Prends-moi com' dans un western spaghetti

Catégories : Femmes fessées
il y a 2 ans

C'est l'début de l'après-midi. Fait tellement chaud, c'est comme si le soleil il nous écrase.

Les hommes sont assis à l'ombre des maisons, leur chapeau descendus sur les yeux, mais pas assez pour pas voir ce qui arrive. Moi, j'ai fait mieux. Y'a deux trous à l'avant de mon Stetson, j'peux voir au travers. Avec la sueur, ça reste bien en place en plus. Bien sûr, ça protège pas franchement du soleil, mais ça permet de voir arriver l'Apache avec sa Winchester avant qu'il tire et m'en fasse un autre.

J'me d'mande où il est d'ailleurs. Ca fait un moment que j'l'ai pas vu. Sans doute en train de se farcir la gueuse au bordel. Devant moi, y'a une boule de paille qui passe en roulant, z'appellent ça l’amarante ou un truc du genre. J'aurais ri si ça avait pas d'mandé autant d'énergie. Se sentent obligé de donner un nom à tout, de nos jours. Les crétins. Devant sa bicoque à ma gauche, y'a la vieille Martha qui s'balance dans son fauteuil à bascule. Ca couine.

J'm'étire les orteils et mes chaussettes lâchent, ça libère un nuage de poussière qui brille au soleil. Ca fait un crac quand mon gros orteil passe au travers. Dehors, j'ai encore plus chaud aux panards qu'à l'intérieur. Ca macère dans les bottes tout l'temps, aussi. Je m'étire avec un peu plus de précaution. Faudrait pas non plus que je troue mon froc, j'en ai pas d'autre. Il était noir, au début, quand j'l'ai pris sur le cadavre du vieux Jack. Ou blanc, j'sais plus. Dans un cas com' dans l'autre, il est gris, maintenant. J'entends un bruit de vaisselle qui se pète, puis un cri de nana. Je sursaute et sors mon six coups. D'un bond j'suis sur mes pieds, j'saute dans mes bottes, et j'laisse tomber mon cache poussière au sol. Comme ça, il me gênera plus. Le bruit venait du d'sus, la chambre de ma donzelle.

  • Amelia? Tout va bien mon p'tit ?

Pas de réponse. Je jure et je crache par terre avant de courir vers la vieille baraque. La porte sort de ses gonds et tombe par terre tellement j'la pousse fort. Je monte tellement vite les escaliers que j'manque tomber et me péter les dents. La chambre de ma gueule est juste en face. Je l'ouvre à la volée, revolver au poing. Il s'la tapait, le connard. L'Apache avec sa barbe et ses poils partout, qu'on aurait dit un ours. Il se redresse, lève les mains.

  • Tire pas ! J'ai payé !
  • T'as recommencé, Amelia ? T'avais promis que t'arrêterais si j't'épousais !

Mon p'tit brin d'femme rougit et ses p'tits doigts s'agrippent sur les rebords du draps.

  • Si tu passais pas tout not' fric dans l'poker et l'whisky, j'aurais pas besoin d'faire ça !

L'Apache il rit grassement. Je pointe mon revolver sur lui mais ça semble pas l'impressionner. compte plus tard. J'ai un truc à régler avec ma nana. Il rit de plus belle et je tire en l'air pour qu'il s'dépêche, mais un bout du toit m'tombe sur l'crâne et je jure à nouveau. Le temps que je m'essuie les yeux, il a disparu. Ma jolie m'attend, ses longues boucles rousses en bataille, les yeux rivés sur moi, une petite moue boudeuse sur le visage.

  • Alors comme ça ma femme est une catin.

Je m'approche, menaçant, et elle se tasse un peu dans les draps gris.

  • Ne fais pas comme si tu le savais pas avant de m'épouser !

Elle semble avoir retrouvé un peu de contenance, la bougre. Je fonds sur elle et, m'asseyant sur le bord du lit, je la tire en travers de mes genoux, nue comme un ver. Prenant le temps d'admirer ses courbes généreuses, je claque rapidement ma main sur sa croupe tendue, une dizaine de fois. Elle gémit.

  • John, je t'en prie !
  • Fallait y réfléchir avant, ma jolie.

Sans plus discuter, je claque ses fesses, ses cuisses, plus fort à chaq' fois que le corps poilu de l'Apache me revient en mémoire. Elle sursaute et me supplie, et en même temps, elle mouille, la salope ! Je passe ma main entre ses cuisses, et elle serre les fesses, honteuse.

  • Alors com' ça tu te tapes l'Apache et ça t'plait ?
  • Non, c'était juste pour l'pognon ! qu'elle me crie.
  • Tais toi, femme ! J't'ai donné tout c'que j'avais pour t'faire changer d'vie, mais apparemment, c'était pas assez pour toi. J'aurais dû être plus sévère et t'enlever le vice du corps par la peau des fesses !

Je me relève, l'agrippant par le bras, et la jette sur le lit. Dégrafant ma ceinture, je la plie en deux et l'abatt sur ses fesses, la faisant glapir, ma gueuse. Je recommence une dizaine de fois, et elle chiale, la pt'ite. Puis je lâche la ceinture et lui caressé ses fesses, qui virent au violet par endroits. Elle frémit. Passant ma main entre ses cuisses, je les sens encore plus gluantes que tout à l'heure.

  • T'apprendras jamais, toi, j'lui ai dit, en laissant tomber mon froc.

Pis j'l'ai chevauchée, la coquine. Elle a crié fort, j'vous jure, j'suis meilleur que l'Apache au lit. L'Apache, j'sais pas c'qu'il est d'venu. Il a sûrement été assez malin pour aller s'faire pendre ailleurs.

J'le dis toujours, y'a deux types d'hommes, dans l'Ouest. Y'a ceux qui paient les donzelles et y'a ceux qui les marient.

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