Récits
Les fessées de Morgane (3)
il y a 2 ans

Cette fois Morgane se prépare, avec tout autant d'appréhension que de fascination, à goûter du fouet. Après une petite mise en condition préalable.

Son train était arrivé le premier. Et elle m’attendait. Du plus loin qu’elle m’a aperçu, elle a fendu la foule des voyageurs pour se précipiter à ma rencontre. Elle m’a tendu la joue. - Ça va, toi ? - Oh, alors là, vous pensez bien que oui. Un jour comme aujourd’hui… D’un coup d’épaule, elle a fait glisser son sac à dos à terre, l’a entrouvert, les yeux brillants. - Regardez ! Moi aussi, j’en ai apporté un ! - Un quoi ? - Ben, un fouet, tiens ! Je me suis penché. J’ai souri. - Sors-le ! Je le vois pas bien. - Parce que ? Vous croyez que je suis pas cap ? Ben alors là, vous avez tout faux ! Et elle l’a extirpé de son sac, me l’a tendu. J’ai pris tout mon temps pour l’examiner. - Pas mal ! Pas mal du tout ! Et très certainement redoutablement efficace. Avant de le lui rendre. Elle l’a rangé. - Ben, ça attaque fort. Vous avez vu ? Non ? Le type qu’a ralenti, là, le vieux, il a compris. Il se marrait. Et les deux filles de mon âge aussi. Sauf que elles, ça avait plutôt l’air...
L'amour en cage
il y a 3 ans

Dialogue de femmes sur la chasteté masculine

Décidément, dans les salons feutrés de Glendale House, les réunions du club du jeudi ont beau se suivre, chaque mois apporte son lot d’imprévus. Il est vrai que Lady Alexandra n’a pas son pareil pour créer l’événement. Il suffit de se reposer sur ses talents d’improvisatrice. Elle excelle dans l’art de tenir son public en haleine. Il y a peu, l’épisode du French Cancan et le concours de la meilleure suceuse ont reçu une véritable ovation. Ses amies en ont encore le rouge aux joues. De plaisir ou de confusion. Béatrice ressert le champagne. Les flûtes pétillent. Comme les yeux. Coupes de fraises WimB l e d on. Le bout des langues titille les volutes blanches Chantilly. Les lèvres se referment avec gourmandise sur les fruits rouge vermeil. Avant de se séparer, il reste à ces dames à se répartir les gagnants. Un exercice inspiré de l’antique marché aux esclaves, qui ne devrait pas en l’espèce soulever de difficultés. Car la sélection s’est révélée excellente. Il suffit simplement de se...
12 minutes de plaisir
il y a 3 ans

Quand l'envie reprend le pas sur la raison

Bonjour à toutes et à tous, Je me permets de vous conter mon récit bien que la forme ainsi que le fond ne donnent pas lieu à moult fantasmes... Fort de ma relation avec ma copine du moment, qui a su se laisser tenter par un chéri attaché à sa merci sur la table basse, j'ai eu envie de reprendre mes sessions de selfbondage. En ce 2/05/2022, j'en ai eu l'occasion et je remercie [abcplaisir](https://abcplaisir.com/fr/) pour la fourniture des outils adéquates. Je me suis laissé à la situation suivante: Attaché sur une chaise Ceinture textile x2 pour attacher les pieds pinces à seins vibrantes 1 cockring plug vibrant 1 harnais ball bag 2 bracelet bondages 4 mini cadenas (2 harnais + 2 bracelets) et 1 cadenas timer. Une fois le harnais ball gag fixé, j'ai fait le nécessaire pour insérer le plug et atteler le cockring. (ce fut long et hésitant car 1ere fois) Des que cela était fait, j'ai rapproché tout au mieux pour que je ne bouge plus mon cul rempli de la chais...
L’enfer pour un jeune étudiant en colocation
il y a 3 ans

Après avoir été transformé en bonne, la question était : est-ce que la bonne et bonne ?

Je ne la sentais pas cette colocation, les trois mecs étaient ce que l’on appelle de bas quartier, plutôt primaires, avec comme loisir, le foot, les bières, et beaucoup de grasses discussions sur les nanas. Cet appartement mutualisé comptait quatre chambres individuelles, mes parents l’avait trouvé sur un site internet. Pour me soutenir dans mes études, ils l’avaient loué pour moi sans même le visiter. Dès le premier soir, ils avaient été à la limite du manque de respect avec moi, et, quand j’ai pu rejoindre ma chambre, elle est devenue comme un refuge. Un refuge anti primates ! Seul dans mon univers d’étudiant, après avoir bossé mess cours, il m’arrivait de jouer un peu avec mon corps. Rien de bien compliqué, ma main droit, la ceinture de mon pantalon et un plug anal que j’avais trouvé à côté d’une poubelle. Des coquins l’avaient sûrement jeté en le laissant bien visible pour rigoler un peu en s’imaginant la tête des éboueurs. Une cordelette complétait mon attirail de fantasme...
Les fessées de Morgane (2)
il y a 3 ans

