Une histoire vraie que j'ai vécue sous camisole

Catégories : Bondage Shibari Kinbaku
il y a 3 ans

Je n'avais aucune expérience, mais des que je voyais une photo de quelqu'un avec une camisole j'étais excité. Puis je me suis inscrit sur un groupe de discussion qui parle de camisole. J'ai alors lance une annonce en espérant rencontrer quelqu'un sur paris qui en possède une et qui accepterais de m'y mettre.

Un homme m'a alors répondu puis il m'a donné très rapidement son téléphone. Moi je préférais tout d'abord en savoir un peu plus, et tenter de dialoguer en posant des questions. J'ai su ainsi qu'il habitait pas très loin de chez moi, qu'il avait une camisole de type FETTERS, et qu'il avait déjà pas mal d'expérience. Puis je l'ai appelé. Cela ne m'engageais à rien, et on pouvait ainsi être plus franc. Il m'expliqua que pour lui les dialogues sur le net ne font pas avancer grand chose, et que ce qu'il voulait c'était du concret.

Il me précisa de plus qu'il était hétéro et que les relations de sexe ne l'intéressaient pas du tout. Moi ça me plaisait énormément, car j'étais sur la même longueur d'onde que lui. Son discours me mit en confiance. Je décidais donc, après quelque jours de réflexion de tenter l'expérience. Il fallait que je fasse cela sans que ma femme le sache. Ce qui en plus ajoutais du piquant a l'histoire. Donc je pris la décision d'y aller un soir ou j'aurais du avoir du sport.

Le soir venu, je pris mon bâillon boule que j'avais promis de prendre avec moi, fis mon sac de sport comme si de rien n'était, et je partis vers 20h00 de chez moi. Je m'arrêtais à la 1ere cabine téléphonique et l'appela pour lui dire que j'arrivais. On précisa certain point. Il voulait me bander les yeux des mon arrive chez lui. je dis que je ne préférais pas car comme c’était une nouvelle expérience j'angoissais un peu. Il accepta. De plus je voulais aussi voir quand il allait me mettre la camisole. Depuis plusieurs jour j'imaginais cette scène, et donc je voulais voir.

J'arrivai chez lui vers 21H10. Il me fit entrer et finit sa conversation au téléphone. Quand il raccrocha il me demanda si j'étais toujours d'accord. Mon coeur battait fort. Un peu hésitant je dis que comme j'étais là ce serait bête de faire demi tour. Alors sèchement il me dit:

OK. Met toi à poil et bâillonne toi. Je me déshabilla alors, complètement, mis mon bâillon et attendis. Il était parti chercher la camisole. J'angoissais. Je trouvais le temps long. Seul dans le salon, nu, bâillonné. Et si quelqu'un d'autre entrait?

Puis il arriva avec la veste. Elle était imposante, et pleine de sangle de cuir. Il m'enfila alors les deux bras dedans et commença à attacher les sangles dans le dos. Pendant ce temps je testais la toile. Et je fus très surpris. La toile était vraiment très épaisse. Puis il me fit écarter les jambes et attacha les lanières qui pendait devant. Il pris celle de droite, la passa entre ma cuisse et mes testicules et la fixa derrière. Il fit de même avec la sangle gauche. Il me prit ensuite le bras droit qu'il rabattit à gauche et le bras gauche qu'il rabattit à droite. Il prit soin de passer chaque bras dans des sangles de cuir fixées sur les cotés. Et il attacha les deux bras dans le dos.

J'étais complètement à sa merci. Je remuais mes bras devant mais de toute manière je ne pouvais pas faire grand chose. Puis il me fixa une lanière sur le torse afin de fixer les deux bras ensemble. Il me laissa ainsi et alla s'asseoir pour me voir me débattre. Moi je gesticulais, et essayait de me défaire de cette camisole. Mais j'étais vraiment bloqué. Il me narguait en me disant que des gens restaient ainsi pendant 20 ans. Et quand j'essayais de dire quelque chose, il me disait qu'il ne comprenait rien. Je ne pouvais pas me défaire, et je ne pouvait rien dire. Je n'arrivais même pas a exprimer mes impressions. Il se leva puis me dit:

  • Alors tu te libères ! Tu crois que c'est cette lanière devant. Tiens je vais la défaire et tu verra que ça ne changeras rien.

Il défit alors la lanière. Mes mouvements étaient plus amples, mais je ne pouvais toujours rien faire. J'essayais de faire glisser la camisole sur mon épaule droite mais je n'y arrivais pas. Je tenta alors de pincer avec mes doigts la toile pour la tirer, mais la toile était tellement épaisse que je n'arrivais même pas a la prendre. Au bout de quelque minutes, il se leva d'un coup sec et dit : Bon maintenant passons aux choses sérieuses.

Il me resserra la camisole dans le dos. Mes bras s'écrasaient encore plus contre moi. Il refixa la sangle devant et parti du salon. Moi je tournais en rond. Que va t'il se passer. Je le vis revenir avec une barre d'écartement à la main. Je ne pourrais même plus bouger dans le salon me dis-je. Ce fut plus que cela. Il me tira par un anneau du coup jusque dans une chambre et me jeta sur le lit.

