Récits
Mémoires d'une femme libre
il y a 1 semaine

En hommage à son Maître.

Au commencement J'ai toujours aimé utiliser les chaises à l'envers. Depuis la fin de mon e n f a n c e ces positions un peu cavalières me troublent délicieusement. Les jambes de part et d'autre de l'assise, les bras croisés sur le dossier, ma petite chatte se sent bien. Au début le simple contact sur le siège à travers mes vêtements me suffisait. Et j'ai vite appris à la frotter discrètement, en particulier sur les revêtements de cuir. Sur ces matières, j'ai compris très tôt que ce serait beaucoup mieux sans culotte. Et je l'ai fait le plus souvent possible, à l'abri de mes belles jupes de jeune fille, délicieusement troublée par la peur de l'interdit. Toutes les deux, nous nous sommes échauffées sûr toutes sortes de chaises, sur des poufs, sur le bord des banquettes, sur les accoudoirs des fauteuils ou des canapés... Aujourd'hui, comme moi, ma petite chatte est devenue grande. Bien écartée, elle adore toujours se frotter partout..., de préférence sur la peau des hommes... De...
fessé pour cause de chomage de Max Horber ( suite)
il y a 1 semaine

encore un petit extrait

- Allons ! allons ! cessez de vous montrer ridicule. Montrez moi plutôt votre derrière que l'on en finisse et vous pourrez partir. La malheureuse ne bougea toujours pas et l'infirmière renchérit. - Rechercheriez vous une fessée, Mademoiselle ? Y prendriez vous goût en mon cabinet ? - Je crois que c'est ça, Laissez moi m'occuper d'elle. Je prévoyais un peu son insolence et j'ai pris ce qu'il faut pour la mâter. fit la mère… Progressivement, sa mère cessa de la fustiger et lui demanda : - Mademoiselle a-t-elle été bien servie ? - Oh ! oui maman… - Mademoiselle sera-t-elle bien sage et se prêtera t'elle à ce que demande l'infirmière ? - Oui maman… oui… Oh ! mon derrière… - Et bien, tends le, ton derrière. Et écarte bien tes cuisses que ton sexe apparaisse. C'est pour ton bien et ta santé que l'infirmière va t'examiner. Pour examiner, elle examina et, en même temps, comme elle l'avait annoncé, lui reprit sa température, 37°5. Elle sonda et inventoria mêm...
fessee pour cause de chomage
il y a 2 semaines

le titre veut tout dire ; ici c est la première version de 1960 notre héroïne ,sans travail accepte un emploi chez une infirmière . bien sur le livre n est pas écrit par moi la suite si ca vous plait

La soubrette ne répondit point et gagna l'office. Je sentis le regard de Gwladys se poser sur mes fesses, - avant de lire mon courrier, je me propose de vous soumettre à un autre test que vous devez connaître, venez vous allonger sur mes genoux. Je n'osais pas discuter et inquiète je me disposais comme elle me le recommandait ; je l'entendis ouvrir un tiroir et la crainte d'une nouvelle fessée me dissuada de tourner la tête. Un léger tintement de verre m'alerta, un thermomètre ! Gwladys se préparait à me prendre la température et ma position par elle-même me laissait deviner où. - noooon madame, je vous en supplie, je ne suis plus une petite fille, je n'ai plus reçu le thermomètre là depuis mes douze ans ! - mais si Sandrine, vous venez bien de recevoir la fessée et je vous assure que votre petit orifice s'ouvrira à la pénétration du thermomètre ; c'est fréquent ici, alors tenez vous Lorsque je sentis qu'elle écartait mes deux globes et que son doigt mouillé se posait su...
ma femme a pu faire caca
il y a 2 semaines

histoire trouvée sur un site " médical" dont je ne suis pas l auteur

. Il y a 3 jours nous sommes allés chez ses parents et j'en ai profité pour récupérer une boite de suppositoires qui se trouvait dans une boite à pharmacie fixée au mur dans les toilettes. Je suppose que ses parents sont en permanence constipés : j'avais remarqué qu'il avaient des dizaines de boites de suppo à la glycérine dans cette pharmacie. Une fois rentrée à la maison, je dis a ma femme : "au fait es tu allée au toilettes ?". Elle me réponds " non, toujours pas". Je l'informe donc du fait que j'ai récupéré une boite chez ses parents. Elle n'a pas l'ai plus surprise que ça car elle a du voir elle aussi qu'ils en ont un stock conséquent. Mais elle me dit qu'elle préfère attendre demain au cas ou elle irait aux toilettes ce soir. Le lendemain matin après le ptit dèj je lui demande ce qu'il en est et elle me confirme n'avoir toujours pas été aux toilettes ni la veille, ni le matin. Elle me dit " ok, je vais mettre un des suppositoires que tu as ramenés". Etant excitée à l'idée d...
Alpha et Oméga Partie 2, chapitre 3
il y a 2 semaines

