Piégé par ma soeur

Catégories : Diaper couple, plusieurs, lesbiennes Diaper boy / Little boy
il y a 1 an

Marion est une peste, j’ai souvent été son souffre douleur, c’était le seul gros bémol de ma vie jusqu’à la semaine dernière. Elle a cinq ans de plus que moi et tient de mon père question carrure, traduction elle ressemble à une armoire normande question taille.

Pour la petit histoire, nous sommes issus d’une famille aisée et avons toujours vécu dans la maison familiale qui est immense. C’est un corps de ferme familial que mon père a restauré. Il l’a compartimenté pour faire des appartements pour chacun d’entre nous.

Et donc, à 25 ans, je ne paye pas de loyer, ce qui m’arrange bien, tout comme d’être directeur de l’entreprise familiale. Je mérite mon salaire et personne ne peut dire que je joue « le fils à papa ». Je reconnais bien volontiers avoir beaucoup de chance. Tout allait bien jusqu’à la semaine dernière.

J’étais tranquille chez moi, heureux d’avoir réussi à négocier un gros contrat, puis d’avoir pu gérer une grosse crise sanitaire et sauvé une grande partie du stock. Pour décompresser, une fois rentré j’ai pris une bonne douche et j’ai sorti mes petites affaires ABDL. J’avais réellement besoin de décompresser après cette fin de semaine très difficile. Mon truc c’est la régression, me replonger dans un univers de douceur, cela me permet de me décontracter.

C’est quand même mieux que Xanax même si il y a un peu « accoutumance » avec ces petits plaisirs solitaires !

Je me suis fait un plateau repas pour regarder mes dessins animés préférés en couche avec une jolie barboteuse. Pour ne pas la tacher, j’avais mis un bavoir. Après le repas, je me suis endormi sur le canapé avec le biberon à la main. C’est la publicité, qui est toujours très forte, qui m’a réveillé. Etant dans un état comateux, je suis allé me coucher sans rien ranger.

...................

J’étais tranquille peinard dans mon lit, avec mon doudou et ma tétine, quand j’ai senti que l’on me touchait. Lorsque j’ai ouvert les yeux j’ai cru faire un cauchemar. Face à moi, il y avait ma soeur pliée de rire et avec son portable à la main.

  • Tu es trop beau comme ça, j’adore !

  • Mais qu’est-ce que tu fous là ?

  • Je voulais te féliciter pour le contrat que tu as négocié et d’avoir géré la crise sanitaire comme un dieu. Alors je t’ai apporté des croissants. Mais je rêve, tu mets aussi des couches !

  • .... heu... non.... enfin... oui, disons que j’ai eu un souci de santé.

  • Un souci de santé qui impose une barboteuse, ton horrible doudou et une tétine ? Tu te paies ma tête ou quoi frangin ? C’est comme les grenouillères qui traînent dans ton salon, c’est le médecins qui te les a prescrites, c’est ça ?

  • Bon, cela suffit et cela ne te regarde pas, sort de ma chambre que je puisse m’habiller tranquille !

  • Ah non ! Tu vas te lever et aller préparer le café dans cette tenue pour que je profite de ton nouveau look.

  • Va te faire voir !

  • Dois-je partager les photos de ma découverte sur Facebook ?

  • Tu n’oserais pas me faire ça !

  • Ah tu veux jouer à ça, OK mec, j’aime que l’on me lance ce genre de défi !

En voyant ma « salope » de soeur manipuler son téléphone, comme c’est une vraie garce, en la sachant capable de le faire, je l’ai suppliée d’arrêter ses bêtises. Sa réponse a été simple et avec la voix menaçante d’une fille prête à en découdre.

  • Je compte jusqu’à trois, si à trois tu n’es pas en train de faire le café, je poste la première photo !

Lorsqu’elle a commencé à compter, je me suis arraché du lit tellement vite, que même le TGV aurait eu l’air d’un escargot à côté de moi ! Arrivé dans la cuisine, je me suis donc mis à faire un café et, quand je me suis retourné, elle n’était pas là. Sur le coup, je me suis plu à espérer que c’était un cauchemar, et bien non, le précédent continuait, ou plutôt, c’était le même. Enfin, si je ne suis pas clair, vous voyez ce que je veux dire. Comment être clair dans des moments comme celui-là ?

Par la porte de la cuisine, j’ai vu que Marion continuait de fouiller dans mes petites affaires. J’étais blême ou plutôt couleur frigo, dans ma poitrine mon coeur dansait une samba endiablée, ma gorge avait du se rétrécir car même respirer devenait difficile. J’ai constaté avec effroi que mes angoisses étaient fondées quand elle est arrivée avec ma cage de chasteté à la main.

