Récits
Premières expériences et engrenages : Chapitre 104 : Départ imprévu
il y a 2 ans

Une fois que l’engrenage s’arc-boute, forcer n’amène qu’à le briser.

Chapitre 104 : Départ imprévu Cette suite, elle ne se fit pas tarder. Tata Marguerite et Maîtresse Diane me firent sortir manu militari du parc, m’infligeant à tour de rôle de grosses fessées sans crainte que ma couche n’explose également. Chacune d’elle libéraient cependant du liquide de mon cul en actionnant le coulisseau du plug à chaque impact, mais je n’en étais plus à ce problème. Elles m’obligèrent à m’asseoir dans une chaise géante de bébé qui enclencha l’ouverture, libérant vers ma couche, cette fois sans discontinuité, le fluide que retenait mon corps. Aucun effort de mes muscles fessiers ne pouvait l’en arrêter puisqu’il s’écoulait dans le conduit interne de l’objet importé. Pourtant, malgré mon impotence, le fluide s’arrêta brutalement, coincé par un bouchon solide de déjection. Libéré par les produits laxatifs de la tétine et du lavement, et voulant emprunter le même chemin de liberté, il s’était coincé dans l’ingénieux mais fragile système du coulisseau. Les m...
Compte à rebours
il y a 2 ans

Sous couvert de lui injecter des hormones féminines pour qu'il devienne la femme qu'il rêve d'être, une femme va faire vivre à un homme la plus improbable des mésaventures. Une véritable régression.

Compte à rebours. A bientôt 38 ans, ma vie semblait couler paisiblement. J’étais marié, père de deux petites filles adorables, j’avais un boulot, qui, à défaut de m’épanouir, me permettait de nourrir ma famille. Ma femme travaillait également ; il y avait pire comme situation. Pourtant, au fond de moi, une sensation de solitude se développait. Lancinante. Abstraite et tellement réelle. Un jour mon patron m’annonça qu’il cessait le projet sur lequel je travaillais et que par conséquent, soit j’acceptais de retourner à des tâches plus ingrates, soit je prenais la porte. Depuis quelques temps déjà, je sentais que le lascar me préparait un sale coup ; mais celui-là, je ne l’avais pas vu venir ! Une vague de haine et de rancune, enfouies depuis des années à son service, remonta soudainement du fond de mes entrailles pour se concentrer dans mon poing qui, comme la foudre, vint le surprendre en pleine figure. Tel un volcan qui venait de se réveiller, je n’avais qu’une envie, déve...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 103 : Maitre Lucifer
il y a 2 ans

Parfois, même quand les roues sont déjà en mouvement, il est difficile de comprendre le but de l’engrenage en action.

Chapitre 103 : Maitre Lucifer Alors que nous accédions à son logis, l’homme se glissa derrière moi et me frappa les fesses, ou plutôt la couche, tellement cette dernière était épaisse. Je sentis le liquide s’étaler sur ma peau, la laissant légèrement humide. Je trouvais la sensation désagréable. Je voulais parler, mais ma tétine gonflée, remplie de liquide féminin, attaché par des velcros, ne me laissait que le choix du silence. J’eusse voulu me dégager, mais j’évitai avant tout les mouvements brusques qui pourraient dégénérer un peu plus ma situation. Il guida mes maîtresses jusqu’à un grand salon, plus imposant en taille et en décoration que celui de Diane. Comme je m’y attendais, il n’était pas seul. Une demi-douzaine de personnes étaient présentes. Mon regard fut immédiatement attiré par un parc à bébé géant où deux hommes et une femme y étaient enfermés. Tous les trois portaient de grandes couches culottes comme celle que l’on m’avait enfilée et déambulaient au milieu de...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 102 : La présentation du nouveau
il y a 2 ans

La présentation d’un nouvel engrenage est importante car comme dit le dicton, la première impression est souvent la bonne.

Chapitre 102 : La présentation du nouveau - La mauvaise nouvelle est, bien entendu, le contenu que tu devras absorber si tu décides de l’avaler, poursuivit Ladyscar. - Tu as deviné ce que c’est ? me demanda Tata Marguerite. Non, répondis-je à nouveau de la tête, sans trop forcer le mouvement, de peur que cela n’active involontairement son fonctionnement. - Nous l’avons remplie hier en boîte avec les filles, poursuivit Maîtresse Diane. Elles ont toutes mis un peu de leur jus, avec le plaisir de savoir que ce serait pour pourrir la bouche d’un gros bébé de dix-huit ans. Et comme c’était loin d’être plein, nous avons rajouté d’autres sécrétions. Quelles secrétions ? voulus-je demander. Non. Il était mieux que je ne le sache pas. Mais si, me souffla Lassie. Elle était encore bien là cette fois, surveillant et modifiant mes réactions naturelles, trouvant que j’avais été un peu trop cocooné depuis mon réveil. Elle en voulait plus. Elle voulait ressentir la marque du cuir et la...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 101 : En grenouillère
il y a 2 ans

Le choix de la matière est une étape essentielle dans la conception d’un engrenage.

