Récits
Le vendredi sein
il y a 2 ans

Plaisir de l’abandon d’une soumise qui découvre

Fin 2013, je me suis inscrite sur un site internet afin de faire des rencontres car, divorcée. J’étais en manque de tendresse et de sexe. Je suis tombée sur un homme, toi mon cœur, qui sortait du lot. Nous avons longuement échangé sur nos envies et tu m’as précisé que tu aimais particulièrement diriger et dominer en douceur, sans aucune v i o l ence. Tu aimais les jeux de soumission. Et puis un jour, nous nous sommes rencontrés et nous avons passé un moment tendre. Très en douceur, tu as commencé à me faire découvrir ce monde. Des menottes, un bandeau sur les yeux, des caresses différentes sur mes seins avec tes mains ou des objets que je ne voyais jamais. Sein et Rosebud Un après-midi, tu m’as bandé les yeux, posé un rosebud dans mon petit trou et emmenée en voiture je ne savais où. Nous avons roulé 15 ou 20 minutes, puis tu m’as fait descendre. Où étions-nous ? Je ne savais pas, j’avais toujours les yeux bandés. Tu m’as enlevé mon chemisier, mon soutien-gorge puis tu as remont...
La servante
il y a 2 ans

Une belle histoire ABDL, lesbienne, sexe, plastique très immorale mais si agréable à lire

Klapp… Klapp… Klapp… Retentissaient les sabots des pattes du cheval sur les pavés durs et brûlants de la route, faisant tourbillonner de petits nuages de poussière. Denise s’appuyait en arrière et regardait, intéressée, le large dos du cocher taciturne assis devant elle. Alors elle ouvrit son sac à main, prit la lettre d’embauche de Madame Babouche et recommença à la lire minutieusement. Finalement elle toucha le bras du cocher et demanda : "Dites moi, Jacques, quel âge ont les e n f a n t s à Saint-Montagneux ?" "Brrr… ?" Jacques, le cocher noir de cheveux, tira sur les rênes et arrêta la voiture lentement il se retourna et regarda en fronçant les sourcils la jeune-femme, élancée, sur le siège arrière. "Il ressemble à un pirate, pas mal…" pensa Denise un long moment après. "Des e n f a n t s ? Pourquoi parlez-vous d’e n f a n t s ? Il n’y a aucun e n f a n t à Saint-Montagneux. Là habitent le vieux Monsieur, Madame et Monsieur. Mademoiselle Lisette, mais qui est déj...
Ma première péripatétipute
il y a 2 ans

Découverte du monde des professionnelles à 60 ans

L'autre jour je me suis offert ma première professionnelle. En fait, je suis allé sur le site LadyXena pour y chercher une trans Black (l'un de mes fantasmes) genre Fanie, voyez. Et puis je ne sais pas ce qui s'est passé, j'ai repéré un autre profil qui me plaisait bien, j'ai pris rendez-vous, 200 € la demi-heure (quand-même) mais je me suis dit qu'au vu des photos de ses seins je n'allais pas le regretter, et je ne l'ai pas regretté car non seulement j'ai baisé mais j'ai aussi été baisé vu que c'était une femme et non une trans... Peu importe, l'expérience a été intéressante (pour un non habitué). Un appel téléphonique pour confirmer le rdv, suivi d'un SMS avec les conditions détaillées de la dame (+100€ la sodo, etc.) et l'adresse, puis un immeuble (tout neuf, Port Marianne), puis un interphone, puis bâtiment A, puis un 2e interphone, puis 6e étage à gauche par l'ascenseur et me voilà devant la porte qui s'ouvre toute seule, j'étais attendu. Bise, la dame est presque n...
Sévères voisines (1)
il y a 2 ans

C'est très vilain d'épier ses voisines sous la douche. Et si on se fait surprendre, on n'a pas d'autre solution, pour éviter que ça s'ébruite, que d'accepter d'être honteusement puni

Avec madame Beauchêne, notre nouvelle voisine, ma mère avait tout de suite sympathisé. - C’est quelqu’un de très intéressant. Et puis, avoir élevé ses deux filles, comme ça, toute seule, elle a bien du mérite, la pauvre femme ! Ses deux filles, c’était d’abord Emma, une petite brune toute potelée, aux yeux noirs, au sourire mutin, à la poitrine conquérante. Qui avait toujours le mot pour rire. Et qui devait fêter ses vingt-deux ans en octobre. - Comme toi, Raphaël ! Tout comme toi ! Vous êtes pour ainsi dire jumeaux. Et Manon, de deux ans sa cadette. Brune aussi, mais à la poitrine plus sage, au regard plus velouté, à l’attitude plus réservée. Elles ne me laissaient pas indifférent. Ni l’une ni l’autre. Elles me laissaient d’autant moins indifférent qu’elles me tenaient délibérément à distance. Rapports de bon voisinage, oui. Elles n’avaient rien contre. Mais c’était tout. Pas question de me laisser m’immiscer vraiment dans leurs vies. De quelque façon que ce soit. Ni de ma...
Retard fatal
il y a 2 ans

