Ma locataire prends une fessée

Catégories : Rencontres FESSEE, éducation anglaise canne fouet Femme et Homme Femmes fessées
il y a 3 ans

Voici une délicieuse histoire qui m'est arrivée en 2002 au mois de juillet pour être exact.

Je possède un petit appartement (un F1) que j'habitais à l'époque où j'étais étudiant, et que mes parents m'avaient acheté. Maintenant que je travaille et que je vis le plus souvent en couple (même si je suis un fervent célibataire) cet appartement est décidément trop petit, aussi je le loue. C'est pas la fortune, mais ça arrondit les fins de mois...

J'ai déjà eu plusieurs locataires, généralement des jeunes couples ou des étudiants, aussi je n'ai pas été surpris quand en août de l'année dernière une jeune femme de 19 ans, provinciale qui venait faire ses études en histoire de l'art a Paris, a répondu a mon annonce pour louer cet appartement. Je ne passe pas par une agence, mais j'essaye de me protéger. Aussi après qu'elle l'ait visité, et décidé de le prendre, je demandais les bulletins de paye de ses parents qui devaient se porter caution tous les deux.

Tout s'est très bien passé, en tout cas en ce qui me concerne, les loyers étaient payés en temps et en heure. Pour elle, coté études, ça ne devait pas être la joie, car au mois de mai, elle m'informa qu'elle résiliait le bail a la fin de l'année scolaire, et qu'elle rentrait "au pays".

Lorsque vint l'heure du départ, nous avons fait "l'état des lieux de sortie". En arrivant, je la trouvais un peu nerveuse, mais je mis ça sur le compte de sa jeunesse, et j'entamais la visite.

Et là, ce fut un festival !

Les moquettes du séjour et de la chambre étaient constellées de brûlures de cigarettes, un meuble de la cuisine était roussi (à cause d'un feu dans une friteuse me dit elle), la vitre de la porte-fenêtre qui donne sur le balcon était fendue ! A ça il convenait d'ajouter la sorte de fresque (gribouillage ?) qu'elle avait dessinée (gribouillée ?) au plafond de la chambre, plus un certain nombre de détails qui auraient été normaux dans d'autres circonstances, mais qui là m'exaspéraient littéralement. En même pas 1 an elle avait ruiné l'appartement sans épargner la moindre pièce !

J'étais particulièrement en colère, surtout qu'une évaluation rapide des dégâts m'indiquait qu'on dépassait allégrement le montant de la caution. J'ai donc pris une série de photos des dégradations, en lui disant que j'allais les envoyer avec la facture de remise en état à ses parents, et que ça allait "leur coûter un max".

Et là, elle s'est effondrée et a éclaté en s a n g l o ts !

L'espace d'un instant, j'ai eu peur d'être trop dur avec elle, mais un coup d'oeil à la ronde fit s'évaporer ma pitié. Je lui demandais donc d'arrêter de se comporter comme une gamine et de signer l'état des lieux et de déguerpir de chez moi ! Là, elle a commencé a me raconter l'année qu'elle venait de passer. Elle avait pris un job pour payer le loyer, mais suite au "bizutage" qui avait pris la forme d'une fiesta chez elle, c'est de là que venaient les brûlures de la moquette et la vitre cassée, elle avait du travailler plus pour payer les dégâts. Du coup ses résultats avaient été catastrophiques, et elle se retrouvait donc en fin d'année virée du bahut, à devoir rentrer chez ses parents, mais sans l'argent pour me rembourser. Elle me suppliait donc de ne pas prévenir ses parents qui la puniraient sûrement.

