Récits
Féminisé par sa propriétaire
il y a 3 ans

Un étudiant tombe entre les mains d’une veuve coquine

Jeune étudiant en première année, je dus, comme de nombreux collègues chercher un logement en ville. Mes moyens ne me permettaient malheureusement pas de trouver un appartement à moi, je fus obligé de trouver une chambre chez l'habitant. Après avoir consulté la liste des propositions disponible au centre universitaire, je commençai à faire le tour des propriétaires. Je préférais orienter ma recherche vers les femmes seules, non pas pour en profiter, mais bien entendu pour m'assurer une plus grande autonomie, et surtout ne pas avoir à vivre à proximité d'un carcan familial externe. Il faut dire qu'à cette époque, on trouvait encore de nombreux logements de ce type. Des femmes seules préféraient avoir un locataire à proximité, ce qui leur apportait une certaine sécurité. Généralement ces femmes donnaient la préférence aux filles, j'étais quand même décidé à tenter ma chance. Je venais de quitter ma famille, et mes parents avaient consenti à m'aider pendant un an, charge pour moi d...
L’apprentissage par la fessée
il y a 3 ans

L’apprentie prend une fessée dans la serre

C’était l’effervescence matinale, dans la rue du Loup. Les hommes; partant travailler; se faisaient dépasser par des ribambelles de gamins en blouse qui couraient et hurlaient à qui mieux mieux. Les mamans accompagnaient les plus petits en les tenants par la main, et s’arrêtaient fréquemment pour discuter l’une avec l’autre. La boulangère, qui avait déjà vu passer l’essentiel de sa clientèle matinale, tenait son crachoir habituel, côte à côte avec l’épicière. La plupart des autres boutiques avaient encore le rideau baissé. C’était particulièrement le cas de celle qui se situait tout en bas sur la droite, et dont l’enseigne dorée annonçait : « Mme Belorgey, fleuriste ». La porte cochère de l’immeuble qui supportait le magasin était grande ouverte. La concierge, revêtue de son sempiternel tablier gris, en balayait l’entrée, s’arrêtant pour saluer chaque occupant par son nom. Lorsqu’un galopin passa devant elle, le cartable à la main, elle se fendit d’un large sourire. - Alors mon...
Nouveau rôle au sein du bahut
il y a 3 ans

Avant, elle n’était pas une fille facile....

« Jerry… non. Pas ça. » « Allez Cindy. » Elle secoua la tête, mais ne protesta pas plus quand je la guidai jusqu’à une chambre inoccupée de l’étage. Les bruits de la fête s’amenuisèrent lorsque la porte se referma. Cindy n’était vraiment pas ce genre de fille. C’était une vraie "fille à papa" : Toujours de bonnes notes à l’école, jamais à la maison après onze heures. Nous étions ensemble depuis près de deux mois maintenant, et je pensais que j’avais droit à un petit câlin. Je peux vous dire qu’elle aussi y pensait. Bon sang, nous étions tous les deux en terminale. Elle rechignait simplement pour me montrer qu’elle n’était pas une fille facile. Avant peu, nous nous embrassions, allongés l’un contre l’autre sur le lit. Je n’arrivais pas à croire ma chance ; Cindy était l’une des plus jolies poulettes du lycée. Avec ses cheveux châtains bouclés et ses yeux bleu clair, elle devait faire rêver tous les mecs du bahut. Presque aussitôt, je sentis une érection démentielle déformer...
Le vendeur de voitures coquin
il y a 3 ans

Sucer n’est pas tromper pour la petite jeune

Je n’avais pas beaucoup dormi cette nuit-là. J’avais remué de vieux souvenirs et d’anciennes mélancolies, j’avais ressassé des résolutions qu’il fallait que je prenne et je m’étais dit que je devais engager une femme d’ouvrage. Depuis que Céline m’a quitté, j’ai réappris à vivre seul, je goûte les femmes que je croise. Des roses, des jaunes, des noires, des briochées, des allumettes, parfum vanille, caramel ou fleur d’oranger. Mais je me lasse et m’exaspère vite. Je n’aime pas les plis qu’elles laissent dans mes draps en percale de coton après une nuit d’amour. Alors je tire rageusement sur les draps, tape sur les coussins, les jette au plafond pour qu’ils oublient nos étreintes. Je ne veux pas de trace, je me contenterai de quelques souvenirs, je traque les cheveux égarés sur le parquet, les jette par la fenêtre que je laisse ouverte toute la journée pour faire s’évanouir l’odeur de ces femmes dans la tiédeur de l’été. Je me dis que je devrais engager une femme d’ouvrage. Et si ell...
La honte et le plaisir de la couche
il y a 3 ans

