Ma plus grande honte avec une fessée

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il y a 3 ans

Se faire déculotter et fesser devant tout le monde est très gênant

J'avais 24 ans lorsque je fis la connaissance de Sylvie, de 16 ans mon aînée. Elle fut ma seule et unique expérience "bi"; son élégance, son charme, son rire ... et quantité d'autres petits détails m'avaient rapidement séduite, et c'est assez naturellement que je m'étais retrouvée dans ses bras.

Sylvie avait une attirance particulière pour le fétichisme en général, et la fessée en particulier.

C'était venu doucement mais sûrement : une petite claque de temps en temps sur mon derrière, claques douces pour commencer, ... et puis de plus en plus fortes !

Ce que je croyais être un simple jeu au début, était devenu, au fil du temps, une sorte de rituel érotique que je me surprenais à apprécier de plus en plus. Sylvie avait remarqué ma nature plutôt passive, voire docile ...

Elle savait mêler tendresse et sévérité, et m'avait révélé tout un monde de sensations auxquelles j'étais complètement étrangère jusqu'alors. Elle adorait les jeux coquins, et les petites mises en scènes où elle me fessait dans diverses positions : debout, allongée sur le lit, à genoux sur un fauteuil ... ou simplement sur ses genoux.

Au gré de son humeur, les fessées étaient plus ou moins fortes, le plus fréquemment à mains nues, ou parfois avec une petite canne que Sylvie utilisait de façon très "soft", et surtout destinée à me faire peur ... Environ 6 mois après notre rencontre, elle voulut me présenter à deux de ses chères amies, lesbiennes : Sabine (31 ans, blonde, d'allure très stricte, cheveux courts, souvent de cuir vêtue) et Hélène (37 ans, châtain, plus "féminine").

Pour cette occasion, Sylvie m'avait demandée de porter une tenue "sexy-chic", qu'elle affectionnait particulièrement : des talons aiguilles (8 cm était pour elle un minimum ...), des bas noirs et un porte-jarretelles, une ravissante culotte de soie assortie, avec une jupe grise plissée genoux et un petit chemisier blanc quelque peu ... transparent ! Deux tresses pour mes cheveux longs, et un léger maquillage bon chic bon genre relevé d'un rouge à lèvres assez vif, complétaient le tableau : un savant mélange de "petite fille modèle" et de "petite fille pas sage du tout" !

Avec un petit sourire qui en disait long, elle m'avait surtout demandée d'être très obéissante, quelle que soit la tournure des événements. Bien qu'ayant une totale confiance en Sylvie, cette mise en garde m'avait quelque peu inquiétée ... Ainsi, je fis la connaissance de ces dames par une belle après-midi d'Automne ; après les présentations d'usage, nous étions toutes les quatre entrain de prendre le thé dans le salon de Sylvie, à bavarder tranquillement de choses et d'autres, dans une ambiance très bourgeoise.

La conversation dériva vers l'éducation des demoiselles ...

Soudainement, prenant une voix sévère, Sylvie me regarda et dit : "A propos d'éducation, mademoiselle, pouvez-vous m'expliquer la présence de ce livre pornographique j'ai retrouvé

dans vos affaires ??" J'étais stupéfaite et restais bouche bée devant cette brusque intervention. Sylvie me vouvoyait parfois lors de nos petits jeux coquins ...

Je devais alors également la vouvoyer, et je dois avouer que cette forme verbale me troublait beaucoup, installant une sorte de distance entre nous, et augmentant l'intensité érotique de nos ébats sulfureux.

Sylvie : "Ne faites pas l'étonnée, mademoiselle !"

Sur ce, elle se leva et revint avec un livre pornographique qu'elle tendit à ses amies.

Sylvie : "Voici les lectures de cette sainte nitouche ..."

Sabine et Hélène feuilletèrent le livre quelques minutes, me lançant de temps en temps un regard inquisiteur. J'avais déjà compris les intentions de Sylvie, et sentais le rythme de mon coeur s'accélérer, mes paumes devenir moites ... Sabine me regarda fixement et dit "Quel ouvrage intéressant ... peut-être Anne pourrait-elle nous en lire un passage ...?" d'un ton détaché et quelque peu sournois ...

"Excellente idée" répondit Sylvie ... elle me tendit le livre, en désignant un passage précis, et me demanda de le lire à voix haute.

Installée sur une chaise, face à mes trois auditrices, je commençais ma lecture assez nerveusement. L'ouvrage en question était une sorte de roman-photo; le passage relatait la soumission d'une jeune femme à une femme en uniforme : debout, les mains attachées à une poutre, elle subissait différents sévices avec quelques instruments que je découvrais (vraiment !) pour la première fois.

Le texte était très explicite et comportait luxe de détails, dont de nombreuses expressions ... crues ! J'étais vraiment gênée et troublée de lire ce récit devant ces deux inconnues qui dégustaient tranquillement leurs gâteaux secs, tout en m'écoutant et me regardant attentivement.

Après quelques longues minutes, Sylvie vint silencieusement se placer derrière moi. Tandis que je continuais ma lecture, elle commença à me taquiner les oreilles, à me caresser le cou, puis le bout de mes seins à travers mon corsage; elle dégrafa le haut de mon chemisier, l'écarta, exhibant ainsi ma poitrine aux regards de mes 2 auditrices qui semblaient fort intéressées ...

C'était la première fois de ma vie où j'étais ainsi exhibée, dans une situation vraiment spéciale ...

Elle laissa doucement ses doigts courir entre mon cou et ma gorge, avant de palper et griffer doucement mes seins avec ses ongles ...

Mes seins sont plutôt menus (85B), mais très pointus, avec des bouts extrêmement sensibles, et Sylvie savait combien j'étais sensible à ce genre de caresses... Elle me griffait gentiment la poitrine, laissant ses longs ongles rouges s'attarder sur mes tétons ...

