Les voisins du motel étaient des attacheurs

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il y a 4 ans

Les voisins du motel étaient des attacheurs

Le motel que mon copain avait déniché était situé à l'orée de la foret ardennaise. Constitué de jolis chalets de bois répartis entre les arbres et bosquets, un climat reposant émanait de l'ensemble. Les chalets peuvent accueillir de une à six personnes selon le modèle, mais certains étant doubles se voient coupés en deux à la demande.

Le chalet voisin, en vérité attenant au nôtre, était occupé par deux garçons. Il était évident qu'ils s'agissait d'adeptes assidus du bodybuilding à en juger pas la dimension impressionnante de leurs biceps. Leur torse aussi était manifestement très musclé et volumineux. De plus tous deux portaient des vêtements très moulants. Leurs tee-shirt leur serraient les bras mettant en évidence leur musculature et ils portaient tous deux un pantalon de cuir serrant. Les deux me paraissaient vraiment très sexy. Ils pouvaient avoir vingt-cinq ans environ. Sans être très grands, leur impressionnante musculature m'attirait irrésistiblement le regard.

J'ai toujours craqué sur les mecs très musclés. Je m'imaginais bien plaquée contre un mur par le blond, bâillonnée d'une main et pelotée sans ménagements… Mais le brun était fort attirant aussi... Mais curieusement, il ne faut pas me demander pourquoi, je me serais bien vue v i o l ée par le brun !

Mon copain est un costaud et fait bien dix centimètres de plus que ces garçons, mais musclés comme ils le sont, il fait un peu mollasson en comparaison. Bon, en même temps il faut bien avouer qu'ils n'étaient pas vraiment souriants. Mon copain est allé discuter avec eux et ils s'exprimaient en français avec un fort accent hollandais.

Une porte de séparation entre les deux parties du chalet était fermée à clé, mais ils entendaient régulièrement le bruit de mes talons sur le plancher. Il faisait chaud et je circulais le plus souvent en maillot de bain, chaussée de petites sandales à s a n g les munies de talons aiguilles particulièrement hauts, avec un joli foulard de soie jaune et bleu noué au cou. C'est vrai que ce foulard ne sert rigoureusement à rien mais je l'adore. Mais il faut avouer que ce modèle de maillot fait d'une pièce ne couvre vraiment pas grand chose. Il est fait d'un tissu métallisé et semble n'être fait que de s a n g les nouées s'élargissant vaguement sur les seins et le sexe.

Dans une de mes multiples tentatives pour attirer leur attention, j'avais été demander du sucre aux voisins dans cette tenue mais, vexée j'avais constaté qu'ils ne m'avaient pas vraiment regardée. Par contre ils m'avaient fait un commentaire sur le bruit de mes talons sur le plancher !

J'avais également déambulé dans le voisinage vêtue d'une mini robe très sexy de couleur sombre, ultra courte et faite d'un tissu satiné aussi moulant qu'élastique. Fixée par de fines bretelles, cette robe sans manche est munie d'un généreux décolleté carré mettant en évidence de manière provocante ma généreuse poitrine. Avec mes vertigineux talons aiguilles et mes bas satinés, j'avais fait plusieurs allées et venues à la voiture... mais là encore ces garçons ne m'avaient même pas adressé un petit regard. Pourtant je suis danseuse et modèle photo et il est bien rare qu'un homme ne se retourne pas à mon passage... cette indifférence était plutôt vexante.

Il est rapidement apparu comme une évidence qu'il s'agissait en fait d'un couple homosexuel qui faisait un petit séjour en amoureux.

En milieu de matinée, c'est vêtue de mon ultra courte minijupe de daim et d'un tee-shirt moulant, juchée sur mes impressionnants talons aiguilles et cheveux au vent que j'ai été chercher le reste de nos bagages et nos jouets dans le coffre de la voiture.

Cette jupe boutonnée sur le devant et munie d'une jolie ceinture de cuir marron est particulièrement sexy. C'est également la plus courte de ma garde-robe, elle ne fait que 27 centimètres de haut en bas. Il n'est que très difficile de s'asseoir avec. Quand je le fais, elle affleure à peine la chaise ! Mon tee-shirt moulant au large décolleté met particulièrement ma poitrine en évidence. Le décolleté particulièrement profond couvre à peine les pointes de mes seins.

Mais durant le transport de la boîte contenant notre matériel de bondage, j'ai trébuché sur le sentier et ai lâché le boîte qui s'est ouverte en tombant. Rapidement, je me suis empressée de ramasser les cordes et le bâillon qui s'étaient échappés. Un regard alentour me rassura. Personne ne m'avait vue. Cependant il m'avait semblé apercevoir un mouvement fugace derrière le rideau des voisins mais ce n'était qu'une illusion. Et à cette distance il n'aurait pas été possible de voir de quoi il s'agissait, me dis-je en revenant au chalet.