Une bien fâcheuse habitude qui fait mal aux fesses

Lorsque, tout essoufflé, je toquai à la porte de ma classe, j’avais la gorge nouée, l’estomac retourné et le cœur sur les talons. La leçon avait commencé depuis huit minutes et une fois de plus, pour la 3ème et fatidique fois, j’étais en retard ! En retard ! Une bien fâcheuse habitude… Et ce, malgré ma mère qui, chaque matin, me houspille en me réveille du plat de mon chausson. Le mal semblait inguérissable, plus fort que les menaces. « C’est mon dernier avertissement. La prochaine fois, ce sera chez Madame la Directrice ! », m’avait prévenu Mlle Roselyne, notre professeur principale, tout en chauffant mes mains d’une bonne dizaine de coups de férule suivis de cinq minutes de pénitence à genoux à côté de son bureau. Ce matin n’est pas comme les autres. A peine suis-je réveillé qu’une pensée lancinante comme des coups d’aiguille m’a jeté bas du lit. Désormais, une crainte folle gouverne tous mes gestes. Vite ! Débarbouillage exprès sous la douche, petit déjeuner sur le pouce, et...
Dévergondage total en Afrique (Texte hard)
il y a 2 ans

Un changement de sexualité la transforme en reine de la nuit

C’était au temps d’Houphouët-Boigny. La Côte d’Ivoire vivait dans le calme et l’indolence qu’assument plus ou moins la prospérité économique et la quiétude intérieure savamment ordonnée. - Tour de contrôle ? Ici le vol Air Afrique numéro 2-3-2… posé ! Couvrant le sifflement des réacteurs, la voix nasillarde venait de briser le silence qui règne généralement en phase finale d’atterrissage. Simple erreur de commutation dont la vertu fut d’apaiser le brave pachyderme qui lui avait gentiment empoisonné le vol. Vanessa se sentait libérée de ce rôle de nounou improvisée qu’elle avait accepté de bon gré pour décharger un peu le personnel de bord. Après tout, on ne peut pas reprocher à quelqu’un d’avoir peur en avion, ni d’être démesurément large. - Ben vous voyez… le vol s'est bien passé, dit-elle en réprimant un bâillement. Car tenter un flirt avec Morphée quand on est coincée dans un demi-siège, c’est se brancher en mode « essayé-pas-pu ». Libérée, mais pas soulagée. Son dernier...
Les fessées de Morgane (4)
il y a 2 ans

Une fouettée, réclamée comme punition, en apothéose.

Elle s’est agenouillée. Et a attendu le premier coup. - Tu n’as rien à me dire ? - Non. Rien. Pourquoi ? - Bien sûr que si ! Réfléchis bien. - Je… - Oui ? - Je leur fais croire aux hommes sur Internet. - Tu leur fais croire quoi ? - Que j’en suis une. - Une quoi ? -  Une pute. J’ai lancé un premier coup. En travers des omoplates. - Enfin, pas vraiment une pute sur le trottoir, avec la mini-jupe et tout et tout, mais une petite étudiante qu’a besoin de sous. Un second coup. Un peu plus bas. - Aïe ! Qu’a pas vraiment besoin en fait, mais qu’a envie de pouvoir s’acheter toutes les fringues qu’elle veut. Trois autres, très rapprochés. En plein milieu du dos. - Hou, la vache ! Ceux-là ! Comment ça les excite en attendant, les types, derrière leur écran. Et moi aussi, de sentir que ça les excite, ça m’excite. J’ai accentué encore l’intensité des coups. Et les mots se sont précipités sur ses lèvres, entrecoupés de gémissements et de cris de douleur, tandis qu...
Carolyn rougit
il y a 2 ans

Jeune timide et déjà coquine

Elle semblait si petite, si fragile ! Lorsque Tom, mon coloc, m’a présenté sa nouvelle petite amie, je n’ai pu m’empêcher de rire. Franchement, elle devait mesurer à peine un mètre cinquante et à la façon dont elle se tenait les bras croisés, les yeux rivés au sol, je l’aurais imaginé plus petite encore ! - Mark, je te présente Carolyn . Je lui ai tendu ma main et elle a regardé Tom avant de la serrer comme si elle voulait lui demander la permission. Elle était assez jolie. Elle avait les cheveux châtain clair raides et mi-longs, des yeux marron sans charme et la peau blanche clairsemée de taches de rousseurs. Elle portait encore les rondeurs de l’e n f a n c e , en particulier au niveau du ventre et des fesses. Elle n’avait pas vraiment de style, vêtue d’une jupe longue et d’une triple couche de hauts sur lesquels elle tirait comme pour cacher sa poitrine, au demeurant plutôt attirante. Je pense qu’elle remarqua que je fixais sa poitrine car elle croisa ses bras dessus e...
La duchesse est une perverse de haut niveau
il y a 2 ans

