Sissy Factory

Catégories : TV trans travesti sissy
il y a 1 an

Depuis ma tendre jeunesse, j’ai un kiffe un peu particulier : j’adore me vêtir de strings et de robe et me branler devant des pornos transgenres. Je ne sais pas pourquoi j’ai ce vice, mais j’ai le souvenir d’être tombé par hasard sur un porno avec une trans à énorme bite en train d’enculer un mec et ça m’a terriblement excité.

Depuis, j’étais incapable de regarder des pornos hétéros, les chattes ne m’excitaient plus du tout. Je n’aimais que les grosses bites de trans, pour moi une actrice de cul devait avoir une bite sinon j’étais incapable de bander.

La prochaine étape de ma perversion fut de voler un string neuf à ma sœur, à f o r c e de voir des actrices vêtir des dessous sexy, je me disais que la dentelle au contact d’une bite devait être une sensation agréable. Et ce fut le cas, ce string noir à dentelle était devenu mon compagnon de branlette tant j’adorais cette texture le long de ma bite.

Malgré ma perversion pour les trans et les strings sexy, je n’éprouvais dans la vie de tous les jours que de l’attirance pour les meufs. Je ne suis sorti qu’exclusivement avec des filles et je ne sentais aucune attirance pour les mecs. Je ne pense donc pas être gay, mais juste un gros pervers kiffant les trans à grosses bites.

Au fur et à mesure mon excitation pour les trans s’était déportée vers une autre catégorie de personnes du troisième sexe : les travestis. J’étais tombé par hasard sur une vidéo d’un mec vêtu comme une salope avec une robe rose bonbon, des talons immenses et de la lingerie affriolante.

Ce mec se comportait comme une petite salope et suçait un autre gars comme une traînée l’aurait fait. J’ai tellement adoré cette vidéo qu’en quelques minutes de branlette, j’avais déjà joui à l’intérieur de mon string. Purée je crois que je deviens gay en fait, j’adore voir les travelos se faire prendre par des mecs !

J’étais célibataire depuis plus de six mois et je comblais ma solitude en matant du porno de sissy, toujours la même rengaine : un mec qui s’habille comme une salope avec des tenues hyper sexy et se fait baiser comme une salope.

Je crois que moi aussi j’aimerai goûter aux sissy en fait…

Un soir, je m’inscrivis donc sur un site de rencontre spécialisé dans le « 3ème sexe ». Il y avait des mecs en rut qui recherchaient des coups d’un soir avec un travesti, des travestis recherchant des plans mais aussi des transsexuels sexy qui cherchaient des relation sérieuses. Je devais donc pouvoir trouver sans mal mon bonheur.

C’est ainsi que je rencontra « Mélodya » un travelo de trente-huit ans, 1m75, une longue perruque rousse et des tenues affriolantes. Elle me donna rendez-vous chez elle dès le lendemain. J’avais hâte !

Le lendemain soir, je me précipitais chez Mélodya avec qu’une hâte : baiser ma première sissy ! Elle m’ouvrit la porte, elle faisait presqu’une tête de plus que moi sur ses immenses talons et d’une voix masculine exagérément aigue, elle me fit « entre mon mignon ».

Ces mots là me firent bander.

Elle me demanda de m’assoir directement sur le canapé, de baisser mon pantalon et de me laisser faire. Elle me suça vigoureusement, mais j’étais tellement excité qu’en quelques va-et-vient, je lui lâcha mon sperme dans la bouche.

Bordel j’ai honte, je m’excusa d’emblée de n’avoir tenue que 2min et surtout de lui avoir lâché tout mon jus dans la bouche sans prévenir. En plus d’être sexy, elle était adorable, elle me signifia que ce n’était pas grave la première fois d’un mec avec un travelo pouvait être terriblement excitante étant donné leur expertise en sexe.

Cette phrase me fit rire et me détendu.

Elle me demanda donc si ça me disait qu’elle me serve un verre et qu’au lieu de partir comme un voleur, on se détendait tranquillement en discutant. J’accepta sa proposition avec grand plaisir. Elle me raconta son parcours, qu’elle était Éric dans la vie de tous les jours mais sa vraie personnalité était Mélodya.

Elle se rendit compte de son penchant pour le travestissement puis pour les mecs en regardant énormément de porno trans lorsqu’elle avait dix-huit ans et qu’elle se mit par la suite par porter de la lingerie.

Mince… Exactement comme moi en fait… J’étais donc voué moi aussi à devenir une Mélodya avide de sexe ?

Je lui expliqua ensuite que pour ma part, j’ai commencé à aimer les trans en regardant des pornos et que depuis mon a d o l e s c e n c e aussi j’adorais me branler dans le même string. Sa réponse me fit frissonner :

« Ne te leurre pas chéri, tu ne veux pas te l’avouer mais toi aussi tu es une sissy… Moi aussi j’ai commencé comme toi ! » Elle me parla donc d’une application mobile qui pourrait m’aider à ouvrir les yeux. Ca s’appelait « Sissy Factory ».

