Réinsertion musclée et troublante (Roman à rebondissements multiples)

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il y a 8 ans

Un roman à rebondissement multiples avec de la fessée, de l'ABDL, du plaisir saphique mais également bien d'autres surprises qui ne devraient pas laisser le lecteur de marbre de par les multiples contraintes. Vous allez être plongé dans une histoire en milieux carcéral qui chamboule les préjugés.

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Sabine est le profil type des jeunes filles de la délinquance juvénile, elle a toujours été une rebelle en perdition. Au niveau de ses études, disons plutôt de sa scolarité, c'est un échec total, à 18 ans son niveau scolaire n'est même pas celui de la sixième. Ce qu'elle a oublié, c'est que qu'à 18 ans, vis-à-vis de la loi toute personne est civilement responsable de ses actes. C'est ce que lui rappelle le juge du tribunal lorsqu'il lui annonce qu'elle est condamnée.

Il lui propose deux choix, une année d'incarcération au centre de réinsertion avec remise à niveau ou cinq ans de prison ferme. Cette proposition il ne l'a fait pas à tous les délinquants mais parce qu'à la lecture du dossier familial de cette jeune fille dont le père a l c o o l i q u e est décédé après avoir pendant des années battu sa femme et sa progéniture. La mère pour s'en sortir et nourrir sa famille a fini par faire le tapin, comment grandir correctement dans un tel milieu ?

Entre un an et cinq ans de prison, Sabine en larme n'hésite pas un instant, elle veut s'en sortir et retrouver sa liberté le plus vite possible quoi qu'il lui propose. La teuf lui manque déjà tellement après deux mois de préventive. Son incarcération définitive se fera donc au centre appelé "Le château des anges déchus"

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Lors de son incarcération au centre, Sabine est prise en charge dès sa sortie du fourgon de police par une équipe musclée et rompue à l'arrivée de filles révoltées, ou cassées par la vie. Mises en rang, les huit filles se doivent d'écouter le "discours de bienvenue" de Max, le directeur du centre.

  • Mesdames, mesdemoiselles je vous souhaite la bienvenue au centre. Je vous souhaite également de profiter de cette opportunité que vous a accordée le juge pour vous aider et de vous en sortir. Sachez qu'ici la discipline peut être de fer en fonction de vos attitudes. Toute mon équipe préfère vous apporter de l'aide et du réconfort plutôt que de vous punir mais n'hésitera pas à le faire si besoin est. Soyez sages et nous serons vos alliers, provoquez-nous et nous vous ferons regretter d'être nées. J'espère avoir été bien compris.

C'est sur ces mots très clairs que le directeur tourne les talons et quitte la cours d'accueil en laissant les filles en plein désarroi. Les gardes guident les filles abasourdies par ce discours vers le centre médical. Assises sur un banc, elles sont appelées une à une par une mégère taillée comme un docker en uniforme. Les cris de la première filtrent à travers la porte de l'infirmerie créant un mouvement de panique chez les rebelles. Portée par les bras, la première sort en larme, elle est portée manu militari vers un lieu inconnu dont la première et solide porte grillagée est verrouillée après son passage. Le nom de famille de Sabine commençant par un A, elle est appelée la deuxième. Tétanisée par la peur, elle peine à se lever et à franchir la porte de ce qu'elle imagine déjà être l'enfer. Elle entre dans l'infirmerie dont les fenêtres sont grillagées, deux gardes bras croisés appuyés contre le mur sont présents.

  • Mademoiselle, déshabiller-vous, nous allons pratiquer la visite médicale d'incarcération dans notre centre disciplinaire. Elle est fort simple et pas douloureuse, sauf si vous faites comme l'idiote qui est passée avant vous ! Lui indique la mégère bâtie comme un docker.

Sabine obtempère et retire ses vêtements en ne gardant que son soutien-gorge et sa petite culotte.

  • Je crois vous avoir demandée de vous dévêtir ! Indique la mégère en enfilant des gants chirurgicaux.

  • Mais ils ne peuvent pas assister à ça ! Répond Sabine abattue et gênée.

  • Ils en ont vues d'autres, ne vous inquiétez pas !

Les cris de la fille précédente freinent son envie de rébellion, de les envoyer paître. La m o r t dans l'âme, ses mains commencent à décrocher son soutien-gorge avec beaucoup de peine avant de dévoiler sa jolie poitrine en forme de poire devant les gardiens qui ne loupent rien. Pour la culotte, les mains de Sabine semblent ne pas pouvoir la faire glisser sur ses hanches, un rappel à l'ordre de la mégère lui demandant si elle a besoin d'aide lui fait peur, elle tourne le dos aux gardiens et parvient à la faire glisser sur ses magnifiques cuisses admirablement dessinées par la mère nature, tout comme son fessier si délicat à regarder.

