Récits
Les souvenirs d’une demoiselle de pensionnat 2
il y a 3 ans

Rendez-vous chez la directrice

par Sophie (avec le concours d’Edmée) Cent claques ou cent cinglées ! Jamais moins ! … Cent claques de sa main nue ou gantée de cuir ou encore de son cruel fessoir de cuir pour une simple fessée déculottée. Cent cinglées de l’une de ces affreuses fouettées aux instruments de correction ! C’était le tarif minimum pour toute fille qu’elle devait châtier, et seule l’intensité de la douleur pouvait varier à proportion de l’âge ou de la gravité des fautes de la coupable. Chez Maîtresse Célia, la séance avait toujours lieu en privé que ce soit dans son bureau, dans le cabinet de correction attenant voire dans sa chambre le soir venu. Dans ce cas, c’était, peut-on dire, le privilège de quelques chouchoutes qui s’en revenaient sur la pointe des pieds dans les dortoirs endormis. Rien ne filtrait de ces séances et à nos questions pressantes, ne répondaient que des rougeurs et des bredouillis embarrassés (je n’eus enfin la clef de l’énigme que l’année de mon départ ; j’y ferais allusion...
Une endurance
il y a 3 ans

Après un service rendu un homme va dominer une femme, qui prétend être endurante.

J’ai toujours apprécié me remémorer l’ambiance dans laquelle une aventure a débuté. Celle qui a abouti à la domination d’une femme, l’amie d’un de mes potes, a été frappée d’une stupéfaction de ma part. Mais elle a commencé par une plongée dans le maussade, d’âpres efforts dans l’humide fraîcheur d’une journée pluvieuse. J’avais accepté de rendre service à Ellen pour son intérieur auquel elle tenait beaucoup. Et quel service ! remplacer la fenêtre de sa chambre. Ce fut aussi long que pénible avec l’envie de rendre mon tablier au milieu du chantier, estimant que j’aurais dû réfléchir un peu plus en quoi une presque inconnue mériterait ce labeur. Ayant tout de même achevé le travail, nous convenions qu’elle me fasse un présent en remerciements. J’avais suggéré la confection d’un gâteau et sens être vraiment sérieux je lui dit : «Il faudra plusieurs moelleux au chocolat. Qu’en penses-tu ?» «Et la pâtissière en tenue légère les mains dans la pâtes devant toi, cela te tente ?». Voi...
Les souvenirs d’une demoiselle de pensionnat
il y a 3 ans

De sublimes confidences sur la fessée avec un très beau verbe

Par Sophie (avec le concours d’Edmée) On ne change pas ses passions. Mais elles savent vous changer la vie. Elles sont sans âge, même si elles prennent vos années. Les oublier ? Elles ne vous oublient pas ! Aussi peut-on être femme à trente ans sans jamais devoir renoncer à la jeune fille que l’on fut aux heures tendres de l’innocence, si frémissantes à l’appel de l’inconnu. Toute jeune, j’aimais la nature, l’herbe folle et les petits oiseaux… Mais dirai-je assez combien je détestais les bouleaux ? A mes anciennes amours, je reste fidèle. Aujourd’hui encore, parlez-moi de tous les arbres de la terre, sauf des bouleaux. N’aurais-je pour leur silhouette gracile et leurs fins rameaux qu’une injuste aversion ? A leur vue, mon cœur tressaille, mes tempes battent, et mon esprit se fige dans de troublants souvenirs. En chemin, leurs silhouettes argentées m’interpellent et leurs murmures frissonnent de leurs échos dans tout mon être. Tout en eux m’exalte comme seul sait le faire le pl...
Alice au pays de la soumission 4
il y a 3 ans

Soumission et l’esclavage par amour

Devant elles, le couple s’embrasse encore avant que Paul ne regagne sa place. Pendant que les vendeuses font essayer tous les vêtements à Alice, Paul a sorti discrètement sa caméra et filme tout ce qui se passe devant lui. D’un simple mouvement du menton de Paul, Alice comprend que son Maître désire qu’elle allume ces deux femmes. Alors, obéissante, Alice commence tranquillement à caresser les deux femmes. Une fois que les deux femmes sont bien chaudes, Paul se lève, tourne autour du trio et Alice entreprend de dévêtir la plus âgée des deux. Ce n’est que la seconde fois qu’elle aime une femme. Paul se délecte, cette caméra est une mine d’or en pensant qu’une fois les visages des vendeuses masqués, il pourra la mettre sur internet. Très vite, la plus âgée des vendeuses se laisse convaincre par Alice. La bouche d’Alice embrassant son sein encore caché est un délice érotique que cette femme ne pouvait imaginer, même dans ses fantasmes les plus fous. La bouche d’Alice posée sur celle d...
Les garçons sont des garçons
il y a 3 ans

