Récits
Rencontre gay sous cage de chasteté
il y a 2 ans

La cage de chasteté n’empêche pas de baiser au gode ceinture

Wouah le mec ! Une soirée en boite des plus banale. Fred, la tafiole du coin se faisait remarquer comme d'habitude, il dansait torse nue au milieu de la piste et jouait les gogo danseurs. Un couple se pelotait, ils étaient torse nue et n'avaient pas remarqué que la séquence slow était terminée … C'est beau l'amour … Et c'est à ce moment qu'il est entré, tous les regards se sont dirigés vers lui, sauf toujours les deux amoureux qui continuaient à danser le slow en plein milieu d'un bon vieux rock. Eux, ils n'ont rien vu. Il était habillé tout en jeans, le pantalon bien sûr, la chemise, la veste et le chapeau, les santiags devait être en cuir, je précise parce que j'avais dit tout en jeans … Bref il avait de l'allure. Ou je sais, une telle tenue avait tout pour être ridicule mais lui, ça lui allait bien, il avait de l'allure, il était beau comme un cow-boy à la télé, plus beau que Montgomery clift et plus viril que John Wayne, c'est tout dire, si vous voyez de quoi je parle …...
Mémoires d'une fesseuse (7)
il y a 2 ans

Photos...

- Tu peux pas t’asseoir, Marie-Clémence ? Tu me donnes le tournis. Ça faisait un quart d’heure qu’elle arpentait de long en large la cuisine. - Si ! Oui. Mais je voulais te demander… Les photos… Elle s’est agenouillée sur la chaise. - Quelles photos ? - Ben… De l’autre soir… - De ton derrière tout rouge ? Quand t’étais au coin ? - Voilà, oui. - Tu les veux, c’est ça ? Je t’en ferai une copie, c’est pas un problème. - Non, mais surtout… Ce que j’aimerais savoir… Tu… Tu les as montrées ? - Évidemment ! Quel intérêt sinon… T’as de ces questions ! - À qui ? - Tes copains à la fac… Elle a pris un air horrifié. - T’as pas fait ça ! - Ben si, pourquoi ? Fallait pas ? Ils étaient enchantés. Ils te découvraient sous un jour complètement nouveau. - Oui, oh, ben alors là, je remets pas les pieds là-bas, moi ! C’est hors de question. - Mais non, idiote, je les ai pas montrées. Mais je le ferai. Pas à eux. À d’autres. Tu perds rien pour attendre. - À qui ? - Tu connai...
Une soirée d’étudiants très coquine
il y a 2 ans

Quand les langues servent à autre chose qu’à parler

Je m’appelle Antoine, j’ai 18 ans et je mesure 1m85 pour 71 kilos. Je n’ai jamais vraiment eu de difficultés côté fille, il faut dire que je ne suis pas non plus très moche. Depuis cette année j’étudie à l’université du Mans en DUT GMP. Cette année était un grand changement pour moi. En effet, cela faisait 14 ans que je vivais dans la même petite ville de 10 000 habitants. J’avais mes amis depuis toujours, mais habitudes, et la proximité avec mes parents. Ayant obtenue mon bac, mon choix d’étude m’a transporté jusqu’au Mans, en DUT GMP (Génie Mécanique et Productique). Je ne connaissais donc personne mais je sympathisa vite avec quelques camarades. Je savais que les filles étaient rares dans ce domaine mais là c’était vraiment désespérant, 6 filles pour 52 élèves, la m o r t ... La promo est divisé en quatre groupe de classe et dans la mienne, deux filles (on peut dire que c’est une chance). Parmi elles, une sortait un peu plus du lot, même si ce n’était pas vraiment un mannequin. E...
Tout est perdu, fors l'honneur
il y a 2 ans

Défaite.

- Les nouvelles ne sont pas bonnes, Madame ! - C’est-à-dire ? Parle, Guillaume, je te l’ordonne ! - Elles sont même très mauvaises. - Monseigneur ? - Capturé. - Notre fils ? - Également. - Dieu soit loué : ils sont néanmoins sains et saufs. Nos troupes ? - Défaites. Avant ce soir l’ennemi sera ici. Si j’ai un conseil à donner à Madame… - Fuir ? Jamais ! 2- - La ville est entre leurs mains, Madame. - J’y vais. Ma place est là-bas. - Vous n’y songez pas ! On tue. On pille. On saccage. On viole. - Je m’interposerai. Je supplierai. Je convaincrai. - Ce serait pure folie. Vous exposeriez inconsidérément votre vie. - Peu m’importe désormais. - Vous ne sortiriez de toute façon pas du château. Il est cerné de toutes parts. 3- - Il y a là un émissaire du prince, Madame ! - Faites entrer… Un homme en armes qui salue. Qui s’incline. - Mon maître prie Madame d’accepter ses plus fervents hommages. - Laissons cela ! Où sont-ils, Monsieur ? Dites-le-moi ! Je vous en c...
Fessée suprise
il y a 2 ans

