Sentiments de Marina (suite à un séjour chez Fessestivites.com

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il y a 12 ans

Sentiments de Marina.

Vauvert les 16 et 17 mai 2011

Aller chez nos AMIS TSM de www.fessestivites.com est toujours un plaisir, que dis-je un VRAI bonheur et l'excitation grandie à l'approche du départ.

Marina doit mettre sa cage de chasteté et revêtir une jupe légère mais sage (dessus du genou) avec un petit pull fin et blanc par-dessus un ensemble string soutien gorge du meilleur effet.

En voiture tout le monde ! Mais avant il faut relever la jupe, baisser le string afin que maîtresse Xtia s'assure de la mise en place de la cage et ferme le cadenas. C'est toujours un petit cérémonial qui humilie la soumise et amuse la maîtresse qui l'agrément par des phrases courtes mais piquantes du style « et voilà!, clic!, Enfermée pour un bon moment, tu peux plus rien faire, etc. etc. ».

Je conduis donc mes maîtres sans soucis, ma jupe relevée sur mes cuisses en les écoutant converser mais mon esprit s'interroge : que vont-ils me réserver comme surprise, car je connais l'imagination de Marc et Marie qui décuple en présence de Shift et Xtia.

Il est minuit.....nous franchissons le portail des TSM, le panneau « chien méchant » nous met en garde nous sommes nous bien chez eux. Pourvu qu'ils l'aient enfermé ??? Ouf, oui et Marina reconnaît bien ces lieux où son ADN de plaisir est partout.

Pattes de velours les maîtres partent dans la chambre mise gentiment à leur disposition par nos hôtes et Marina rejoint la petite chambre adjacente au bureau de Monsieur TSM. Impossible de trouver le sommeil, le café, la conduite, l'isolement, l'excitation, le port de la cage ? Certainement un mélange de l'ensemble.

Le bruit du briquet, l'avertisseur sonore de windows / Monsieur TSM est levé et se met au travail, Marina s'étire et sort lentement d'un assoupissement plus que du sommeil. CouCou, les deux complices s'embrassent, heureux de se retrouver. C'est vrai que du bonheur et celui-ci décuple en voyant Marie, quelques minutes après. On est si bien ensemble, et les conversations partent dans tous les sens, de la santé à la famille, du travail aux joies du cul .....et, on en remet une couche lorsque Shift et Xtia/Diane se lèvent.

Marina aide la maîtresse de maison et assure le service, la cuisine des TSM n'a pas de secret pour elle. Mais elle est toujours trop bavarde et ses remarques sont souvent (pardon toujours) la cause de départ de jeux (pardon sévices et dans sévices il y a vice hihihi). Elle se retrouve sur les genoux de Maîtresse Miraë pour recevoir une bonne fessée qui devient plus douce.

  •     tiens bizarre des caresses avec un ustensile inconnu ?
    
  •     tiens bizarre, ça pique !
    
  •     aie aie aie non pas les orties !
    

Ce n'est plus une ortie mais un bouquet d'orties qui frappent mon joli postérieur.TSM ajoute un papier sur mes fesses et fait des photos, pourvu qu'il fasse vite, ça pique !!!!!

Sous les rires Madame TSM me lâche et je fonce me frotter le cul sur le crépi du mur. Rien n'y fait ça pique, ça brûle, que dis-je ça chauffe, même les couilles en ont pris et surtout lorsqu'il me faut m'asseoir sur le fameux bouquet et que ... ...Oh ! Le bonheur !, Maîtresse Miraë vient s'asseoir sur mes genoux en sautillant.

Et bien pour dire vrai, la sensation de brûlure laisse place à une chaleur piquante fort agréable : calmée, maîtrisée, je me sens bien.

Je garderai longtemps cette douce chaleur sur mes petites fesses. Un petit maquillage léger et nous partons avec Maîtresse Miraë vers les dessus de Nîmes à la cueillette de genévrier, appelé cade, dans la garrigue locale. Très odorant, je croyais naïvement au début que c'était pour faire des grillades mais qui en somme deviendront un nouvel instrument de châtiment. On commence à sentir l'approche des « érections » de 2012, avec une nette tendance vert aujourd'hui.

Je suis super bien en fille lors de cette promenade bien agréable à la découverte d'une flore particulièrement riche.

A notre retour Monsieur TSM nous annonce une bonne nouvelle, notre ravissante amie Déborah sera des notre pour la soirée et tout le monde part se faire une beauté et préparer un dîner simple mais au combien appétissant.

Et devinez quoi ? Il a fallu essayer les rameaux de cade ramassés dans l'après-midi. Trois jolis culs exposés, jupettes relevées et une bonne fessée. De magnifiques petits points rouges sanguinolents décorent désormais ces magnifiques fessiers que l'on s'empresse de désinfecter (on ne rigole pas avec la santé chez les TSM).

Diane sert de cible à un Guillaume Tel armé d'une sarbacane et qui expédie de petites fléchettes sur le joli cul de cette soumise. Je reconnais craindre ce spectacle et parts effectuer mes tâches ménagères étant la soubrette d'un soir et portant à se titre une petite robe noire agrémentée d'un petit col en dentelle blanche et d'un adorable tablier blanc. J'adore cette tenue qui me va à ravir. Impect pour le service et surtout pour ma fonction : au service des Maîtres(ses) et autres soumises étant aussi : « la soumise des soumises » joli terme, non ?

Et puis soudainement on prépare une cérémonie : mise ne place d'une solide table dans le salon (c'est vrai la fraîcheur du soir nous oblige à rentrer. Mais que se passe-t'il avec en prime l'annonce du Maître des lieux qui nous installe à genoux sur des coussins Diane Déborah et moi.

