Week-end surprise en bébé-adulte

Catégories : Diaper couple, plusieurs, lesbiennes Diaper boy / Little boy
il y a 12 ans
Un week-end de bébé-adulte qui va au delà de la régression

Vendredi, fin d’après-midi. Je quitte mon travail pour rentrer chez moi. Arrivé à la maison, ma femme, Valérie, m'annonce que son amie Sophie doit passer et je comprends que nous repartons avec elle le soir même pour le week-end dans sa maison de campagne.

Sophie arrive, nous prenons un verre tout en discutant de choses et d'autre. Puis Sophie annonce qu'il est temps de partir mais ajoute à ma grande surprise la phrase suivante :

  • Bon Valérie, c’est d'accord, je peux avoir bébé tout le week-end?

Alors que j'allais demander de quel bébé il s'agit, Valérie me coupe la parole

  • Mais oui, Sophie, chose promis chose due. Tu emmènes bébé, mais tu me promets de ne pas être trop sévère avec lui.

Puis elle ajoute

  • Sauf, bien sur, si bébé n'est pas sage.

J'arrive enfin à prendre la parole et demande :

  • Mais de quoi parlez-vous, de quel bébé s'agit-il Valérie ?

  • Mais de toi mon chéri, c’est évident.

Mon épouse affiche alors un large sourire et ajoute

  • De quel bébé veux-tu que nous parlions? En plus, voilà longtemps que Valérie veut t'avoir pour un week-end.

À ce moment, Sophie prend la parole alors que je suis pétrifié par cette surprise

  • Tu as ses affaires ?

  • Oui, répond Valérie, avant d'aller dans l'entrée et de revenir avec un sac de voyage.

Elle pousse les bouteilles et les pose sur la table basse. Voilà tout ce dont tu as besoin pour t'occuper de bébé, dit elle en ouvrant le sac. Puis elle sort un change complet, des couches, plusieurs culottes en plastique, mes caches couches avec des motifs enfantins, un tube de crème, du talc, des tétines…

Je reste figé dans le canapé en voyant tout ce déballage de mes affaires.

  • Parfait répond Sophie, mais il n'y a que cela comme couches

  • Oui lui dit Valérie, je n'ai pas eu le temps d'en acheter. Il faut dire que Chris en consomme pas mal, au minimum une chaque nuit et parfois deux. En plus je dois en garder pour dimanche soir. Mais vous pourrez en acheter sur la route. Chris connaît la marque et la taille donc tu pourras lui demander.

  • Ok, répond Sophie, il y a une pharmacie dans le village, nous les achèterons là-bas. Mais j'y pense Chris ne porte des couches que la nuit ? Tu ne le langes pas la journée.

  • Oh non, heureusement Chris ne fait pas dans sa culotte le jour

  • Jusqu'à présent, ajoute Sophie. Mais je crois qu'il serait préférable de lui mettre ses couches aussi le jour, qu'en penses-tu Valérie.

  • C'est comme tu veux Sophie. Mais tu as peut-être raison, il vaut mieux être prudente, surtout si tu ne veux pas avoir la honte en public si Chris mouille son pantalon.

  • C'est ce que je pense aussi. D'ailleurs bébé est-il langé, dit elle en plaquant sa main sur ma braguette. La route est longue et je ne voudrais pas que bébé s'oublie dans la voiture.

  • Ah non répond Valérie, je n'y ai pas pensé. Mais tu peux le langer avant de partir, si tu veux, en plus cela te fera un entraînement.

  • Oh, répond Sophie, tu sais, j'ai de l'expérience, langer les bébés ça me connaît. Mais il est vrai que je n'ai pas l'habitude des bébés de cette taille.

  • Evidemment c'est plutôt rare d'avoir un bébé de 35 ans. Bon tu trouveras tout ce qu'il te faut dans notre chambre. Prépare bébé pendant que je range toutes ses petites affaires dans le sac. Ah si tu cherches des vêtements, tu trouveras tout ce qu'il te faut dans l'armoire dans la buanderie sur la table à repasser.

Sophie se lève et attrape ma main. Par réflexe, je me lève, mais je suis bouche bée tellement ma surprise est grande ainsi que ma honte.

  • Aller bébé, dit Sophie, on va mettre la couche. Et sois sage sinon je punis.

Sophie me tire par la main et me traîne vers la chambre, alors que je marche tout en tournant la tête pour regarder ma femme qui me regarde en souriant. Arrivé dans la chambre Sophie m'ordonne de rester sans bouger, avant d'aller ouvrir mon armoire.

-Oh, dit elle, mais il y a plein de jolies choses, des culottes, des bodys, des grenouillères... Au fait bébé, Valérie a pensé à mettre une grenouillère dans ton sac?

