Récits
Un trio malgré elle
il y a 2 ans

Le jour de l’anniversaire de son mari, elle s’envoie en l’air sans le vouloir

Ce soir là, mon mari et moi étions sortis dans une boîte de nuit de la région. Notre soirée s’annonçait très réussie. Cela faisait presque 6 mois que nous n'étions pas sortis et l'anniversaire de Nicolas, mon tendre époux, nous poussait hors de notre cocon. Après presque 5 ans de mariage et pas d'e n f a n t , nous essayons depuis deux ans, le travail avait pris beaucoup de place dans notre vie. Je me regardai dans la glace et je me trouvai très désirable. J'ai 30 ans, brune aux cheveux longs, assez petite, fine, une belle poitrine mais ce dont je suis la plus fière se sont mes fesses, bien rondes et fermes que j'entretiens dans un club de gym. J’étais habillée d’une minijupe en cuir, très courte pour mettre en valeur mes jambes et d’un chemisier assez transparent derrière lequel on distinguait un soutien-gorge en dentelle bien rempli. Un simple string ficelle complétait ma tenue. Le moindre de mes vêtements étaient noirs. Mon mari me voulait sexy pour son anniversaire. Il préférait...
Tout en douceur
il y a 2 ans

Tout en douceur même si ça pique

Je rentrais du travail, ce matin là. Enfin, fin de matinée, il était passé onze heures. A l’époque, je travaillais en horaires décalés. Je travaillais 24h d’affilée et j’avais deux jours de repos après. La nuit était divisée en deux parties, de 20h à 02h et de 02h à 08h. Ce jour-là, j’étais réveillée depuis une heure du matin et un peu dans le jazz. Je suis rentrée à l’appartement et j’ai trouvé mon chéri à la cuisine. Ce genre de chose n’arrivait pas souvent, dieu sait qu’il n’était pas mauvais, quand il se donnait la peine. - Bonjour! Tu vas bien? lui ai-je demandé? - Bonjour ! a-t-il répondu un peu vivement, l'air légèrement contrarié.  Mieux maintenant que tu es rentrée et toi ? - Fatiguée, mais ça va. Pourquoi mieux ? - Tu as vu l’heure ? gronda-t-il. Tu quittes bien le travail à 09h15, non ? - Oui, mais je travaille avec Marine en ce moment, me justifiai-je. Tu es au courant pourtant. - Cela n’empêche pas de me prévenir, cela m’arrive d’oublier ! - J’ai besoin d’...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 115 : Les photos
il y a 2 ans

Ce n’est pas parce qu’un engrenage grince qu’il ne fonctionne plus, mais il y a de fortes chances qu’il s’use plus vite.

Chapitre 115 : Les photos - J’aurais dû monter avec des habits, répondis-je faussement embêté, sachant l’inutilité, voire le sarcasme de ma réponse. - Des photos de nus, reprit Christian, hermétique à mon humour. - J’espère qu’au moins il vous fait bien l’amour, plaignis-je Vlad, devant ce manque évident d’intelligence. Ce dernier sourit. Christian ne comprenait même pas ma remarque. Ils me conduisirent dans la chambre à coucher. Tout y avait déjà été préparé. Deux lampes, des projecteurs au vu de l’intensité lumineuse qu’ils dégageaient, dirigeaient leur éclairage vers le lit couvert d’un drap de satin noir. Il insisterait judicieusement sur la blancheur de mon corps, pensai-je en connaisseur. - Tu n’as jamais fait de photos ? - Des nus ? répondis-je. - En général. - Non. Aurai-je raté une carrière de top-model ? dis-je ahuri. Vlad rit de ma blague. Christian ne fit aucun mouvement. C’était étrange comme impression. J’étais mal à l’aise, pire que lorsque je...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 114 : Un voisin plutôt pressé
il y a 2 ans

Dans un engrenage, quand le couple change, la vitesse aussi, comme l’inertie et l’usure, tout est lié.

Chapitre 114 : Un voisin plutôt pressé Nathalie se précipita pour ouvrir. - Bonsoir, vous êtes son voisin ? demanda-t-elle. Nous vous attendions. Deux hommes entrèrent. Christian et Vlad se présentèrent. J’étais certain de n’avoir jamais vu le prénom de ce dernier sur la sonnette ni sur la boite aux lettres. La connotation étrangère ne devait pas être appréciée. Il l’avait omise. Vlad était charmant avec ces dames, leur faisant même le baise-main. Mon appartement me paraissait d’un coup beaucoup trop petit. - Alors ? Avez-vous étudié ma proposition ? commença Vlad. - J’ai décidé de la rejeter et de vous en faire une autre. - Allez-y, répondit-il l’œil joueur. - Tous les dimanches soir hors vacances scolaires, jusqu’à fin mai, il viendra dans votre appartement avant dix heures du soir et vous le libérerez avant deux heures du matin. - Cela me semble un bon point de départ pour une discussion. Nous pourrions accepter mais nous voulons mettre deux conditions - Q...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 113 : Retour chez soi
il y a 2 ans

Le redémarrage d’un engrenage permet de réaligner certaines roues qui parfois prennent un peu trop de jeu.