La suite des aventures de Cassandra et sa petite bande

Une semaine plus tard, je recevais un coup de téléphone de Liz, me suppliant de venir avec eux au club, le samedi. Comme d’habitude, je me suis laissé convaincre… Sauf, que je ne faisais que jouer les accompagnatrices. En aucun cas, je ne participerai au show. Je portais donc une petite robe rouge dos nu, cintrée à la taille et des escarpins noirs. Mes mèches de devant étaient retenues par une pince et le reste de ma chevelure était libre. J’étais sagement assise à une table, pendant que Liz et Fitg, étaient partis se préparer pour leur représentation. Enfin sagement... Mes yeux suivaient avec un intérêt certain, l’homme en train de libérer son modèle des cordes, sur la scène. Pourquoi cet intérêt me direz-vous ? Parce qu’il ne s’agit de nul autre que de Luc. Surpris ?? Alors imaginez-moi, quand je l’ai vu monter sur scène sous le pseudonyme de Maître Attila ! Je suis tellement plongée dans ma contemplation, que je ne sens pas la personne arriver à ma table. Je la vois uniquement,...
Retrouvailles BSM
il y a 1 mois

Après une période d’abstinence, le désir complice est si fort que la moralité n’a plus sa raison d’être

Il y avait bien longtemps qu'il ne l'avait plus regardée avec ses yeux-là. Depuis quelques semaines elle n'était plus que la maîtresse de maison. Maîtresse est, à n'en point douter un euphémisme car elle n'en avait ni l'allure ni l'envergure. Petite, menue et ronde, elle semblait avoir été créée pour la soumission et l'avilissement. Insensiblement, ils s'étaient éloignés de ces pratiques SM qui leur avaient pourtant procuré tant de plaisir et pour lesquelles ils s'étaient, jusqu'il y a peu, voués corps et âme en dépit de toute moralité. Moralité à laquelle, d'ailleurs, ils n'attachaient aucune importance, bien au contraire, ils la considéraient comme une entrave aux plaisirs sexuels. Donner la raison de cet éloignement imprévu serait pour le moins fastidieux et inutile, mais, une chose était certaine dans la tête du Maître, il n'en pouvait plus de contenir ainsi ses fantasmes les plus lubriques et il était bien décidé à renouer avec ces usages totalement hors normes. Il voulait...
La salle des accessoires en fera une soumise comblée 4
il y a 1 mois

Visite de l’enfer d’un hôpital psychiatrique

Au sous-sol Le lendemain matin, ils sont allés travailler. Darlene et Joe ont parcouru le bâtiment principal pièce par pièce, prenant des notes sur tout ce qui attirait leur attention. C'était un travail ennuyeux et sale et leur prenait toute la journée. Joe a finalement appelé une halte à l'heure du dîner. Ils retournèrent à l'appartement du directeur. Pendant que Darlene prenait une douche, Joe réchauffait des aliments surgelés. Darlene sortit de la salle de bain juste au moment où le micro-ondes bipait. « Bon timing », lui dit-il. « Nous avons fait pas mal de choses aujourd'hui, plus que je ne l'avais prévu. Je suis presque sûr que nous allons au moins atteindre le seuil de rentabilité sur l'affaire. Le seul problème que je vois est l'espace d'entrepôt. Darlene hocha la tête en s'asseyant à la petite table à manger. « Je serai occupé à cataloguer pendant des mois. Où vas-tu stocker tout ça ? Joe s'assit à côté d'elle. « J'en vendrai une partie aux collectionneurs immédia...
La salle des accessoires en fera une soumise comblée 3
il y a 1 mois

Le week-end entier comme une captive dans un lieu inquiétant

« Alors, quand vais-je découvrir où se trouve la destination surprise ? » Se demanda Darlène. Elle et Joe Riordan, le propriétaire de la société d'accessoires de cinéma, étaient les deux seuls restants dans le bâtiment un vendredi en fin d'après-midi. Elle était assise à son bureau à l'arrière du bâtiment, dans le service comptabilité derrière l'entrepôt. Joe était assis sur le bord de son bureau. "Pas encore. J'ai quelques attractions à venir cependant. Vous voulez entendre la bande-annonce ? » Joe avait repris l'entreprise familiale il y a quelques années de son père. La ligne principale fournissait divers accessoires aux sociétés de production cinématographique et télévisuelle. Une activité secondaire lucrative consistait à vendre de vieux souvenirs de films, principalement sur Internet. Darlene, une directrice artistique en herbe, avait été embauchée pour cataloguer les accessoires lorsqu'ils étaient utilisés afin de documenter la provenance, l'histoire prouvée, comme l'exigeaie...
La salle des accessoires en fera une soumise comblée 2
il y a 1 mois

Le patron est très intéressé par cette employée en mauvaise posture.