  • Je ne sais pas, répondis-je à moitié inconscient totalement sonné par ce qui se passe.

  • Je lui demanderais avant de partir. Bon il me faut un change-complet, 4 couches droites, une culotte plastique. Ah tiens, en voilà une, en plus elle a des pressions, ce sera plus pratique si je dois te changer sur la route.

En même temps qu'elle parle, elle pose sur le lit le contenu de son inventaire.

  • Bon déshabille-toi pendant que je prépare tes couches !

Elle commence alors à déplier le change complet et l'étale sur le lit, puis elle prend les 4 couches droites et les dispose sur le change. Elle relève et me regarde alors que je suis resté sans réagir. Elle s'approche alors de moi. Elle est tellement près de moi, que je sens le souffle de sa respiration sur mon visage. Puis je sens ses mains défaire ma ceinture.

  • Alors bébé, on commence déjà à désobéir? Ah moins que tu ne sache pas te déshabiller tout seul.

J'ai un mouvement de recul

  • Ah pas de ça me dit elle. Elle tend alors la main, m'attrape par la ceinture du pantalon et me tire autoritairement vers elle.

  • Tu vas être un bébé bien obéissant, sinon tu seras puni et crois- moi tu le regretteras. Puis elle ajoute d'une voix plus douce : Allez bébé laisse-toi faire, de toute façon tu n'as pas le choix. Il y longtemps que je sais que tu es un bébé. J'ai compris le jour ou je suis venu voir Sophie à l'improviste et que j'ai vu tes culottes plastiques en train de sécher sur la terrasse. Elle m'a alors tout raconté et nous parlons souvent de toi. J'ai immédiatement eu envie de t'avoir à ma disposition, et de te voir en couche-culotte. Jusqu'à présent je ne t'ai vu qu'en photo et tu es vraiment un beau bébé. Je sais même que tu vas sur des sites spécialisés pour les bébés adultes.

Alors qu'elle me parlait, elle défaisait doucement ma ceinture et ouvrait délicatement les boutons de ma braguette.

  • Tu vois, je suis au courant de tout. Je sais depuis quand tu portes des couches, que tu fais pipi au lit, que Sophie t'habille souvent en bébé le week-end. Alors si tu veux que ton petit secret reste secret, tu obéis sans rechigner.

Alors qu'elle s'apprêtait à baisser mon pantalon, Valérie entra dans la chambre.

  • Voilà le sac est fait. Tout se passe bien? Mais Chris n'est toujours pas langé? Il y a un problème, dit-elle en s'adressant à Sophie.

  • Oh non, tout va bien. J'expliquais juste à Chris que tu m'avais tout raconté sur ses habitudes de bébé, et pourquoi il avait intérêt à m'obéir.

Je regardais alors ma femme d'un air plein de reproche. La situation était étrange, j'étais debout, Sophie face à moi tenant mon pantalon à moitié ouvert, et ma femme nous regardant en affichant un sourire provocateur.

  • Allons mon chéri, dit Valérie, ne fait pas cette tête-là. Voilà longtemps que Sophie est au courant et que nous rions bien quand je lui raconte comment tu te comportes. Elle sait tout. Je lui ai même dit à quel point tu m'étais soumis et obéissant, prêt à tout pour que je te lange. L'idée d'avoir un homme qui accepte tout, en espérant avoir des couches comme récompense, lui a plu immédiatement. Voilà des mois qu'elle me demande de lui prêter mon grand bébé, et comme c'est ma meilleure amie, je n'ai pas voulus la décevoir. Alors tu vas être un gentil bébé. Sophie va te mettre une grosse couche et t'habiller pour le voyage. Et je te conseille de bien lui obéir, car Sophie adore punir les bébés comme toi.

  • Et si tu ne veux pas que d'autres personnes apprennent tes habitudes de bébé, tu ferais mieux d'obéir. Sophie m'a donné un joli album photo de toi avec tes tenues de bébé.

Sur ces mots, Sophie baisse mon pantalon. Puis elle me pousse sur le lit pour mieux enlever ce dernier. Me voilà allongé sur le lit, jambes en l'air. Alors que Sophie pose mon pantalon sur un fauteuil, ma femme s'écrie :

  • Mais qu'est ce que ça, dit elle en pointant mon caleçon. Elle s'approche de moi et tend sa main pour tirer fermement sur mon caleçon. Mais c'est une couche ! Ne me dis pas que tu portes aussi des couches la journée!

  • Eh bien tu vois, dit Sophie, j'avais raison, ton cher mari porte aussi des couches pour aller au boulot. C'est la preuve que bébé a des accidents de pipi culotte et qu'il vaut mieux le garder langé nuit et jour.

  • Je n'en reviens pas dit Valérie. Je n'étais même pas au courant.

