Récits
La maison des soupirs partie 1
il y a 1 an

Suite de l'initiation

Bonjour à toutes et à tous. J’espère que cette suite vous plaira autant que [l’éducatrice](https://fessestivites.com/recit/199526) et [l’initiation](https://fessestivites.com/recit/199779) qui en sont le commencement. Vous constaterez que ce récit est plus hard que les deux premiers. J’en ai même dépassé mes propres fantasmes afin de conserver une cohérence. Je vous souhaite une bonne lecture. Marc. Derrière la vitre, une jeune femme me regardait avec des yeux jubilants. Elle était heureuse de me voir en si mauvaise posture. Moi qui lui avais menti le jour de notre première rencontre. Le jour de mon premier rendez-vous chez Madame Kassandra. À sa droite, il y avait deux jeunes femmes. Si elles ne portaient pas de tenue différente, j’aurais pu penser que je voyais double. Inutile de vous dire qu’il s’agissait des jumelles. Des propriétaires de la maison des soupirs. Elles nous détaillaient de leur regard supérieur. Lilian me gifla violemment, me sortant de ma torpeur. — Aide-m...
Fringues (1)
il y a 1 an

Jeux de filles

- Des après-midi entières j’y passerais, moi, à essayer des fringues. - T’es pas la seule. - Vous êtes trop dans votre genre quand même, les filles ! Vous l’avez mis dans un état le type du magasin. Comment il était rouge et comment il transpirait ! - Ben quoi ! On avait tiré le rideau. - Aux deux tiers. Et encore… - On l’avait fait exprès, remarque ! - Mais en faisant quand même semblant que non. Pour quoi on passerait sinon ? - En attendant celui-là j’ai vraiment cru que vous alliez lui faire avoir un malaise à un moment. Il te respirait à une vitesse ! - Ah oui ? Quand ? - Quand t’as baissé ta culotte en même temps que le jean. - C’était pas de ma faute. Il serrait trop, ce truc. - Tu parles que c’était pas ta faute. - Disons… Pas complètement ma faute. N’importe comment personne l’obligeait à regarder, hein ! - De toute façon je crois pas qu’on y retourne. - Il y a nettement mieux ailleurs. - Celui tout en haut de l’avenue, par exemple....
Fringues (2)
il y a 1 an

Elle cachait bien son jeu, elle!

- T’aurais dû venir ! Comment ça valait le coup ! - Ah oui alors ! Parce qu’on a trouvé le point faible, là. Je peux te dire qu’il y est pas resté derrière son comptoir à regarder tout ça de loin comme il fait d’habitude. Comment il a rappliqué ! Toutes les trente secondes il était là, derrière le rideau. Qu’on avait laissé entrebâillé juste ce qu’il fallait. À nous demander si on n’avait pas besoin d’un conseil. Fallait pas qu’on hésite, hein, surtout ! D’ailleurs il venait de recevoir de nouveaux modèles. Si on voulait les essayer… Ça nous engageait à rien… Et patati… Et patata… Il partait. Il revenait. Il arrêtait pas. Et il se rinçait l’œil tant qu’il pouvait. Je te le regardais faire discrètement dans la glace. Un vrai meurt-de-faim… - C’était trop génial, attends ! Parce que ce type, il est toujours hyper sûr de lui. T’as l’impression qu’il y a rien qui peut l’atteindre. Qu’il y a aucune prise nulle part ; Et là, d’un seul coup tu le vois qui perd complètement pied. Tout ça...
Pire que punie
il y a 1 an

L’infidélité conduit une femme à accepter les pires humiliations pour se faire pardonner.

Emma a trompé son ami et le regrette. Emma et James se regardent par-dessus la table. James reste adossé à la chaise, réussissant d'une manière ou d'une autre à avoir l'air à la fois sévère et en colère en même temps. Emma est tellement choquée par ce qu'il vient de lui dire qu'elle a cessé de pleurer. James lui sourit : - Tu as entendu ce que j'ai dit. C'est ça ou rien. Emma est incapable de répondre et il lui lance un regard déçu avant de se lever pour partir. - Tu m'as bien dit que tu ferais n'importe quoi? Mais comme tu m'avais dit que tu ne me tromperais jamais, je suppose que je ne dois pas prendre pour argent comptant tout ce que tu dis. - Attends! Emma essaie rapidement de l'empêcher de partir. Elle se remet à pleurer. Mais elle ajoute : - Je vais le faire! James s'arrête et la regarde. Il reste impassible. Emma sourit faiblement : - Je parie que tu ne t'attendais pas à ce que je dise oui, n'est-ce pas? J'ai dit que je ferais n'importe quoi pour te récup...
Visites médicales universitaires (1)
il y a 1 an

