.

En classe de première, vers l’âge de 17 ans, devant mes résultats moyens en anglais, ma mère décida, non plus de me faire suivre des leçons particulières chez Geneviève sa meilleure amie, mais de m’envoyer passer mes vacances de printemps chez elle. Geneviève G… accepta de me prendre en pension pour me faire réviser. Je dois dire que j’appréhendais de revoir cette demoiselle célibataire de 38 ans, même si le souvenir de sa fessée « d’encouragement » datait de mon enfance. Mes craintes étaient justifiées.

La prise en main débuta dès le lendemain de mon arrivée. Elle me prévint sans ambages qu’elle n’avait pas varié de méthode avec ses élèves pour leur assurer les meilleurs résultats. Elle l’appliquerait de même pour moi. Le principe était simple. En fin de journée, ma préceptrice examinerait le travail de révision fourni et jugerait aussi de mon assiduité. Après quoi, elle estimerait si j’étais digne d’être félicité et récompensé pour mon mérite ou tout au contraire, sévèrement sanctionné pour mes carences. Et dans ce cas, ce serait comme autrefois quand j’avais onze ans et ceci malgré mes 17 ans, elle me fesserait après m’avoir déculotté et allongé en travers de ses cuisses. Elle ne semblait pas du tout plaisanter et l’éventualité de cette menace me plongea dans un grand accès de timidité.

Malgré tous mes efforts, en fin de cette première journée, avant de dîner, je reçus une première fessée avec les réticences que peut avoir un garçon de 17 ans. Face à mon refus de me préparer, Geneviève prit elle-même les choses en main. Assise dans la cuisine, elle m’attira à elle et tout en me tenant par un bras, après m’avoir déculotté, jean et slip baissés, elle me renversa sur ses cuisses et me fessa sévèrement à grandes claques cuisantes, si bien que m’asseoir pour le dîner me fut assez pénible, mes fesses continuant à chauffer.

Le lendemain matin, descendu pour le petit déjeuner, Geneviève m’annonça que pour gagner du temps et de l’efficacité, elle allait me fesser de suite. Sachant d’expérience qu’il était inutile de lui résister, je me laissais à nouveau courber et renverser en travers de ses cuisses. Une fois que je fus en place, solidement maintenu par la taille de son bras, elle n’eut qu’à baisser tout simplement mon pantalon de pyjama sous lequel j’étais déjà fesses nues. Mon mardi débuta avec une fessée aussi cuisante que celle reçue la veille au soir et en raviva la douleur.

Le troisième jour, ravie de l’amélioration de mes résultats grâce à sa méthode particulière d’éducation, Geneviève décida quand même de me fesser en soirée pour que je ne me relâche pas dans mes efforts. Mais cette fois, je lui démontrais ma bonne volonté, mais ce fut rougissant jusqu’aux oreilles que je me déculottais seul, baissant jean et slip à mi-cuisses, avant de me pencher et de m’allonger en travers de ses cuisses, au milieu du salon. J’en fus récompensé car cette fois, cette fessée, certes tout aussi claquante et cuisante que les premières, fut mais beaucoup moins longue. Geneviève m’avait « dompté » !

Le souvenir de ces fessées laissa son empreinte et plus tard, ce fut ma femme Sylvie qui me fessa alors que nous étions jeunes mariés car je lui avais menti. Sylvie me déclara qu’elle n’aimait ni les menteurs, ni les gens de mauvaise foi et qu’en conséquence, c’était à mon tour d’être puni… et ma punition allait être une fessée ! J’eus beau fanfaronner, lui affirmer que la fessée était réservée exclusivement aux « vilaines grandes filles » comme elle, Sylvie répondit que son côté « suffragette » l’incitait à penser le contraire et qu’en vertu de l’égalité des sexes, il n’y avait pas de raison pour que les « vilaines grandes filles » ne puissent pas aussi fesser les « vilains grands garçons ». Mes dernières fessées remontaient à une bonne dizaine d’années, lorsque j’étais adolescent et j’étais loin de m’imaginer me retrouver un jour dans la même position, affalé et immobilisé sur les genoux de ma femme ! Or c’était précisément ce que Sylvie me faisait comprendre maintenant sans le moindre doute possible. Je ne pouvais que lui obéir tel l’adolescent que j’avais été autrefois quand je devais être fessé.

Je la laissais défaire ma ceinture, l’agrafe de mon pantalon, abaisser la fermeture de ma braguette et m’allonger en travers de ses cuisses. Par fierté masculine, je m’efforçais de résister à la douleur naissante, retenant mon envie de crier et de la supplier. Jamais je n’aurais pu imaginer que mon épouse puisse être aussi forte et sévère.

Croyez-moi une fois encore : en 30 ans de mariage, plus jamais je ne lui ai menti.

Ce ne sera que 20 ans plus tard, alors que j’avais 45 ans, que je fus de nouveau fessé par une collègue de travail, Sandrine M… qui fantasmait sur la fessée. Après avoir gagné mutuellement confiance l’un envers l’autre, j’acceptais de la fesser. Sandrine ne fut pas pleinement satisfaite de sa fessée, alors qu’elle avait espéré mieux en adoptant une tenue vestimentaire appropriée pour me faciliter la chose, une jupe ample, des bas nylon, une mini-culotte. Elle me proposa alors de me fesser afin que je comprenne et sente ce qu’elle attentait de moi. Amusé, j’acceptais et Sandrine me fessa comme je le fus adolescent, fermement déculotté puis renversé sur ses cuisses gainées de bas nylon. Elle me fessa longuement et sévèrement sans tenir compte ni de mes cris ni de mes ruades. Quand elle me fit me relever, je la vis toute excitée et devinant ce qu’elle désirait, je posais mes fesses brûlantes sur le canapé, et à mon tour, la fessais de la même manière !

A quand ma prochaine fessée de la main d’une maîtresse-femme ?

Alain C

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