En début d'après-midi, je m'étais changée et étais descendue seule au village. Mon copain voulait passer des coups de fil et avait donc préféré rester au chalet pendant ce temps.

Un peu étonnée de trouver le chalet silencieux à mon retour du village, je suis allée à la chambre. Le seul bruit était le cliquetis rythmé des talons de mes bottes blanches sur le plancher de bois. Intriguée, j'interrogeai.

-Biquet ? Tu es là ?

Aucune réponse.

Passant devant le miroir, je regardai un instant mon reflet, cheveux libres, vêtue de mon mini short sexy ultra moulant et de mon top profondément décolleté. Quand je suis entrée dans la chambre, les tentures étaient tirées plongeant la pièce dans une semi obscurité. J'ai souri en pensant que mon copain avait probablement été faire un tour et avait fermé les tentures afin d'éviter une surchauffe de la chambre. Bon je vais ranger un peu en l'attendant. Je me demande si les Hollandais sont là... j'irais bien leur dire bonjour... rien que pour les taquiner.

Il faisait chaud et de légers craquements provenaient sporadiquement du lit en bois. Je souris en pensant que nous avions de la chance de séjourner dans un cadre aussi rustique que celui-là. Je traversai la pièce et jetai machinalement un coup d’œil par la fenêtre. L'un des hollandais se trouvait dehors et regardait le chalet. Un craquement plus intense me fit sursauter et je me dis que j'étais trop nerveuse. J'allai ouvrir la garde-robe, jetant mon sac au passage sur le lit, histoire de choisir la tenue que je porterais ce soir.

Mon attention fut alors attirée par un léger bruit, comme une sorte de frottement, paraissant provenir du lit. Curieuse je m'approchai en souriant, songeant que les hollandais étaient peut-être dans leur chambre juste voisine de la nôtre. Mes cheveux se hérissèrent soudain à la vue de mon homme étendu sur le lit. Nu comme un ver, il me regardait. On l'avait ligoté comme un saucisson avec des cordes incroyablement serrées qui lui entraient dans la chair et il était bâillonné tellement rigoureusement que ses gémissements étaient parfaitement inaudibles malgré tous ses efforts !

Roulé sur le flanc, le sexe en érection, il tentait vainement de se tortiller sur le lit défait mais on l'avait mis dans un hogtie extraordinairement tendu qui le maintenait très strictement en place. Il soufflait de façon saccadée en tirant sur ses liens provoquant de légers craquements cadencés du bois. Malgré le côté alarmant de la situation, je ne pus m'empêcher de penser que mon homme faisait un fort joli petit paquet, ligoté comme cela sur le lit.

-Oh mon biquet ! Mais qui t'a arrangé comme cela ? Fis-je, mi alarmée, mi-amusée.

-… … …

Il ne parvenait vraiment pas à émettre le moindre son ! Et vu son expression il était clair qu'on l'avait ligoté de f o r c e . Et manifestement on n'y avait vraiment pas été de main m o r t e ! Enfoncé dans le moelleux matelas, le garçon me lançait des regards hébétés, mettant toute son énergie à se trémousser silencieusement.

-Hi, hi... C'est ça le sexe fort ? Je me demande si je dois te libérer ou plutôt te faire une pipe… tu me tentes, exposé comme cela.

-… !!!

-Hi, hi, hi... Tu es terriblement indécent. Tu sais que tu bandes vraiment comme un âne, mon biquet ?

Je m'avançai pour lui ôter son bâillon, mais de puissantes mains m'agrippèrent brusquement et je fus quasiment soulevée du sol tandis qu'un énorme bâillon m'était vigoureusement enfoncé dans la bouche. C'étaient les deux garçons du chalet voisin. L'un me tenait fermement et l'autre achevait de serrer soigneusement mon bâillon et de le s a n g ler strictement.

-Après le mâle, voici la femelle ! Hop !

Ils m'ôtèrent promptement mon petit top exposant mes seins nus, puis mon mini short suivit et il continuèrent mon déshabillage jusqu'à ce que je me trouve complètement nue devant eux. Maintenue comme dans un étau par les bras puissants qui m'enserraient, je me tortillais en ruant sauvagement, poussant de petits gloussements étouffés.

-Parfait, murmura l'un d'eux. Tiens-la bien, elle est une vraie anguille !

-Amène vite les cordes !

Ils commencèrent alors à me ligoter avec la même rigueur que mon copain. Chaque corde était étroitement serrée et diminuait d'autant ma capacité de mouvement. Le garçon me tenait de moins en moins fermement pendant que son ami me ligotait soigneusement. Je me sentais comme une poupée de chiffon entre les mains puissantes qui me manipulaient. Je fus bientôt proprement ficelée, debout complètement nue entre les deux costauds.