Mes petites framboises ne tardèrent pas à darder et à rougir sous ses coups de griffes ...

Ainsi exposée, je me sentais complètement impudique, et cette situation m'excitait terriblement ... Sylvie prenait un malin plaisir à me t o r t u r e r gentiment mes pointes, les tirant doucement, et les pinçant de plus en plus fort ...

J'avais de plus en plus de mal à me concentrer sur ma lecture ... Je sentais mes seins devenir moites, je me dandinais sur la chaise, serrant nerveusement mes cuisses, et ne pouvant m'empêcher de laisser échapper un gémissement lorsque les caresses de

Sylvie devenaient trop ... aiguisée !

Sylvie : "Regardez-moi cette vicieuse, comme elle est excitée par sa lecture !

Cette petite catin mérite une bonne punition, et pour la peine, mademoiselle, vous allez être fessée devant ces dames.

Allons, relevez votre jupe, et venez vous mettre en position sur mes genoux !".

Je me levais, tremblante, rouge de honte ... Je retroussais ma jupe jusqu'à la taille, dévoilant mes jambes gainées de noir, et ma culotte où une jolie auréole trahissait mon excitation. Je surpris le regard de Sabine et Hélène qui avaient remarqué mon état ...

Je baissais les yeux, vins rejoindre Sylvie sur son canapé, dos tourné à ses 2 amies, et m'allongeais sur ses genoux. Sylvie me déculotta lentement, dénudant mes fesses rondes et plutôt dodues, dont la blancheur était rehaussée par le noir de mes bas.

"Mais regardez moi cette petite dévergondée qui s'habille comme une catin !!" dit elle tout en baissant ma culotte jusqu'aux genoux.

La première claque fut sèche, et je ne pu réprimer un petit cri aigu, empli à la fois de surprise, de peur ... et de libération !

Sylvie : " Je veux vous entendre dire que vous êtes une vilaine fille !"

Moi : "Je suis une vilaine fille !"

Claque !

Sylvie : "Une cochonne !"

Claque !

Moi : "Aye ! ... Je suis une cochonne !!"

Sylvie : "Plus fort !"

Moi : "Ayeu ! Je suis une cochonne !!!"

Sylvie alternait ses claques sur chaque fesse, et sur le haut des cuisses; entre chaque série, elle passait plusieurs longues secondes à me griffer doucement le haut des cuisses, à me palper et à me caresser les fesses, laissant négligemment un doigt venir effleurer mon anus ...

Sylvie m'avait avoué apprécier mes fesses un peu grosses (un peu trop à mon goût !), et se délecter de voir ma chair tendre remuer, onduler, frissonner et rosir au rythme de ses gifles ...

Elle descendit ma culotte jusqu'à mes chevilles, la retira, et la tendit à Sabine qui la porta à ses narines ... Je n'oublierai jamais son regard hautain, sévère, et cette lueur de perversité, tandis qu'elle humait mes effluves intimes, tout en me fixant ... Je ne m'étais jamais sentie aussi honteuse ... Je détournais les yeux, et sentis mon coeur battre encore plus fort ... Sylvie me força alors à écarter mes jambes : l'une étendue sur le canapé, l'autre reposant par terre, je dévoilais ainsi mon intimité.

Exposée de la sorte, je me sentais nue, fragile, et imaginais le regard pervers de ces dames glisser sur mes lèvres ouvertes et humides, rouges d'excitation ... Sylvie passa sa main gauche sous mon ventre, venant ainsi emprisonner mon sexe. Alors qu'avec sa main droite elle poursuivait son massage délicieusement érotique, je ne pu m'empêcher de venir frotter mon clitoris contre sa paume, en ondulant lentement mon bassin d'avant en arrière ... Puis je sentis un doigt coquin venir flirter à l'orée de mon vagin ... Sylvie reprit alors sa fessée, tout en me doigtant de plus en plus profondément ... Les claques devinrent plus fortes, le rythme plus soutenu ...

Sylvie : " Je veux vous entendre dire que vous êtes une petite salope !!"

Claque !

"Non !!!! Assez !!! ... Je suis une petite salope !!"

Claque ! Claque !

Sylvie : "Plus fort !! Petite catin !! ... "

Ces mots, et la façon dont Sylvie les prononçait, provoquaient en moi un effet aussi cuisant que les claques que je subissais... Cette humiliation publique déclenchait en moi un torrent d'émotions nouvelles ... Je haletais ... Mon coeur battait la chamade ...

Claque ! Claque !

Sylvie : "Femelle impudique !! Putain !! ..."

Je sentais mes fesses devenir chaudes et rouges comme jamais elle n'avaient été ...

Je criais et sentais les larmes me monter aux yeux ...

Je me débattais ...

Je ne pu m'empêcher d'essayer de protéger mon postérieur, tout en lançant un regard suppliant à Sylvie ...

En guise de réponse, elle m'emprisonna alors les poignets, et reprit sa fessée de plus belle ...

Claque ! Claque ! Claque !

"Ayyyyye !!! Non !! Pitié !!! Pas si fort !!!"

Enfin les claques cessèrent ...

Je me levais, titubant quelque secondes ...

Les yeux en larmes ...

Les fesses rouges et chaudes comme jamais ...

Je frottais mon postérieur endolori, et rabaissais ma jupe, honteuse, sous le regard perfide de Sabine et Hélène.

Sylvie regarda ses amies, et leur dit : "Pour être sure qu'Anne n'oublie pas cette leçon, il me semblerait indispensable que vous la corrigiez également ... "

"Quelle idée excellente ..." répondit Sabine, d'un ton froid et détaché, tout en me regardant avec un petit sourire inquiétant ...

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