Chapitre 113 : Retour chez soi - Que proposez-vous ? répondit ma maîtresse ? - J’ai bien aimé quand il avait les orties en classe. Je le voudrais bien du mercredi midi au soir. Le titiller en public, j’avoue que cela m’excite. - Pas de soucis ! Et toi Valérie ? - Je ne sais pas. Occasionnellement. J’aimerai l’avoir durant des soirées, où il serait comme Ben, un esclave entièrement soumis à mes ordres. Je n’ai toujours pas profité de ses dons pour le cunnilingus. Maîtresse Diane et Lydia émirent un soupir similaire en même temps. J’avais du succès. Je remuai ma langue vers elles leur rappelant à mon bon souvenir. - Tu veux une autre tétine ? me menaça Lady Christine. J’arrêtai immédiatement, au grand désarroi de Lassie. - Es-tu d’accord avec cette organisation ? me demanda finalement Ladyscar maintenant que tout avait été figé. Oui, me hurla Lassie. Oui, oui et encore oui, me bourrait elle le crâne, m’empêchant de réfléchir. Que pouvais-je dire d’autre ? Je le...
La fessée de Rolande (1892)
il y a 2 ans

Autres temps, autres moeurs.

- Vous venez ? À l’écart, là-bas, sous la futaie. - Ça approche. Dans trois semaines ce sera fait. Le jour de mes vingt ans, je deviendrai Madame Dorlandier. - Et ça ne t’effraie pas ? - Un peu, si ! Mais enfin Charles est d’une telle délicatesse à mon égard. Il se montre si empressé, si attentif au moindre de mes désirs que j’aurais mauvaise grâce à redouter sérieusement quoi que ce soit. Non, si je devais nourrir une quelconque appréhension, ce serait celle de le décevoir, moi, de ne pas être pour lui l’épouse attentionnée et dévouée qu’il est en droit d’espérer… Un geai des bois s’est brusquement élancé d’un taillis dans un grand froissement d’ailes… - Vous avez vu ? À notre droite il est passé. D’après les Romains, c’est un bon présage. Excellent, même… - Vous vous rappelez les cours de latin au couvent avec sœur Cunégonde ? Ce qu’on pouvait se moquer d’elle quand on était sûres qu’elle ne nous voyait pas - Et sœur Pétronille au dortoir. Qui, à peine couchée, ronfla...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 112 : Le contrat
il y a 2 ans

Un bon cahier des charges entraine un bon produit ; c’est aussi valable pour un engrenage.

Chapitre 112 : Le contrat C’était bien la peine de se cacher pendant les deux séances pour se dévoiler cinq minutes avant la fin, pensai-je. - Je le savais, je l’avais reconnue, s’exclama Nathalie. Je te l’avais dit, ajouta-t-elle à l’intention de sa copine. Valérie confirma ses dires et son sens de la déduction. - Elle me soutenait que c’était vous. Elle a reconnu votre style, vos expressions, la façon dont vous nous guidiez dès la première séance, très professorale. Elle trouvait même un truc dans votre voix et même votre attitude en cours depuis le lui confirmaient. - Et Ladyscar se doutait que tu savais, ajoutai-je à Nathalie. Je ne savais pas pourquoi j’avais dit cela. Peut-être qu’à nouveau je prenais la défense de ma maîtresse à la voir dévalorisée de ses efforts infructueux à rester secrète. Un silence s’installa. On espérait ne pas entendre des mots sortant de la bouche des étudiantes comme révélation, démasqué, on saura… Finalement ce fut Maîtresse Diane qui...
Proposition et contre proposition
il y a 2 ans

Proposition simple contre proposition compliquée

Après cette dernière fessée, le temps a passé, il y a eu beaucoup de moments difficiles avec mon ex-femme. Les enfants en commun nous ont obligés à garder des contacts. Au fil du temps, la situation s'est apaisée et nous avons des rapports plutôt cordiaux au point qu'elle me loue sa caravane pour les vacances. Je la taquinais en lui disant que j'aimerai bien qu'elle me donne une fessée. Bien sur, elle répondait qu'il n'en était pas question. Au début du mois de février 2020 elle m'a contacté parce qu'elle avait un problème important. Elle m'expliqua qu'elle voulait déménager, qu'elle et son compagnon avaient trouvé un nouveau logement mais qu'ils avaient un problème financier et qu'ils n'avaient pas assez pour la caution. Elle souhaitait donc un prêt pour pouvoir régler la caution. Somme qu'elle me rembourserait dès que l'ancien propriétaire aurait rembourser la caution de l'ancien logement. C'était une demande surprenante, je pouvais financièrement le faire mais j'y mi...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 111 : Subterfuge dévoilé
il y a 2 ans

Avoir une vue d’ensemble sur un engrenage ne permet pas de déterminer le rôle de chacune de ses roues.

