Désir d’entraves sévères

Catégories : Femmes soumises SM camisole Bondage Shibari Kinbaku
il y a 2 ans
Dans ses grands moments d’excitations virtuelles, Léa lui avait dit qu’elle aime les véritables contraintes, les bondages sévères. Lorsqu’il lui avait demandé si c’était pour mieux se libérer, sa réponse fut directe, sans ambages « oui » en précisant qu’elle ne jouit que mieux quand elle ne peut pas échapper au plaisir qu’on lui impose.

Il avait également abordé son masochisme avéré, ses besoins de plaisirs dans la douleur. Taquine et rebelle, Léa l’avait prévenu que si elle aime jouer et faire des bêtises pour avoir de réelles fessées, sa recherche porte sur un Maître qui la domine aussi cérébralement.

Expérimenté, le Maître, à qui elle livrait en toute franchise ses envies et fantasmes, sentait bien qu’il allait recevoir une « dure à cuire ». Une soumise qui aspire à vivre du BDSM sans concession, pas que du BDSM de jeu.

Ce que Léa cherche, c’est du BDSM qui met face au mur, qui ne laisse aucun échappatoire entre le temps d’entrée et le temps de sortie. Il le savait avant même la rencontrer, ce genre de soumise te mange si tu ne la cadres pas réellement. Elles aiment jouer pour avoir, en fait, par leur façon de faire, provoquer, elles guident le Maître pour avoir ce qu’elles veulent.

Il adore ça et lui mijote une rencontre qui la perturbera et, tout en lui apportant du plaisir, la remettra à sa place de « femme soumise ».

Lorsqu’elle sonne au portail, elle est autant excitée qu’inquiète. Non pas qu’elle ait peur, non elle a confiance, mais elle s’inquiète quand même car elle sait que cela risque d’être chaud. Et elle ne se trompe pas.

Arrivée à la porte de la maison, une enveloppe portant son prénom est scotchée avec un phrase simple : ne sonnes pas, ouvres l’enveloppe et fait ce qui est demandé. Léa pose son sac de voyage pour prendre connaissance de ses instructions en trouvant que l’accueil est surprenant.

..........................

Léa, Derrière toi, il y a un sac sur la table, tu y trouveras une cagoule BDSM et des menottes. Je veux que tu mettes nues, que tu passes la cagoule pour t’aveugler puis que tu refermes les menottes sur tes poignets mains dans le dos. Je viendrai te chercher et mettrai tes effets personnels à l’abri.

..........................

Malgré la confiance qu’elle porte à cet homme dont la réputation n’est pas mauvaise, Léa a un moment de flottement. Elle éprouve aussi un peu de déception aussi car elle avait fait, pour lui plaire, une petite folie en terme de lingerie. « Je ne vais pas faire ma rebelle de suite » se dit Léa avant de jeter négligemment son sac de voyage à côté celui indiqué. Ce n’est pas qu’il la voit nue qui lui pose problème, c’est de le faire comme ça sur une terrasse sans même qu’il l’ait accueillie ni même, lui ait dit « bonjour ».

Après s’être mise nue, le contact avec les vraies menottes génère déjà en elle un agréable petit frisson. La cagoule en cuir ne couvrira pas son visage intégralement, juste ses yeux mais assez bas pour l’empêcher de tricher. En se traitant de folle, elle l’enfile sans tarder et se presse presque de se menotter pour cette sensation qu’elle adore : ne plus avoir de possibilité de fuite. Le vent caressant sa peau nue est comme une caresse dans ce premier moment d’abandon, un sentiment de bien être l’envahie déjà alors qu’il ne l’a même pas touchée.

Les minutes d’attente s’égrainent lentement et se multiplient. « Monsieur prend son temps » se dit Léa impatiente. Ce n’est qu’un quart d’heure plus tard qu’il vient la voir. Elle l’a senti mais pas entendu, car il ne lui parle toujours pas. Soudain, il passe un gros collier autour de son cou et le cadenasse avant d’y accrocher une laisse. Telle une esclave, elle est tirée vers un gros poteau de balançoire. Ce n’est qu’à l’arrivée qu’il la touche pour la guider et l’empêcher de tomber. Il lui fait écarter les jambes avant de la faire avancer jusqu’à ce que son sexe s’appuie sur le poteau.

Le Maître attache la laisse l’empêchant à présent de se reculer avant de mettre une sorte de gel froid sur ses lèvres intimes et son clitoris. Toujours sans rien dire, il l’abandonne ainsi attachée avec ses interrogations.

« C’est quoi ce lubrifiant qu’il m’a mise, il veut me baiser en guise de BDSM » ? Se demande Léa. En plus il chauffe ce truc, un lubrifiant mentholé en guise de BDSM, pfffff.

