Carcan et fouet

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il y a 3 ans
L'arrivé d'un carcan BDSM version Moyen Age ouvre des perspectives intéressantes

Maître M a fait l’acquisition d’un nouvel accessoire : un imposant carcan digne des séances de questions du Moyen Age. J’y prendrai place, soumise, pour être exposée et sodomisée. Le salon va prendre des allures de club BDSM pendant quelques jours…

Les vacances d’hivers commencent pour les e n f a n t s. Maître M les emmène chez leurs grands-parents ce dimanche en début d’après-midi. Du temps pour nous. Du temps pour du vice. Avant de partir la connexion doit s’établir. Maître M a prévu de préparer un bain pour Oclide.

Un beau présent pour sa soumise. Tous les détails sont réunis, la musique d’ambiance, un coussin, un livre, des bougies, une cigarette et même une coupe de champagne. Heureuse, reconnaissante et détendue, je profite de ce magnifique cadeau en me glissant lentement dans l’eau mousseuse. Moment de calme, je ferme les yeux et me laisse envahir par l’environnement. Du bien être à l’état pur ! Immobile dans l’eau savonneuse, je ferme les yeux, inspire le parfum onctueux et fruité des bougies, laisse mon esprit partir sur la douce mélodie de la musique entrecoupée de chants d’oiseaux.

Un demi-sourire s’esquisse sur mon visage, je pense à lui, mon amour, pendant quelques instants. Je prends mon livre sur le sujet….du clitoris bien évidemment. A son retour, je l’entends déplacer quelques meubles pour créer l’espace de jeu adéquat. Nous allons pouvoir en profiter longtemps, pendant plusieurs jours, l’atmosphère en sera que plus réelle. Tous les accessoires seront exposés et à disposition plugs, godes, pinces, préservatifs, vêtements érotiques….comme un véritable club BDSM, notre salon est transformé pour plusieurs jours. Notre bulle.

Il pénètre dans la salle de bain et m’interroge en souriant sur mon état d’esprit : euphorique et en bonne condition pour vivre ses sévices. J’éprouve de la gratitude pour cette attention. Il me dévore déjà des yeux et commence à sortir son sexe. Lentement, il introduit sa verge dans ma bouche. Je l’avale goulûment pour le remercier de ce cadeau. Après m’avoir embrassé à pleine bouche, il redescend afin de terminer sa mise en scène. Je mets fin à cet instant de décontraction et décide de me sécher. Puis, je descends lentement les escaliers, vêtue selon la consigne reçue, d’une de ses chemises et d’une jupe ample. Le maître m’attend. J’observe les rideaux tirés, les matelas posés au sol. Il met en route le poêle et dispose une couverture moelleuse devant le foyer rougissant.

Il installe le corset v i o l et autour de ma taille en tirant fermement sur les lacets et introduit le plug dans mon anus sans dire un mot. L’ambiance est magique. A cet instant, je remarque, étonnée, la présence de son nouveau jouet. Il s’est offert un véritable carcan en fer. Ce carcan enfermera ma tête et mes mains qui seront immobilisées au même niveau. Actuellement, il pend, imposant, accroché à l’aide de lourdes chaînes au crochet du salon où est suspendu habituellement notre hamac. L’effet est saisissant et des frissons me parcourent le corps. A quel moment, serais-je prisonnière de cet amas de ferraille ?

Ses mains, m’attirant vers le matelas, me font sortir de ma rêverie. Il m’indique son souhait de me masser le corps. Je m’allonge donc devant les flammes et profite de ses longs mouvements enveloppant sur ma peau. Ses mains recouvertes d’huile parfumée se promènent sur toute la longueur de mes jambes. Ils écartent mes cuisses de temps en temps avec quelques commentaires salaces mais entretient cette volupté. Il prend son temps, continue de m‘embrasser sur l’ensemble du corps en s’attardant sur ma bouche. Je ferme les yeux, en entendant les crépitements du feu, totalement sous l’emprise de ses caresses.

Peu à peu, je perçois le rythme qui évolue, sa queue est tendue, agitée de soubresauts et sa langue devient plus exigeante lorsqu’elle s’introduit dans ma bouche. Les ordres commencent à tomber. Je dois me masturber. J’en meurs d’envie car cette ambiance érotique m’a fait tourner la tête. Le plus difficile sera de ne pas jouir mais pour l’instant, je laisse mes doigts vagabonder vers mes lèvres qui gonflent à vue d’œil. Maître M exige de se faire lécher les couilles, il doit mettre son phallus quelque part. Je suis donc étendue sur le matelas, avec, au dessus de moi, son cul qui fait des va et vient. Lentement, il promène ses couilles au dessus de mon visage pour que je les gobe et étale ensuite la salive.

