J’avais vingt-quatre ans et je venais d’épouser Baptiste qui, lui, en avait vingt-six. En attendant d’avoir trouvé notre chez-nous, on vivait chez ses parents. Il faudrait plutôt dire que JE vivais chez ses parents, parce que lui, représentant en vins de Bordeaux, très souvent à l’étranger, passait le plus clair de son temps sur la route et ne rentrait que tous les quinze jours. Quand ce n’était pas toutes les trois semaines. Mon beau-père était plutôt du genre taciturne. Il vivait immergé dans ses bouquins, dans la mise à jour permanente d’une impressionnante collection de timbres et ne se souciait guère de moi. Avec ma belle-mère, je m’entendais plutôt bien, même si elle me reprochait parfois d’être brouillonne, impulsive et de ne pas avoir la moindre suite dans les idées. - Tu n’es pas du tout structurée. On t’a manifestement trop laissé la bride sur le cou à un moment où il aurait fallu, au contraire, te canaliser. Je ne l’écoutais que d’une oreille. J’avais toujours cons...

Maëva était en larmes. - Le salaud ! Non, mais quel salaud ! - Qui ça ? - Teissier, tiens ! Qui tu veux ? - Il t’a… - Coincée contre la photocopieuse. Et tripotée. Comme un gros porc qu’il est. Manon a explosé. - Y en a marre, à force. Y en a vraiment marre. Ça peut plus durer. Faut porter plainte. Léa a abondé dans son sens. - Oui. Toutes ensemble. Faut qu’il paye. Elles nous suivront, toutes celles qu’ont déjà eu affaire à lui. Et nombreuses, on serait. Camille a fait la grimace. - Ouais, vous savez pas ce que c’est, vous, les filles, de porter plainte pour ce genre de trucs. Les flics vous cuisinent tant et plus. T’étais habillée comment ? T’es sûre que tu l’as pas provoqué ? Que tu cherches pas à te venger de lui ? Parce qu’une employée… son patron, elle a toujours des raisons de lui en vouloir. Etc. Etc. Et ça remet ça au procès. Les mêmes questions. Tu finirais presque par te sentir coupable. Sans compter que tous les projecteurs sont braqués sur...

Dans une école d'Alsace une nouvelle maîtresse venait d'arriver en cm2 nous la trouvions très jolie et très jeune par rapport à notre ancienne institutrice. Au bout du deuxième jour du haut de nos 10 ans on faisait pas mal les malins face à cette jeune et jolie demoiselle qui finit par craquer en nous promettant de sévère punition. On se disait qu'à part copier des lignes ou se faire sermonner que voulait telle dire par sévère on se disait tranquille. Quelque jours plus tard alors que la classe étais particulièrement agité elle a précisé que dorénavant le premier ou la première qui chahuterait aurait droit à une fessée devant toute la classe. Alors là on c'est tous regardé mais le mal a repris le dessus et quand elle a appelé Damien sur l'estrade, après l'avoir coincé contre elle penché en avant elle lui a claqué les fesses par dessus le pantalon. Pendant un moment le pauvre c'est mis à pleurer tellement ça claquait puis elle l'a autorisé à aller s'asseoir en disant que le prochain...

Bonjour je m'appelle Clara 18 ans, dernier jour de l'école avant les vacances et formidable, les cours du vendredi après midi annulé prof malade. Je profite donc pour faire un détour et passer voir Amandine la nouvelle compagne de mon père. J'arrivais devant la porte toqua, aucune réponse, je trouvais la clef de secoure dans la jardinière, la ou Amandine ma dit qu'elle la laissais si je voulais passez et quelle soit absente. Je décidais de me faire un café en attendant son retour. Installée tranquillement devant la télé avec mon café j’entendis un bruit à l’étage. Je montais les marche doucement et commençais à entendre des gémissements . Je cherchais d'où pouvait venir ce bruit et avançais prudemment, le bruit venais de la chambre. Je restais derrière la porte hésitante à ouvrir et écouter en même temps. J'ai pris mon courage à deux main et j’ai entrouvert la porte sans faire de bruit, je ne voyais rien, j'ouvris assez pour passer la tête, et la le choc. Je découvris amandine n...