Morgane savoure longuement cette première fessée reçue avant d'envisager de passer "à la vitesse supérieure"

Quand elle est ressortie de la salle de bains, une bonne demi-heure plus tard, elle est venue tout droit se planter devant moi qui attendais patiemment, assis au bord du lit. ‒ J’ai pas envie. De repartir tout de suite. J’ai pas envie. C’était trop bien. J’ai envie qu’on reste à discuter. ‒ Tu vas louper ton train. ‒ Il y en aura d’autres, des trains. ‒ Ah, ça, c’est sûr ! Bon, ben alors moi, ce que je propose, si t’es vraiment décidée… ‒ Je le suis. ‒ C’est qu’on aille au restaurant. Je te l’offre. ‒ Oh, voilà une idée qu’elle est bonne ! Et on s’est retrouvés attablés au fin fond d’un petit restaurant à l’atmosphère feutrée, aux lumières tamisées. ‒ C’est super ici, dites donc ! On reviendra là la prochaine fois. ‒ La prochaine fois… ‒ Vous voulez pas ? ‒ Si ! Bien sûr que si ! ‒ Hou ! Vous m’avez fait peur. Non, parce que c’était trop bien, attendez ! Exactement comme j’espérais que ce serait quand j’y pensais. ‒ Pas trop déçue alors ? ‒ Oh, non, non ! T...
Selfbondage avec risque d’exhibition
il y a 3 ans

En selfbondage la peur d’être vue est excitante

Elle n'était certainement pas une fille timide. Peut-être inexpérimenté à certains égards, mais pas du genre à avoir peur de sortir avec des t-shirts moulants sans soutien-gorge. En fait, c'était exactement ce qu'elle faisait. Autour de la maison et faisant son jardinage, elle portait des hauts révélateurs et des shorts étroits alors que trois jeunes hommes travaillaient à la réfection de la toiture de la maison ces derniers jours. Alors qu'elle surveillait l'avancement de leur travail, elle était très consciente qu'elle était très attirée par leurs corps bronzés rugueux, comme ils étaient sans doute attirés par son corps. Un matin, elle sortit de la salle de bain à l'étage en peignoir et passa la porte ouverte de la chambre d'amis. L'un des hommes travaillant sur la partie inférieure du toit, dans le puits de la fenêtre, la regardait droit dans les yeux. Elle rassembla sa robe autour d'elle et se précipita devant la porte. Elle pensa à quel point cela aurait été pire si elle...
L’heure de la vengeance des filles
il y a 3 ans

Ce que les femmes ont en commun est qu’elles n’oublient jamais et quand elles se vengent.....

La réunion du lycée touchait à sa fin. Des rencontres se sont faites et tout le monde s'est rattrapé sur la vie de l'autre, mais pour Rita, Pam et Carmen, le meilleur était encore à venir. Les trois avaient suivi un complot de vengeance soigneusement orchestrée qui avait mis des mois à se préparer avec la seule chose qu’elles avaient toutes en commun. Elles ont toutes été victimes de Gabby Dalton et de ses hommes de main. Gabby a vécu pour tourmenter les hommes de la classe inférieure, et l'humiliation infligée par elle et sa bande était l'étoffe des légendes. Les trois filles sont devenues amies après leurs épreuves et se sont engagées à renvoyer l’ascenseur à Gabby. Chacune avait sa propre histoire de tourments aux mains de Gabby. Rita. Elle a été prise en embuscade dans le vestiaire des filles après l'école alors que toutes les autres étaient parties. Entourée de Gabby et de son groupe, elle a été déshabillée et obligée de ramper à leurs pieds pendant le tournage. Pour ajouter...
La légende des sexes
il y a 3 ans

Un sublime texte profane, publié en 1882 par Edmond Haraucourt, une autre forme de poésie érotique

Et tous deux s’étonnaient de tant de différence Dans les formes du corps et les tons de la peau. Adam la trouvait belle ; Ève le trouvait beau. Ils se taisaient, mais ils raisonnaient en revanche. Adam reprit enfin : « Comme vous êtes blanche ! Pourquoi Dieu vous-a-t-il mis des cheveux si longs ? Les miens sont courts et noirs et les vôtres tout blonds C’est vraiment très joli, ces lourdes tresses blondes… ÈVE Vous trouvez ? ADAM Très joli… Mais ces machines rondes, Là, sur votre poitrine, à quoi cela sert-il ? ÈVE Je n’en sais rien. Mais vous, au-dessous du nombril, Qu’est-ce que vous portez dans cette touffe noire, Sur ce double coussin ? ADAM Je m’en sers… après boire. ÈVE Seulement ? Cela doit vous gêner pour marcher ? ADAM Pas trop… On s’habitue. ÈVE Est-ce qu’on peut toucher ? ADAM Si vous le désirez… ÈVE Je suis si curieuse. Alors, vous permettez ?... » Ève blanche et rieuse, Avança doucement ses pe...
Les fessées de Morgane (1)
il y a 3 ans

Morgane, 20 ans, fantasme comme une petite folle sur la fessée sans parvenir à se décider à passer à l'acte. Jusqu'au jour où...

