Les vacances tant attendues sont enfin là... Elle sort de la gare d'Avignon avec son sac (contenant quelques surprises...) et répond à son portable : c'est lui, il arrive ! Elle le rejoint dans sa voiture et ils prennent la route du pays aventureux.

Au premier coin tranquille, elle lui demande de se garer ; une fois tranquilles, ils s'embrassent et se câlinent... Elle descend son short, le caresse de sa douce bouche jusqu'à qu'elle le sente dur comme de l'acier. Elle se saisit alors d'une cordelette dans le sac, fait un noeud à la base de ses bourses puis fait plusieurs tours serrés, le saucissonnant jusqu'à ce que l'étirement des bourses décalotte son gland gorgé de sang et serre ses testicules qui ne forment plus qu'une boule unique à la peau serrée, séparée et étirée du reste de son corps par un saucisson de corde.

Elle fait maintenant un autre saucisson à la base des parties sexuelles, tout en serrant la base de son méat afin qu'il ne perde pas de son allure ; elle rajoute quelques tours de corde afin que les deux saucissons soient au maximum de leur longueur possible puis termine par une boucle à la base des testicules, laissant pendre 50 cm de cordelette. Par gourmandise, elle laboure chaque lobe de son gland, l'ouvrant de ses dents puis le forçant à rentrer puis sortir entre ses dents serrées dans sa bouche presque refermée jusqu'à ce qu'il soit strié et enflammé sur chaque millimètre; alors, sans prévenir elle croque un coup dans la boule serrée, y laissant la trace de ses dents et le faisant sursauter puis mâche son gland, le faisant s'agiter. Elle le rhabille alors et ils reprennent la route ; la main de l'homme couvre ses douces cuisses de tendres caresses qui effleurent parfois, à travers sa culotte, sa clé du plaisir si sensible ; elle le câline tendrement dans les cheveux, la nuque, met la main dans son short et caresse son intimité si bien offerte.

Elle ressent un besoin naturel ; elle se retient jusqu'à ce qu'elle voit une forêt qui va lui offrir un havre propice. Elle s'isole avec lui dans les buissons et sort de son sac deux bracelets reliés par une corde ; elle attache un bracelet à chaque poignet et ajuste la corde de manière à ce que les poignets soient fixés de chaque coté du corps puis elle baisse son short et tire sur la cordelette attachée à ses bonbons appétissants, tirant ses parties entre ses cuisses pour les relier à la cordelette des poignets ; elle le fait alors allonger sur le dos.

Elle fixe un bracelet à chaque cheville et relie bracelet de cheville - poignet - autre cheville - poignet. Elle fixe alors, avec une cordelette, les testicules à un arbuste; il est maintenant attaché sur le dos, poignets bloqués de chaque coté de son corps, jambes écartées et repliées serrées ; il ne peut plus faire un seul mouvement qui puisse la déranger.

Elle s'assoit alors sur son visage, enfonçant dans sa bouche l'orifice qui va se soulager : ses tendres et parfumées lèvres verticales ou son secret petit oeillet plissé ; elle le contrôle avec son pied prêt à punir mes parties bien saucissonnées.

Elle se soulage lentement, le forçant à bien tout avaler et se fait nettoyer de sa langue après l'avoir ainsi abreuvé ; elle se sent maintenant bien propre, soulagée mais toute excitée ; se penchant en position de 69, elle lui ordonne de la caresser jusqu'à la jouissance tandis que de sa bouche elle alterne douces caresses et morsures de son gland, comme si elle voulait le dévorer pour le punir d'une si longue absence. Enfin, la jouissance arrive et le plaisir la submerge, la laissant pantelante entre ses bras ; elle le délivre de ses liens et de son saucisson et ils reprennent la route : une soirée tendre, romantique mais aussi avec des jeux hors du commun les attend.

Olivier

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