Chouette voici le week-end venir ! Et ce week-end mes parents sont partis voir mes grands parents en Auvergne, ce qui fait que j’ai l’appart’ pour moi toute seule !

Ou plutôt pour moi et mon frère, ce qui est un peu moins réjouissant. Surtout qu’il a à peine 19 ans et qu’il joue les grands playboys. Mais ce soir, il est avec ses potes à un réseau, alors j’en ai profité pour inviter Tony !

Tony c’est un gars de la fac qui m’avait initié aux plaisirs du sexe assez hard !

Mon frère parti je me fais toute belle. Je décide de mettre une jupe noire très sexy puisque courte et surtout avec une grande fente qui laisse voir jusqu’au haut de ma cuisse, ainsi qu’un top dont je suis tombée amoureuse. Il ressemble beaucoup à un corset très serré qui fait ressortir ma poitrine à la façon des dames de la haute au temps des rois. De plus il permet de laisser mes épaules nues ainsi qu’une partie de mon dos.

En guise de sous vêtements : des bas, un porte jarretelle et un string. Et je chausse mes talons aiguilles qui rendent les jambes tellement sexy ! Je sais d’avance que cette tenue va beaucoup plaire à mon amant et j’adore exciter les hommes.

Vers 22h la sonnette retentit et je me précipite pour ouvrir la porte. Dès que ses yeux se posent sur moi je sens que l’effet produit par ma tenue est celui escompté. Il m’embrasse et me caresse brièvement la hanche. Je lui prends la main et le conduis vers les escaliers. Il a tout le loisir d’admirer mon porte jarretelle ainsi que mon string ce qui doit bien l’exciter et je m’en réjoui. Puis nous entrons dans ma chambre et je m’allonge sensuellement sur le lit.

Je mène la danse et je veux le faire craquer, qu’il soit un jouet entre mes mains maintenant expertes. Mais Tony ne compte pas me laisser jouer les femmes fatales mais plutôt les bonnes garces !

Il se dirige vers ma fenêtre et ouvre les rideaux, puis il s’assied sur le lit bien en face de la fenêtre et m’ordonne de m’agenouiller pour le sucer. Je ne réagis pas, tellement je suis surprise du retournement de situation. Au lieu de m’honorer comme je l’espérais, voilà qu’il me traite comme une vulgaire pute !

Comme je ne réagis pas il me prends par le poignet, me sors du lit et me jette à terre. Il me foudroie du regard et me dit : « la première fois qu’on a fait l’amour, je t’ai prise comme on prend une pute avec mes 2 potes. Maintenant que tu te fais sauter de partout, viens pas nous jouer les grandes dames, c’est pas ton répertoire. »

Je suis choquée par ses paroles et humiliée de la façon dont il me considère. Mais comme le dis le proverbe, il n’y a que la vérité qui blesse… Je refoule mes larmes pendant qu’il défait sa braguette, baisse son pantalon et son caleçon. Il prend une pose de vainqueur et m’ordonne à nouveau de faire gonfler sa bite avec ma bouche.

Je baisse la tête, résignée, et je m’agenouille par terre, entre ses jambes. Je saisis son membre mou et commence à le lécher. Je masse ses bourses d’une main et je le masturbe de l’autre tout en faisant jouer de ma langue sur son gland. Il se redresse et fait ressortir mes seins ronds et fermes de mon corset. Il titille mes pointes et je commence à assumer ma soumission. Après tout c’est vrai que je suis plus une salope qu’une femme respectable.

Je me concentre sur ma fellation, je le regarde droit dans les yeux tout en engloutissant entièrement son sexe. Il commence à gémir et me pince les tétons de plus belle. Je commence à mouiller mon string et je gémis entre deux coups de langue. Je m’active, je le suce avidement de tout son long. Puis je sors son sexe pour lécher ses bourses bien pleines. Je le masturbe d’une main, et je gobe ses boules l’une après l’autre. Il gémit plus fort et ferme les yeux.

Je relève brusquement la tête.

• Tu as entendu ? Dis-je.

• Tais toi, c’est si bon. J’adore quand tu me suces comme ça.

Puis il me prit la tête et me fit engloutir sa bite au plus profond de ma gorge. Moi, je suis un peu déstabilisée mais je n’entends plus rien à présent, à part ses gémissements. Rassurée, je reprends de plus belle mon travail. Je l’entends qui rigole un peu, je le regarde sans lâcher sa queue.

