Les jumelles vont se faire fesser

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il y a 3 ans

“Pouvez-vous rester calme !” La voix de ma mère était inhabituellement froide, fragile même. Ma sœur jumelle et moi restons silencieuses, nous n’avions plus été fessées depuis de années. Soudain nous nous sommes rendues compte que ça n’allait pas tarder ! Je savais aussi que je la méritais. Je regardais ma mère, elle était déterminée. Oh oui elle me fessera ce matin, j’en étais sure et j’étais envahie d’un frisson pas déplaisant en anticipation, c’est étrange.

“Debout toutes les deux !”

Nous obéissons, je pense de Marie n’a pas pris la mesure de la punition à venir, elle était presque défiante.

“Qu’est-ce qu’il y a ?” demande ma sœur de manière nonchalante.

“Qu’est-ce qu’il y a ah bon ? Je me lève le cul pour travailler, essayer de gagner un peu d’argent pour vous en faire bénéficier jeunes filles et vous vous battez comme des chats de gouttière. Vous avez besoin d’une bonne leçon, de savoir comment je traite les polissonnes. Vous allez recevoir une bonne fessée !”

Mon cœur se mit à battre. Va-t-elle ? Va-t-elle vraiment ? J’ai un sentiment étrange de vouloir être fessée. Peux-t-elle ? Oui je la mérite !

Marie était plus stupide que ce que je pensais

“Quoi, ce n’est pas sérieux !” réponds Marie.

Mon derrière frissonne ! Alors Marie sait que nous allons avoir nos fesses claquées.

“C’est réglé je suis très sérieuse et vous aller toutes les deux passer sur mes genoux pour une bonne fessée, oui mes chéries, une fessée déculottée dont vous avez bien besoin et que vous allez avoir”

Elle était merveilleuse, son accentuation de déculottée était très excitante. Rien ne touche plus une fille que d’avoir sa culotte baissée ! Mes fesses en tremblent.

Marie a enfin compris. Elle quémande, promet de changer, dit que ce n’est pas de sa faute (c’était vrai de manière dont c’est arrivé) Il n’y avait plus de défiance à présent, elle savait qu’elle était allé trop loin. Trop tard Marie ! Mes mains touchent mes fesses.

Ma mère nous entraîne par le bras à côté d’un chaise en nous disant “J’en ai assez de vos attitudes, vous avez mérité une bonne fessée, une fessée déculottée.” Arrivé là cette chaise que je vois tous les jour aura maintenant une autre connotation.. J’en étais fascinée l’idée de me retrouver les fesses en l’air en travers des genoux.

“Descendez vos culottes”

“Mais maman !” s’exclama Marie. J’admets en avoir tremblé en entendant ces mots, cul nu quelque part je l’ai demandé.

Ma mère tourne la chaise et prend position dessus. Je soulève ma jupe et attr a p e ma culotte en me touchant les fesses qui allaient être claquées. J’acceptais à moitié surprise le fait d’être fessée. Cela faisait des années que je n’étais plus dans cette situation. Cela me paraissait irréaliste. Mais c’était très vrai. J’étais là avec ma culotte pendant à mes genoux et une main sur mes fesses nues, comment cela pouvait être plus réel ! J’étais prête, vraiment sachant que je méritais cette punition même à l’âge que j’ai. Comment cela allait se passer, une fessée à 14 ans.

Maman était trop occupée à bien placer sa chaise et ne nous regardait pas. J’ai obéi en baissant ma culotte. Marie dans son effroi, ne descend pas sa culotte tant que ce n’est pas clair. Le cul de Marie est encore bien au chaud dans sa culotte. Oh, qu’est-ce qu’elle est bête.

“Marie, viens ici s’il te plait !” dit maman d’un ton ferme mais plaisant et là commence le drame. Je suis surprise qu’elle ne m’appelle pas en premier. Je regarde ma sœur qui se tient les fesses en se plaignant. Ma mère était très patiente en voyant son inquiétude. Ma mère se lève et l’accompagne car elle était figée comme une statue et dit “allez viens”. Ma mère s’assoit et Marie s’allonge sur ses genoux alors qu’elle hurle. Mon cœur a battu plus fort.

Lorsque ma mère soulève la jupe, sa culotte toujours en place soulignait la forme de ses fesses. Marie se fait gronder.

“Je t’ai demandée de baisser ta culotte, n’est-ce pas ? Je t’ai dit que j’allais te fesser déculottée, non ?” Marie se lamente. Ma mère lève sa main et l’abattu sèchement à deux reprises sur le fessier de sa fille. Marie se met à crier. J’avale ma salive par le spectacle offert de ces fesses claquées, un son que je n’ai plus entendu depuis un bon moment. Je caresse mes fesses.