Elle va jusqu’à envoyer une rivale en enfer

Lorsqu’elle entend la sonnette de la porte d’entrée retentir, Diane du Plessis-Verneuil sursaute et manque de laisser tomber le verre qu’elle est en train de laver. Ayant une vue directe sur l’entrée extérieure à partir de la fenêtre de la cuisine où elle officie, elle peut apercevoir deux hommes qui se tiennent devant la porte. Ils se frottent les mains pour se les réchauffer, un ciel gris acier fait pleuvoir un crachin glacial. Diane fait tout de suite le rapprochement avec l’intervention qu’elle a demandée hier auprès de la société qui a en charge l’entretien de la chaudière de sa maison. Elle habite un quartier huppé de Saint-Germain-en-Laye, non loin de Paris. La duchesse Diane du Plessis-Verneuil est âgée de trente-cinq ans. Elle a passé son e n f a n c e à Versailles où son père était notaire. Elle a reçu une éducation chrétienne traditionnelle comme tous les e n f a n t s issus de la noblesse française. Son nom de jeune fille était Diane de Fressignac. C’est à la faculté...
Sadique et pervers rencontre une soumise maso
il y a 2 ans

Quand deux êtres de ce type font une rencontre BDSM cela ne peut qu’être chaud.

SP, Sadique et Pervers dans le texte, est un Maître attentif, respectueux mais extrêmement gourmand des plaisirs de la vie. Le BDSM et le sexe compte autant pour lui que de manger., c’est dire.... Moi c’est Karine, j’ai 27 ans, physiquement je me trouve pas trop mal, disons que les hommes ne détournent pas leurs yeux lorsqu’ils me voient et que, parfois, ils me regardent ailleurs que dans les seins. Lorsque j’ai rencontré SP, ce fut le coup de foudre, la communion totale des sens et du BDSM. J’ai de suite senti qu’avec lui, je pourrai vivre ma soumission à 100 % mais aussi mes penchants masochistes. Lors de cette rencontre BDSM organisée par Fessestivites, il était seul et moi, je m’étais faite « planter » par un mémaître. La tante du cousin, de son demi-frère, vivant dans le nord de la France l’avait retenu.... pour des funérailles gérées, je suppose, par sa main droite devant un écran sans jamais passer au réel... Lors de cette rencontre j’ai, malencontreusement, renversé...
Sadique et pervers rencontre une soumise maso 2
il y a 2 ans

La suite de l'histoire sera en gratuit puisque vous avez mis des commentaires.

CHAPITRE deux A ce fameux ballon de baudruche il a attaché un bout de ficelle à rôti avant de fixer une pince à linge à l’autre extrémité de la ficelle. Il s’est accroupi derrière moi toujours penchée en avant sur la table pour farfouiller ma tendre intimité et faire émerger mon clitoris. Après lui avoir fait quelques caresses, il y a fixé la pince à linge derrière le clito étiré. Lorsque j’ai crié, il m’a simplement répondue que j’allais m’y habituer et que ce n’était que le début de ma punition. Il m’a dit d’attendre parce qu’il fallait qu’il aille au garage. Il m’a, à nouveau abandonnée à mes questionnements avec en prime la douleur générée par mon clito pincé, A son retour, j’ai pu voir qu’il avait apporté le ventilateur. J’en ai déduis qu’il allait me fesser si fortement que nous en aurions besoin. Non, non, il a fait pire ! Il a branché le ventilateur posé sur le sol. Et là j’ai compris ma douleur et que ma punition allait être rude. En effet, le ballon propulsé sous la t...
Les nouvelles Souveraines
il y a 2 ans

Entre les griffes des lesbiennes souveraines

Jenny à 26 ans, elle est blonde, plutôt jolie. Elle est photo-reporter free-lance. Elle a tout fait, l'Iran, l'Irak, la Somalie, même la Corée du Nord. Là où il y a un dictateur, ou le peuple est tyrannisé, elle se rend au péril de sa vie pour prendre des images. Pour afficher à la face du monde les horreurs perpétrées par leur régime barbare. Pourtant c'est ici, sur le sol américain, qu'elle est sur le point de percer à jour l'existence d'une secte tentaculaire qui s'étendrait dans tout le nord de l'Etat de Virginie. Après deux années d'investigations intensives, elle est parvenue à localiser l'une des hautes dirigeantes de cette organisation souterraine, Becky Lowell, surnommée "La Duchesse de Richmond". Et c'est avec l'intention d'en apprendre plus qu'elle s'introduit dans sa propriété isolée au nord de la ville. Entrée en pleine journée, après le départ de sa cible, elle fouille un bureau et découvre des documents sur le réseau de cette organisation. C'est encore plus importa...
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