Ma langue, avide, fouille sa rondelle, chatouille ses boules et lèche son pénis impatient. Ce petit jeu dure longtemps et je me tortille de plaisir sous lui. Complètement barbouillée de bave, je suis imprégnée par l’odeur du sexe et en quémande davantage. Tout mon esprit est concentré sur sa verge et ses testicules. Je veux l’avaler tout entier. Il se moque de ma gourmandise et me fait rouler sur le côté pour introduire son gland dans mon cul dans le but de remplacer le rosebud.

Il l’enfonce à peine juste histoire d’agrandir le trou. Puis il le retire et me fait lécher sa queue odorante afin que je la nettoie. Il recommence plusieurs fois cette opération peu ragoûtante et avilissante mais tellement excitante. Soudain, je ressens sa verge s’enfoncer plus profondément en moi. Je couine car j’en veux plus mais après quelques coups rapides et vigoureux, il rattache ma laisse à la table et me traite de « vilaine fille ». Je sens un autre gros plug envahir à nouveau mon orifice, enfoncé sans ménagement. Le gland reprend sa place dans ma bouche, je distingue la raideur de sa verge, ses tremblements. Il m’ordonne à nouveau de laper son sexe et son cul en jouant fréquemment avec mon plug. Les odeurs sont multiples la cyprine qui imprègne l’air, celle qui sort de mon croupion mélangé au liquide séminal saturent l’atmosphère.

Je suis en position basse, écoutant ses injures et remarques ironiques sur mon attitude dévergondée. Nous pénétrons de plus en plus profondément dans notre bulle de perversion. La frustration est à son comble. Il ouvre ma chemise pour faire sortir ma poitrine généreuse aux têtons plus que dressés. Mes grandes lèvres, si humides, ressemblent à une limace baveuse et je tente de me jeter sur son engin pour le sucer, j’en ai tellement envie. Cependant, il bloque mon initiative par une claque retentissante sur les fesses. C’est lui qui impose le rythme. Je dois me calmer.

Il décide de faire une pause repas et resserre ma laisse fixée à la table. J’obéis et pendant qu’il va chercher les plats, j’essaie de me concentrer sur les flammes du poêle bien que le carcan suspendu à l’arrière plan attire mon regard. Je suis alors traitée comme une reine, chaque toast préparé avec soin, est disposé dans mon assiette, les bougies sont allumées et une coupe de champagne à la main, je profite de cette parenthèse.

Assis confortablement sur le canapé, Il m’observe en souriant, assise à ses pieds et retenue par la chaîne massive à la table, les seins débordants du corset ajusté. Le dîner s’achève graduellement, profitant des mets délicieux. Subitement son ton de voix se modifie, plus dur, je dois retourner sur mon matelas. Il m’ordonne rapidement de me mettre en position, c’est-à-dire à 4 pattes et le cul en l’air. Il me sodomise v i o l emment. Son pénis pénètre entièrement en moi pendant de longues minutes. Soudain, il se retire me laissant pantelante, échauffée comme une garce. La tension est revenue. Lui est calme, posé, et commence à discuter et à imaginer la semaine à venir. Il se moque de mon excitation non assouvie en me voyant me tortiller.

Néanmoins conciliant, il me traîne jusqu’au carcan, l’objet désiré mais tant redouté. Je suis immobile devant, pendant qu’il m’ajuste les mains et m’insère la tête sur l’emplacement dédié. Je tremble de plaisir, ma tête coincée et mes mains emprisonnées sur l’horrible outil de fer, glacé, incapable de bouger. Il contemple son œuvre et prend du temps à me tourner autour. Je gémis et guette ses réactions.

Soudain, ses mains s’agitent sur mon corps tremblant et ses doigts s’immiscent dans ma vulve trempée, il continue sa progression vers mon postérieur, qui répond précipitamment à sa sollicitation. Il lui voue une adoration constante et l’utilise à chaque fois qu’il le souhaite. Il me baise le cul. Le bruit des chaînes accompagne le balancement de mon corps et couvre mes cris de plaisir. J’arrive à prendre du recul sur ma position et à imaginer , enserrée dans le carcan et je hurle encore plus fort. Un fantasme du Moyen Age. Encore une fois, il me laisse sur ma faim…

Le carcan est ma première étape du supplice. Maintenant que je suis positionnée selon son désir, Maître M a des projets pour ma croupe offerte : le Fouet.