Chapitre 101 : En grenouillère Elle me le décrit. Nous continuâmes à parler un peu, jusqu’à ce que les maîtresses, une par une, descendissent. - Alors mon gros bébé, tu es prêt pour aller déjeuner ? dit Ladyscar, la première arrivée. - A-reu, lui répondis-je en mettant mon pouce dans la bouche, une bravade supplémentaire. - Tiens ! Mets plutôt ça ! me dit-elle en me tendant une tétine. Je mis l’objet dans la bouche puis je secouai la tête négativement devant son humour. J’étais vraiment ridicule. Je l’enlevai alors et la reposai sur la commode. Je n’allai pas sortir comme cela ? Je réagis comme si cela avait été la goutte qui fit déborder le vase ou, dans ce cas, la couche-culotte. Mais, en réalité, je sentis le choix réfléchi de Lassie qui recherchait la punition supplémentaire. - Non j’ne veux pas, Na, répliquai-je, jouant le bébé récalcitrant. - Mets-là ! Tu veux vraiment être un méchant petit garçon ? me demanda Lady Christine qui, descendant, rejoignait ma...
La roulette russe pour la fessée 2
il y a 2 ans

Les étudiants s’enflamment

Je suis à peine sorti de la chambre de Véro que je croise Béné dans le couloir : « A tout à l'heure. Tu te souviens que tu es la première à tirer ! » Béné me retourne : « S'il y a une justice, ce soir c'est le tour d'un garçon ! » A neuf heures me voici de retour chez Véro. Elle s'est vêtue d'un bas de survêt ample et d'un tee-shirt collant. Sur la table trônent les instruments du destin : dé, brosse et cravache. Béné nous rejoint. Jacques arrive enfin. Véro semble avoir retrouvé la forme : « Tout le monde est partant ? Douleur et humiliation au menu ! A toi l'honneur, Béné. » Béné se saisit du dé. Elle attend et laisse le calme s'installer. Ce soir elle porte un jean collant et un sweat-shirt qui cache les formes de sa poitrine. Nous la sentons agitée, à la fois inquiète et tentée de nous montrer qu'elle non plus ne reculera pas. Jacques décide de faire monter la pression : « Alors tu nous fais attendre, tu veux te faire désirer ! Après la blonde, la brune va-t-elle dévoil...
Bijoux
il y a 2 ans

Quand vos antécédents finissent par vous rattraper...

Dessin de Dagy - Où sont mes bagues ? - Vos bagues, Madame ? Quelles bagues ? - Celles que j’avais posées là, dans la petite soucoupe, à l’entrée. - Je ne les ai pas vues. - Faites bien l’innocente ! Vous me les avez volées, hein, c’est ça ? - Moi ? - Vous, oui ! - Mais jamais de la vie ! - Bien sûr que si ! Ce qui va vous coûter cher. Parce que, si je ne m’abuse, vous avez déjà été condamnée pour des faits de même nature. À la prison. Avec sursis. - C’est une vieille histoire. - Pas si vieille que ça… - Je vous jure que je n’ai pas volé vos bagues. Je vous le jure. - Oui, oh, alors ça ! Qui a bu, boira. C’est bien connu. Et, de toute façon, je vous ai vue faire, de mes yeux vue. Par la petite fenêtre, là-bas. C’est d’ailleurs ce que je dirai aux enquêteurs. Sous la foi du serment. Parce que vous n’allez pas vous en tirer comme ça : je vais porter plainte. - Vous n'allez pas faire ça ! - Je vais me gêner. - Si je suis reconnue coupable, mon sursis va sauter. - Il fa...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 100 : La suite des confidences
il y a 2 ans

Avec un engrenage bien conçu et réalisé, le fonctionnement est instinctif ; il n’est pas nécessaire d’avoir de mode d’emploi.

Chapitre 100 : La suite des confidences - De quoi parlait-elle ? - Je ne peux rien te dire, me répondit mon infirmière, consciente de m’avoir déjà trop aidé. Elles le feront. - Alors si vous me racontiez la suite avec Ladyscar, tentai-je pour l’adoucir. - Tu ne veux pas t’asseoir ? me tenta-t-elle d’un ton trop mielleux pour que j’en valide la proposition. - Non, dis-je, mal à l’aise dans cette couche, le ventre plein. - Bon d’accord. Où en étais-je ? - Tu revenais en voiture chez toi et Ladyscar t’attendait, lui rappelai-je alors que mon ventre fit un gargouillis étrange et probablement annonciateur. Ladyscar était devant mon appartement, assise sur le rebord d’un bac à fleur de la ville. Elle s’était changée et portait une tenue légère et sexy. Elle avait dû dormir quelques heures. Je me rappelais que je l’avais trouvé fraiche. En fait je ne l‘ai pas reconnue immédiatement. La veille, il faisait nuit. Elle portait un manteau et une capuche qui cachait partiell...
Premières expériences et engrenages : Chapitre 99 : Attention aux fuites
il y a 2 ans

Deux roues symétriques, dans un seul engrenage se déplacent en revanche de concert.