Il tira la chaise dans l'allée et s'agrippa à son bras pendant qu'il l'y conduisait. « Asseyez-vous ici et dites-moi. Je ne suis pas pressé. Il semble que vous n'irez nulle part non plus. Il s'appuya contre le bureau, croisa les bras et la regarda. « Darlene, n'est-ce pas ? En comptabilité? Vous pouvez commencer par m'expliquer comment vous êtes arrivé ici. Je ne savais pas que nous donnions les clés du bâtiment à tout le monde. Toujours bouleversée d'avoir été découverte, elle a dû tenir ses mains ensemble pour les empêcher de trembler. Son expression sévère alors qu'il la dominait ne faisait qu'ajouter à sa nervosité. Elle a commencé par le vendredi après-midi, comment elle s'était endormie et s'était retrouvée enfermée dans l'entrepôt après les heures normales, et son plan d'attendre jusqu'au samedi matin quand quelqu'un viendrait pour le ramassage prévu. Puis comment elle s'était ennuyée et était partie à la recherche d'un film. Et enfin à l'arrivée inattendue au milieu de la nu...
La salle des accessoires en fera une soumise comblée 1
il y a 1 mois

La fabuleuse saga d’une femme piégée en selfbondage par son patron.

Une histoire à rebondissement que j’ai adoré car très réaliste. Darlene secoua la tête, essayant de rester éveillée. Un coup d'œil à l'horloge montra les aiguilles rampant lentement vers 15 heures. Il restait encore deux heures un vendredi après-midi avant un long week-end de vacances. Elle était la dernière dans le petit bureau comptable, couvrant tous ceux qui étaient partis plus tôt. Même le téléphone ne sonnait pas et elle n'entendait aucune activité dans l'entrepôt. Darlene travaillait depuis environ trois mois. En tant que membre junior du personnel administratif, elle s'était portée volontaire pour rester jusqu'à l'heure de fermeture lorsque le bâtiment s'était vidé à midi. C'était le monde passionnant de la réalisation de films, ou aussi proche qu'elle en était jamais venue. L'entreprise a loué des accessoires pour des productions télévisuelles, cinématographiques et théâtrales. Leur activité secondaire, petite mais très rentable, vendait des souvenirs de films. Les...
La folle journée de Sophia
il y a 1 mois

Mon mec venait de me quitter. effondrée, j'appelais ma belle soeur... qui décida de me remonter le moral à sa façon... Masi la journée fut entrecoupée de souvenirs plus ou moins... particuliers.

7h30. J’abusais… La sonnerie me montrant que l’appel était en cours résonnait dans mon appareil. - Allô. – me fit la petite voix de ma nièce Justine. - Bonjour ma puce – soufflais-je entre deux sanglots. – Tu peux me passer maman ou papa s’il te plaît ? - Pourquoi tu pleures Tata ? C’est Tata Sophia – dit-elle, je suppose à mon frère ou à ma belle-sœur – elle pleure… - Allô ? – me fit la voix douce de Karine. - Excuse-moi de te déranger si tôt, mais… - je m’effondrais en larmes – Raphaëlmaquittée. - Je n’ai rien compris. - Raphaël m’a quittée. – parvins-je à articuler. - Mince ! C’est arrivé quand ? - Hier soir. Il a pris toutes ses affaires. Il est parti avec une vraie fille. - Le salaud. C’est Sophia – traduisit-elle pour mon frère qui devait juste arriver.- Raphaël l’a quittée hier soir. - C’est un connard, je l’ai jamais aimé ! – me lança-t-il de loin pour que j’entende bien.- Je le trouvais pas clair. C’est arrivé quand ? - Hier soir. – lui répondit Kari...
L'importance des mots entre une soumise et sa maîtresse
il y a 1 mois

Dans une journée qui se voulait banale une soumise s’abandonne totalement à sa maîtresse.

Baignée dans un mélange de lumière bleuté et vermillon, j’ouvre lentement mes paupières alors que les premiers rayons de soleil traversent la baie vitrée qui donne sur le jardin luxuriant. Mon corps s’étire lentement, et à chaque battement de paupière, je reprends peu à peu conscience. La nuit a été courte, les sévices pour mon insolence lourdes. Alors que je redresse mon corps sur le sofa, mes yeux se posent sur la lettre sous le magnolia. La fleur est posée sur cette table basse, mais la lavande me menace. La lavande, ce brin, je sais ce qu’il signifie et elle le sait aussi. Symbole de la défiance, ma bouche pâteuse déglutie tandis que mes orteils se tortillent. D’un geste lent, mais élégant - Elle y tient - j’avance sans prudence ma main vers la lettre. Le sceau fait de cire serti d’un majestueux « M » est un indice qui m’échappe sur le moment. Je l’ouvre et y découvre un mot, ou plutôt une liste. Les yeux parcourent les lignes finement écrites, je me vois même jalouser cette callig...
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