Elle m’expliqua :

« Le principe est simple, tu entres le numéro de téléphone de ta tutrice et chaque jour l’application te donne un ordre et tu dois le faire. Tu as 24h00 pour effectuer ta tache et envoyer une preuve en photo à ta tutrice qui valide l’étape pour ensuite passer à la prochaine. »

Elle m’écrivit son numéro de téléphone sur un bout de papier avec le nom de l’application en dessous et me signifia de réfléchir à ça, que cela pourrait m’aider à m’épanouir. Je la remercia de cette incroyable discussion, nous nous fîmes la bise comme deux amis et je repris le chemin de mon appartement tourmenté.

Pendant plusieurs semaine, mon esprit était hanté par les mots de Mélodya, est-ce qu’elle avait raison ? Est-ce que je me mens à moi-même ? Je ne sais pas… Je pense juste être un gros pervers…

Un soir d’insomnie j’alluma ma lumière pour attr a p e r mon string et me palucher pour me vider l’esprit et la bite. Mon regard tomba directement sur le petit bout de papier de Mélodya et si elle avait raison ?.

J’attrapa frénétiquement mon téléphone, téléchargea l’application « Sissy Factory ». Bon allez plus qu’à créer un profil alors. Voilà tout est fait, plus qu’à enregistrer le numéro de ma tutrice. Fait.

Malgré l’heure tardive je reçu immédiatement un message de ma chère tutrice, ses mots était aussi délicats qu’elle : « je savais que tu allais sauter le pas, je suis fière de toi et je vais tout faire pour que tu sois une sissy épanouie ! Première étape : choisis ton prénom de Sissy ».

Un champ à remplir apparut dans notre conversation et je devais me trouver un prénom. Je remplis sans réfléchir le champ avec le prénom « Rose ».

Mélodya répondit : « Délicate comme la fleur, mais qui sait piquer, tu aimes te vêtir de cette couleur. Excellent choix ! Bienvenue dans mon monde Rose, je me ferais un plaisir de t’aider. Mais attention si tu ne remplis pas une étape nos échanges se stoppent automatiquement alors sois assidue s’il te plait, je veux te rendre heureuse et te faire éclore ma petite Rose. A demain pour la première étape, reposes toi bien. »

C’est bon, je crois que je suis engagé maintenant… Qu’est-ce que l’avenir va bien pouvoir me réserver ?

Le lendemain matin, je fus réveillé par mon téléphone qui sonna pour m’avertir que j’avais un message en attente, j’ouvrit les yeux et vu l’heure « 8 :00 ». Purée, je n’ai pas dormi ! Qu’est-ce qu’on me veut ?

« Hello et bienvenue sur Sissy Factory ! Je crois qu’il est l’heure de débuter ton entraînement Rose. Première étape : prépare ton corps et débarrasse-moi de ces vilains poils masculins. Tu as jusqu’à demain 8 :00 ! »

Mince, c’était pas un rêve, je me suis vraiment inscrit sur ce site ! Bon je sais ce qu’il me reste à faire alors…

Je m’habillais en deux temps trois mouvements pour aller à la supérette à côté de chez moi, je pris un paquet de rasoirs jetables, de la mousse à raser et surtout de la crème apaisante car connaissant ma peau fragile je savais que j’allais douiller. Rentré chez moi, je posa mon nécessaire à féminisation dans la salle de bain et me mit à poil.

Je passa une dernière fois dans ma légère barbe que j’aime tant et tailla ces poils à l’aide de ma tondeuse. Par la suite, je passa un coup de rasoir sur mon visage pour avoir la peau aussi lisse qu’une femme.

Parfait, maintenant au reste du corps ! Même sanction je dégrossis à l’aide de ma tondeuse, pour ensuite raser une à une mes zones poilues. Les couilles lisses, le cul aussi lisse qu’une chatte, les aisselles impeccables et les jambes douces comme de la peau de bébé.

Nickel, tout est bon ! Un petit coup de crème pour adoucir ma peau et je me saisi de mon téléphone pour valider l’étape 1. Ça va en fait, c’est facile ! Une petite photo de moi à poil dans le miroir, une photo de mon cul et de mes couilles lisses et hop envoyé.

Quelques minutes plus tard je reçu un message de Mélodya :

« Félicitations Rose ! Tu es bien mieux ainsi ! Je vois que tu as été rapide pour la première étape, je suis fière de toi, tu as l’air très obéissante. A très vite pour l’étape 2 que tu devrais recevoir d’ici peu ».

Effectivement après la notification « Étape 1 validée par votre tutrice » je reçu une nouvelle notification « Étape 2 ».