Chapitre 99 : Attention aux fuites Il l’activa sur son clitoris. Cela durait quelques secondes mais, pour Lisa, cela semblait une éternité. Il l’arrêtait puis reprenait. Les temps d’électrisation duraient de plus en plus longtemps, les temps de pause, de plus en plus court. Le fonctionnement se coordonnait à ses cris. La situation du haut de son corps paraissait presque un soulagement. Ses seins avaient été attachés séparément par une corde fine qui outre de lui mordre la peau, lui enserrait la poitrine et la suspendait à multiple anneau du plafond. La couleur de ses seins avait même changé, bleui, violacé plutôt, comme s’ils étaient gonflés de sang. Wallace les frappait avec une cravache munie de pointe de métal arrondies et décrochée du mur. Des marques rouges indiquaient qu’il y avait peu de temps encore, des pinces à linges les recouvraient. Comme pour en valider la présence passée, l’une d’elles restait accrochée, désespérément, tenant bon face aux frappes ciblées du brit...
La roulette russe pour la fessée
il y a 2 ans

Les étudiants jouent un drôle de jeu

L'ennui règne dans une résidence de grande école, en grande banlieue parisienne, loin de tout. Seules activités possibles : celles organisées par les élèves (et on en fait rapidement le tour) et les discussions sans fin dans les chambres. Ce soir là nous étions quatre dans la chambre de Véronique et la conversation était venue sur le terrain des paris et des risques. Jacques nous parlait d'un film (j'ai oublié lequel) avec une scène de roulette russe. Béné soutenait qu'il fallait être fou pour faire un truc pareil. Véro lui a répondu que c'était le résultat de l'ennui qui peut conduire à faire n'importe quoi, rien que pour se changer les idées, pour montrer que l'on existe, pour sentir un frisson. J'ai fait remarquer que coté ennui nous étions servis mais que nous n'avions pas de six coups. A cet instant la conversation a basculé du général au particulier et nous a entraînés vers une situation inédite. Véro : « C'est le principe qui compte. Prendre un risque. Faire un pari fou...
Selfbondage au tapis roulant
il y a 2 ans

Il ne devait pas durer longtemps

Terri s'est réveillé excitée comme l'enfer. Elle a glissé sur ses chaussures à plateforme haute et a commencé son bondage. Elle a enfilé un collier BDSM et un bâillon. Ensuite, attacher les pinces à tétons avec les chaînes attachées à la seule chose qu'elle a pu trouver qui était proche du même niveau que sa poitrine... son tapis roulant. Mettant soigneusement une ceinture en cuir autour de son corps juste sous ses seins, elle y plongea ses deux bras et fit monter la ceinture au-dessus de ses coudes et sous ses seins. liant efficacement ses bras étroitement à son corps. Avec un petit effort, elle réussit à glisser ses poignets dans des menottes en cuir et à serrer les sangles du bout des doigts. Cela a pris du temps, mais elle a finalement réussi à les serrer suffisamment pour qu'elle ait du mal à s'en sortir toute seule. Heureusement, son mari devait bientôt rentrer à la maison et l'aiderait à se libérer. Mais alors qu'elle se tenait là, admirant son corps ligoté dans le miro...
Piégée par une femme de chambre lesbienne
il y a 2 ans

S’endormir nue après s’être masturbée dans sa chambre d’hôtel n’est pas sans risque.

La réunion était terminée. Le reste de la journée était à elle, et elle n'avait pas à partir avant le matin. Il était temps de se détendre, alors elle a fait couler un bain d'eau chaude, s'était déshabillée puis glissée dans une eau revigorante. Après son bain, elle marcha vers le lit, fouilla dans sa valise et récupéra son compagnon de voyage préféré ; un gode rose. Allongée nue sur le lit, Dana écarta largement les cuisses et guida la pointe vers son sexe en attente et avide. Des fantasmes mentaux décadents de mecs chauds avec de longues bites épaisses envahissant ses trous affamés remplissaient son esprit. alors qu'elle se taquinait et se stimulait vigoureusement. Au moment où elle est arrivée à son deuxième orgasme, la serviette sous les plis de son cul était trempée. Elle éteignit le petit jouet sexuel et s'endormit, ne prenant même pas la peine de se couvrir. Son sommeil bienheureux terminé, elle ouvrit lentement les paupières. Elle était incapable de bouger. Ses yeux s'...
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