Je n'écoutais son pleurnichage que d'une oreille distraite, quand je tiltais sur l'évocation d'une punition. Je lui dis que je me fichais de ses problèmes, et que si elle était punie, ça ne serait que justice, mais que de toute façon, à 20 ans, je ne voyais pas quelle punition elle pourrait recevoir. Comme je l'espérais, pour m'attendrir, elle me dit que depuis toujours ses parents les avaient punis, sa soeur son frère et elle, en leur donnant la fessée en public. Ca se passait après le repas du dimanche, le père administrant une fessée déculottée devant l'assistance composée de la mère du frère de la soeurs et des grands parents. Elle me supplia encore une fois de ne pas lui imposer cette humiliation.

Moqueur, je lui fis remarquer que même si on était plus au moyen âge, ça ne m'étonnait pas. Après tout quand une jeune femme de 20 ans se comporte comme une gamine, il est normal qu'elle soit punie comme telle. Puis reprenant mon "rôle" je lui dit que de toutes façon, cela ne me regardait pas, tout ce qui m'importait, était de me faire rembourser les dégradations.

Elle me proposa alors de me rembourser, m'expliquant qu'elle allait prendre un travail, caissière au supermarché, serveuse, n'importe quoi, et que d'ici quelques mois tout serait réglé mais par pitié, que je ne prévienne pas ses parents. Je réfléchis quelques minutes à la question, puis je lui dis que j'étais d'accord, et que nous mettrions cet arrangement par écrit sur l'état des lieux, et que si elle ne tenait pas ses engagements, je l'enverrai à ses parents.

Elle essuya ses larmes et commença à me remercier, quand je lui indiquais qu'il restait un petit détail à régler. Certes, moi j'aurais mon argent, mais elle, elle échapperait a la fois a l'humiliation de la fessée, et donc à la fessée elle même... Ce qui ne me semblait pas très juste.

Il y eut un long silence, puis elle commença à me traiter de pervers, de satyre, et que sais-je encore, elle essaya même de me donner une gifle ! A ce moment là, je lui dis que puisqu'elle le prenait sur ce ton, pas de problème, on annulait tout, et elle se débrouillerait avec ses parents. Ca l'arrêta net. Elle recommença à pleurer sur son sort, et je profitais de l'accalmie pour insister, et lui demander ce qu'on faisait.

Finalement, bien entendu, elle céda. Je lui demandais bien de me confirmer qu'elle reconnaissait qu'elle méritait une punition, et qu'elle acceptait que je la lui administre, ce qu'elle fit. Nous avons donc rempli et signé les papiers, puis je lui demandais "en pratique" comment était établi le barème. Elle eut beaucoup de mal à m'avouer que le rituel était simple, après le repas, le coupable s'installait en travers des genoux du père, qui administrait 10 claques sur les fesses dénudées pour chaque bêtise. Nous n'étions pas dimanche, et on était au beau milieu de après midi, mais je lui dis que j’étais prêt à procéder immédiatement, si elle était d'accord, et je pris place sur une chaise.

Elle s'approcha, puis me dit "pas plus de 10 !", à quoi je lui répondis que si. Elle avait reconnu 6 dégradations dans l'appartement, puis elle m'avait insulté, et avait essayé de me gifler, ce qui faisait un total de 8 bêtises. A 10 claques par bêtise, ça faisait un total de 80, à prendre ou à laisser. La colère revenait sur son visage, et je lui dis sèchement que si elle recommençait à piquer une crise comme une gamine, j'arrondissais le total à 100, et qu'elle se dépêche, je n'avais pas tout après midi à lui consacrer.