• C’est pas ses commentaires que tu as entendus tout à l’heure par hasard ? Dit-il en montrant la fenêtre.

Je me retourne pour apercevoir mon voisin d’en face en train de mater le spectacle. Je rougis de honte et Tony rie plus fort. Il se déplace légèrement pour le laisser mieux admirer ma prestation.

• Allez, montres lui à quel point tu es douée !

• Non ça va pas ! Je vais fermer les rideaux.

Sur ce, je me lève mais je n’ai pas le temps d’aller très loin puisqu’il m'oblige à nouveau à m’agenouiller et à reprendre sa bite dans ma bouche qui est maintenant grossit au maximum. Cette situation dégradante l’excite beaucoup et de toute façon… j’ai pas vraiment le choix.

Je m’oblige de faire abstraction de ce pervers d’en face. Tony me maintient la tête et c’est lui qui impose le mouvement. Il m'oblige à le sucer très rapidement, il me baise littéralement la bouche et il commence à m’injurier.

• Vas y continues, c’est si bon dans ta bouche. Oui c’est ça petite cochonne, t’aimes ça qu’on te mate en train de baiser hein ? Ca t’excite hein ? Allez avoues le, j’te connais par cœur.

Ses paroles me troublent et m’excitent un peu plus. Je me laisse aller dans cette situation et je déguste son sexe. Il est énorme et à un petit goût salé que j’adore. Je fais bien tourner ma langue autour de son gland en même temps que mes va et viens.

• Ca suffit on va changer de position. Dit-il en me relevant.

Il me fait m’accouder au bureau de façon à ce que mon voisin puisse me voir de profil, donc voir entièrement mon corps et les coups de boutoir que je ne vais pas tarder à recevoir. Il baisse ma jupe, détache mon porte jarretelle et enlève mon string. Je ne suis plus qu’en dessous, talons aiguilles et les seins qui sortent de mon corset. Il me plaque le buste sur le bureau, m’écarte les jambes et me décale le bassin pour montrer mon intimité à mon voisin. Je tourne la tête et je vois son visage extasié par le spectacle que je lui offre.

Je mouille un peu plus et je rougis encore plus de honte. Tony présente son sexe derrière moi. Il frotte son gland sur ma chatte pour bien le lubrifier, puis contre mon clitoris pour m’exciter d’avantage. Moi je me masse les seins, je joues avec mes tétons et j’attends impatiemment l’instant où je vais enfin sentir mon vagin s’ouvrir pour laisser s’infiltrer son sexe bander au maximum.

Je n’attends pas trop longtemps et je profite de cet instant que j’adore particulièrement. Tony a décidé de me faire languir, puisqu’il ne laisse rentrer que son gland qu’il ressort immédiatement. Il continue ce manège un moment jusqu’à ce que je le supplie de me prendre complètement. Et je pus enfin le sentir rentrer complètement en moi. Je pousse un petit cri de soulagement et aussitôt Tony me pistonne sans trop de ménagement.

Je cambre mon bassin au maximum pour mieux sentir cette délicieuse sensation qui chauffe mon intimité.

• Notre spectateur a l’air d’apprécier, me dit-il.

Je tourne la tête et je le regarde, les yeux à demi fermés et la bouche ouverte par l’extase que me procure ce piston infernal.

• Oh oui Tony, vas y fort !! Ouii, j’aime trop ça. Oh plus fort, oui !! M’écriais-je.

Ses couilles tapent contre ma chatte et la cadence qu’il m’impose me ravit. Oui j’aime quand c’est bien fort, quand il va bien au fond. Je sens bien sa queue au fond de moi et j’en veux plus. Je suis au bord de la jouissance et je me surprends à vraiment adorer être observée en me faisant baiser.

Il me tient fermement les hanches et me tire vers lui à chaque aller retour. Je suis complètement possédée, complètement remplie. Je déguste cette pénétration et je tends une main à mon clitoris. Je me branle d’une main et me pince les tétons très forts de l’autre. Puis il ralentit la cadence. Il me touche la chatte trempée de mouille et me masse doucement l’anus. Je laisse échapper un soupir de désir. J’imagine le vieux dégueulasse en train de se masturber à l’idée que je vais me faire enculer. Ca m’excite encore plus, je sens ma mouille couler le long de mes bas.