[…] Il saisit alors le fouet. Le Fouet. Mon ami et mon ennemi. Il se recule et le fait claquer sans me toucher. Je perçois son souffle près de mes jambes, de mon torse et de mes fesses. Pour l’instant, l’instrument ne me touche pas. Je sens simplement l’air remuer, les craquements secs. Brusquement, le serpent de feu s’enroule autour de moi et mord ma peau. Je sursaute et me tords.

Le mouvement du fouet est interminable, d’abord le bruit du manche, puis le déplacement de l’air, la s a n g le qui s’écrase sur mon corps et enfin la fine extrémité qui gifle ma peau. D’abord apeurée, comme à chaque fois, je fuis sa meurtrissure pour finir par m’habituer et à demander plus. Mes fesses se cambrent davantage à la recherche de cette lanière blessante. Désormais, les coups pleuvent sur le dos, les fesses, les jambes, le ventre…Cette brûlure qui me procure du plaisir.

Je l’apprécie et plonge encore plus dans mon monde de perversion. Mon langage corporel se modifie, je deviens la créature suppliante, qui l’implore de continuer. Galvanisé par ma réaction, son souffle accélérant à son tour, il accentue encore les impacts, les marques commencent à apparaître sur ma chair. Un délice et une t o r t u r e simultanément. Mon cerveau vit en pleine contradiction. Au bout de quelques minutes, les coups cessent. La douleur revient, plus brute maintenant que la connexion s’est rompue. Je suis seule avec ma douleur.

Il détache le carcan de son crochet et me traîne, titubante sous le poids de l’objet. Les pénétrations recommencent, il me ramone littéralement le vagin puis le cul encore une fois. Je suis écrasée par le carcan et par les coups de boutoir. L’épreuve n’est pas terminée car je dois ensuite lui nettoyer son pénis avec ma bouche. Enfin, Il me reprend par derrière et expulse un petit peu de sperme dans mon cul pour faire diminuer sa tension sexuelle.

Toutes ces sensations épuisent mon énergie. Je faiblis. Il s’en aperçoit et me pousse vers la cage. Et oui, la cage. Nous possédons une cage, noire en ferraille pour accueillir les grands chiens. Evidemment, nous n’avons pas d’animal d’espèce canine. C’est moi la chienne. La cage doit être constamment dissimulée, la plupart du temps mais pour ces quelques jours, elle aura toute sa place dans notre salon pour qu’il puisse l’utiliser à sa guise.

Face à mon épuisement, il ouvre la porte et je m’engouffre soulagée à l’intérieur. Avant de la refermer, il caresse mon visage, je ne parviens même plus à esquisser le moindre geste. Je m’endors, en position fœtale, épuisée. Cette réaction est courante chez moi, après une séquence éprouvante, lorsque je suis vidée physiquement et psychiquement et, très symboliquement, j’apprécie regagner ma cage. Je me sens en sécurité et je laisse toutes les pressions s’évacuer. Ma niche agit puissamment sur mon esprit, emblématique de ma condition.

Je me réveille, engourdie, les barreaux émettent du bruit sous mes mouvements. Je prends mon temps pour m’éveiller et me remémorer les scènes antérieures. Le corps endolori, je tente de retrouver une disposition confortable, en vain. Je gémis à nouveau. Sa vue me rassure mais, le Maître ne s’occupe pas de moi, consultant son téléphone sans lever la tête, je sais, néanmoins, qu’il se délecte de la vue et de cette situation. Enfin, il se lève, tourne autour de la cage tout en me questionnant doucement sur mon emprisonnement et sur ce qui va suivre, c’est-à-dire mon statut de vide couilles. Mon esprit divague.

Il ouvre la porte et tire sur ma laisse. Je m’étire. Afin de faire remonter le plaisir hâtivement, il promène son gros vibromasseur sur mon clitoris. Celui-ci ne tarde pas à réagir en sortant de son capuchon. Constatant le résultat, il décide de fixer des poids sur mes lèvres qui rougissent instantanément. Il demeure le chef d’orchestre, tout est sous contrôle, je suis sa chose. Je suis donc pénétrée de nouveau par son phallus, dur et énervé, par devant et par derrière..

Il alterne les enculades par des fellations pendant de longues minutes. Le scénario se répète. Je suis complètement désorientée, par le plaisir que je ressens, mais que je dois contrôler, auquel s’oppose la douleur de cet assaut vigoureux, lui même amplifié par les masses accrochées à mes lèvres. Je n’ai même plus conscience de la nature des émotions qui me traversent. Finalement, je l’entends râler en se déversant dans mon orifice. Haletante, je m’écroule sur le matelas. La frustration est encore tapie au creux de mon ventre. La libération n’a pas eu lieu.

Il s’en moque. Je retourne dans ma cage.

Oclide

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