Elle avait été d’emblée très claire. La fessée, elle ne demandait pas mieux que d’en parler. « Je serais pas ici sinon, sur un site fait pour ça. » Mais pas question d’une rencontre. Pas question de passer à l’acte. « C’est totalement exclu. » Je m’étais montré conciliant. « Comme vous voudrez. » On en avait donc parlé. On s’était contentés d’en parler. Souvent. De plus en plus souvent. À fleurets mouchetés tout d’abord : elle répugnait à s’aventurer à découvert. Elle s’abritait derrière ses lectures, des films qu’elle avait vus, des confidences que des copines lui avaient prétendument faites. Et je prenais grand soin de ne pas la heurter, au risque de la voir se refermer. Et puis, peu à peu, elle s’était rassurée. Elle avait pris confiance. Elle s’était ouverte, livrée. Et avait fini par reconnaître que recevoir une bonne fessée déculottée… « Mais alors une vraie, hein, qui fasse mal. Qui fasse crier. Ça vaut pas sinon. » Ben, recevoir une bonne fessée décu...
Première infidélité
il y a 3 ans

Tromper oui mais qu’avec la bouche

Perchée sur un tabouret, accoudée au bar, Karine examinait la salle avec attention. Habituée à être la proie des jeunes et beaux célibataires musclés et bronzés de Floride, elle avait décidé d’inverser les rôles le temps d’un court séjour en Martinique. Elle avait choisi ce club de vacances avec soin, un peu à l’écart des plages tropicales, et constatait le sourire aux lèvres qu’il répondait à ses critères. Elle était visiblement la seule célibataire parmi une clientèle de couples seuls ou accompagnés de jeunes e n f a n t s. Elle allait se mettre en chasse d’un « homme déjà pris » pour se prouver qu’elle gardait tous ses pouvoirs de séduction. Elle repéra rapidement sa cible : un bel homme blond qui devait avoir une bonne trentaine d’années, un visage à croquer, un air énigmatique et surtout une étincelle flétrie dans son regard qu’elle interprétait comme un mélange de désir et de manque. Philippe était assis contre sa compagne pour ce cocktail de bienvenue. Il se sentait sonné co...
Derrière le masque de l’étudiante indocile
il y a 3 ans

Quand le nouveau tuteur est un fesseur

Mathilde est une jeune femme de 20 ans. Largement décrite comme étant tout ce dont on ne peut exiger d’une jeune fille disciplinée. Elle dépeint une image emplit d’arrogance. Tant de fierté apportée par les artifices fallacieux que la fortune et la beauté permettent. Elle est en charge de préparer un concours d’éloquence pour son examen de fin d’année. Etudiante dans une école prestigieuse, elle se doit d’y exceller, pour honorer la tradition familiale qu’est la victoire de ce fameux concours. L’arrogance qu’entretient Mathilde en constitue sa plus grande fierté à tel point qu’elle en ferait sa qualité première. Sa beauté et sa grâce naturelle, convoitées par tous, lui ont données une telle confiance et estime de soi, qu’il ne peut s’envisager de la voir douter d’elle-même. Née dans l’abondance, dans le luxe et traitée comme une princesse tout au long de son existence, elle s’est dotée d’une réputation d’indocile. On ne peut lui résister ni oser la contrarier sous peine d’êtr...
La fessée est entrée comme par hasard dans leur couple
il y a 3 ans

Le petit mari a souvent les fesses rouges

« Au coin » Bien qu’il lui arrivât de se considérer comme quelque peu féru de psychologie, il était bien obligé d’en convenir : il était bien incapable de s’expliquer le mécanisme qui l’avait amené à cette situation pour le moins paradoxale. Pour tous, il était le professeur, l’homme installé dans la vie, l’adulte estimé de ses collègues, considéré par tous comme un homme sérieux sinon parfois austère. Il apparaissait aux connaissances de son couple comme un mari attentif, respecté par son épouse et peut-être même un peu autoritaire. Et pourtant il était là,debout, le nez collé au mur, le derrière nu, le pantalon et le slip aux chevilles. Il était, selon l’expression que tous auraient considérée comme e n f a n t i n e, « mis au coin ». Il venait de prendre une fessée ; la couleur cramoisie de ses fesses ne pouvait du reste laisser le moindre doute à cet égard. Cette raclée qui lui laissait le postérieur endolori et brûlant cette fessée qui lui faisait monter les larmes au bor...
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