  • Bébé est un cachottier dit Sophie. En plus il ne t'a même pas demandé la permission pour avoir ses couches en journée. Ça mérite une punition. Qu'en penses-tu Valérie.

  • Je crois que tu as raison, répondit Valérie, en affichant, de nouveau, un sourire complice avec son amie. Fais ce que tu veux, après tout il est à toi tout le week-end.

  • Tu as raison, dit Sophie. Je vais emmener bébé Chris tout le week-end et toi tu vas te reposer. Ça te soulagera un peu de ne pas avoir à t'occupé d'un bébé.

Je compris alors que Valérie ne venait pas avec nous, ce qui m'affola encore plus. J'eu le courage de dire :

  • Mais tu ne viens pas?

  • Non répond ma femme, tu pars tout seul avec Sophie. Elle va te dresser et crois- moi elle s'y connaît. Et moi je vais me changer les idées en m'occupant d'autre chose que de tes couches et de tes culottes. Sophie va t'éduquer un peu et quand tu rentreras, je prendrais le relais. Puisque tu aimes jouer les bébés, et que maintenant tu portes des couches aussi le jour, tu resteras en bébé 24H sur 24H. D'ailleurs je vais faire le tri parmis tes vêtements, je vais déjà commencer par jeter tous tes slips car tu n’en auras plus besoin. Tu auras seulement droit aux couches et aux culottes plastiques.

Pendant qu'elle parlait, Sophie avait fini par me retirer mon caleçon. Je me retrouvais nu ou presque avec mon change complet blanc.

  • Oh mais bébé a mouillé sa couche, regarde Sophie.

  • En plus! Voilà que mon mari pisse dans ses pantalons. Je crois que tu as eu une bonne idée en me proposant de t'occuper de lui. Ça va lui faire le plus grand bien.

  • Regarde le bon côté des choses, répondit Sophie, tu vas avoir la chance d'avoir, en permanence, un mari totalement soumis à tes 4 volontés. En plus avec ses couches, il ne risque pas d'aller te tromper avec une minette. Franchement c'est le rêve, et crois- moi beaucoup de nos amies aimeraient faire la même chose avec leur mari.

  • Ah bon, fit Valérie, tu crois qu'elle aimeraient remettre leurs maris en couches?

  • En couches, je ne sais pas, mais que leur mari leur soit soumis, ça je peux te le certifier

Pendant leur conversation, Sophie m'avait retiré ma couche. Maintenant elle attrapait le change avec les 4 couches droites.

  • Lève tes fesses me dit elle fermement.

Voyant que mon excitation grandissante, elle ajouta

  • Mais c'est vrai que ça lui plaît. J'avais du mal à le croire, mais il est évident que les couches ont un effet fulgurant sur ton mari.

  • Evidemment que ça l'excite, mais justement j'aimerais bien que tu lui fasses passer son excitation. Je veux que ses couches deviennent plus une contrainte qu'un plaisir. Après tout les vrais bébés portent des couches sans que l'on s'occupe si cela leur fait plaisir.

  • Oh, tu sais les bébés aiment bien leurs couches, d'ailleurs ils sont plutôt contents au moment du lange. Ton mari ne déroge pas à la règle, ce qui prouve que c'est encore un vrai bébé et qu'il mérite d'être traité comme tel. A ce propos, puisque tu me le demandes, puis-je commencer mon traitement tout de suite.

  • Surtout ne te prive pas dit Valérie.

  • Très bien répondit Sophie, mais tu ne diras rien même si tu trouves que je suis trop sévère?

  • Non je te l'ai dit, Chris est à toi tout le week-end, alors fais ce que tu veux.

  • Très bien dit alors Sophie sur un ton de satisfaction. Commençons tout de suite. Puisque que monsieur aime faire pipi dans ses couches, il va devoir en assumer les conséquences et pour commencer il va voir comme ça sent bon une couche pleine de pipi.

Sa phrase à peine terminée elle attrapa ma couche sale et me la plaqua sur le visage en prenant soin de bien me barbouiller la figure. Puis elle laissa la couche en place avant de continuer de me langer. Le visage enfoui dans la ouate mouillée, je sentis alors qu'elle saupoudrait du talc sur mon sexe et mes cuisses. Puis je sentis le doux frottement des couches qu'elle mettait en place avant de rabattre le change complet et de fixer les collants bien serrés. Une fois bien emmailloté dans cette épaisseur de couches, involontairement je me sentais plus à l'aise et rassuré. Malgré le calvaire que m'imposait la situation, le plaisir d'être langé de sentir l'épaisseur entre mes jambes me calmait.

Je restais ainsi quelques minutes, toujours allongé sur le lit, bras et jambes en croix exposant de façon évidente mon énorme couche aux regards de mon épouse et de son amie. J'entendis des bruits me laissant penser que Sophie fouillait dans l'armoire. Puis elle revint. Je sentis sa main qui caressait mon change complet avant d'écarter mes cuisses encore plus.