« Coucou Rose ! Félicitations tu viens d’arriver à l’étape 2 de ta sissification ! C’est bien beau d’avoir épilé ton corps comme une femme l’aurait fait, mais tu ne pense pas que tu serais encore mieux avec des vêtements ? Tu as 24h00 pour t’acheter :

  • Une robe
  • Des chaussures
  • Du maquillage
  • De la lingerie sexy
  • Une perruque

Bon courage ma chérie. »

m e r d e j’ai que 24h00 pour faire tout ça ? Ça veut dire pas d’achats sur internet… m e r d e je vais devoir aller faire les boutiques pour m’acheter tout ça…

Je me dis que plus tôt cette étape passée, plus tôt je pourrais rentrer pour cacher mon butin. Je m’essuya donc, remis mes vêtements que j’avais enlevé pour me raser et parti directement en ville. J’étais hyper stressé.

Allez premier article que je veux trouver, la robe. Je pris une boutique qui faisait des vêtements pour hommes et pour femmes, je fis le tour de rayon hommes sans succès. Maintenant le rayon femmes, je tomba instantanément amoureux d’une robe très courte et très moulante rose bonbon comme l’évoqua Mélodya. Pour lui faire un gentil clin d’œil je pris cette robe qui me plaisait terriblement. Yes, il y a ma taille en plus !

C’est vrai que j’ai la chance d’être très fin.

Je continua le tour du rayon et finalement je me pris au jeu. Je trouva une jupe en cuir, un jean slim, un lot de 3 tops, une magnifique manteau en fausse fourrure et une magnifique robe blanche, on aurait dit une robe de mariée !. Mince, je prends réellement du plaisir à faire les boutiques pour moi en fait !

Une vendeuse s’approcha de moi et me fit : « Je peux vous renseigner monsieur ? ». Ma gorge se serra et je devins rouge écarlate, gêné je répondis en bafouillant « Euh.. Non.. Merci je cherche pour ma copine… ».

La vendeuse me fit un clin d’œil et me répondit « J’ai une paire de chaussure qui irait extrêmement bien avec cette jolie robe rose, suivez-moi je suis sûre d’avoir votre pointure ».

Qu’est-ce qu’elle vient de dire ?! m e r d e , elle a grillé que je n’étais qu’un vulgaire travelo ! J’avais terriblement honte avec toutes mes affaires dans les mains, mais cette vendeuse était tellement gentille que je la suivis. Elle me présenta une paire de chaussures à talons immenses, pleines de paillettes argentées, elles étaient magnifiques !

La vendeuse me fit « 41 c’est ça ? C’est bon j’ai ! Suivez-moi il n’y a personne en cabine, je vais faire la guée pour voir que personne ne débarque pendant que vous les essayez. Sa gentillesse et sa compréhension me mirent les larmes aux yeux, je m’exécuta et essaya ces chaussures.

Woaw j’étais terriblement bien dans ces chaussures et elles me vont si bien ! La petite tête de la vendeuse passa la porte et s’exclama : « Elles sont faites pour vous, elles vous vont trop bien ! Je suis jalouse, ça vous fait des jambes délicieuses ! ».

C’est bon j’avais jeté mon dévolu sur ces talons, les gentils mots de la vendeuse me confirmèrent mon choix. Je pris les chaussures sous ma main et me dirigea vers le rayon lingerie. Il y avait une offre sur les ensembles sexy, parfait je vais en profiter !

Je pris une nuisette noire, une paire de bas, des portes jarretelles, un lot de string roses, une culotte avec écrit « eat me » et trois soutifs roses également. C’est bon je crois que j’ai tout ici !

Je me dirigea vers la caisse et vis une caissière inconnue qui me jugeait du regard, j’avais de nouveau honte. La gentille petite vendeuse cria « Laisse, je m’en occupe ! » et marcha à toute hâte vers la caisse.

Piouf, rassuré, un visage familier ! Comme pour m’apaiser et pour me créer un alibi, avec un mauvais talent d’actrice, elle me fit en passant tous mes articles « et ben dis donc si mon mec pouvait être aussi généreux, je serais aux anges »

Ces mots me rassurèrent car je voyais qu’elle me couvrait pour me débarrasser de ma honte et pour éliminer les soupçons de sa collègue. Je régla et lui manifesta ma gratitude d’un simple « merci pour tout » et d’un clin d’œil amical. Je sortis de magasin et entendit ses talons cliqueter derrière moi.

« Attendez ! Attendez ! »

Je me retourna vers elle, très gêné de devoir parler seul à seul de mon penchant.

« Je suis en pause là et je me suis dit que je pouvais vous servir d’alibi pour vos derniers achats, qu’est-ce que vous en dites ? »

J’acquiesça avec un immense sourire de soulagement elle me prit la main toute enjôlée et me répondit.

« On va faire de toi la plus jolie de mes copines alors ! »

Qui a mis cet ange sur mon chemin ?!

Nous nous dirigeâmes vers une boutique de maquillage, elle prit les devants et faisait mine de choisir du maquillage pour elle mais choisissait tout ce qui me fallait.