Confidences érotiques de selfbondage avec des foulards

##### Histoire d'un bondage d'écharpe masculine qui montre comment les hommes seront toujours des garçons qui aiment jouer... Tout a commencé quand j'étais e n f a n t et j'aimais avoir les yeux bandés pendant le jeu de bluff de l'aveugle, puis j'ai commencé à me bander les yeux à la maison avec les écharpes de ma mère et à me promener dans la maison. Et les foulards... il y en avait tellement. Ensuite, j'ai voulu savoir comment c'est d'être bâillonné comme j'ai vu à la télévision que tous ceux qui ont été k i d n a p p é s avaient les yeux bandés et bâillonnés. C'étaient les foulards en soie et tout était un peu instable sur ma tête, puis j'ai ajouté le foulard pour garder le bandeau et le bâillon en place. Alors que faire des autres foulards ? En expérimentant, j'ai réussi à attacher mes jambes et mes mains avec eux et même à me placer dans un hogtie. Puis un jour, comme d'habitude j'ai fermé les portes et j'ai commencé à m'attacher avec des foulards, d'abord le bandeau (un b...
Alice au pays de la soumission 3
il y a 3 ans

Soumission et l’esclavage par amour

Au petit jour, Alice prépare le déjeuner du Maître, l’emporte à quatre pattes sur son dos. Près du lit, prenant mille précautions, elle grimpe sans faire tomber ce plateau. Soulevant le drap, elle découvre l’érection de son Maître et suce ce membre délicatement. Paul s’extasie devant l’adresse d’Alice. Par précaution, il retire le plateau du dos d’Alice qui peut maintenant se donner à fond sur ce pénis fièrement dressé. Avant de jouir, il la couche sur le ventre et la possède ainsi. Alice est une bombe prête à exploser de plaisir dès que son Maître la baise. Paul peut le constater, Alice jouit très vite. Paul continue à lui ramoner sa chatte en chaleur. Peu après, Alice repart et de plus belle manière encore. Il ordonne alors de se fesser elle-même et Alice se fesse sur le champ, aussi fort qu’elle peut. Paul ne tarde plus à jouir dans ce sexe détrempé de cyprine. Alice lui emboîte le pas en poussant un long râle de bonheur. Sous la douche, Alice lave son Maître de sa seule bouche,...
Une fessée publique
il y a 3 ans

Les confidences érotiques de Sylvie une femme qui donne de sérieuses fessées à son mari.

Comme je vous l'ai laissé entendre je préfère rester discrète sur ma façon "d'éduquer" mon petit mari. Notre entourage ignore qu'à la moindre incartade monsieur est déculotté et fessé comme un gamin. Cependant pour parfaire l'efficacité d'une punition il est nécessaire d'augmenter l'humiliation du sujet, surtout que si, au début, le fait de se retrouver allongé sur mes genoux culotte baissée lui était pénible, il me semble qu'il s'y habitue. Pour augmenter sa punition il faut bien sûr claquer plus fort, plus longtemps et utiliser des instruments. Mais j'utilise deux autres techniques, la fessée publique anonyme et la fessée semi publique. La fessée publique anonyme, consiste à administrer une fessée déculottée devant des gens inconnus et qui ne peuvent nous reconnaître, comment procéder ? Le plus simple c'est la fessée autoroutière, je m'explique, je connais un endroit où un chemin agricole suit l'autoroute. Je gare la voiture et je sors mon petit mari, je le courbe sous mon bra...
Alice au pays de la soumission 2
il y a 3 ans

Soumission et l’esclavage par amour

Alice au pays de la soumission chapitre 2 Si Paul n’exige pratiquement rien du dimanche, Alice essaie de passer ce temps comme elle peut. Parfois, Paul lui demande un verre qu’elle s’empresse lui de servir. En milieu d’après-midi, il la met à quatre pattes devant lui, pose ses pieds sur son dos. - Parfois, une esclave ne sert qu’à ça. Alice se sent vexée de n’être plus qu’un repose-pied. Pourtant, il faut bien qu’elle se rende compte que si elle veut rester près de Paul, l’aimer et le chérir, il faut en passer par là, se soumettre entièrement. Ce n’est qu’un peu avant l’heure du souper que Paul se décide à a b u s e r de sa soumise. Il l’encule, non sans lui avoir bien préparé son anus. Paul peut se montrer sévère, douloureusement sévère même, mais il laisse la douleur au masochiste, ce que n’est pas, du moins le croit-il, Alice. Ne pouvant parler ouvertement, c’est à travers ses exclamations de bonheur qu’elle encourage son Maître à y aller franco. Paul se met alors à la fes...
Dure est la condition féminine
il y a 3 ans

