Récits
La révélation : 5. Soumission.
il y a 2 mois

Suite et fin de la Révélation.

Régis se réveille en ressentant un bien être profond, enserré dans sa cage de chasteté et avec son collier de soumis. Cette première journée de week-end de soumission s’était divinement bien passée. Il a hâte de découvrir ce qu’Alicia et Clara lui ont concocté pour ce deuxième jour. Clara vient le chercher. Elle a la même tenue que la veille. Elle amène Régis au petit déjeuner, le tirant par la laisse. Il est nu avec de grandes chaussettes et des jambières jaune fluo à revers rouge vif, un plug en acier de quatre centimètres de diamètre équipé d’une queue de renard dans l’anus. Le petit déjeuner est sur la terrasse. Malgré un beau soleil, le fond de l’air est un peu frais. Régis a la chair de poule. Ses tétons se raidissent. La queue de renard lui caresse les cuisses. Son plug rempli son anus. Il se sent bien. Alicia est déjà là, vêtue elle aussi comme la veille. Elle lui a concocté un petit déjeuner très particulier. Sans attendre, elle lui ordonne d’ouvrir grand la bouche. Les de...
Salope à godes...
il y a 3 mois

Un matin...

Bonjour, Ce matin, je me suis abandonné à un de mes jeux favoris, les godes... Cela commence par une fellation sur mes amants de latex. J'aime celui-ci, 20.6 x 4.5, épais pour envahir ma bouche et long pour glisser dans ma gorge. Je suis excité, mes tétons pointent, je prends mes pinces à tétons et la morsure de ces dernières sur ma chair m'arrache des gémissements de douleurs et de plaisirs. Le gode glisse dans ma bouche, puis ma gorge séance gorge profonde commence. Je gémis, j'aime ça. Le gode m'étouffe, je résiste, bave, jusqu'à presque vomir. Il me baise la bouche. Mon visage est lubrifié, le gode glisse, je suis une salope, mon sexe coule un peu, je bave sur mes doigts et caresse mon sexe, puis je les lèches, caresse mon visage. Je sens l'odeur de mon sexe, le gout de ma mouille. Un doigt glisse entre mes fesses, c'est chaud, je le pose contre mon anus, il tourne, je le retire et je le lèche, je joue ainsi ma salive épaisse en guise de gel, le doigt rentre, je me do...
Soumise d’une domina saphique 4 et fin
il y a 3 mois

Recadrage et formation BDSM d’une soumise par une lesbienne amoureuse

[LE DEBUT DE CETTE HISTOIRE EST ICI](/recit/202901) Laurie m’a indiquée que je la frustrais et même que je l’ennuyais de plus en plus, avec ma timidité un peu exagérée et pudeur déplacée. Cette remarque fit mouiller mes yeux et me gêna beaucoup. Elle m’expliqua que les Maîtresses aiment montrer leur soumise ou leur soumis, dans certains lieux adaptés. Elle précisa pour que les choses soient bien claires, que cela ne pouvait évidement se faire n’importe où et que le but de ces petites exhibitions de partage, ne devaient jamais mettre en péril la vie sociale des personnes dites soumises. La discussion, presque un monologue tant ma gorge était serrée, dura un moment - De quoi as-tu peur ? D’être jugée ? C’est une erreur ! Dans des soirées privées ou lieux comme ici au gîte fétichistes, le regard des personnes extérieures est justement l’inverse de ce que tu penses. Prenons pour exemple, une fille nue à quatre pattes en train de manger dans une gamelle comme une chienne. Si cela pe...
ABDL chasteté et BDSM pour le cocu
il y a 5 mois

Attention, cette histoire est très cochonne, poussé au delà de ses fantasmes, le pauvre DL est réellement martyrisé par son épouse.

Ma femme est une petite domina salope d’amour, le mot salope signifie pour moi, une gourmande de sexe et n’a rien de péjoratif. C’est vraiment une perle sauf que cette fois, elle m’a poussé dans mes retranchements et à l’extrême dans mon cocufiage. Je vous raconte après quelques mots de présentation. Lorsque nous nous sommes rencontrés et mariés elle avait vingt ans et moi presque 40. Nous avons exploré tout le kamasoutra, aussi bien à la maison qu’en extérieur puis un peu le BDSM avec des jeux de rôles que nous nous amusions à inverser. J’ai remarqué qu’elle aimait bien prendre la main et diriger, moments de délire entre nous pendant lesquels Marie, est capable d’être une sacrée garce. Sans être vraiment cruelle, on peut dire qu’elle ne m’épargne pas, quand elle revêt sa tenue de domina, tenue pouvant parfois se limiter à un string. Avec elle, j’ai eu la confirmation que la tenue ne fait pas le moine ! Les soucis ont commencés suite à deux choses. Le premier est qu’avec l’âge...
La maison des soupirs partie 3
il y a 10 mois