  • Lève tes fesses encore, me dit elle.

J'obéissais

  • Voilà, pose ton jolie derrière que je te mette ta culotte plastique.

J'obéissais encore. Sophie referma alors la culotte sur mon ventre avant de refermer une à une les pressions qui chacune leur tour comprimaient de plus en plus mes couches autour de mes hanches.

  • Voilà, dit-elle, bébé est langé. Reste à l'habiller. Bon bébé assis-toi maintenant mais garde ta couche sale sur ton visage.

Je me relevais d'une main, tenant la couche sur ma figure de l'autre. Sophie retira ma main avant de replacer le change selon son désir. Puis je sentis la couche se plaquer sur mon visage alors que Sophie replaçait les collant pour enfermer ma tête dans l'épaisseur de cette couche odorante.

  • Tu restes comme ça avec ta couche sur la tête et tu ne bouges pas. Elle passa alors ma tête à travers un vêtement, elle m’enfila les bras dans les manches, le tira pour bien le mettre en place, avant de me pousser d'une main me forçant ainsi à m'allonger. Puis je sentis ses mains entre mes cuisses et entendis le bruit caractéristique des pressions que l'on referme. De toute évidence Sophie avait choisi un body.

  • Mets toi debout maintenant.

En me levant, je sentais encore plus l'épaisseur de ma couche comprimée par ma culotte plastique et le body.

  • Lève une jambe

Je m'exécute. Je devine alors que Sophie me passe une culotte cache couche doublée de plastique, de ma collection. Elle passe l'autre jambe et remonte la culotte sur mes hanches en prenant de soin de bien tirer sur les bords pour remonter la culotte au maximum.

  • Avec ça plus de problème que bébé mouille la voiture

  • Effectivement répondit ma femme, mais tu lui mets quelque chose par-dessus quand même, il ne va pas sortir comme ça de la maison?

  • Ne t'inquiète pas j'ai fait quelques courses avant de venir et j'ai acheté cela.

J'entends alors un bruit de sac plastique.

  • Oh c'est super dit ma femme

  • C'est chou, hein, répondit Sophie. Mais ne t'inquiète pas je vais lui mettre un manteau pour sortir de chez toi.

Sophie m'enfile alors ce mystérieux vêtement. Une fois en place, je sentais mes cuisses à l'air libre. Etait-ce un short? Sophie me tira alors par la main.

  • Viens ici, tu vas voir comme tu es mignon.

Elle défit alors la couche de mon visage. Ma première vision fut celle de mon reflet dans la glace. Horrifié je constatais que j'étais vêtu de mon body rose sur lequel était écrit "j’aime les couches et vous?" avec une énorme flèche pointant vers le bas. Puis mes yeux se baissèrent pour voir un vêtement mi short mi culotte, rose aussi, remontant par-dessus mes couches.

  • Tournes-toi

Je me retournais et voyais que cette culotte short avait 3 rangées de volants blanc sur le derrière. Dans cette tenue, mes fesses rebondies et décorées de ces volants ne pouvaient que mettre en évidence le contenu de cette culotte, c’est-à-dire des couches épaisses. Impossible de se tromper, toute personne me voyant savait immédiatement que j'étais un adulte habillé en bébé portant encore des couches.

  • En plus cette jolie culotte fait aussi jupe. Il suffit de défaire les pressions à l’entre-jambe.

Sophie joint le geste à la parole et tire sur la culotte pour faire sauté toutes les pressions.

  • Regarde comme tu es mignon avec cette petite jupe

Cette dernière ne cachait plus mes couches ; Elle était tellement courte que je pouvais vois que le cache couche choisi par Sophie était ma culotte en satin arborant,elle aussi, de jolis volants roses en dentelles et un jolie petit nœud rose sur le devant.

  • Rassure-toi, on va te mettre un manteau pour cacher ta tenue, par contre une fois à la voiture tu l'enlèveras. Je veux pouvoir te voir dans ta jolie tenue à chaque fois que je regarderais mon rétroviseur.

Sophie m'enfila alors un manteau. Si ce dernier cachait ma tenue, je n'étais pas moins ridicule avec mes cuisses à l'air libre et l'épaisseur de mon derrière à peine dissimulé.

  • As-tu pensé à la grenouillère, demanda Sophie à Valérie

  • Oh non comme il fait chaud je me suis dit qu'il resterait en couches

  • Oui tu as raison, après tout une fois chez moi, qu'il soit en grenouillère ou en couches devant mes invités du week-end, cela ne changera rien pour lui. Il sera aussi ridicule en couche qu'en grenouillère...

Suite à venir

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