Il me pistonne doucement mais toujours bien profondément tandis qu’il m’enfonce son index dans le cul. Oh oui il va m’enculer je le sais. C’est vraiment ce que je préfère le plus. Il n’y a rien de meilleur qu’une grosse bite qui me pilonne l’anus. Je me masse le clitoris de plus belle et je lâche mes tétons pour aller écarter mes fesses et ainsi l’inviter à introduire son gros sexe.

Il me met 2, puis 3 doigts dans l’anus et commence de grands va et viens en rythme avec la pénétration qu’il me fait. Oh oui je me fais baiser par sa queue dans ma chatte et ses doigts dans mon cul. Je suis au comble de la joie. J’en veux plus, plus fort, encore plus loin. Je craque tellement j’ai envi de sexe, je ne suis plus qu’une salope en manque de sexe. Je regarde droit dans les yeux mon voyeur et je gueule :

• Vas y, encule moi je t’en prie. Oh oui je t’en supplie mets moi ta queue dans mon cul !!!

• T’inquiètes pas tu vas l’avoir espèce de salope.

Il retire ses doigts et sa queue et commence à pousser à l’entrée de mon anus. Je cris de bonheur d’avoir enfin ce que j’ai tant attendu et je m’agrippe encore plus à mon bureau sans faire attention à mes affaires que j’ai fais tomber.

Je sens tout son sexe rentrer dans mes intestins. Il y va lentement le salaud, pour bien que je puisse profiter de la longueur de sa queue. Il m’intime cette cadence super lente et je craque littéralement, je gémis, je me contracte, je suis au bord de la jouissance. Alors il accélère le mouvement d’un coup et me pistonne le cul sans plus de ménagement. Je hurle, je le supplie de continuer encore plus fort. C’est tellement bon je n’arrive plus à tenir, je vais jouir. Oh mon dieu je sens ses couilles taper sur ma chatte à chacun de ses puissants va et viens.

• Oh oui vas y c’est trop bon. Tu vas me faire jouir j’en peux plus !!!!!

Je regarde à nouveaux mon voisin et je hurle ma jouissance d’une puissance rare. Oh oui c’est merveilleux, je me laisse complètement aller dans ma jouissance et je m’accroche plus fort encore à mon bureau.

Tony se retire et me dis :

• Allez suces moi salope que je jute au fond de ta gorge.

Je m’agenouille en un instant et j’engloutis avidement sa queue. J’ai tellement envi de boire son sperme, de le sentir gicler dans ma bouche et de le déguster. Je le branle puissamment et je l’enfonce le plus loin possible dans ma bouche. J’accélère encore le mouvement et je jette un œil à mon voisin. Je pense qu’il a du déjà jouir, voire plusieurs fois.

Je pompe Tony, je me délecte de son membre qui vient de me donner tant de plaisir. Et peu de temps après Tony se cramponne à ma tête et m’ordonne de tout boire. Pas besoin de demander je m’en aurait perdu une goutte pour rien au monde ! De longues giclées envahissent ma bouche et j’avale lentement tout, petit à petit. Une fois tout son jus avalé, je lèche consciencieusement son gland et tout son sexe, jusqu’à se qu’il ramollisse.

Je m’essuie la bouche du revers de la main quand j’entends un gémissement derrière la porte. Je me retourne complètement affolée et Tony se précipite pour ouvrir en grand ma porte. Je découvre avec stupéfaction trois copains de mon frère avec leurs bites sortis et du sperme partout sur le parquet.

L’un bredouille :

• C’est ton frère qui nous a demandé d’aller chercher des câbles réseaux qui manquaient pendant qu’il configure le serveur !

• On savait pas, on voulait pas déranger ! Baragouine le deuxième.

• Ah ben non c’était donc ça le bruit suspect de tout à l’heure ! Dis Tony. Vous vouliez pas déranger mais vous matiez comme des porcs par l’entrebâillement de la porte, la sœur de votre copain se faire défoncer l’anus !

• Hey !! C’est tout ce que je réussis à dire.

• Bon et bien vous vous êtes régalé au moins mais je suis sur que vous ne refuseriez pas de vous joindre à nous ? Elle est bien chaude et très salope ce soir !

J’étais morte de honte. Mon dieu… qu’allait-il advenir de moi ?

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PRECISIONS

Les femmes dites soumises sexuelles ne sont pas des objets. Elles choisissent librement et ce sont des jeux d'adultes consentants.

Toutes les soumises ne sont PAS soumises sexuelles.

Toutes les femmes ne sont PAS soumises.

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