« Maintenant, dit-elle d'une voix professionnelle tandis qu'elle se redresse, il est temps pour ta prochaine leçon. » Elle claque des doigts et tu sursautes, le son coupant la brume de douleur et de plaisir. « Lève-toi, ordonne-t-elle. Je veux voir comment tu gères une petite punition quand tu n'es pas occupé à sucer des bites. » Tu te lèves en titubant, les talons aiguilles rendent difficile de garder l'équilibre avec tes jambes qui tremblent tellement. Tu es encore haletante après l'effort que tu as fait pour sucer profondément Charles, et tu as l'impression que ton cul est en feu. Lady Catherine t'entoure comme un prédateur, ses yeux scrutant chaque détail de ta tenue, la cage autour de ta queue, les bleus qui se forment déjà sur ta peau. "Tu vas te pencher sur le lit", dit-elle d'une voix froide. "Et tu vas compter les coups pour moi." Lady Catherine récupère une longue canne fine dans la commode, le bois est sombre et brillant. Elle s'approche du lit et tu sens une sueur fro...

La voiture s’arrête devant l’hôtel et, alors que vous sortez avec Charles, vous remarquez les regards curieux et obscènes des passants. Certains font des commentaires grossiers à voix basse, leurs yeux s’attardant sur votre cage de chasteté exposée et la laisse qui y est attachée. Votre visage brûle d’embarras, mais vous gardez les yeux baissés, vous souvenant de votre place. L’hôtel est un bâtiment opulent, le marbre brillant et les garnitures dorées parlent de richesse et de pouvoir. Charles tient fermement votre laisse, vous conduisant à travers le hall d’un air possessif. La réceptionniste vous adresse un sourire entendu tandis que Charles lui chuchote quelque chose à l’oreille, et elle hoche la tête, lui tendant une carte-clé sans cligner des yeux. Le trajet en ascenseur jusqu’à la suite est rempli du lourd silence de l’anticipation. Les portes s’ouvrent pour révéler une chambre spacieuse et luxueusement décorée avec vue sur la ville. La suite est équipée d’un lit king-size, d’un...

Une puissante lumière me brûlait les yeux à travers mes paupières clauses. J’avais un mal de tête à la taper contre les murs. Où pouvais je bien être ? Pas chez moi en tout cas ! La dernière chose dont je me souvienne c’est d’avoir été en voiture sur la route pour rentrer chez moi après le mariage de ma sœur. Et dans mes souvenirs il me restait au moins deux cent kilomètres à faire. A l’hôpital ? J’avais eu un accident ? Je n’avais pourtant mal nul part. Mais si j’étais shootée à la morphine, ça pouvait aussi être une explication. Mes paupières pesaient des tonnes, les ouvrir était un supplice. Lorsque j’y parvins, je vis des silhouettes immenses s’agiter autour de moi. Mais ces gens étaient immenses ! Un quart de seconde l’histoire de Gulliver où il se retrouve à Brobdingnag, le pays des géants me revint à l’esprit. Mais c’était impossible, f o r c é ment. J’étais en pleine hallucination, f o r c é ment. Mon mal de tête était d’une telle v i o l ence que je fermais les...

Charles hoche la tête et vous regarde attentivement. « J'ai entendu de bonnes choses sur vos méthodes, Faye », dit-il. « Je suis sûr qu'elle sera bientôt prête pour sa première mission. » Sa main se déplace de votre cuisse vers votre cage de chasteté, la pressant. Vous haletez sous la douleur soudaine, vos yeux se remplissent de larmes. Maîtresse Faye se penche vers toi, son souffle chaud sur ton oreille. « Souviens-toi, Selena, » murmure-t-elle. « Ton travail est de servir, d'être vue et non entendue. À moins, bien sûr, que tu ne sois utilisée pour le divertissement. » Elle serre ta cage plus fort, et tu hoches la tête frénétiquement. « Bien, » dit-elle, te libérant avec un petit rire. « Voyons si tu peux être une bonne petite poule mouillée et nous divertir. » Le reste du repas est un mélange de morsures douloureuses et de gorgées d'eau, ponctuées par des pressions occasionnelles sur votre cage. Maîtresse Faye et Charles discutent de votre potentiel, leurs voix remplies d'excit...