Il y a des étudiants qu'il ne faut pas hésiter à remettre en place

La visite médicale universitaire, les étudiants s’y plient parce qu’ils n’ont pas le choix. Parce que, s’ils n’ont pas le fameux tampon-sésame, ils ne pourront pas passer leurs examens. Alors ils font, pour la plupart, contre mauvaise fortune bon cœur. Pour la plupart. Parce qu’il y en a qui ne peuvent s’empêcher de manifester ouvertement de la mauvaise humeur, une mauvaise humeur qui devient parfois, pour certains d’entre eux, délibérément arrogance quand ils constatent, au moment où ils se présentent en slip devant elle, que c’est une jeune femme qui va la leur faire subir, cette visite. Et qu’elle a, grosso modo, à peu près leur âge. Leur petite fierté de mâles ne s’accommode que très difficilement d’une situation où ils se sentent, vis-à-vis d’elle, en position d’infériorité. Elle a l’autorité et, d’une certaine façon, le pouvoir. Ce qui leur est, à proprement parler, insupportable. D’où des attitudes souvent aux limites de l’incorrection, quand elles ne sont pas carrément offensan...
Visites médicales universitaires (2)
il y a 1 an

Notre médecin s'enhardit...

8- Ceux d’un certain âge qui, à quarante, cinquante ou soixante ans reprenaient des études, elle les avait jusque-là épargnés. ‒ Parce qu’ils t’impressionnent ? Parce qu’ils t’intimident ? ‒ Il y a peut-être un peu de ça, oui. Sûrement, même. Mais ce qu’il y a surtout, c’est que j’ai peur que ça dérape avec eux. Souvent ils sont vicieux à ces âges-là. Faudrait pas que ça dégénère. Ou bien alors qu’ils retournent la situation à leur avantage. Que je perde le contrôle. ‒ Oui, mais, d’un autre côté, imagine le pied que ce sera si t’arrives à prendre complètement le pas dessus… Elle s’y est essayée. Avec un certain Martin Duport. Qui paraissait d’un naturel assez pacifique et qui, d’après sa fiche, était comptable, avait cinquante-deux ans, en paraissait un peu plus, et était inscrit en troisième année d’Histoire. ‒ En plus de votre métier. C’est courageux. C’est méritoire. Dans quel but, si ce n’est pas indiscret ? Vous voulez vous reconvertir ? ‒ Oh, non, non ! Mais...
La juge est transformée malgré elle en femme soumise
il y a 1 an

Un Maître chanteur particulier parvient à la piéger une femme juge de la pire des façons pour faire libérer son frère de prison.

Martine, épuisée par une journée harassante faite de tensions et d’horreurs quitte le tribunal de Marseille vers 19 heures. Dans le flot ininterrompu de voitures elle ne remarque pas la moto qui la suit. A la sortie de la ville, elle heurte son véhicule dans un rond point après l’Estaque et va finir sa course sur un trottoir où elle se couche. La chute n’est pas très v i o l ente mais Martine tremble comme une feuille. Sa 308 à peine arrêtée, son premier réflexe est de se précipiter vers le motard mais il se relève lorsqu’elle arrive près de lui. Un monospace s’arrête pour prêter main forte, son conducteur les aide à relever la moto, la plus tendue de tous est la juge qui, à 38 ans, n’a jamais eu le moindre accrochage. Les curieux constant que l’accident est bénin ralentissent à peine trop pressés de rentrer chez eux. Le conducteur du monospace leur propose de s’asseoir dans son véhicule pour faire le constat en rassurant la juge très inquiète. Prise par les évènements, elle accept...
La juge est transformée malgré elle en femme soumise 2
il y a 1 an

Sa nouvelle vie de femme soumise est ignoble et devient un véritable calvaire.

Après son long calvaire et une nuit passée dans une cage suspendue au plafond du garage, Martine a le moral au plus bas. Son corps porte les abominables traces des supplices subits depuis son enlèvement. La lumière filtrant sous le portail du garage lui permet de savoir qu’il fait jour. Elle a soif, une envie d’uriner la tenaille. Pierre entre dans le garage et lui tend son téléphone portable en lui intimant l’ordre de prévenir le tribunal qu’elle est souffrante. Entre ses doigts, la télécommande de son instrument de t o r t u r e la dissuade de tenter quoi que ce soit. L’appel passé, il reprend le téléphone et lui explique que les vidéos sont excellentes. Son complice informaticien devrait leur apporter le DVD avec les clips dans la soirée. - Maintenant salope, tu vas méditer aux moyens de réduire la peine de prison de mon frère. Tant qu’il sera en prison tu feras la pute pour moi. L’argent gagné ira à sa famille. Dès qu’il sera libéré, je te laisserai tranquille mais il est fort...
Balançoire
il y a 1 an

Un stratagème judicieux, mais...