Les confidences d’un garçons souffrant d’énurésie

La deuxième fois cette semaine, je me suis réveillé dans un lit mouillé. Je me sentais mal. Au moment où je devais faire face à ma mère, elle découvrirait que j'avais encore mouillé le lit. Elle m'avait déjà prévenu. Si cela continue, je devrais aller chez le médecin. La semaine dernière et ces semaines-là, il m'était arrivé plusieurs fois de me réveiller mouillé. Mais c'est la deuxième fois consécutive en une semaine ! J'ai entendu quelqu'un se traîner sur le palier. A en juger par les pas, c'est mon père qui, comme toujours, est le premier à se réveiller et à redescendre le plus doucement possible. J'ai vérifié le radio-réveil et j'ai vu qu'il restait plus de deux heures avant de découvrir que j'avais à nouveau des draps mouillés. Heureusement, une bâche était maintenant entrée dans le lit de sorte qu'il ne restait plus qu'une literie humide. Cela m'a traversé la tête. Ma mère prendrait d'autres mesures si mon pipi au lit continuait. J'avais peur de ça. J'ai eu toutes sortes de ch...
La première peur en selfbondage travesti
il y a 3 ans

Confidences érotiques d’une jeune TV pratiquant l'auto bondage

Je suppose que j'avais environ 11 ou 12 ans quand j'ai réalisé pour la première fois que j'avais un intérêt pour la servitude. Naturellement, j'ai gardé ma découverte cachée. Mais à partir de ce moment, les après-midi seuls dans ma chambre sont devenus mon laboratoire d'expérimentation ainsi que toute une ribambelle de repaires de ravisseurs imaginaires. Ces premières années, rétrospectivement, n'étaient également guère plus que des jeux légers et des fantasmes. J'avais bien trop peur pour vraiment essayer quelque chose qui ressemble à la vraie chose. Mais ensuite, juste après mon 17e anniversaire, je me suis retrouvée devant l'opportunité de profiter d'une semaine seule à la maison. J'avais les moyens. J'en ai eu envie. J'ai donc décidé qu'il était temps d'arrêter de rêver et de commencer à faire. Un magazine sur lequel j'étais tombé par hasard, au titre oublié depuis longtemps, illustrait un hogtie assez similaire à ce qui est décrit dans ce site même, sauf qu'il présentait l'...
Le bondage infernal
il y a 3 ans

Latexée par un fou de bondage hard

C’est demain l’anniversaire d’Elsa Elle passe quelques longs instants à étudier la carte que Kevin a glissé dans l’enveloppe. Elle n’en crois pas ses yeux, une créature de latex maintenue suspendue au plafond, complètement difforme, une tête et des seins énormes, et pas la moindre partie de ce qui semble être une fille qui ne soit pas recouverte par le latex, une horreur, mais heureusement, ce n’est qu’un dessin réalisé par un artiste en mal de sensation érotique. Impossible que dans la réalité une fille soit affublée d’un tel truc … le dessin est juste là pour l’impressionner. Elle continue à déballer tout l’attirail envoyé par Kevin, certains équipements qu’elle reconnaît, d’autres encore emballés dans des petits sacs en plastique ou des boites. Il y a une paire de ballet boots et également une tenue de latex bien pliée. La tenue de latex lui refait tout de suite penser au dessin qu’elle avait en main il y a quelques instants … mais elle s’était définitivement convaincu...
Visite Médicale Surprenante
il y a 3 ans

Dans cette histoire vous découvrirez qu’une visite médicale peut devenir très érotique.

Aujourd'hui, Lisa se prépare pour son examen gynécologique annuel, elle l'avait bien noté dans son agenda depuis deux mois. Ce rendez-vous, qui n'est que routinier pour une femme de 25 ans, lui déplaisait au plus haut point car son médecin habituel n'était pas disponible depuis plusieurs semaines. Elle devait rencontrer la doctoresse Chantal Dupré qui est la remplaçante du docteur Bernard Lussier. Elle se leva donc vers 9h00 pour prendre un petit déjeuner léger et une bonne douche où elle s'appliqua à s'épiler les parties génitales. Sortie de la douche, elle s'épongea rapidement les cheveux et appliqua une crème corporelle légèrement parfumée pour adoucir les endroits maintenant bien rasés. Après s'être préparée et terminant son verre de jus d'oranges bien pressées, elle enfila ses sous-vêtements bien assortis, sa robe fleurie préférée et un brossage de dents. Lisa appliqua une légère touche de rouge à ses lèvres rosées et prit la route vers la clinique médicale. En arrivant v...
Piégé en couche par sa belle-soeur
il y a 3 ans