Mesdames est servie

Deux jours étaient passés après notre séance de torture. Et Lily et moi allons faire notre première apparition en salle dans nos tenues de soubrette. Charlotte m’avait aidé à me préparer. Elle avait commencé par me passer mon corset autour de mon corps et bien qu’elle ne l’avait pas resserré à son maximum, j’avais l’impression d’avoir ma taille comprimée dans un étau. — On resserrera ton corset de plus en plus, jusqu’à ce qu’il soit totalement resserré ! m’avait-elle indiqué. Ce à quoi je répondis par un regard inquiet. Ensuite, elle m’avait passé ma culotte, une rose avec des froufrous gris, mes bas noirs, ma robe, mon tablier, mes chaussures à talon et pour finir mon serre-tête de soubrette. Bien que je n’avais pas encore les cheveux longs, Charlotte parvint à y placer deux petites pinces avec des nœuds roses. Pour finir de m’apprêter, Charlotte appliqua un vernis rose sur mes ongles et me maquilla. En me regardant dans le miroir, j’eus un choc. J’étais véritablement devenu Mar...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 106 : Un gros biberon
il y a 11 mois

Tout est question de convenance, comme le liquide et l’engrenage. Si l’eau est son ennemi, l’huile lui sied.

Chapitre 106 : Un gros biberon Ladyscar me sourit. Cette phrase n’était pas de moi. C’était une de celles qu’elle ressortait souvent en classe lorsqu’un de ses étudiants tombait dans le piège de ses exercices. Ce ne m’était jamais arrivé, je devais bien l’admettre, qu’importe ma modestie. J’avais d’autant plus apprécié sa philosophie que je n’y avais pas été personnellement affecté. Je ne m’étendrais pas sur mon nettoyage, même si certains détails appréciables seraient par d’autres appréciés. J’essayai même d’en occulter la vision comme l’odeur, me concentrant sur la conversation, trop heureux d’avoir retrouvé une bouche et une gorge dégagée, même si je l’eusse préférée entièrement rincée. Je ne trouvai au début rien d’érotique à cette activité, même si les huit mains recouvertes de leurs gants de caoutchouc, se promenant sur mon corps, mes fesses et mon sexe libéré. Ce n’est que lorsque la propreté revint, que je retrouvais certaines envies dont mon sexe s’en arbora fièrement...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 104 : Départ imprévu
il y a 11 mois

Une fois que l’engrenage s’arc-boute, forcer n’amène qu’à le briser.

Chapitre 104 : Départ imprévu Cette suite, elle ne se fit pas tarder. Tata Marguerite et Maîtresse Diane me firent sortir manu militari du parc, m’infligeant à tour de rôle de grosses fessées sans crainte que ma couche n’explose également. Chacune d’elle libéraient cependant du liquide de mon cul en actionnant le coulisseau du plug à chaque impact, mais je n’en étais plus à ce problème. Elles m’obligèrent à m’asseoir dans une chaise géante de bébé qui enclencha l’ouverture, libérant vers ma couche, cette fois sans discontinuité, le fluide que retenait mon corps. Aucun effort de mes muscles fessiers ne pouvait l’en arrêter puisqu’il s’écoulait dans le conduit interne de l’objet importé. Pourtant, malgré mon impotence, le fluide s’arrêta brutalement, coincé par un bouchon solide de déjection. Libéré par les produits laxatifs de la tétine et du lavement, et voulant emprunter le même chemin de liberté, il s’était coincé dans l’ingénieux mais fragile système du coulisseau. Les m...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 102 : La présentation du nouveau
il y a 11 mois

La présentation d’un nouvel engrenage est importante car comme dit le dicton, la première impression est souvent la bonne.

Chapitre 102 : La présentation du nouveau - La mauvaise nouvelle est, bien entendu, le contenu que tu devras absorber si tu décides de l’avaler, poursuivit Ladyscar. - Tu as deviné ce que c’est ? me demanda Tata Marguerite. Non, répondis-je à nouveau de la tête, sans trop forcer le mouvement, de peur que cela n’active involontairement son fonctionnement. - Nous l’avons remplie hier en boîte avec les filles, poursuivit Maîtresse Diane. Elles ont toutes mis un peu de leur jus, avec le plaisir de savoir que ce serait pour pourrir la bouche d’un gros bébé de dix-huit ans. Et comme c’était loin d’être plein, nous avons rajouté d’autres sécrétions. Quelles secrétions ? voulus-je demander. Non. Il était mieux que je ne le sache pas. Mais si, me souffla Lassie. Elle était encore bien là cette fois, surveillant et modifiant mes réactions naturelles, trouvant que j’avais été un peu trop cocooné depuis mon réveil. Elle en voulait plus. Elle voulait ressentir la marque du cuir et la...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 80 : Première domination
il y a 1 an