Vous entendez la porte de la salle d'hypnose s'ouvrir et le bruit des talons hauts claquer contre le sol alors que Niamh et Maîtresse Faye entrent. Vous êtes toujours attachée à la chaise, le casque de réalité virtuelle affichant les dernières images des vidéos de lavage de cerveau. Le gode pompe sur vos fesses meurtries depuis ce qui semble être une éternité, et votre esprit est un tourbillon de soumission et d'obéissance. La chaise vous libère et Niamh vous aide à vous relever, ses mouvements sont doux malgré la punition féroce qu'elle vient de subir. Elle vous aide soigneusement à sortir de l'engin, vos jambes tremblantes à cause de la stimulation prolongée. Les yeux de Maîtresse Faye balayent votre silhouette rougie et tremblante, un sourire satisfait jouant sur ses lèvres. « On dirait que tu es prête pour la prochaine phase de ton entraînement », dit-elle, sa voix un ronronnement séduisant. « Niamh, va chercher les produits de nettoyage. Nous demanderons à Selena de ranger avan...

Niamh t'aide à te relever, sa poigne étonnamment douce compte tenu des circonstances. Elle te ramène dans la salle de bain, où elle retire soigneusement le bâillon de ta bouche. Tu avales une bouffée d'air, le goût du latex et de ton propre sperme persistant dans ta bouche. Avec des caresses tendres, elle applique une crème rafraîchissante sur tes fesses meurtries et boursouflées, le soulagement de la douleur étant momentanément apaisant. Elle réapplique ensuite ton maquillage, lissant les traces de tes larmes et fixant ton mascara qui coule. Quand elle a fini, tu es à nouveau l'image d'une femme de ménage salope, bien que légèrement abîmée. Maîtresse Faye hoche la tête d'un air approbateur lorsque tu reviens au bureau, une pointe de plaisir sadique dans les yeux à la vue de ta douleur. Elle pointe la porte de l'autre côté du couloir. "C'est la salle d'hypnose des poules mouillées", dit-elle. "Tu vas y passer beaucoup de temps. Regarde les vidéos et apprends à te mettre à ta place."...

Vous vous tenez nerveusement devant les élégantes portes vitrées de l'agence de recrutement Sissy, le cœur battant dans votre poitrine tandis que vous ajustez le chemisier rose à froufrous et la minijupe que vous avez été invitée à porter. Le panneau au-dessus de l'entrée indique « Bienvenue dans votre nouvelle vie », et vous ne pouvez vous empêcher de ressentir un mélange d'excitation et d'inquiétude lorsque vous respirez profondément et ouvrez les portes. L'odeur du cuir et du latex emplit votre nez lorsque vous entrez dans le hall faiblement éclairé, où le seul bruit est le claquement rythmé des talons hauts sur le sol poli. Derrière le bureau de la réception, vous apercevez Sissy Niamh, une superbe femme transgenre aux yeux pétillants et au sourire chaleureux. Elle est vêtue d'une robe noire moulante qui cache à peine le contour d'un dispositif de chasteté, et ses gants en latex scintillent dans la douce lumière. Elle lève les yeux de son travail et vous salue d'un joyeux « Bonjour...

C’était en mai 1966. J’étais en train de réviser le bac, en compagnie de trois camarades de classe, Clotilde, Séverine et Christophe, chez moi, sur la grande table de la salle à manger, tandis que ma mère tricotait, dans son fauteuil, près de la porte-fenêtre. Nous épluchions les Annales des années précédentes. Nous nous étions arrêtés sur un extrait du « Contrat social » de Jean-Jacques Rousseau. Quelqu’un, je ne sais plus qui ni pourquoi a fait, à un moment donné, allusion à la fessée, dont il parle dans les Confessions, qu’il avait reçue de la main de Mademoiselle Lambercier. J’ai voulu en toute hâte changer de sujet. Sans succès. Ils ont insisté. Et, de fil en aiguille, ils en sont venus à parler d’Éric, l’un de nos camarades de classe, dont Clotilde se demandait s’il ne la recevait pas, lui, justement, la fessée. - Parce que vous avez pas remarqué ? La façon dont il s’assied, en classe, certains jours, du bout des fesses, en grimaçant. Christophe a abondé dans son sens....