« Tu vois ce rouge à lèvres ira magnifiquement bien avec ta robe et ton teint très clair. Et puis n’oublies pas ce fond de teint, prends donc ce mascara…etc »

Je lui tendis ma carte bleue et elle régla mes achats pour me couvrir. J’avais plus que le nécessaire à maquillage, j’avais de quoi survivre 6 ans avec tout ce qu’elle m’avait choisi ! Mais ses goûts étaient exactement les miens. Elle m’entraîna à nouveau dans la galerie marchande et me dit :

« Viens il y a une super boutique de déguisements ! Ils font des perruques en vrais cheveux, certes elles ne sont pas données mais elles font plus vraies que nature ! En revanche j’ai trop envie de choisir ta perruque, je peux ?! »

Je lui fis un nouveau sourire émerveillé devant cette petite femme énergique et aussi excitée que moi à l’idée de me travestir, nous sommes donc rentrés dans cette boutique. Elle courut à une longue perruque rousse presque rouge, elle était très belle.

« Non mais sérieux, avec ton teint de poupée et tes petites fesses et ta petite robe, tu vas être à croquer avec cette perruque ! Prends celle-ci ! »

Nous étions d’accord du choix, je l’adorais aussi ! Elle courut en caisse sans même prendre ma carte et me fit : « par contre, je te l’offre, c’est mon cadeau pour m’avoir fait confiance »

Mais quel amour cette petite femme, je remercie le ciel de me l’avoir mise sur ma route. « Je suis désolée je dois reprendre, sache que j’ai passée un super moment avec toi ! Merci de m’avoir fait confiance et surtout prends mon numéro si jamais un jour tu as à nouveau besoin d’un alibi je serais là pour t’aider avec grand plaisir. »

Elle me fit un énorme baiser sur la joue et s’envola jusqu’à sa boutique.

Elle s’appelait Alice, elle était adorable et elle venait de sauver ma journée ! Je rentra donc chez moi les bras lourds de shopping et étala mon butin sur le lit afin de prendre une photo et valider cette épuisante étape. La photo à peine envoyée je reçu la notification « Étape 2 validée par votre tutrice, nous vous laissons 24h00 de répit ».

Je reçu ensuite un message de ma tutrice préférée : « Hey ! Bien joué Rose pour ta rapidité, je vois que tu es motivée ! Supers achats en plus, je vois que tu as écouté mes conseils et choisi la robe rose ! Je te laisse 24h00 de répit du coup pour te remettre de tes émotions et te préparer pour la suite, tu vas avoir besoin de courage ! Bisous.

Mélodya ».

J’étais épuisé et excité par les événements de la journée, j’avais besoin de me vider. Frénétiquement je mis mes nouvelles lingeries, ma nouvelle robe, mes chaussures à talons et ma perruque. Alice avait raison : je suis parfait ainsi. Je me fis bander comme les petits travelos de mes pornos me faisait bander. J’alla donc me branler dans cette incroyable tenue et vécu ma séance de masturbation la plus intense de ma vie.

CHAPITRE DEUX

Vingt-quatre heures passèrent en je n’en revenais toujours pas de tout ce que j’avais accompli : j’étais devenu Rose.

Je n’avais pas quitté ma tenue affriolante de la journée, j’avais marché en talons toute la journée et ma perruque resta vissée sur ma tête tout ce temps. Chaque fois que je passais devant un miroir, j’avais toujours la sensation de me sentir belle. D’ailleurs il faut que je m’y habitue, je dois parler de moi au féminin, je suis dorénavant Rose.

Avant la fin du décompte des 24h00, je me regardai une dernière fois dans le miroir, pris une photo de moi et l’envoya à Alice avec en commentaire « Merci pour tout, c’est grâce à toi ce sourire. Ellel me répondit dans la foulée « Tu es très belle, je suis fière de beau boulot qu’on a fait. Xoxo Alice »

J’enlevai ma nouvelle tenue préférée pour aller me doucher et redevenir le mec que je suis. A la fin de ma douche le téléphone vibra, mon regard se porta dessus :

« Etape 3. J’espère que tu as profité de ton repos car le boulot va s’intensifier ! Maintenant tu dois aller acheter des jouets dont voici la liste :

Oh la vache ! Effectivement la tâche devient plus ardue ! Cette fois-ci impossible de me dérober et de faire croire que c’est un cadeau pour ma copine, ils vont me griller direct à la boutique ! Bon tant pis, il faut que je m’y habitue de toute façon.

Le lendemain matin, je sautai dans mes habits de tous les jours et me préparai pour mes nouvelles emplettes. J’entrai directement dans le sexe shop du centre-ville et un homme bedonnant de la cinquantaine m’accueilli immédiatement.

J’étais gênée mais au fond de moi Rose appréciait se moment. Je fonçais directement au rayon qui me concernait, je tombais sous le charme d’un joli sex-toy qui pouvait être parfait pour moi, un gode en forme de bite qui pouvait se ventouser, parfait pour libérer ses mains.

Juste à côté se trouvait un petit plug anal surmonté d’un faux diamant rose, parfait pour aller avec ma robe rose. Je choisis une cage de chasteté rose crème toute mignonne, Pour finir mes emplettes, je pris un embout à visser sur la douche afin d’effectuer mon lavement. Parfait j’avais tout !

Voici venu le moment d’affronter le regard salace du vendeur.