Chapitre 111 : Subterfuge dévoilé - Sébastien et une maîtresse, répondis-je honnêtement. Tous les regards se tournèrent vers Tata Marguerite. Les avis respectifs entre Christine et Marguerite sur Maitre Lucifer, l’insistance de Tata Marguerite à me faire boire ce biberon, alors que l’envie de jouer n’y étais pas après ma démonstration chez Lucifer, la facilité de Lady Christine à toujours me défendre, tout convergeait. - Vous n’avez pas le sadisme nécessaire, accusa-t-elle alors Maîtresse Diane, devant nos regards insistants. Jamais prête à aller aussi loin que lui. Ethique, accord préalable, concilier, négocier… Les soumis ne doivent marcher qu’à la douleur et aux médocs. Ils ne sont rien et leur avis ne compte pas. - Tu dis cela alors que tu as sûrement le soumis le plus libre, car le plus pris par ses activités extérieures, celui qui a les plus grands pouvoirs. Que ce soit d’ailleurs en dehors de nos jeux, mais également dans le choix de décider des séances auxquels il p...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 110 : Démasqués
il y a 2 ans

…incrustés dans les murs et la pierre, si on ne nettoie pas ces débris immédiatement, il arrive qu’on les retrouve des années plus tard, empoisonnant notre existence.

Chapitre 110 : Démasqués C’est le bruit qui me réveilla. De nombreuses personnes discutaient en même temps. Le ton semblait plus proche du conflit que de juste une altercation enflammée. Je ne reconnaissais que partiellement certaines voix, et les mots distingués ne formaient pas dans mon esprit de phrases suffisamment intelligible. Je décidai de garder les yeux fermés, le temps de savoir où j’étais et surtout ce qui se passait. - Je n’ai rien senti, jura Myriam. - On ne ressent pas le sperme avec un préservatif, répondit une voix d’homme plus loin de moi. - Elle était toute molle, insistait-elle. - Vous aviez l’air pourtant de vous éclater, dit Nathalie. - Je faisais semblant. Il n’a pas pu éjaculer avec une bite molle, de toute façon. - Elle n’a pas besoin d’être dur pour éjaculer, entendis-je maintenant plus distinctement la voix masculine. Je croyais reconnaître un des valets, mais je n’arrivai plus à savoir lequel. J’avais encore besoin de temps pour m’évei...
L'éducatrice (partie 5/5)
il y a 2 ans

Le piège se referme

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) — Très bien, Marc ! Je suis fier de toi ! me félicita Kassandra en caressant mes fesses endolories. Tes fesses sont bien chaudes ! Elles ont pris une belle couleur voilette ! Je prends une photo pour l’envoyer à ta belle-mère, qu’elle puisse constater que tu as bien été puni ! J’entendis le déclenchement de l’appareil photo du potable de Kassandra à trois reprises. Kassandra alla déposer la canne loop sur son bureau et revint vers moi. Je sentis sa douce main, me caresser les fesses. Mon postérieur était si brûlant, que sa main me sembla glacée. Quand elle me détacha du banc à fesser, j’eus la plus grande peine du monde à me relever. J’étais exténué. Mes jambes étaient flageolantes. — Mets tes mains sur la tête, Marc ! me réclama Kassandra. Ça serait dommage de ne pas monter à ta belle-mère que ton vilain petit oiseau est bien enfermé dans sa belle petite cage, maintenant ! s’enjoua Kassandra. Elle prit deux photos. La premièr...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 109 : Le piège se referme
il y a 2 ans

Si un engrenage doit céder, les débris en parcelleront la pièce plus densément qu’un ciel étoilé.

Chapitre 109 : Le piège se referme - Oui, avouai-je enfin. Je me sens fatigué. - Penses-tu que cela pourrait être à cause des substances que j’ai mis dans le lait ? me demanda-t-elle cyniquement. - Qu’as-tu mis ? m’inquiétai-je. Le goût de fraise ! réalisai-je. - C’était de l’arôme fraise naturel, une petite attention de ma part, que n’aurait pas eu tes maîtresses. Même si je l’ai ajouter pour masquer le reste des produits : un petit cocktail de ma composition, un mélange de somnifère, d’anti-dépresseur ainsi qu’un produit que la loi impose à ceux comme toi qui ont exagéré sexuellement, un castrateur chimique. - Pourquoi ? - Connais-tu l’enjeu du pari entre Ladyscar et Basile ? - Non, répondis-je, alors que Myriam poursuivait son va-et-vient inutile, tenant surtout à me garder allongé, enfoncé dans mon cercueil. J’étais certain, qu’à mon rythme, dans une autre position, je pouvais surmonter ce mélange, dont je soupçonnais qu’il n’avait pas complétement fait effe...
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