Ce que ne peut savoir Léa, qui intérieurement commence à râler, c’est qu’il n’a pas l’intention de la baiser. Ce qu’elle prend pour du lubrifiant est de la pulpe de gingembre. Au fur et à mesure que la minute s’égraine, la chaleur couvant sur son intimité augmente. Si elle n’avait pas la mains menottées dans le dos, elle chercherait désespérément à apaiser le feu.

  • Si c’est trop chaud, tu as un poteau devant toi. Il est bien lisse et sans écharde, tu peux te frotter dessus comme une petite chatte qui a ses chaleurs et pas de mâle !

  • Sadique et pervers, je m’en doutais !

  • Merci pour ce compliment ! Bon, je te laisse méditer et, si tu te sens trop femelle en chaleur, pense au poteau.....

  • Retirez-moi ce truc ou lavez-moi s’il vous plait ! Supplie Léa.

N’ayant aucune réponse, elle reformule une fois, deux fois, le supplie vraiment. Elle ne peut savoir qu’il est allé chercher de quoi lui offrir à boire à sa manière. Désespérée par son intimité lui donnant l’impression de prendre feu, elle s’approche doucement du poteau et frotte un peu ses lèvres contre le bois. Le sentiment d’apaisement est immédiat mais, dès qu’elle s’arrête, l’incendie redémarre.

Léa n’a pas d’autres choix que de laisser sa fierté de côté pour apaiser le brasier. Elle finit par abdiquer totalement et se frotter, effectivement, comme une vraie chatte qui a ses chaleurs. Elle n’est pas en train de se masturber, mais visuellement, cela en donne l’impression.

  • Vous êtes charmante comme ça !

  • Salop !

  • Désirez-vous que j’en mette à l’intérieur de vos deux orifices ?

  • Ah non, pitié, pas ça !

  • Alors pour vous faire pardonner de l’insulte que vous venez de dire à mon égard, avouez que vous êtes une chatte en chaleur. Je vous préviens, à l’intérieur des orifices, c’est deux fois plus fort..... C’est d’ailleurs si puissant que vous en serez à espérer qu’un régiment entier de militaires assoiffés de sexe passe par là.....

  • ............ (Non de la tête)

  • D’accord, nous allons attendre que le premier incendie s’arrête avant de lancer le feu « d’artifesse ». Lui répond le Maître en l’attrapant par la taille pour l’empêcher de se frotter.

Le brasier poursuit son office, Léa serre des dents, se refuse d’abdiquer. Puis soudain crie « je suis une chatte en chaleur ». Aussitôt relâchée mais tenue pour éviter la chute, il la regarde se frotter sans pudeur.

  • Cela nous fera une belle vidéo, d’ailleurs, j’ai presque envie de sortir mes feutres pour vous peindre des moustaches.

  • Grrrrrrr ! Nous avions parlé de fessée, de fouet, de bondage, de vrai BDSM ! Répond Léa en continuant de se frotter à présent sans aucune pudeur.

  • Ne vous inquiétez pas, vous aurez bien le temps de crier sous les lanières, ce petit jeu n’est qu’une entrée en matière. Je peux couper le feu très vite si vous acceptez de trinquer avec moi. J’ai une flûte de champagne à la main, en voulez-vous ?

  • Oui je veux bien trinquer avec vous, mais s’il vous plait, arrêter ce truc, je n’en peux plus !

  • Donnez-moi votre bouche, je vais vous donner la becquet.

  • La quoi ?

  • La becquet, comme maman oiseau fait avec son oisillon.

  • Oui, non, heu, cela se fait comment entre humains ?

  • Comme ça ! Répond le Maître avant de prendre du champagne dans sa bouche et d’accoler ses lèvres à celles de Léa pour y injecter le breuvage.

Il ne l’embrasse pas comme le présentait Léa, non, il se contente de lui donner la becquet une seconde fois.

  • Me permettez-vous de vous toucher pour que j’apaise ce qui semble grandement vous exciter ?

  • Oui s’il vous plait ! Répond Léa sans se douter que d’ici peu, la pulpe de gingembre ne fera plus d’effet.

Le Maître prend du lubrifiant sur ses doigts pour en passer sur l’intimité brûlante. Le feu s’arrête presque aussitôt permettant à la belle de souffler un peu.

  • Bon, il va falloir vous laver car si vous vous assaillez sur une chaise, vous allez faire ventouse !

  • Ohhhhh ! Quelle élégance !

  • A propos, le BDSM ce n’est pas que frapper, c’est aussi s’amuser avec la fierté de la soumise, il y a peu, vous n’étiez pas très élégante non plus.

  • Je vous déteste déjà !

  • Cela ne fait que commencer, j’ai d’autres projets pour vous avant d’en venir au réjouissances piquantes.

  • C’est quoi ?

  • C’est une surprise !

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TSM

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