Il y a des moments où ce n'est pas prévu et où la suite est troublante

C'était au début de l'année suivante, j'avais un document à signer pour l'école des e n f a n t s, j'avais un peu temps dans ma journée de travail, je suis donc passé à mon ancien domicile pour signer le document en question. J'ai sonné à la porte, elle m'a fait rentrer dans la salle à manger, elle m'a dit qu'elle allait chercher les papiers dans la chambre de ma fille. Il y avait du linge à sécher sur un étendoir et sur une pince... je me suis approché et j'ai vu qu'il s'agissait de deux culottes qu'elle portait.. ma main a touché le tissu. Elle est revenue à ce moment là et m'a demandé ce que je faisais, j'étais gêné, elle m'a tendue les papiers et m'a dit de signer. J'ai posé le document sur la table et sorti un stylo et je me suis dépêché de signer. Je comptais partir, je me suis dirigé vers la porte et j'allais ouvrir la porte quand elle m'a dit ça t'as excité de toucher ma culotte... tu mérites une fessée. Viens ici tout de suite. Je me suis approché, elle...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 98 : Deux corps, deux t o r t u r e s, un plaisir.
il y a 2 ans

Deux roues symétriques, dans deux engrenages différents n’interagissent qu’en pensée.

Chapitre 98 : Deux corps, deux t o r t u r e s, un plaisir. Le liquide s’écoula d’abord lentement, puis plus rapidement. Une cascade d’eau saumâtre et mousseuse sortit de mon être directement dans le seau positionné avec expertise. Même les valets s’étaient arrêtés de v i o l enter Lisa pour me regarder. L’action était tout aussi humiliante que la position jambes écartées et attachées à laquelle je ne pouvais remédier. Deux ou trois fois je crus que j’en avais fini, mais quelques filets sortaient toujours de mon anus, devenu presque insensible à ce déversement. Plus assez pour que cela intéresse encore mes spectateurs, mais suffisant pour ne pas atténuer ma honte. Les valets reprirent leur affairement sur la pauvre Lisa. Celle-ci se défendit. Profitant de leur distraction, elle réussit même à se redresser, hurlant, giflant. Mais elle était en face de cinq hommes qui reprirent vite le dessus sur elle. - C’était juste une pause, dit l’un des valets. Ce n’est pas fini. Je c...
Un travail d'équipe
il y a 2 ans

Après un différend avec une collègue, un jeune homme doit, sur ordre de son patron, former la nouvelle arrivée dans l'équipe et ainsi redorer son blason. Malheureusement pour lui, ça ne se passe pas comme il l'avait espéré.

Un travail d’équipe. C’était un pluvieux matin de septembre. L’été venait de faire place nette à un automne bien décidé à faire valoir son autorité. Le froid accompagnant la pluie obligeait tout être censé à se couvrir, entassant les épaisseurs les unes sur les autres pour passer de son domicile à la voiture, de la voiture à son bureau… Ce matin là, Marc, mon patron, nous appela, Nathalie, Florence, Paul, Yann et moi dans son bureau. Je ne vis que son visage d’ange une fois passé la porte, hypnotisé par ses grands yeux bleus et sa bouche aux contours parfaits. Je ne prêtais aucune attention à Marc qui haussa la voix me tirant à regret de la peau fine et légèrement rougissante de la nouvelle venue. • Je vous présente Sandrine. – sembla redire Marc à mon attention. - Elle va compléter notre équipe dès aujourd’hui. Je compte sur vous pour l’aider à s’intégrer, d’une, et de deux, qu’elle soit rapidement opérationnelle sur les projets en cours ! Marc nous présenta à la jeune f...
Mémoires d'une fesseuse (6)
il y a 2 ans

De fessée en fessée...

[Le début de cette saga est ici](198703) C’est le sentiment d’une présence dans ma chambre qui m’a réveillée en sursaut, sur le coup de deux heures du matin. J’ai allumé. Marie-Clémence était toujours au coin. Là où je l’avais envoyée en début de soirée. Elle n’avait pas bougé. - Qu’est-ce tu fous là ? Va te coucher ! L’image d’Hélène, penchée à poil sur sa table, m’a effleurée. Est-ce qu’elle non plus n’avait pas bougé, attendant patiemment que je vienne la délivrer ? Peut-être. Sûrement même. On verrait ça. Plus tard. Et je me suis rendormie. À neuf heures, j’ai déjeuné. Je me suis douchée. Habillée. Ce n’est qu’ensuite, bien après, que je l’ai appelée. Ça a d’abord sonné sept ou huit fois dans le vide avant qu’elle ne finisse par décrocher. - Hélène ? - Oui. - Tu m’as désobéi. Tu n’es pas restée comme je te l’avais dit. - Ah, mais si ! Si ! Je t’assure. - Ah, oui ? Et comment t’as fait pour attraper ton téléphone alors ? Il était dans la cuisine. Il y a eu un...
Jouer dans tripot clandestin amical avec des pervers n’est pas sans risque
il y a 2 ans