  • Ta couche te fait un gros cul, mais en même temps, c’est mignon ! C’est quoi ce truc ? M’a demandé Marion en me montrant la cage de chasteté.

  • Cela ne te regarde pas et arrête de fouiller dans mes affaires intimes !

  • Mais c’est qu’il a mauvais caractère ce bébé ! Je vais devoir sévir et demander sur Facebook ce qu’est ce que j’ai trouvé dans la chambre de mon frère !

Et là, elle l’a posé sur la table et fait une photo ! ! ! J’ai donc cédé et lui ai expliqué ce qu’est une cage de chasteté pendant qu’elle me servait quoi ?

Un biberon de café pardi ! Tant qu’à faire, à m’humilier, autant faire les choses en grand !

Je regardais avec inquiétude la cage de chasteté posée sur la table en mangeant, comme demandé, un croissant pour devenir grand. L’inquisitrice m’a demandé, la bouche pleine, de lui expliquer mes délires.... J’ai donc parlé de la communauté ABDL, d’Abkingdom et de Fessestivites qui est plus BDSM que ABDL. (Ma soeur aurait tout à fait sa place sur Fessestivites, je la vois bien en dominatrice !!!!!) Ce n’est qu’après avoir dévoré trois croissants, qu’elle m’a demandé d’aller mettre ma cage de chasteté et de lui ramener les clés.

Par réflexe, je l’ai envoyée voir si il y a des roses sur la lune, elle a refait une photo du bébé capricieux ! J’ai eu envie de la fracasser, de jeter son téléphone dans la machine à laver le linge mais comme elle est bien plus grande et sportive que moi, cette tentative de rébellion était risquée et aurait pu être lourde de conséquences. J’ai donc essayé de négocier, mais autant négocier avec une porte de prison. Cette espèce de verrue m’a clairement annoncé qu’elle voulait la voir sur ma zigounette et que je lui donne les clés !

Il m’a semblé logique de lui rappeler qu’un frère ne pouvait pas faire voir ses attributs à sa soeur. Sa réponse a été claire : « je t’ai déjà vu à poil cinquante fois, je ne suis plus à une fois près. Je t’ai d’ailleurs mis tes couches quand tu étais petit, une corvée dont je me serai bien passée ». La mort dans l’âme, j’ai été dirigé par l’oreille sans me débattre ni la mordre vers la salle de bain.

  • Et profites-en pour remettre une couche ! M’a ordonné ma soeur en me claquant les fesses par dessus celle que je portais.

Dix minutes plus tard, j’étais comme statufié dans ma salle de bain. Je n’osais pas sortir. Elle est venue tambouriner à la porte en version « police anti gang » en me hurlant de me bouger les fesses si je ne voulais pas être la risée de la boite. Lorsque j’ai ouvert la serrure, j’ai failli prendre la porte dans la figure tant elle l’a poussée fort.

  • Fais voir ta cage ! M’a ordonné ma sœur en tirant sur le devant de ma couche. Ok, maintenant donnes-moi les clés, nous avons des choses à faire bébé !

Laminé, le moral dans les chaussettes*, j’ai donc suivi « Cruella » dans le salon où elle m’avait préparé « mes petites affaires ».

** Pourquoi Dit-on avoir le moral dans les chaussettes ? Cette expression du XXe siècle se base sur l'expression "avoir le moral" qui signifie "être de bonne humeur". Or, le placer dans les chaussettes signifie qu'il y a une échelle graduelle verticale et que le moral est donc au plus bas.

La garce avait choisi une de mes barboteuses qu’elle avait posée à côté des vêtements que je portais la veille au travail.

  • Tu ne comptes pas me faire sortir dans cette tenue ? Là, c’est trop, il faut que tu arrêtes !

  • Faut-il qu’en plus je te donne une fessée comme quand tu étais petit ?

  • Non, cela ira, merci, mais non, je ne sors pas vêtu comme ça !

  • La notion de libre choix évite le risque de restreindre la liberté à un « pouvoir faire », pouvoir d’agir ou de ne pas agir physiquement conformément à ce que tu veux. Le libre choix élargit la sphère de la liberté à toute la personne, ne s’en tient pas uniquement à ses capacités physiques. Elle permet de distinguer l’indépendance. Le libre choix n’est pas d’abord une question de désirs, d’impulsions, de spontanéité. Moi j’ai envie d’ouvrir un post dédié à mes découverts sur Facebook et toi ?

  • Je t’en supplie, arrête de faire ta psy et arrête tout court ! J’ai trop peur que cela se voit, cela peut ruiner ma réputation et ma vie.

  • Pas faux, habille-toi, je te dirai si cela se voit ou pas !