« Et bien je vois que monsieur va se faire des petits plaisirs solitaires, vous avez raison ! Tenez je vous offre ce tube de lubrifiant vous en aurez bien besoin ».

Je le remerciai et fonçai chez moi afin de valider au plus vite cette épreuve. Même sanction que les vêtements, j’étalai mon butin sur le lit et envoyai la photo.

« Etape 3 validée par votre tutrice. Félicitation vous approchez du but ! ? »

Je reçu par la suite un message de Mélodya : « Très joli choix de jouets, le plug ira parfaitement avec ta robe ! Bisous et continues ainsi ».

J’Étais toujours satisfaite de lire les messages de Mélodya, chaque réponse de sa part était un boost pour moi. La suite arriva très vite :

Etape 4. Attention les choses deviennent sérieuses ! Une sissy n’as pas de bite, elle n’a qu’une chatte anale ! C’est le moment de verrouiller ta petite bite en cage et de travailler ta chatte anale à l’aide de ton gode.

Effectivement les choses deviennent sérieuses !

Je m’emparai de la petite cage afin d’emprisonner ma bite, c’en était fini pour mon attribut masculin. Le à clic à de la cage confirma que maintenant je n’étais plus qu’une sissy. Je pris avec une main tremblante mon gode, le posa à côté de moi et réfléchi à la situation : je vais m’apprêter à m’enculer.

Je commençai par me lubrifier le trou avec du gel afin que ça glisse tout seul, mais par peur de me faire mal, je commençai par me doigter. Lorsque mon doigt entra dans mon petit trou du cul, un frisson de plénitude parcouru mon corps… Mon dieu ça fait un bien fou !

Je fis quelques aller-retour avec mon doigt pour détendre ma rondelle et commencer à prendre du plaisir. Putain c’est bon d’avoir quelque chose dans le cul !Mon dieu je me sens chaude, c’est pas possible, je suis vraiment en train de devenir une sacrée catin !

Mes yeux se portèrent sur mon braquemart de silicone et je me fis la réflexion que ça serait sûrement plus agréable que mon petit doigt ridicule. Le faux gland entra en premier, je soupirai de plaisir tout en faisant rentrer le reste de mon gode. Ah ouaaais, ça y est je suis au bout, c’est bon !

Excitée comme une salope, je me baisais avec vigueur mon cul, j’avais vraiment envie de me défoncer la chatte, alors trêve de caresses. Je me mettais à gémir, à me tortiller, ma petite bite en cage ne demandais qu’être libérée pour que je l’empoigne et la branle vigoureusement mais je devais m’y faire : je suis une pute anale !

A f o r c e de baise anale v i o l ente et rapide, je sentis une sensation étrange dans mon corps qui me fit couiner de plaisir… Je crois que j’étais en train de jouir ! Un filet de mouille s’écoula de ma petite chose en cage et je couina comme une salope, oh mon dieu !

Je pris une photo de mon gode dans le cul, on voyait ma queue enfermée qui coulait et je l’envoyais rapidement par l’appli avec en commentaire « Mon premier sissygasme ».

Mon téléphone vibra dans la foulée avec une notification de Mélodya : « félicitations à toi Rose, on dirait que tu as compris comment utiliser ta chatte ! »

Etape 4 validée avec succès.

Les draps puants de foutre ? je me disais que finalement je commençais à adorer ce qui se passait, j’adorais assumer ma part de féminité et surtout assouvir mes pulsions sexuelles.

Etape 5 : c’est bien beau de savoir utiliser ta chatte mais maintenant il va falloir assumer au grand jour que tu es une femelle ! Chausse tes talons, enfile ton plug et va faire une petite viré en ville habillée comme une catin. Amène quelqu’un avec toi pour qu’on ait une preuve de ton escapade.

Mon s a n g ne fit qu’un tour ! Certes j’aimais mon côté femelle, mais j’étais loin d’assumer ça au grand jour… Mais il fallait que j’y arrive, je devais aller au bout du jeu je n’avais pas le choix !

Il fallait que j’envoie un message à quelqu’un digne de confiance pour cette mission, Melodya devait pouvoir m’aider. Je lui envoyais un message et sa réponse ne se fit pas attendre à « Désolée mon petit bouton de Rose, je n’ai pas le droit de t’aider… Il faut que tu trouves quelqu’un d’autre ! Bisous ».

Mais à qui je pourrais envoyer un message… à Alice ? Non j’ai trop honte… Quoiqu’elle eût l’air enjouée à l’idée de m’aider. Allez il faut que je tente. Hop message envoyé. Je suis folle.

« Hey coucou Rose ! Je suis trop contente que tu m’envoies ce message, je passes te prendre dans une heure ça te vas à Xoxo ».

Mon petit ange gardien était encore présent pour moi. Une heure plus tard, chaussée de mes hauts talons, dans ma robe moulante, un plug au cul, maquillée comme une traînée, mon interphone sonna « Prête pour notre petite virée à ».