Récit érotique hard écrit à deux mains où les vieux fantasmes deviennent réalité

J’étais un redoutable et invétéré joueur de poker, et cela faisait plus de trente ans que cela durait. Mais je ne jouais ni en ligne dans des cercles de jeux. J’étais connu dans le milieu du poker et depuis des années je ne jouais plus que dans un cercle d’initiés, des amis fortunés comme moi. C’était un cercle privé d’une dizaine de membres où l’on ne rentrait que par cooptation – et rarement. Il fallait montrer patte blanche pour venir jour avec nous, être accepté par les membres (qui en décidaient par vote à bulletin secret et à la majorité.) ; et encore, quand un nouveau intégrait notre groupe c’était tout d’abord pour une seule soirée, après laquelle les personnes qui avaient joué avec cette personne donnaient leur avis à tous les membres et il y avait à nouveau vote. Bien entendu, la personne devait être connue non seulement de celui qui le cooptait, mais on devait disposer de renseignements fiables sur elle. Et ce devait être une personne hautement solvable mais égaleme...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 97 : La bonne est en bonnes mains
il y a 2 ans

La roue qui s’usera le plus restera toujours celle qui présentera la plus faible des duretés.

Chapitre 97 : La bonne est en bonnes mains Dès que je donnai mon accord pour le démarrage, les hommes se jetèrent sur elle, avec plus de ferveurs, plus de violences et de fureur que ceux-là même, hier, derrière les fenêtres ou dans la boîte de nuit. Aucune caresse sensuelle, aucun préliminaire, aucune excitation graduelle ! Trois d’entre eux se précipitèrent avec leur membre échauffé vers les trois réceptacles féminins, comblant sans ménagement les embrasures de la bonne. José avait pris la meilleure place, enfonçant son membre géant dans le con à peine humide de Lisa, l’empalant plus que la pénétrant, la traumatisant plus que la rassasiant. Elle aurait crié si Sébastien ne lui avait pas mis la main sur la bouche, cherchant à allonger ce couple pour remplacer sa main par de la chair autrement plus volumique. Il attendit qu’Ahmed, choisissant la porte de derrière, à son tour la pénétrasse, dans le peu d’espace du bassin que José lui avait laissé. Les trois valets aidèrent le trio...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 96 : Premier lavement
il y a 2 ans

Il est bon que les roues soient ointes, tant que le glissement soit à l’endurance ce que le frottement est à l’usure.

Chapitre 96 : Premier lavement Du monde venait par cet escalier. Beaucoup de monde. Lydia me cachait la vue de l’entrée de la pièce et je ne distinguais les nouveaux venus que dès lors qu’ils quittaient l’angle mort que son corps de déesse générait. Ladyscar fut la première. - Alors, prêt à être plus loquace sur ta journée d’hier. - Non, répondis-je avec la même assurance, que peu avant, avec Lydia. - Non, qui ? entendis-je derrière elle Lisa. - Il est bien rebelle, dit Tata Marguerite qui était arrivée à la demeure entre temps. Si Ladyscar portait une tenue de maitresse d’école avec un chignon, des lunettes, une jupe droite trop petite pour cacher des bas de soie se terminant sur des souliers noirs vernis, Tata Marguerite avait préféré un body moulant en latex violet surmonté d’un masque de chat avec deux petites oreilles à la Catwoman. Une cravache assortie complétait sa tenue. Elle me frappa les couilles bien découvertes en répétant la question de Lisa. - Non...
Un ami de Sandra
il y a 2 ans

Une amie libertine lui présente son copain de façon particulière. L'histoire érotique d'une rencontre originale !

La table de chêne semblait provenir d'un autre temps. Rugueuse, parcourue de stries disparates et parsemée de trous témoins du passage de colonies de termites, elle dénotait quelque peu au milieu des meubles modernes de l'appartement. De hautes chaises aux accoudoirs de bois travaillés et au dossier recouvert de velours rouge l'encadraient et complétaient ce tableau baroque. Une large porte fenêtre laissait passer la lumière déclinante de cette fin d'après-midi. D'où j'étais, je n'apercevais que quelques toitures de zinc surplombant les immeubles mitoyens. Les bruits de la rue ne me parvenaient que de manière sporadique, étouffés qu'ils étaient par l'isolation phonique. J'étais allongée sur cette table depuis un bon moment. Je ne saurais aujourd'hui dire depuis combien de temps. Suffisamment en tout cas pour avoir eu le temps de détailler avec précision ce vaste salon. Mes poignets étaient attachés aux pieds de la table par de longs foulards de soie rouge. En inclinant ma tête vers...
Publicité en cours de chargement