Récits
L'éducatrice (partie 4/5)
il y a 2 ans

Tawse, Martinet et cravache, que ces deux vilaines fesses, en rouge soit colorié de la taille aux cuisses.

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) Et ce fut une nouvelle surprise pour moi. Charlotte et Margaux n’étaient pas des femmes, mais de jeunes garçons habillés de robes de soubrette en satin. Charlotte portait une robe classique noire avec un tablier blanc alors que Margaux portait une robe rouge avec un tablier noir. C’était donc ça des sissys ? Des hommes travestis en femme ! Elles étaient honteuses, la tête basse. Et moi, j’espérais de ne pas devoir subir la même humiliation. — Déshabillez-vous et mettez-vous au coin les filles ! réclama Kassandra. Je m’occuperais de vous quand j’en aurais fini avec ce garnement ! — Oui, Maîtresse Kassandra ! répondirent en cœur les deux sissys. Kassandra me laissa les regarder se dévêtir. — El… Il… bafouillais-je. — Tu peux dire elle ! me coupa Kassandra. — Elles sont venues ici, habillées comme ça ? questionnais-je. — Non ! Elles sont venues en voiture ! Le chauffeur de leurs maîtresses les a accompagnés ! m’expliq...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 108 : Jour J
il y a 2 ans

Il existe un point d’efficience maximum pour un engrenage, un panachage unique de couple et de vitesse.

Chapitre 108 : Jour J Je voulais profiter de l’occasion unique d’avoir une relation avec une maîtresse et j’avais déjà profité de Diane, mon choix se portera donc sur la dernière. En ce qui concernait la second personne, ou plutôt la première, je me faisais une joie de ne pas prendre Nathalie sachant que cela la rendrait plus sadique encore. Je connaissais déjà intimement Lydia et la vendeuse rousse et je préférais choisir quelqu’un de nouveau et que je ne reverrais probablement plus. En cas de maladresse ou d’échec, je n’aurai plus à croiser son regard. - Ce sera Myriam et Tata Marguerite. Myriam était une de deux autres jeunes vendeuses. Fine, petite, beaucoup plus que Sandrine la rousse, elle était brune aux cheveux sombres. Sa peau n’était pas juste bronzée. Elle avait assurément des parents d’origine et de couleurs différentes. Mais ce n’était pas sa couleur de peau que j’avais apprécié le plus dans le magasin. Sa poitrine ferme, petite, tendue à l’auréole discrète mais...
L'éducatrice (partie 3/5)
il y a 2 ans

Le vilain oiseau entre en cage, et les fesses rougissent.

[Le début de cette saga est ici](/recit/199526) — Je sais, Marc ! Mais je te la mettrais que tu le veuilles ou non ! balaya Kassandra. Puis, elle m’expliqua en desserrant les dix vis fixées sur la cage avec sa clé en forme de cœur et les plaçant une à une dans le creux de sa jupe. Les pointes sont faites pour prévenir toute érection ou tentative de tricherie de ta part, Marc ! Mais si tu restes sage, tu n’auras pas à les porter ! Quand elles sont en place, elles rendront tes érections très douloureuses pour te rappeler que tu ne dois plus te comporter comme un petit pervers ! Mais ne t’inquiète pas ! Les pointes sont émoussées pour qu’elles ne soient pas blessantes ! Tu les porteras pour ta première journée en cage ! Je pense qu’il est très important que tu comprennes rapidement qu’elle est ta nouvelle place ! Avec ta belle-mère, nous te surveillerons ! Et si nous constatons que malgré la cage tu tentes de te toucher, nous remettrons les pointes en place pour vingt-quatre ou quarant...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 107 : Le cadeau
il y a 2 ans

La conception d'un engrenage ne consiste pas uniquement en une création issue du néant, il faut souvent se guider dans des choix circonscrits.

Chapitre 107 : Le cadeau - Nous avons rattrapé le programme ? lançai-je, toujours troublé par ce que je venais de faire. Après m’avoir nettoyé une seconde fois, j’eus le droit de profiter de la salle de bain de l’étage où Ladyscar remplissait un nouveau bain. - Tu sais que je ne pourrais pas participer, me rappela-t-elle, alors que nous n’étions plus que deux. - J’avais oublié, avouai-je. Vous ne pouvez pas vraiment vous dévoiler ? - Non. Tu sais que rien n’a changé depuis hier. Cela t’a probablement paru long, mais pour moi, et encore plus pour elles, la situation est identique. Je comprenais. Je comprenais très bien. Je savais que cela l’ennuyait. Je voulais lui dire quelques mots, mais au lieu de cela, incapable de trouver quelque chose de gentil, je me glissai dans le bain chaud. - Que va-t-il se passer ? - Tu verras. C’est ta récompense, ton cadeau pour ce weekend. - Mon dépucelage. Mon dépucelage avec une femme. - Oui. Cela ne te tente pas ? Tu m’as...
L'éducatrice (partie 2/5)
il y a 2 ans

Après avoir été recadré, Marc découvre enfin sa cage de chasteté.