La mort dans l’âme, je me suis donc vêtu avec « mes petites affaires » et, évidement, la garce m’a juré que cela ne se voyait pas. Elle m’a même poussé vers la salle de bain pour que je me vois dans le miroir. Moi j’ai vu un désespéré avec un visage de chien battu.

  • Tu m’invites à Mac-do et après, je te laisse tranquille, ça va comme deal bébé ?

  • Arrête de m’appeler bébé !

  • Cela te va bien pourtant, tu étais très mignon avec ta tutute ! Tu veux la prendre avec ton doudou !

  • NON !

Marion n’a pas voulu que l’on prenne ma voiture, un bébé ne conduit pas ! En cours de route, elle s’est arrêtée en ville en me laissant tout seul pour entrer dans une épicerie. Comme elle n’avait rien dans les mains en sortant, hormis son sac, j’ai pensé qu’elle n’avait pas trouvé ce qu’elle cherchait. Et bien non, vous allez constater plus loin dans le texte à quel point elle peut être garce et méchante.

Arrivé au Mac-do quinze minutes et trois frayeurs plus tard, elle m’a demandé si je voulais aller aux jeux des e n f a n t s, histoire de continuer de « m’amuser ». A la borne automatique (maintenant au canard souteneur on ne passe plus sa commande à des humains) elle a choisi son menu et m’a pris quoi ? Une menu enfant pardi ! Tant qu’à faire....

Pendant le repas, (enfin façon de parler) Marion a été plus sympa même si elle a continué de me poser des questions sur l’ABDL. Elle semblait être passée en mode « je cherche à comprendre » et non plus en mode « Cruella ».

Le calme avant la tempête !

Expression connue. Hyper connue, Archi connue. Que tout le monde emploie. A tord et à travers. Ou pas. Mais peu de gens savent qu'elle est d'origine japonaise. Même si sa signification reste connue de tous. Le calme avant la tempête " La sérénité avant le chaos, l'accalmie avant l'agitation. Quand l'impatience vous gagne avant une fêtes, avant que les invités n'arrivent, quand tout est près. Le stress avant le lever de rideau.

La tempête est arrivée avec les sucettes qu’elle avait achetés dans l’épicerie. Elle les a sortis de son sac à main en disant bien fort « que si je finissais mon repas, j’en aurai une ». Tu parles Charles, le repas insipide, aussi petit soit-il, n’arrivait pas à passer ma gorge toujours serrée. Il y a eu ensuite le jouet offert (payé) avec le repas e n f a n t. Elle tenait à ce que je joue un peu avec.... Pour moi, ce n’était pas une tempête mais la tornade du siècle because, ma secrétaire venait d’entrer dans le resto avec toute sa marmaille ! Lorsque je l’ai indiqué à ma garce de soeur, elle m’a proposé un deal sympa...... d’après elle.

  • Si tu viens lundi dans mon bureau en couche avec une barboteuse sous tes vêtements, je te rends les clés de ta cage de chasteté et je surprime toutes les photos.

  • Tu es une sa... (je me suis arrêté là « sa » pour ne pas prendre de risque.

  • Une sa quoi ?

  • Une sadique !

  • Ah j’ai eu peur !

  • Aller, on rentre, ça ira pour aujourd’hui.

EPILOGUE

J’ai passé un week-end affreux. J’ai fait des cauchemars même éveillé en imaginant ce qu’elle pourrait faire. N’ayez aucun doute sur ses capacités de sadique, la provoquer est ultra risqué. Heureusement qu’elle n’est pas la directrice de la boite, il n’y aurait plus que nous comme salariés !

Le lundi, je me suis donc présenté à son bureau à huit heure précise avec comme objectif de lui faire voir que j’avais respecté le deal. Je voulais récupérer les clés de ma cage de chasteté, avant d’aller faire un tour dans la campagne pour tout retirer et le cacher dans mon coffre.

Marion m’a juste demandé de lui faire voir un bout de ma barboteuse avant de me dire que les clés de ma cage de chasteté étaient dans mon pot de fleur dans l’entrée de ma maison. Par contre, elle m’a demandé de lui apporter une couche.

  • Tu veux essayer ? Les miennes sont trop petites pour toi !

  • Tu veux une gifle de suite ?

En réalité, comme je sais qu’elle est lesbienne, je pense que sa petite chérie va goûter à l’ABDL. J’ai peut-être déclenché des envies en étant piégé par ma soeur.

FIN

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Trop mimi
J'adore ce récit, j'aurais aimé être à ça place sauf la cage...!
On reste sur sa faim ;)
super j aurai bien aimé avoir une soeur comme ça
Texte très agréable Une suite serait un bon complément
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