- Vous en faites une tête, les filles ! - Faut qu’on te dise… - Oui, faut qu’on te dise. Lionel… - Eh bien quoi Lionel ? - Roxane elle a aussi des vues dessus. Et pas qu’un peu. - Quelle garce ! Elle le sait pourtant que je suis après. Et depuis un bon moment. - Oui, mais justement ! Elle a dit comme ça que depuis le temps que t’arrivais à rien. Qu’il faut pas que tu rêves : tu l’intéresses pas. Et qu’est-ce qu’un type comme lui pourrait bien aller foutre avec une fille comme toi. Il est libre à ce qu’elle sache. Et c’est sûrement pas parce que tu te fais un film dans ta tête que ça va l’empêcher… - Elle veut la guerre ? Elle va l’avoir. Et pour commencer avant huit jours il est dans mon lit, Lionel. On va employer les grands moyens. - C’est-à-dire ? - Vous allez voir Vous venez ? On va chez toi, Ninon. - Chez moi ? Quoi faire, chez moi ? - Ben c’est ton voisin, Lionel, non ? 2- - S’il nous a pas entendues avec tout le potin qu’on fait - Il est là au moins ? - Ben ou...
Quand l'éducation anglaise s'invite à Poudlard
il y a 1 an

Une histoire de fessée et de magie

ATTENTION!!!!! Ceci est une fanfiction et les personnages ne m'appartiennent donc pas. Je n’arrivais pas à le croire, non décidément, la journée était vraiment mauvaise. Après ma tentative ratée en cours de potion, cette lettre. Bon d’accord, ce cours de potion était d’un niveau qui demandait des années d’expérience, mais quand même je ne suis pas habituée à échouer. Quant à cette lettre, qu’elle soit maudite. Mes parents m’annoncent qu'après ma scolarité et ma remise de diplôme, je me devrai de rejoindre une école pour moldus. Car selon eux, il me faut aussi un diplôme, le baccalauréat par exemple. Je pouvais choisir la spécialité que je voulais. Cela me faisait une belle jambe, il n’y avait pas de spécialité sortilèges ou DCFM dans ces écoles. Non mais vraiment, qu’est-ce que j’allais bien pouvoir y faire dans cette école ? Tiens voilà mes meilleurs amis (enfin presque), Pierre de la maison Poursouffle, Julie de la maison Gryffondor et Frédéric de la maison Serdaigle. Bon...
Do not disturb BDSM
il y a 1 an

Les femmes de chambres en voient de toutes les couleurs et même du bondage

Les deux femmes de chambres étaient là sur le balcon au niveau de l'escalier de secours du quatrième étage. Elles venaient de passer deux heures - un peu moins en fait - à nettoyer et remettre en ordre les chambres. L'une fumait sa cigarette pendant que l'autre sirotait une tasse de café brûlant profitant du soleil et de leur première pause de la matinée. - Il t’en reste beaucoup à faire, Fanny? - Une dizaine je crois, j’ai dû en faire la moitié. Et toi? - Pareil. Un peu moins. - Dis-moi... tu as fait la 411 dernièrement? - Attends... La semaine dernière, je crois. C’est plus ton côté ça. Pourquoi? L’air mystérieuse, Fanny commence à regarder autour d’elles, vérifiant que personne ne traîne aux alentours. Elle se rapproche de sa collègue. - Et bien, hier, je l’ai faite. Tu ne devineras jamais ce que j’ai trouvé dedans. Carole ouvre grand les yeux, et les oreilles aussi, prête à des révélations. - Quoi? Allez, dis. - Patiente. Je te raconte... Il était dans...
Un demandeur d’emploi chez des lesbiennes sadiques et gynarchiques
il y a 1 an

Il accepte un emploi chez deux lesbiennes gynarchiques AIE AIE AIE

Henri s'énerve à l'ANPE où il s'est rendu en bus en leur expliquant que pour ne pas se retrouver à la rue il est prêt à prendre n'importe quel travail dans son village. Le seul poste disponible est celui de femme de maison, il l’accepte et se retrouve chez deux lesbiennes gynarchiques. ............................................. Avec sa voiture hors service, six mois de factures et loyers en retard à deux doigts d'être expulsé, Henri s'énerve à l'ANPE où il s'est rendu en bus en leur expliquant que pour ne pas se retrouver à la rue il est prêt à prendre n'importe quel travail dans son village. - La seule offre d'emploi sur votre commune est un poste de femme de maison et comme vous n'êtes pas une femme, je n'ai rien d'autre à vous proposer. Lui répond l'agent agacé. Avec force et rage il parvient à convaincre la personne de l'ANPE de le laisser prendre contact avec cet employeur. Lors du rendez-vous, ce n'est pas une femme mais deux qui le reçoivent. Elles ne sont pas ten...
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