Matée, elle recommença à pleurer, mais vint se placer en travers de mes genoux. Là encore sèchement, je lui demandais si elle espérait que je me fasse mal au mains en la fessant a travers son jeans qui la protègerait ! Et vivement, je la redressais, et commençais à défaire sa ceinture. Elle tenta bien sur de m'en empêcher, alors je me levais, fis mine de ramasser mes affaires en lui disant que j'en avais assez, et que j'allais envoyer tout de suite le courrier à ses parents. Je n'avais pas atteint la porte que j'entendis le cliquetis de la boucle de la ceinture, puis un bruit de froissement de tissus et elle me dit "c'est bon, allez-y"

En me retournant, je la vis debout, à coté de la chaise, le pantalon sur les chevilles, les larmes inondant à nouveau son visage, honteuse de se soumettre ainsi. Je suis resté là à la contempler quelques instants, puis reposant mes affaires, je me suis assis et elle se replaça immédiatement en me disant qu'on en finisse au plus vite. Profitant de sa docilité, je fis glisser son petit string en dentelle, qui pourtant ne protégeait pas grand-chose de plus que sa pudeur, et il atterrit avec le pantalon, sur ses chevilles.

Je suis resté là pendant peut être 5 ou 10 secondes à regarder ce petit cul tremblant, puis l'effleurant d'une caresse, je lui dit "ok, on y va", et aussitôt je commençais.

De part les nombreux récits que j'ai lu ici, et ma première "expérience" avec ma belle soeur il y a quelques mois, je sais qu'il faut "y aller doucement", aussi, je procédais par petites séries de 10, pas trop fort au début, puis en augmentant à la fois le rythme et la f o r c e des coups. Je fus assez surpris, et même presque déçu de voir qu'elle ne se débattait presque pas, qu'elle n'essayait ni de s'échapper, ni de se protéger avec ses mains, avec lesquelles elle se cramponnait aux pieds de la chaise.

Arrivé à la moitié, je fis une pause, pour me reposer la main surtout, et j'en profitais pour lui demander si elle n'était pas trop mal installée, et pourquoi elle ne bougeait pas. Elle m'apprit que son père rajoutait 10 claques si on se débattait, et que de toute façon, je tapais bien moins fort que lui. Je lui annonçais la reprise des festivités, mais piqué au vif, par sa dernière remarque, je me mis à frapper vraiment très fort, ignorant ma main en feu, avec pour seul objectif de la faire réagir. J'y parvins, mais pour être honnête, ce fut très dur, et j'ai vraiment administré la dernière série en y allant de toutes mes f o r c e s.

Quand ce fut fini, elle était rouge pivoine, du bas du dos jusqu'au haut des cuisses, et sous ma main qui passa à nouveau sur ses fesses quand je lui annonçais que était finit, sa peau était véritablement brûlante. Elle me demanda crânement si j'étais content, puis essaya de se relever, mais visiblement elle n'en pouvait plus, et elle s'effondra par terre. Je l'ai prise dans mes bras, comme un bébé, et je l'ai portée dans sa chambre où je l'ai déposée sur son lit, puis je lui ai demandé si elle avait une pommade ou quelque chose qui pourrait la soulager. Sans attendre sa réponse, je suis allé fouiller dans l'armoire à pharmacie, et tout ce que j'ai trouvé, c'est un pot de crème Nivéa. Je suis donc revenu auprès d'elle, et j'ai commencé à lui passer de la pommade sur ses pauvres fesses. La sensation de froid la fit sursauter, puis elle commença à se détendre. Je ne sais pas si cela lui fit réellement du bien, mais quand j'eus terminé, et que je me relevais pour remettre le pot ou je l'avais pris, elle me dit simplement "encore".

Alors j'ai recommencé, puis quand ce fut fini, je me suis penché sur elle, et j'ai déposé un baiser sur chacun des deux lobes. Puis... Et bien nous avons fait l'amour, et je suis parti.

Je ne l'ai pas revu depuis, mais elle a tenu parole, elle m'a remboursé l'intégralité des frais de restauration de l'appartement. Avec le dernier cheque, il y avait une petite lettre par laquelle elle me remerciait de n'avoir rien dit à ses parents, et où elle m'invitait, si je passais prochainement dans son jura natal, à venir lui rendre une petite visite.

Je ne sais pas pourquoi, mais cet été, j'ai très envie de passer des vacances à la montagne...

Marc

Humm
Publicité en cours de chargement