Il laisse ensuite la parole à Maître Shift qui très solennellement annonce et surtout demande à Diane (qui ne l'oublions pas est Ma Maîtresse Xtia) si elle accepte de recevoir la marque d'un « S » au feu rouge en signification de sa soumission et de son appartenance. Il est très ému, au bord des larmes, se soutien au buffet.

Personne ne dit un mot : Diane met du temps, émue elle aussi à répondre et accepte. Pas un bruit, notre petite assemblée a conscience de l'importance de cette décision et reste sans un mot. Le Maître des lieux demande si quelqu'un émet un avis contraire tout s'arrêtera. Il me regarde, me comprends, sais ce que je ressens. Mon cœur bat très fort, je ne peux m'y opposer, l'emplacement reste discret et puis c'est leur choix. C'est ce que je dis. Cependant j'ai mal, mes sentiments se bousculent.

D'un coté je les admire, les envie d'un autre j'ai trop peur de la perdre définitivement. Elle, est ma femme mais depuis près de deux ans ma Maîtresse, lui mon ami et pareil mon Maître. Je suis moi aussi leur soumis(e) avec un contrat de soumission dont j'aimerai tant qu'il soit actualisé et désormais je sais que je ne pourrai vivre sans. Tout s'emmêle en moi.

Un vertige me prend, j'ai peur, je pars rejoindre Déborah dans la cuisine qui elle aussi a besoin d'un verre. Je fume même une cigarette.

Un problème technique survient : le « S » c'est dessoudé de la tige permettant le marquage. La cérémonie doit être annulée et reportée.

Le maître des lieux oriente la soirée vers une fessée des soumises qui sagement oriente leurs fessiers vers les instruments multiples maniés par Maîtresse Miraë, Maître Shift, Maître TSM,

Sur un autre monde, je ne sens plus rien, que des caresses celles du martinet, du fouet, de la cravache et des douces mains de Miraë. Je suis au bord du plaisir mais tout s'arrête pour que tout ce petit s'orient vers un postérieur, celui de Diane, qui rapidement prends des teintes que je qualifierai d'arc en ciel.

La soirée se termine je raccompagne Déborah à sa voiture, je l'adore, elle est belle, simple, douce.

A mon retour Monsieur TSM essaie de me mettre un petit, tout petit plug, mais je fais ma chochotte, stresse et coince (j'en suis pas fier du tout, mais alors pas du tout, heureusement que Maîtresse Xtia ne relève pas). Il me fait revêtir une couche, puis trois ou quatre culottes plastiques, gainants, et un baby gros fermés au col par un cadenas ! ! !

Impossible de se déshabiller. Heureusement il m'a fait enlever la cage avant, ne pas pouvoir la réajuster aurait été douloureux. Un petit bisou à tout le monde et je suis expédié dans ma petite chambre. Impossible de trouver le sommeil. Je suis bien trop excité, les couilles pleines et la vessie aussi.

Je compte les cloches des heures qui défilent. Je m'excite tout seul dans mon petit lit et je reconnais que je fantasme sur les baillons boules aperçu chez nos amis : des vrais pas des trucs d'amateurs.

C'est vrai je suis tellement bavarde, ma Maîtresse me le dit souvent. Je fantasme aussi sur les menottes réalisées par Déborah. Là aussi pas des trucs où le roi de l'évasion n'a pas besoin d'une grande expérience pour prendre la clé des champs. Deux heures, j'ai trop envie de pisser et décide d'aller faire un tour dehors. Ce n'est pas une bonne idée et petit à petit j'urine dans la couche. Pas facile car ma petite queue a été positionnée vers le bas et avec toutes ces culottes, elle ne peut pas se redresser avec l'érection.

Entre ça et la couche il m'est donc difficile de pisser, mais c'est un plaisir fou et surtout nouveau. Calmé je me recouche ne sentant pas trop l'humidité de ma couche et pense m'endormir enfin. Deux heures après, re-belotte, la vessie est de nouveau pleine. J'essaye de lutter mais rapidement abandonne et pisse par petits jets pour mon soulagement et aussi par plaisir.

Et oui, je crie même comme si j'éjaculais. C'est surprenant et très fort. Dommage que je sois seul, loin de tout le monde, mes Maîtres me manquent, je ne peux même pas les entendre. Deux heures plus tard et à quelques secondes de l'arrivée de Monsieur TSM, troisième « éjaculation » de jus doré. La couche doit être pleine et je suis surpris de ne pas avoir de fuite. Bonne qualité et/ou bonne expérience des TSM !

Je suis libéré de mes couches grâce à un coup de chance terrible aux dés. En effet je dois être libéré en fonction du nombre d'heure figurant sur un dé que je m'empresse de lancer sur la table après le petit café matinal. 1 super ! libération dans l'heure. Une bonne douche me fait le plus grand bien. J'enfile un petit haut et une jupette à dentelle blanche. On attend le levé de mes Maîtres qui tarde un peu. Ils profitent du lit confortable de nos hôtes.

L'après-midi jeux de vilains, jeux de mains ou l'inverse, j'ai le cul douloureux et supporte plus difficilement les fessés. J'assure le service, reçois une superbe fellation de ma maîtresse mais ne peux pas éjaculer. Je pense que c'est du à trop d'excitation et aux épreuves de la nuit. En contrepartie je dois nettoyer le cul de ma maîtresse après un fist anal bien mené par notre Maître. Un plaisir.

C'est l'heure de ne pas abuser de nos hôtes, la voiture est chargée, un petit ravalement de façade (maquillage) et on prend la route. Les au revoir sont toujours difficiles. Encore de bons moments passés et encore de beaux souvenirs inoubliables et aussi tant et tant de choses à raconter. Heureusement nous regarderons les photos.

Marina

 

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