“Ne peux-tu rien faire correctement ? Je t’ai demandé de baisser ta culotte. Maintenant tu le fais !” et elle la laisse se relever. “Descend ta culotte et reviens te mettre en travers de mes genoux”

C’était magnifique ! Elle était déterminée à lui faire baisser sa propre culotte pour sa fessée. Marie complètement déconfite fait comme on lui a dit et se déculotte. Je regarde fascinée comment elle se hisse sur ma mère sans plus aucune résistance toute pleurnichante.

Ma mère relève une fois de plus sa jupe pour exposer les fesses de ma sœur jumelle sur laquelle on devine la trace rosée de la main. Je n’avais jamais vraiment vu le derrière auparavant. Je ne dois pas être la seule fille à regarder ma sœur ou éventuellement un frère se faire recevoir une fessée ! Je l’admet, c’est très excitant n’est-ce pas ? Mais quand c’est votre sœur jumelle et que vous allez vous retrouver à sa place juste après c’est un peu spécial ! Les fesses de Marie, les jumelles des miennes, sont le seul endroit du monde qui compte à ce moment-là. Comment sont ressenties ces marques roses ? Je regarde beaucoup plus que ce que je devrais, mais je ne loupe pas une miette du drame qu’il survient à Marie. Je regarde en sachant que je subirai la même chose. Avez-vous déjà été le second à être fessé ? Non ? Et bien croyez-moi, c’est pas fun !

Marie est toujours affalée sur les genoux de ma mère. Ma mère ajuste la position de Marie pour relever un peu plus ses fesses nues, ses fesses nues se tortillant ! Ma mère se prépare solennellement pour le devoir maternel puis maintenant bien ma sœur lève sa main. CLAC ! elle commence la punition, CLAC après chaque cuisant CLAC ! Le derrière de ma sœur s’aplatit et rebondit à chaque tape, elle crie, gémit. J’empoigne mes fesses dénudées, j’ai soulevé ma jupe ma culotte toujours aux genoux. Je suis fascinée, horriblement fascinée. Est-ce que les filles comme nous doivent être punies de cette façon ? OUI ! Nous ne sommes pas trop grandes pour recevoir une fessée déculottée.

Cela semblait sans fin, ma sœur en train de se contorsionner pour éviter les claques qui commence à rendre son derrière rouge sous forme de marques rougeâtres. CLAC, CLAC, CLAC… Et Marie qui gémit “Je suis déé…ésolé maaaa..maaannn !”

Puis c’est fini, soudain je réalise que c’est fini et je sais ce que ça veut dire !

Je regarde ma sœur, ses fesses d’un rouge flamboyant, ma mère l’aidant à se relever. Elle pleurait à chaudes larmes alors qu’elle remonte sa culotte et laisse retomber sa jupe pour voiler la base de son inconfort. Elle pleurait d’après moi plus pour l’outrage d’une punition e n f a n t ine que de ses fesses rougies, bien rougies. Elle se tourne et se retire me laissant maman et moi les yeux dans les yeux alors que ses genoux sont libres pour m’accueillir. Ma mère arrange sa jupe. Je me décide sans attendre comme si la punition sera moins sévère si je coopère.

“Regarde-moi” me demande-t-elle ! J’obéis.

“Je viens d’administrer une fessée à ta sœur. Elle n’a pas aimé mais tu n’aimeras pas non plus. Avant que je te châtie, j’ai une chose à te dire. J’ai fessé ta sœur pas seulement pour votre bagarre mais comme nous savons toutes les deux elle aurait dû éviter l’esclandre. Elle ne l’a pas évité alors elle paye pour ses bêtises avec une bonne fessée.” J’ai bondi ! “Oui tu sais ce que je vais dire. Tu as commencé cette chamaillerie, je ne sais pas pourquoi et je ne veux pas le savoir. Tu n’as aucune excuse pour ce que tu as fait et tu vas le payer ! Tu auras tes fesses rougies d’une façon magistrale et vous serez envoyées dans vos chambre pour penser aux erreurs que vous avez faites.”

Mais elle n’a pas fini

“Vous avez toutes les deux quatorze ans et vous devriez vous sentir trop grandes, trop sensible pour venir en travers de mes genoux mais il semble que non. Jusqu’à ce que vous me montriez que vous êtes dignes, vous ne serez jamais trop grandes pour recevoir comme des gamines des bonnes fessée.”

“Oui maman”

“Bien ! est-ce que tu as descendu ta culotte ?” avant que je puisse répondre elle soulève la jupe et me touche les fesses.

“Bien ma fille viens ici”

“Vas-tu enfin te montrer raisonnable ?”