Où amènent les fantasmes

A f o r c e d'avoir des envies incongrues pour éprouver des sensations nouvelles, il fallait bien que j'ai un jour un problème. Je m'explique. Je suis un homme marié de 35 ans et ma femme, magnifique blondinette de 29 ans, sans être frigide, éprouve beaucoup moins d'envies que moi. Ce qui m'incite à chercher des dérivatifs pour assouvir mes pulsions. Comme je ne veux pas la tromper, j'ai tenté de me satisfaire à travers des fantasmes axés sur le SM et dernièrement sur les rapports DL. La lecture de certaines histoires m'a énormément excité et cela m'a incité à tenter d'en revivre certaines. C'est cela qui explique ce que je relate après et les problèmes (si l'on peut dire) rencontrés. Après avoir lu le récit d'un homme obligé de porter des couches à la maison, je me suis décidé un matin ou j'étais seul chez moi à aller acheter des couches et je suis parti au supermarché le plus proche. Devant le rayon, j'ai mis au moins vingt minutes à oser prendre un paquet de couches adulte. J...
Cocufié à l’hôpital
il y a 3 ans

Il n’a même pas la chance du cocu

D’aussi loin que je me souvienne, je n’ai jamais eu une bonne santé. A d o l e s c e n t, j’ai eu la varicelle la semaine où je devais coucher pour la première fois avec une fille… Bien entendu ma copine de l’époque m’a laissé tomber avant que nous n’ayons le moindre rapport. Pour mon mariage j’ai eu une gastroentérite aiguë… j’ai dû passer tout le repas sur les WC… C’est même mon vieux copain Louis qui a ouvert le bal avec mon épouse, Nadia. Cette fois encore, j’étais cloué sur un lit d’hôpital. Mis en quarantaine pour des oreillons très contagieux, cela faisait trois semaines que ma femme n’avait pas eu le droit de me rendre visite. Finalement le virus avait fini par s’affaiblir, et le médecin m’annonça que Nadia pourrait passer me voir dans l’après-midi. Ma femme arriva dès le début des horaires de visite. Tout de suite, j’ai senti qu’elle était excitée. Cela faisait trois semaines que nous n’avions pas fait l’amour et elle semblait chaude comme de la braise. Ses joues étaien...
Alice au pays de la soumission chapitre FIN
il y a 3 ans

Soumission et l’esclavage par amour

Alice se glisse hors de la cage sur ordre de son Maître. Près de son Maître, elle reste en position chienne. Karl en profite pour la baiser et Paul pour se faire sucer la bite par la bouche d’Alice qui se retrouve prise entre deux queues qui vont et viennent en elle. Dans la cage, Mathilde prend goût à Mickey qui la baise et la baise encore. Quand il se sent fatigué, il se couche devant Mathilde, sur le côté. Paul allait lui donné l’ordre de sucer le chien, mais Karl le devance. Amoureuse et obéissante, elle avance son visage près du sexe du chien. Après quelques secondes d’hésitation, elle donne un premier coup de langue et un second. La queue du chien sort alors, tout rouge et Alice encourage Mathilde qui commence une fellation sur Mickey. Alice jouit de ces qui la comble mais aussi à cause de la vision que lui offre Mathilde et Mickey. Enfin, Mathilde sort de la cage. Elle n’a pas le temps de souffler que les deux dominateurs la baisent de partout. Alice se joint à ce qu’elle déc...
Les souvenirs d’une demoiselle de pensionnat 3
il y a 3 ans

Débordement physique incontrôlé

par Sophie (avec le concours d’Edmée) En quelques semaines, toute nouvelle pensionnaire avait tôt fait de s’initier aux singulières exigences de Maîtresse Célia. Recevoir le fouet de ses mains, c’était se livrer corps et âme à sa volonté, abdiquer toute fierté, participer à son propre anéantissement. Selon la gravité de la faute, l’urgence d’en punir la coupable, ou le nombre de punies à châtier le vendredi (il y avait parfois la queue devant la porte de son bureau ce fameux jour !), notre directrice avait le choix des lieux. Ordinairement, c’était dans son bureau, ou bien, dans les cas les plus graves, dans le cabinet de correction. Il arrivait que ce fût le soir et dans l’intimité de sa chambre (je m’en souviens non sans picotements dans mon cœur !). Quel que soit le lieu, quand le moment de l’expiation était venu, elle se saisissait de la punie par une oreille et, d’une douloureuse torsion qui lui arrachait une grimace, la traînait sans ménagement à genoux jusqu’au lieu où...
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