La réaction de Kassandra fut immédiate. Elle reposa le sac en velours sur son bureau et le visage rouge de colère, elle s’avança vers moi d’un pas pressé et me flanqua une gifle. — C’est quoi ce langage de charretier ? Les mots de ce genre sont interdits chez moi ! pesta-t-elle. Passé la surprise de la gifle, je criai à mon tour. — Dans ce cas, laissez-moi partir ! — Oh, non ! Certainement pas ! Tu m’as été envoyé pour que je fasse de toi un parfait homme soumis, alors je vais te mater et faire de toi un parfait homme soumis, Marc ! rejeta Kassandra. Quand elle voulut me mettre une nouvelle gifle, j’attrapai son bras avec un sourire. Moi qui pensais l’avoir prise aux dépourvues et pris le dessus sur elle. C’était une grave erreur. Sans la moindre difficulté, elle retourna la situation à son avantage. Sa main se referma sur mon poignet, puis elle me tordit mon bras dans le dos, m’attrapa l’oreille de sa main libre, me força à allonger mon corps sur son bureau et avant mêm...
Procédés cavaliers
il y a 2 ans

Faire longuement attendre sa soumise peut-il avoir des conséquences ?

Ce soir je rejoins l’homme que je suis, que j’écoute avec admiration. J’ai été convié dans son appartement, que je nomme parfois tanière de l’enivrement, il y a maintenant 3 jours. J’ai 38 ans il en a 33, mais il mène ma vie comme s’il fut mon aîné, il me comble et sur-multiplie mon existence. On imagine aisément ma joie, d’autant que côtoyer Jérôme chez lui est un privilège m’a dit-il ; et je trouve qu’il a bien raison. Au seuil je frappe à la porte... 5 coups c’est le code. J’attends. Ça ouvre il est là prenant de son gabarit tout le couloir, mon Maître. Je suis dans le lieu, Jérôme me désigne une nappe sur le buffet. Aussitôt je la saisi et la dresse sur la table. Je prends cœur à être délicate dans l’accomplissement mais surtout vive. Je veux qu’il y ai un délai aussi court que possible entre l’ordre de l’Homme-dominant et son exécution à la charge de sa femme-soumise. Il m’a éduquée pour cela il aime cela. Lorsque je me trouve au domicile du Maître il peut y avoir des activi...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 106 : Un gros biberon
il y a 2 ans

Tout est question de convenance, comme le liquide et l’engrenage. Si l’eau est son ennemi, l’huile lui sied.

Chapitre 106 : Un gros biberon Ladyscar me sourit. Cette phrase n’était pas de moi. C’était une de celles qu’elle ressortait souvent en classe lorsqu’un de ses étudiants tombait dans le piège de ses exercices. Ce ne m’était jamais arrivé, je devais bien l’admettre, qu’importe ma modestie. J’avais d’autant plus apprécié sa philosophie que je n’y avais pas été personnellement affecté. Je ne m’étendrais pas sur mon nettoyage, même si certains détails appréciables seraient par d’autres appréciés. J’essayai même d’en occulter la vision comme l’odeur, me concentrant sur la conversation, trop heureux d’avoir retrouvé une bouche et une gorge dégagée, même si je l’eusse préférée entièrement rincée. Je ne trouvai au début rien d’érotique à cette activité, même si les huit mains recouvertes de leurs gants de caoutchouc, se promenant sur mon corps, mes fesses et mon sexe libéré. Ce n’est que lorsque la propreté revint, que je retrouvais certaines envies dont mon sexe s’en arbora fièrement...
L'éducatrice (partie1/5)
il y a 2 ans

Après s'être fait surprendre à se masturber dans l'une des culottes de sa belle-mère, Marc est envoyé chez Kassandra, une stricte et sévère éducatrice pour homme, afin d'être puni.

Je sortis mon téléphone de ma poche afin de vérifier une fois de plus l’adresse de mon rendez-vous. J’avais la peur au ventre. Et je ne souhaitais vraiment pas me présenter chez cette femme. Mais ma belle-mère avait été intransigeante. Soit j’acceptais la punition, soit je quittais la maison. Quant à mon père, il me lançait des regards mi-colère, mi-compatissant depuis que ma belle-mère m’avait surpris à me branler dans l’une de ses culottes. Moi, j’avais honte. Honte d’avoir cédé à ma perversité. Vous pourriez me demander « pourquoi accepter d’être puni et ne pas quitter la maison ? ». Tous simplement pour la raison que j’étais au chômage et ne parvenais pas à trouver un travail stable. Ce qui veut dire que le choix était bien plus en ma défaveur. En réalité, c’était soit accepter la punition, soit me retrouver dans la rue. La femme chez qui j’avais rendez-vous était une amie de ma belle-mère. Et bien évidemment, elles partageaient les mêmes convictions. Celles que la femme devait con...
Une fessée "méritée"
il y a 2 ans

Entre employée et patronne.