Je savais ce que cela signifiait. “Oui maman” et mes fesses se contractent à nouveau.

“Alors viens ici” dit-elle d’une voix calme et je sens sa main dans mon dos me presser fermement. C’était bien réel j’allais être allongée en travers de ses jambes pour avoir mes fesses claquées, à 14 ans ! Je me penche et saisi sa cuisse gauche pour m’appuyer, elle me place la main sur mes reins et je finis par me retrouver la tête et les épaules plus bas, coté gauche, les mains sur le tapis. Une position qui me rappelle des souvenirs. J’étais prête, je le savais. Ma mère me remonte la jupe dans le dos laissant apparaître mes fesses dénudées bien pâlichonnes, ma culotte toujours à mes genoux.

“Ça sera douloureux, très douloureux, es-tu prête ?”

“Oui maman, je suis désolée.”

“Bien mais c’est trop tard pour être ‘désolée’.”

“Oui maman !” et je soulève un peu mes fesses pour bien les placer pour recevoir les premières tapes.

C’était un moment merveilleux, oui vraiment. les claques s’enchaînaient, fermes, la cadence augmentait petit à petit, clac, clac, clac… clac…

Je gigottais un peu de temps en temps essayant vainement d’échapper à l’inévitable. La douleur se transformait petit à petit en chaleur qui remontaient de la surface de mes fesses jusque dans mon ventre en passant par tout mon entre jambes.

Plus tard dans ma chambre, j’ai eu le temps de penser à ce qui s’est passé et ma punition. Mais surtout à ma fessée. Elle a été longue et sévère, je me suis effondrée en larmes avant la fin. Je suis debout, comme beaucoup d’autres e n f a n t ont dû le faire auparavant après leur fessée devant le miroir et je descends ma culotte. Whaou, j’étais impressionnée je ressentais les pulsations sur la surface de mes deux fesses, je sentais battre mes traces rouges, je caresse doucement chacune des fesses et place ma paume dessus. C’était très chaud. Ma mère m’a délivrée ma punition avec vigueur, fessée bien méritée. J’ai été bien punie du haut de mes fesses où se situent deux fossettes jusqu’au haut de mes cuisses. La partie la plus rouge étant situé bien au milieu de mon derrière. Elle n’a pas lésiné sur la vigueur des claques sur mes fesses de fillette.

Je me retourne et m’allonge à plat ventre sur mon lit et remonte ma jupe pour laisser l’air frais caresser l’endroit où j’ai besoin d’apaisement. Je repense à cette fessée me retrouver couchée en travers de ses cuisses impuissante attendant. Je me souviens de la sensation de la première dizaine de claques, vigoureuses et douloureuses alternant chaque fesse. Ca ne faisait pas si mal c’était même assez excitant et je j’avais des picotements pas désagréables. Je me rappelle avec un certain frisson comment ‘pas désagréable’ devint juste un inconfort. Je me souviens de gigoter un peu et ma mère qui me rappelait à l’ordre “Arrête de bouger ! Je n’ai pas fini !” ensuite l’inconfort augmente et je commence à verser des larmes puis des s a n g lots allongée alors que ma mère frappe et frappe toujours et encore de plus en plus fort ces fesses à la portée de sa main.

Jusqu’à ce matin, je ne m’attendais pas à avoir mes fesses cinglées, je pensais être trop grande mais je ne suis pas contrariée. J’ai cherché à être fessée et je l’ai eu juste avec les mains de ma mère. Mais qu’est-ce que ça peut donner si elle utilise la brosse à cheveux ou une cuillère en bois ? Quelle serait la sensation si c’était papa qui me claquait les fesses ? J’en frémis à l’idée mais il ne le fera pas je suis une grande fille maintenant, mais pas trop âgée pour être fessée.

Après un moment je me lève, remonte ma culotte. J’entends toujours Marie qui s a n g lote dans son coussin, qu’est-ce qu’elle est idiote. Je pense qu’elle pleure plus pour son ego que la douleur se sentant humiliée d’être fessée comme une gamine. Je passe doucement devant sa porte et je descends pour être pardonnée alors que mes fesses, mes fesses toutes rouges me fourmillent avec chaleur.

Je retrouve ma mère dans la cuisine, pensive et un peu attristée et pense à ce qu’elle vient de nous faire, elle me regarde et me demande si je ne lui en voulait pas. Je suis tombée dans ses bras, elle a eu tout à fait raison de me punir. Cette fessée a été fabuleuse.

Cela arrivera-t-il à nouveau ? Je suis âgée, je ne sais pas mais je crois que ce n’est pas fini.

Twin Bottoms

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