Un supercherie qui change une vie

Vendredi 20 mars 1942, étude Maître X, boulevard Saint-Germain, Paris, 15 heures. Toute la famille en grand deuil est assemblée. Les sièges forment amphithéâtre autour du bureau du notaire. Les postures compassées sont démenties par le regard concentré de mes oncles et tantes et de ma mère sur l’enveloppe que le notaire caresse tout en parlant. Il parle du défunt, des regrets qu’il laisse, de son amitié pour lui, mais pas un mot de l’héritage. Les mains soignées de Maître X continuent à lisser l’enveloppe. Enfin le notaire saisit le coupe-papier, il va ouvrir l’enveloppe… Non, il s’arrête, prend sa respiration et ajoute : - Avant de vous donner lecture des dispositions testamentaires de votre parent, je dois vous rappeler, que le défunt était libre du choix de son héritier du fait qu’il n’avait reconnu aucun d’entre vous, ce qui fait de vous des enfants adultérins à supposer que vous soyez même en mesure de faire valoir ce titre. Comme par ailleurs, il était veuf et sans descendanc...
Alice au pays de la soumission
il y a 3 ans

Soumission et l’esclavage par amour

Une histoire érotique BDSM de qualité abordant les envies de soumission d’une femme masochiste. Envies l’emmenant à des extrêmes et à l’esclavage par amour. - Tu es certaine que c’est ce que tu veux ? - Oui, je veux connaître, ressentir. - Ok. Je t’envoie un mail. Il y tout ce que tu dois savoir. - Pas de souci, je dois de te rendre une réponse ?` - Tu imprimes, tu signes, tu scannes et me renvoies le tout. - Ok, J’attends ton mail. - Mais n’oublie pas une chose, une fois que tu passes la porte, pendant une semaine tu es à moi et je peux disposer de toi à ma convenance sans que tu ne puisses refuser. Ça te laisse encore un petit mois pour bien réfléchir. Voilà, ton mail est parti. - Tu me connais, si je commence quelque chose, je vais jusqu’au bout. - Sauf que là, ça n’a rien à voir avec tout ce que tu as vécu. - Ok, ben on verra bien. Je te laisse, j’ai encore des bricoles à faire en attendant ton mail. - À plus ma jolie. - À bientôt mon biqu...
Et comptant
il y a 3 ans

La personne de sécurité profite de ses selfbondages

Il a entendu le cliquetis alors qu'il était encore au fond des brumes. Son cerveau erra vers le son, cherchant la source. Lentement, il a émergé dans la conscience et a déchiffré le son. Talons hauts. Talons hauts sur un sol en pierre. Il tordit ses chaînes et écouta les déclics se rapprocher. Les talons sonnaient comme ses talons aiguilles. Elle les portait beaucoup ces derniers temps. Sortant à tâtons des brumes, son esprit se demanda paresseusement ce qu'elle portait d'autre. Probablement rien. Il a tiré sur les chaînes. « Quelle sera la façon de satisfaire son envie », pensa-t-il. Les talons se sont arrêtés. Les clés tintaient puis cliquetaient dans la serrure. La porte s'ouvrit en grinçant, les talons claquèrent trois fois puis la porte se referma. Les touches tintaient et claquaient à nouveau. Les talons claquèrent sur le sol de pierre. Son cœur s'accéléra. L'excitation et la peur traversaient son corps et suintaient de sa peau. Les talons se sont arrêtés. Il sentit l'o...
Rencontré sur le forum fessée
il y a 3 ans

Tom du forum fessée lui explose les fesses

Nous avions jusqu’à présent joué un peu autour de la fessée, ce n’était que des préliminaires même pas piquants, juste un jeu de coquins et des caresses. Ces caresses là m’excitaient, même si je ne savais pas ce qu’était une réelle fessée. Je n’en avais jamais reçues. Et puis mon coquin a été muté, les militaires de carrière c’est bien et pas bien pour ça. Mes lectures de nouvelle célibataire m’ont conduite sur des sites coquins. Je lisais parfois que d’une main en laissant courir mes doigts pour entretenir la flamme. Il m’est arrivée de m’allonger sur mon fauteuil et, en fermant les yeux, d’aller plus loin dans les caresses. La lectrice devenait héroïne de ma propre histoire. « Une bonne déculottée te mettra du plomb dans la cervelle » me disait à chaque fois mon apollon imaginaire. Et puis il y a eu Tom sur le forum fessée qui a su titiller avec élégance mon imagination. Nous sommes passés du forum aux messages privés plus intimes, ce goujat là savait me tirer les vers du...
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