Cette voix rassurante me fit descendre les marches de mon immeuble 4 à 4, j’ouvris la porte d’en bas et c’est un immense sourire qui m’accueillait dans le monde réelle.

« Wahoo, Rose tu es ravissante ! Tu vas te faire reluquer je pense, je suis jalouse ! ».

Elle me prit par le bras et timidement je fis mes premiers pas. Les premiers pas furent hésitants et naturellement, je me mis à tortiller du cul. Alice me fit remarquer que je venais de me faire mater.

Je me retournai et vis deux blacks me mater. Je rougis comme pas possible et heureusement que je n’avais pas retiré ma cage sinon on aurait vu ma bite gonfler sous ma robe. Nous fûmes plusieurs boutiques tout en papotant et me sentis si bien en sa présence.

« Rose, il faut absolument que tu essayes cette robe à paillettes je suis sûre que tu serais magnifique avec ! Attends prends aussi ce manteau en fausse fourrure, ça sera parfait aussi ! »

Sur les recommandations de ma copine Alice, je pris ces affaires, fonçai en cabine et enfilai cette robe. Elle me moulait et m’arrivait à ras le cul, wahoo j’étais bandante ! Alice ouvrit le rideau :

« Tu es trop belle ! Tu vas en faire bander des mecs ! J’avoue que même moi, ça ne me laisse pas indifférente… Attends il faut que je te prennes en photo, ça serait parfait comme preuve pour ton application ».

En dehors de la cabine, avec ma tenue digne d’une nana qui fait le trottoir Alice me prit en photo. J’avais un sourire immense et elle aussi. Allez parfait j’envoie cette photo pour valider l’ étape et je passe en caisse avec ces articles.

« Ça fera 49€, s’il vous plaît mademoiselle. »

Cette phrase me fit un bien fou, l’hôtesse venait de me dire à mademoiselle. Je suis donc une femelle moi aussi. En sortant de la boutique mon téléphone vibra :

« Je vois qu’on s’amuse bien ! Tu es ravissante avec cette robe, une vraie putain ! Joli sourire «également, tu es épanouie je vois., Melodya ».

Elle a raison, jetais heureuse.

Etape 5 validée avec succès !

Alice proposa de me ramener jusque chez moi. Pour la remercier de la fabuleuse journée, je lui proposai de monter chez moi boire un verre. Nous étions installées toutes les deux sur mon canapé, nous discutons entre copines et c’était super agréable.

Elle me demanda comment j’en étais arrivée à me travestir. Je lui répondis qu’au début je ne pensais pas en arriver là, mais que de plus en plus je me sentais femme et que j’avais adoré la sensation de plaire à ces deux blacks dans la rue. Elle voulut savoir si j’avais déjà couché avec des mecs et si j’étais gay.

Je lui répondis qu’avant ça j’étais hétéro, que j’aimais les nanas, je fantasmais juste en me branlant dans de la lingerie. Elle posa sa main sur ma cuisse. Elle me susurra à l’oreille : « Ça veut dire que j’ai ma chance avec Rose ? ».

Mon dieu qu’était-il en train de se passer ! Alice était en train de draguer Rose ! Mais rien n’étais possible car j’étais en cage… Je rougis telle une petite sainte nitouche, baissa la tête en direction de ma cage et dis tout bas :

« Alice tu me plais… Mais moi, Rose, je ne vais pas pouvoir te faire grand-chose ».

  • Qui te dis que j’ai envie de ta ridicule petite bite ?! Tu dois bien avoir des jouets pour te soulager, je vais m’occuper de ta vraie chatte Rose. Va enfiler ta nouvelle tenue et amusons-nous, me répondit-elle en riant.

Alice était tellement mignonne, exactement le genre de nana que le moi d’avant aurait aimé et elle, l’elle veut baiser Rose. Je ne pouvais donc pas refuser ses avances et je savais que j’allais prendre mon pied… Je me levai du canapé et commençai à faire deux pas en direction de la chambre, Alice me bouscule et me dit « Ha, non ! Les chiennes, ça marche à quatre pattes ! »

Elle me dominait, et j’aimais ça, car sans hésiter je me mis à quatre pattes et lui répond un « oui maîtresse ».

Elle rigola et me répondit « Je savais que tu étais une petite salope, je l’avais vu dès notre première rencontre. Et c’est ce qui me plaît chez toi. Alors maintenant offre ta chatte à ta maîtresse ».

Arrivée dans ma chambre, elle me fit signe de me cambrer et d’attendre sagement sur mon lit. Je m’exécutai, me mis à quatre pattes sur mon lit et leva mon petit cul en l’air.

« Et bien je pense que ce bijou dans ton petit trou du cul ne vas pas te servir à grand-chose là ».

Sur ces mots, elle retira v i o l e m m e n t mon plug et libéra ma chatte anale. Elle ouvrit mon tiroir de table de nuit et saisi mon matériel sexuel, elle prit quand même le soin de prendre mon lubrifiant et m’en tartina le cul.

« Je vais te v i o l er la chatte Rose. Je pense que ça va être nécessaire de bien te lubrifier ».