Il me retourna sur le dos et me fixa la fameuse barre. J'étais les jambes écartée et je ne pouvais pas bouger mes pieds. Cette barre m'empêchait de tourner mes chevilles. Il me l'avait bien serrer. Je me débattais encore plus. Je luttais. Impossible de me mettre sur le bord du lit pour m'asseoir. Puis commença a me chatouiller. Je remuais énormément, et je grognais car je n'aime pas les chatouilles. Mais le pire fut à venir.

Il prit une corde. Il fixa la corde d'un cote sur la barre, et de l'autre cote sur la camisole entre les jambes. Puis il tira sur le corde, ce qui fit rapproche la barre, et donc m'obligeait a avoir les jambes pliées. Si avant j'arrivais encore un peu a bouger, ainsi attache je ne pouvait vraiment plus rien faire. Mes jambes n'avait plus aucun débattement. Je n'arrivait pas à glisser sur le lit. Je ne pouvais faire que des petits bons.

Il me dit : Ne bouge pas, je dois téléphoner.

Je me suis demande comment j'aurais pus faire. Je ne pouvais vraiment plus bouger. J'étais dans une position assez inconfortable. Sur le dos, les bras que je ne pouvais bouger, les jambes, avec lesquelles je ne pouvais rien faire.

Je le vis revenir, et il ajoutât: Ne fais pas de bruit. Avec mon bâillon je ne sais pas non plus comment j'aurais fait. Je ne sais pas depuis combien de temps j'étais ainsi, mais je bougeais afin d'essayer d'être un peu plus confortablement installe. Le bâillon me gênait pour respirer. Les chevilles commençaient à chauffer. Mes avant-bras me grattait un peu a cause de la sangle devant, et la toile sur mon épaule gauche commençait un peu a me scier. De plus la camisole me tenait chaud et comme j'étais installé sur une couette, j'avais chaud. Je le voyais qu'il ouvrait régulièrement la porte comme si il voulait s'assurer que je ne m'étais pas enfuis.

Quand il eut finit de téléphoner, il revint et la se consacra complètement à moi. Il attrapa alors une écharpe et décida de m'ôter la vue. Ce vue encore plus angoissant. Il recommença alors à me gratter la plante des pieds. Cela me fit sursauter et bouger dans tous les sens. Il insistât alors. Le pied droit puis le gauche. Cette maudite barre m'empêchait de me soustraire a ses doigts. Je grognais. Je ne pouvais faire autrement avec le bâillon. Puis il me dit que j'étais complètement à sa merci. Que si l'envie lui prenait, il pouvait très bien prendre un couteau et me couper les testicules. Il me les titilla du bout du doigt histoire de me prouver la véracité de ses paroles. Et effectivement j'étais complètement à sa merci.

Puis il arrêta de me chatouiller et restât là, à coté de moi pendant 1 minute sans rien faire. Je le sentais la, et j'angoissais car je me demandais ce qu'il mijotais. Le fait de rien voir, et sachant qu'il était la était stressant. Puis tout d'un coup sans rien dire il me frappa sur le thorax. Je sursautais et hurlais en même temps. Je pensais qu'il me chatouillerais encore. Je ne m'attendais pas à recevoir un coup. A ma réaction, il jubilait. Il était fier du résultat. Il ne pensait sans doute pas que je réagisse si bien. Il recommença plusieurs fois, et à chaque fois je sursautais. Je ne voyais pas venir les coups, je ne pouvais rien prévoir, rien anticiper. Maudite écharpe!

Puis il décida de me changer de position. Il me mis sur le ventre et me défis complètement les bras. J'étais content car je me disais que j'allais enfin pouvoir souffler un peu. Mais c'était trop espérer. Il me dit que certaine personnes lui avait fait remarquer que d'avoir les bras attachés dans le dos plutôt que sur le ventre était plus contraignant et plus difficile à supporter. Il me laissa donc sur le ventre et m'attacha les bras dans le dos. Effectivement c'était encore pires. Les épaules me firent rapidement mal, et comme j'étais sur une couette moelleuse, je n'arrêtais pas de gesticuler afin d'arriver a respirer correctement.

Enfin il me détacha les bras, me remit sur le dos, défit la corde qui me bloquait les jambes, enleva la barre retira l'écharpe, me remit sur mes pieds, et m'enleva la camisole. Je retira le bâillon de ma bouche et souffla. J'étais en sueur et essoufflé. Quand enfin je fus en état de parler il me demanda si c'était ce que j'avais voulu. Je lui dit que oui. Il partit et revint avec un CocaCola. Je bus alors quelques gorgées et regardais la camisole. Elle était trempée par ma sueur. Je fus très surpris. Je n'avais franchement pas l’impression d'avoir autant transpiré. Il me confirma que tout d'abord la camisole tient très chaud mais en plus le fait de remuer dedans n'aide pas. Une fois que j’eus repris mes esprits, et mon souffle, je me rhabilla donc.

Avant de partir, l'homme me proposa une prochaine séance mais plus intense que celle que je venais de vivre. Je lui répondis que je le re-contacterais plus tard et puis je suis partis.

Je repense très souvent à cette séance, qui fut très forte, et que j'ai bien aimée.

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Je ne savais pas qu'on pouvait lier les bras derrière avec une camisole. Merci pour l'info et ce récit.
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