Agir au niveau du tableau de contrôle d’un engrenage est un acte de pouvoir et, à part Dieu, qui ne se laisserait pas entrainer

Chapitre 80 : Première domination Des spasmes la secouèrent et quelques secondes plus tard, du liquide fut projeté de son sexe. - Répète ! insistai-je, en me rendant compte de la marge qu’il me restait sur le plaisir ou la douleur que je pouvais lui infliger. - Libérez-moi, Maîtresse, demanda-t-elle cette fois en pleurant. - C’est mieux dis-je en rediminuant d’un cran cette même mollette. - Merci, bafouilla-t-elle. Oserai-je ? - Merci, Maître, la récriminai-je, la remontant de deux supplémentaires. - Merci, Maître, hurla-t-elle cette fois. Je la redescendis d’un, la laissant ainsi à quatre. - Plus bas maître, encore plus bas, s’il vous plait. - Que me donneras-tu en échange ? - Que voulez-vous ? Maître ? ajouta-t-elle à temps. Je ne m’étais pas posé la question. Elle avait apprécié, quand bloqué aux fenêtres, les valets profitaient de moi. Les impulsions électriques qu’elle subissait me rappelaient celle que m’infligeaient mes maîtresses. Tous ces...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 51 : Champagne
il y a 1 an

Soyez certain de savoir quelle roue entraine l’autre, l’évidence n’est pas toujours de mise.

Chapitre 51 : Champagne J’étais encore sur un nuage. Depuis qu’elle m’avait embrassé, tout me paraissait plus léger, moins conséquent. Nous redescendîmes dans le salon où les deux autres couples nous attendaient. Ben portait un plateau d’argent sur lequel ne se trouvait que trois entonnoirs se terminant par une forme phallique recourbée, évidée plutôt courte, le tout possédant un élastique de fixation. La conception des pièces aveint été fignolée et il ne manquait aucun détail. Elles semblaient plus artistiques que fonctionnelles. Voulaient-elles nous gaver comme des oies ? L’élastique se portait indubitablement derrière la tête et le phallus dans la bouche. - C’est la dernière épreuve de la journée. Ce n’est pas ton domaine de prédilection et je sais que tu n’aimeras pas, mais ne me fais pas honte, me demanda Ladyscar, méchamment. Comment pourrais-je après le baiser qu’elle m’avait donné ? Le fait que c’était la première fois de la soirée qu’elle s’inquiétait de ma réactio...
Enlevé au Royaume de Dahomey par une gynarchiste de l’extrême
il y a 1 an

Je me suis un peu laissé aller dans le hard.... Cela va bien au-delà de la soumission vous êtes prévenus.

Le Royaume de Dahomey est un ancien royaume africain situé dans le sud-ouest de l'actuel Bénin. Les voyageurs sont invités à être prudents lorsqu’ils s’aventurent en ces régions car certains disparaîtraient dans le ventre des lions. La réalité est tout autre, même s’il arrive parfois qu’un touriste serve de déjeuner aux gros chats locaux. Mais il y a pire qu’un lion, c’est Maîtresse Dana une gynarchiste de l’extrême. A peine arrivé à l'aéroport international de Cotonou, Patrick, un petit blanc haut comme trois pommes venu s’offrir de grands frisons. Après avoir déposé ses valises dans un hôtel de luxe, il va louer un beaux 4x4 moderne et climatisé cela va de soit puis acheter un beau fusil et un chapeau de paille pour touriste. Avec l’héritage qu’il vient de faire, le richissime petit français va pouvoir ici s’offrir des vacances de rêve. De par son attitude de nouveau riche qui se la pète, il reste avare au niveau des pourboires. Si bien que lorsqu’il demande où se rendre pour al...
Les culottes sales de sa logeuse
il y a 1 an

On dirait que tu aimes voir les petites culottes sales. Espèce de petit pervers fétichiste, il va falloir que je t’éduque.

Etudiant à Angers ma mère proposa à Danielle, une amie d’e n f a n c e de m’héberger contre un loyer. Si ma mère savait combien je sombrais dans le vice avec Danielle, elle s’en mordrait les doigts Danielle est une belle femme épanouie, 45 ans, de belles rondeurs, des cheveux bruns mi-long, des yeux coquins et une bouche pulpeuse et toujours souriante. Pendant le premier mois je me suis souvent branlé en pensant à son décolleté généreux (100 D), et son cul bien rond. Et puis, un jour, en allant mettre mon linge sale dans la salle de bain, j’ai découvert une de ses culottes dans la panière à linge. J’ai attrapé le slip et. Oh surprise, il était tout taché ! Je bandais comme un fou, des auréoles jaunâtres ornaient la culotte blanche. Comme h y p n o t is é je rapprochais le slip de Danielle de mon visage et respirais son odeur forte : sa culotte sentait la pisse et la mouille. L’odeur était forte et entêtante, je respirais fort cette odeur d’urine de chatte et de transpiration...
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