Elle massa bien mon trou pour bien qu’il soit glissant, puis je sentis deux doigts entrer dedans… Mh quel plaisir ! Je reçu une énorme fessée.

« Ne crois pas que je vais te masser le cul ! Je ne fais que le préparer ! »

Si ma petite bite n’avait pas été encagée je crois que j’aurais bander fort suite à cette fessée. Elle saisit mon gode et me l’enfonça dans la gorge.

« Allez, je veux qu’il soit bien glissant petite cochonne ! Il doit bien rentrer dans ton cul ! »

Et je suçai avec beaucoup de vigueur, je bavai dessus comme une salope, je voulais que ma maîtresse Alice soit fière de moi.

« Ah ahah très bien salope il est tout trempé, allez, serre les dents, ouvre ton cul je rentre ».

Je cambrai au maximum pour bien présenter mes petites fesses à madame. Ooouf effectivement elle n’y alla pas de main m o r t e, le gode était entré directement au fond de mon cul. Les premiers va-et-vient furent douloureux, je mordais mon oreiller pour ne pas crier, mais plus mon trou se détendait plus je me mettais à couiner de plaisir.

Alice me demanda : « Alors Rose tu kiffes te faire prendre la chatte ? demanda Alice.

  • Oui… j’ad… j’adore…, répondis-je en haletant.

  • J’ai pas bien compris ? me demanda-t-elle après m’avoir mis une énorme fessée.0

  • J’adore être votre puce, Alice.

  • Tu es donc à moi ? dit-elle en riant !

Les coups de godes s’accélèrent et ça me rendait terriblement chaude, je ne me rendais même pas compte que je couinais à voix haute, ce qui faisait rire Alice, je sentais qu’elle aimait me baiser le cul.

Mon abattage par ma maîtresse me rendait dingue, j’adorais être à elle et j’adorais surtout qu’elle me baise comme une sissy. Je fermais les yeux et couinais toujours de plaisir pendant qu’Alice baisait rapidement ma chatte, mon esprit était tellement chaud que sans m’en rendre compte, je me mis à juter à travers ma cage en jouissant par ma chatte.

Alice se rua sur ma semence et s’en mît plein les doigts, elle lécha son doigt et me le tendit : « Tiens Rose, je veux qu’on partage ça » et s’en réfléchir je suçai son doigt. J’étais sa femelle désormais.

Je n’eus même pas le temps de prendre ma respiration, mon cul n’eut même pas le temps de refroidir que mon téléphone vibra. Alice se saisit de lui et me fit la lecture :

« Etape 6. J’espère que tu as aimé te faire mater parce que maintenant tu vas entrer dans le grand bain : tu vas devoir baiser avec un mec. »

Ma gorge se serra quand elle lut ces mots.

« Alice, je vais devenir gay alors ?

  • Non Rose, tu vas devenir une sissy. J’ai le candidat idéal pour toi Rose, c’est un ami à moi il s’appelle Jordan. J’ai déjà couché avec lui une fois, c’est un grand black bien bâti par contre il a une énorme bite, ça va te changer de ton mini gode là ! Allez je l’appelle de suite il va venir direct quand je vais lui expliquer !

  • Attends Alice ! Je ne crois pas…

Elle me gifla directement et me répondit : « Rose, tu es à moi maintenant. Et je veux que tu remplisse cette étape 6 et surtout que tu te fasse remplir ! Tu comprends ça ?

  • Oui madame.

Jordan était apparemment très chaud à l’idée de baiser une sissy parce qu’il ne demanda pas plus d’explications à Alice. Pour patienter avant qu’il arrive, Alice me remit mon plug et me demanda de me repomponner pour être présentable.

Trente minutes plus tard, la sonnette retenti.

Alice me fit signe d’aller dans la chambre, de m’assoir sur le lit et qu’elle allait accueillir Jordan. Je m’exécuta. Il entra dans la chambre. Faisaint 1m95 pour presque 100kg de muscles, je paraissais menue et ridicule à côté de ce beau black.

Il rigola et regarda Alice :

« Donc c’est ça ton jouet ? Et ben c’est qu’elle est bandante ta petite pute Alice ».

Il baissa directement son pantalon et machinalement, j’ouvris la bouche car je comprenais que ça y j’étais une sissy salope. Alice s’assît sur le fauteuil de ma chambre et se mit à poil pour commencer à se toucher. Jordan me présenta son monstre.

Mon dieu jamais je n’allais pouvoir sucer ça. Son gland tout noir et tout chaud entra dans ma bouche, j’avais déjà l’impression de m’étouffer. Il saisit l’arrière de ma tête et m’enfonça profondément. J’avais l’impression qu’elle était dans mon estomac j’ai failli vomir lorsque que son gland toucha ma glotte. Mon dieu, je bavais de plaisir avec cette bite en bouche !