- Tu es venue. Mais ça, j’en aurais donné ma main à couper. Je commence à te connaître depuis le temps qu’on se côtoie, là-bas. Depuis le temps que je t’observe. Tu m’es devenue totalement transparente. Tu as hésité. Je suis sûre que tu as hésité. J’y vais ? J’y vais pas ? Que tu as fait semblant d’hésiter. Juste ce qu’il faut pour te faire croire que ce serait ta décision à toi. Mais en réalité, depuis le début, les dés étaient jetés. Parce qu’il suffit de se montrer péremptoire avec toi. Tranchante. Comme je l’ai été en te donnant rendez-vous ici. Et tu obtempères. Jamais tu n’oseras te dresser contre une volonté qui exige fermement de toi. C’est pas vrai peut-être ? Tu ne réponds pas, hein ! Qui ne dit mot… En attendant tu dois bien te demander ce que je te veux. - Oh, oui ! - Tu n’en as pas la moindre petite idée ? - Je ne sais pas. - Tu ne sais pas si tu en as une petite idée ? C’est tout toi, ça ! Bon, mais il y a combien de temps qu’on travaille ensemble ? Bientôt un an. Et,...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 105 : Change et changement
il y a 2 ans

Si un engrenage ne convient pas, il ne faut pas hésiter à le démonter : les roues resserviront bien un jour.

Chapitre 105 : Change et changement - C’était trop tôt, dit Tata Marguerite, avant que ne nous rejoignissions la voiture. - Non. Nous ne l’avons pas assez préparé, corrigea Lady Christine. Il ne savait pas que c’étaient de vrais bébés. Au moins pour les deux hommes. - De vrais bébés ? demandai-je, alors que dans la précipitation je sentais que ma crotte bougeait, libérant à nouveau le conduit du plug. - Oui. Leur dominatrice les ont fait régressés, m’expliqua Ladyscar. - Régressé ? - C’est fastidieux, compliqué à expliquer et à réaliser. Cela prend aussi beaucoup de temps. Lydia t’expliquera mieux que nous, dit Maîtresse Diane. - Ce n’est pas l’important. Nous avons été bannies, rappela Tata Marguerite en montant dans la voiture. - Je suis désolé de vous avoir mis dans l’embarras, dis-je en montant à mon tour dans la voiture. Dario était surpris de nous voir rentrer si tôt. Il rangea son livre dans la boite à gants, « le rouge et le noir ». Il lisait du class...
Mémoires d'une fesseuse (8)
il y a 2 ans

L'attente... La douloureuse et délectable attente.

- Tu étais à la bourre ce matin. Elle n’a pas répondu. Elle a continué, imperturbable, à éplucher sa pomme. - Marie-Clémence, je te parle ! - Hein ? Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? - À quelle heure tu t’es levée ? - Je sais plus. Neuf heures. Quelque chose comme ça. - Et t’as séché les cours, j’parie ! - Si c’est pour arriver juste quand ça finit… - Bon, mais t’étais prévenue. Alors tu sais ce qui va se passer. - Oui. - Tiens ! Leurs numéros de téléphone. C’est toi qui vas les appeler. Elle m’a jeté un bref regard affolé. - Moi ! - Toi, oui ! - Mais je saurai jamais. - Bien sûr que si ! Tu vas les appeler tous les trois, à tour de rôle, et les inviter à venir assister à la mémorable fessée dont tu vas te voir gratifiée vendredi soir. Et tout de suite tu t’en occupes. Pas dans dix ans. Elle est allée s’enfermer, sans un mot, dans sa chambre. Elle n’en est ressortie que deux heures plus tard, la mine ravie. - Mais c’est qui, ces types ? Où tu les as trouvés ?...
Une thérapie de régression
il y a 2 ans

Une jolie histoire de jeux de couple ABDL et régression

Après avoir passé une année entière à vivre ensemble, Julia, ma petite amie, et moi avons découvert notre tendance pour les jeux d'âge, les soignants/bébés/petites filles, les ddlg et la discipline domestique. Je deviens son papa, nous jouons avec des couches. Certains e n f a n t s (vrais e n f a n t s) peuvent devenir jaloux d'événements comme l'arrivée d'un frère, d'une sœur, d'une dispute entre parents. Cette histoire montre comment gérer un malentendu dans un couple. Un jour au travail, j'ai eu un problème avec ma voiture, elle doit être réparée dans un garage et pas de voiture de remplacement. J'appelle Julia pour qu'elle me rattr a p e après le travail. Vers 18h je l'appelle, je prends le temps de sortir de mon bureau. Je vois une collègue, une jolie fille, nous sommes amis et récemment, son petit ami l'a quittée et son chat est m o r t . Je la prends dans mes bras, elle pleurait et j'essaie de la réconforter. Elle se calme me remercie et j'attends que mon amour vie...
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