Tous les liens étaient incroyablement serrés et m'entraient dans la chair. Le gredin en avait même profité pour serrer odieusement des cordes au-dessus et au-dessous de ma poitrine, et il avait également croisé le lien étroitement serré entre mes seins, de manière à les mettre parfaitement en évidence, les faisant irrésistiblement pointer.

Il avait dit en riant que pour ligoter une femelle aux gros seins comme moi, c'était bien comme cela. Il m'empoignèrent ensuite toute ficelée et me placèrent à genoux sur le lit. Je sentis une traction ferme sur mes chevilles et ils m'attachèrent résolument dans le plus extrême des hogtie. Mes talons étaient carrément pressés contre les fesses. L'un d'eux me maintint en équilibre instable ainsi ligotée, droite comme un I, à genoux sur le lit.

Je soufflais frénétiquement dans mon bâillon sans pouvoir produire le moindre son tandis que les deux complices se rinçaient placidement l'œil. Mon homme, toujours aussi impitoyablement bâillonné continuait vainement à se tortiller silencieusement sur le lit, juste à côté de moi.

-Ah oui, elle est bien roulée ta copine !

-Écoute ce qu'elle chante quand on lui fait des câlins…

Jugeant trop légers mes grognements furieux lorsqu'il me caressa les seins, il passa tout simplement le doigt sur mon sexe me faisant monter soudainement d'une octave dans les miaulements paniqués ! Riant, il me lâcha subitement et je me sentis basculer en avant, totalement impuissante. Le rigoureux bâillon qui m'emplissait impitoyablement la bouche étouffa complètement mon glapissement affolé. Totalement rigide, je vis le lit approcher pendant ma chute silencieuse et je m'effondrai comme une masse. Je m'enfonçai profondément dans le matelas et rebondis mollement.

Je vis le blond se pencher calmement et caresser le sexe de mon copain impuissant jusqu'à ce que son érection le rende aussi dur que du bois ! Mon copain était attaché tellement rigoureusement qu'il ne parvenait réellement pas à bouger d'un millimètre malgré ses efforts. Il soufflait frénétiquement en secouant la tête mais le blond continuait imperturbablement de l'exciter.

-Qu'est ce qu'il bande bien ton mec ! Il est vraiment tout dur !

-Et bien fais-lui une pipe ! Tu en meurs d'envie...

-C'est vrai qu'à voir un engin pareil...

Le blond se pencha sur mon copain. Étant entre lui et moi je ne voyais pas ce qui se passait mais j'entendais les soufflements de mon copain changer de tonalité et de rythme !

Au bout d'un temps, le blond se redressa.

-Wow ! Super !

-Bon, occupons-nous d'elle maintenant.

Une vigoureuse paire de mains m'empoigna et je fus basculée sur le flanc. Ils poussèrent près de mon copain contre lequel je fus fermement pressée. L'un des comparses guidait le sexe tout raide de mon homme pendant le rapprochement. Mes seins s'écrasèrent contre sa poitrine et je sentis le sexe tendu du garçon qui n'y pouvait rien se frayer un passage entre mes cuisses et presser fermement contre mon entrejambes.

Ils nous attachèrent alors solidement l'un à l'autre avec des liens rigoureusement tendus fixés à la taille, sous les seins, aux épaules et au-dessus des genoux.

-Allons les amoureux, vous pouvez vous en donner à cœur joie. Alors ? C'est bien de sentir un sexe tout dur, serré entre tes cuisses… Et toi, beau mec, avec une nana à poil roulée comme celle-là et sa jolie poitrine pressée contre toi, tu voudrais la sauter, pas vrai ?

-Allons, amusez-vous un peu…mais surtout ne faites pas trop de bruit.

Et ils sortirent, nous abandonnant dans l'obscurité, rigidement attachés l'un à l'autre, tentant vainement de nous tortiller en soufflant frénétiquement. Je secouais la tête, c'est à peu près tout ce que je pouvais faire. Mais mes frétillements faisaient manifestement de l'effet à mon copain et je sentais son sexe durcir et gonfler entre mes cuisses. La pression sur le mien se renf o r ç a i t . De mon côté, le frottement de plus en plus intense de ce sexe durci me fit rapidement connaître un orgasme extrêmement v i o l ent.

Mon copain soufflait sauvagement en tirant sur ses liens mais rien ne bougeait et aucun nœud ne faiblissait.

Les deux costauds entrèrent dans la chambre au moment où je connaissais un second orgasme encore plus v i o l ent que le premier, agitée de spasmes convulsifs accompagnés d'irrépressibles hennissements étouffés.

-Ben voilà, il est en train de se la faire… et elle aime ça !

-Au moins comme cela, elle a de l'occupation. Petite aguicheuse !

-Laissons-les. Là, on dérange...

Bouya2

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