Prestement penchée sur une table, la visite médicale commence aussitôt. L'infirmière met un peu de lubrifiant sur ses orifices intimes avant d'enfoncer deux doigts dans son vagin à la recherche de produit illicites. Pour Sabine, cette fouille intime est abominable à vivre, elle se contracte et souffre mais la mégère n'en a que faire. Son orifice anal est rapidement visité, elle n'a rien vu venir, l'infirmière est habituée à agir rapidement pour limiter les rébellions. Sabine n'a jamais eu aussi honte et pleure à chaudes larmes sous l'intrusion obscène. Après ça, le thermomètre planté dans ses fesses est presque une formalité dans sa déchéance. La prise de s a n g imposée et l'observation de sa cavité buccale sont si peu de choses par rapport à l'humiliation, qu'elle ne réagit plus. Les deux gardiens précédents entrent et rejoignent leurs collègues appuyés au mur. L'un d'eux sifflent en la voyant nue, son commentaire pourtant élogieux sur sa beauté broie ce qu'il restait de fierté à Sabine, du moins le pense t-elle. L'infirmière lui demande si elle souhaite aller aux toilettes en désignant un wc sans porte, faire pipi devant toute le monde est impensable pour Sabine qui préfère se retenir.

  • Bien, alors couchez-vous sur la table je vais vous préparer pour la cellule de quarantaine.

Brisée, Sabine s'exécute et s'allonge sur la table quand soudain elle voit arriver l'infirmière avec une grosse couche pour personnes âgées et incontinentes.

  • Mais c'est pourquoi faire ça ? Demande Sabine aussi surprise qu'horrifiée à l'idée de porter une couche.

  • En cellule de quarantaine il n'y a pas de toilettes, nous devons tout récupérer si besoin est. Soulevez vos fesses et ne m'obligez pas à demander aux gardiens de m'aider.

Totalement laminée dans sa fierté et son honneur, elle obtempère en soulevant ses fesses pour que l'infirmière puisse glisser la couche sous ses reins, offrant son anatomie la plus intime au regard de la mégère. Toute l'horreur de la situation s'installe dans la tête de Sabine lorsque l'infirmière lui indique qu'elle doit la raser pour des raisons d'hygiène et pour la suite de son séjour. Sabine ne peut concevoir ce qu'il lui arrive, elle repousse l'infirmière arrivant avec ses ciseaux et un rasoir. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, les gardiens sont sur elle et lui bloque les bras.

  • C'est bon gros pédés, arrêtez de mater je me laisse faire ! Lance Sabine furieuse avec des envies de meurtre.

L'infirmière leur fait signe de reculer, ils obéissent comme à regret pendant l'effeuillage du minou ne tardant pas à devenir glabre. Comme elle ne s'est pas rebellée, la mégère lui met un peu de talc pour diminuer l'échauffement avant de refermer la couche à laquelle elle rajoute de gros scotchs pour qu'elle reste bien en place. Elle lui donne ensuite la robe normalisée, une robe grise proche de la robe bure des moines en lui demandant de se vêtir.

Aussitôt fait, elle est accompagnée tenue par les bras à la cellule de quarantaine qui lui est réservée. Les gardiens lui demandent de s'étendre sur la couchette, à peine allongée ils lui entravent les poignets et les jambes lui interdisant ainsi toute possibilité de retirer la couche ou même de se jeter dans les murs pour se blesser comme l'ont fait certaines en proie à des crises d'hystérie. Lorsqu'ils sortent de sa cellule, le bruit très significatif d'une grosse serrure se fait entendre, pourquoi l'enfermer alors qu'elle est attachée ?

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  • Tu as vue les nouvelles ? Demande Béatrice à sa copine de service pendant la pause syndicale en se servant un café.

  • Oui, cela va encore nous donner du travail.

  • Il y en a une c'est un vraie canon ! Répond Béatrice.

  • Oh oh, j'en connais une qui va encore profiter de la situation et me demander le la couvrir.... Répond son amie.

  • Je ne pense pas être la seule.....

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Ce roman fait 32 pages PDF

TSM

NOTE DE L'AUTEUR Ce roman était publié ici gratuitement mais comme je n'avais aucun commentaire, ni même un j'aime, (1 clic.... ) je l'ai retiré de Fessestivites pour le mettre en vente sur Les plaisirs-interdits.com.

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Sur mon site plaisirs interdits, les histoires sont :

  • Complètes (Je n'aime pas les histoire où on attend la fin qui n'arrive jamais, alors je ne le fais pas).
  • Elles sont plus longues et plus soignées.
  • Parfois TRES hard dans la ""zone rouge""

PENSEZ à cliquer sur "j'aime" cela fait plaisir aux auteurs et n'use pas la souris. (promis)

Ca c'est bien vrai, les commentaires sont aussi rares que les like. Cette histoire commencent bien, je vais de ce pas, pardon clic, aller lire la suite.
J'ai eu le plaisir de lire ce roman avant que TSM le retire de la zone gratuite. Il est carrément passionnant et envoutant. On se demande à chaque chapitre ce qu'il va arriver à cette pauvre fille.
Ah, précision, j'avais écrit à TSM pour le remercier et discuter de ce que j'appelle, son œuvre d'excitante perversité.
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