Les aller-retour commencèrent et j’adorais ça, le gout de la bite me plaisait et mes pensées était tellement chaudes que mes mains se saisirent de la bite de Jordan pour accélérer la cadence. Alice me fit du coin de la pièce :

« Et bien Rose tu prends des initiatives, je suis fière de toi ! »

Ces mots me chauffèrent et me rendirent d’autant plus pute. Jordan se retira : « Vas-y mets-toi à quatre pattes j’ai envie de te baiser la chatte ». Je ne réfléchis même pas et me mis en position sur mon lit. Jordan cracha sur mon trou, m’agrippa les hanches et entra en f o r c e . Oh oui Alice avait raison, sa bite était énorme !

Je cria de plaisir tant il me limait, son épaisse bite était parfaite pour mon cul, son gland me donnait l’impression d’être au tréfonds de mon cul. Pendant 5 minutes je me fit baiser la chatte anale telle une pouffiasse, en face de moi Alice se doigtait et gémissait de plaisir, elle prenait son pied en me regardant me faire baiser.

Jordan se retira et se mit sur le dos sur mon lit. Sans même poser de question, machinalement, je me saisis de son mastodonte et m’assis dessus. Je chevauchais cette grosse bite comme une traînée et je couinais comme une actrice de cul, je kiffais tellement ça.

Jordan kiffait aussi parce qu’il me grognait des « Oh putain », des « comme t’es bonne et des « tu es bien bandante salope », ce qui ce qui me rendait encore plus chaude. Alice se leva et couru jusqu’à son téléphone qui sonna, elle revint en criant : « les renforts arrivent Rose ! » Mais qu’avait-elle prévu ?

Un second grand noir entra dans ma chambre, Alice lui dit que j’étais une jolie pupute et qu’elle m’offrait en cadeau. Il se mit directement à poil et Jordan changea de position.

J’ étais maintenant de nouveau à quatre pattes avec Jordan dans mon cul et Ben dans ma bouche. Mes deux trous étaient pris, je me sentais vraiment salope, mais c’était le pied.

Alice rigola et pris mon téléphone « Une photo parfaite pour valider l’étape 6 ! »

J’étais si bien à vrai dire, je me sentais à ma place de soumise. Les deux beaux blacks me baisaient v i o l e m m e n t , Alice gémissait toujours de plaisir sur son fauteuil. Il faut croire que je suçais comme une déesse parce que sans prévenir Ben lâcha sa semence dans ma bouche. Il s’excusa mais je lui répondit instinctivement « merci, je voulais gouter le foutre chéri »

J’avalais ce jus chaud et salé. Mon dieu c’était trop bon, j’adorais ce goût ! Je n’eus même pas le temps de savourer ce met délicieux que Jordan se mit à accélérer la cadence ce qui me fit crier de plaisir. Alice se leva et se mit fasse à moi, les cuisses écartées. Je compris que je devais faire jouir ma maîtresse. Jordan me pilonnais et moi avec mon haleine pleine de foutre je broutais le minou d’Alice.

La baise était tellement intense que je me remis à juter à travers les barreaux de ma cage et à ce moment précis Alice se mit également à jouir. J’avais fait jouir ma maîtresse avec la langue ! Décidément j’étais douée avec ma bouche !

Jordan me changea de sens car il n’avait qu’une envie : me terminer. Il me mit sur le dos, au bord du lit et il prit mes jambes autour de son cou. Je savais que j’étais finie.

Il me baisa avec f o r c e et il me fit crier fort de plaisir, c’est à ce moment que son jus coula au fond de mon petit cul. Il se retira, essuya les dernières gouttes de son sperme sur ma bouche et se rhabilla. Les deux beaux garçons partirent sans me dire un mot, ils remercièrent Alice et partirent. J’étais aussi satisfaite qu’humiliée.

Alice me regarda, j’avais le maquillage dégoulinant et mon cul suintait de sperme.

« Tu vois c’est ce qu’on appelle se faire niquer comme une pute et désormais, ça sera ton quotidien Rose ».

Elle s’approcha et s’assit à côté de moi sur le lit.

« Par contre, j’ai aussi aimé quand tu m’as léchée et si tu es d’accord j’aimerais partager la vie de Rose ».

Ces mots me donnèrent si chaud et me firent sourire. Je crois que je suis heureuse d’être une soumise à sa maîtresse. Mon téléphone vibra et je regardai le message.

« Coucou Rose, c’est Melodya. Je viens de voir cette magnifique photo de toi en train de te faire baiser et je n’ai qu’une chose à dire : bienvenue dans mon monde. Je tiens à te le dire en personne mais sache que la sixième et dernière étape de ton processus de sissy est validée avec grand succès ! Je suis si fière de toi et sache que si tu as besoin de conseils je serais toujours là. Prends soin de toi. »

Dorénavant, je serais une sissy et j’appartiens à ma maîtresse, Alice.

Depuis mon quotidien est de vivre dehors en mec mais avec une cage dont les clefs sont détenues par la maîtresse. Et quand elle le décide je me fais baiser par les mecs de son choix. C’est ma nouvelle vie, la vie d’une sissy soumise à une superbe Maitresse et je n’ai aucun regret à être devenue Rose.

Alicia

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Très belle histoire.
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